Génétique comportementale : découverte d’un gène libéral ?
Tous les moratoires n’y feront rien, et il faudra s’y habituer. On ne pourra freiner les travaux en génétique comportementale. C’est à dire le rapprochement de l’information génétique avec les multiples réservoirs de données sociales.
29 réactions à cet article
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Un peu court votre article, un peu ridicule aussi, que vient faire ici la « gauchosphère » ?
Pour des infos plus sérieuses, cette étude parle du gènes DRD4 codant les récepteurs de dopamine, dont on soupçonne les différente variantes d’être en relation avec des affection comme la schizophrénie, les troubles bipolaires, la boulimie, et les différentes formes d’addictions.
http://en.wikipedia.org/wiki/Dopamine_receptor_D4#cite_note-Settle_2010-1
http://dss.ucsd.edu/ cdawes/Christopher%20Dawes_files/friends.pdf
Cordialement.
Un gauchiste de la sphère.-
Bonjour,
Merci d’être passé,A l’origine, il s’agit d’un billet de blog, où je mets un peu d’humour pour détendre l’atmosphère sur une idée sérieuse.Désolé de m’être laissé aller à un mouvement inconscient sur la gauchosphère, mais comme je suis un peu progressiste dans l’âme, j’ai du mal à intégrer le statuquo et le conservatisme social ces derniers temps.J’en guérirais un jour sans doute.Vous avez raison de pointer que cette touche d’humour n’a rien à voir avec le sujet en question. Désolé de vous avoir heurté.Cependant, je ne vois pas en quoi le billet parle de biologie médicale ?Là où je mets l’accent c’est sur la découverte de nouveaux territoires de recherche avec la génétique comportementale. Nouveaux territoire de recherche et aussi possible utilisation dans l’avenir de nos données sociales de réseau pour servir la cause de ces recherches.Je pense que nous ne sommes plus dans la science fiction, mais dans la simple anticipation d’un sujet qui va nourrir la controverse intellectuelle de demain.La part d’inné dans le comportement.Thierry -
« Cependant, je ne vois pas en quoi le billet parle de biologie médicale ? »
La première phrase de vote texte est un lien pointant vers un article « Researchers find a liberal gene » à savoir le DRD4.
Cerise sur le gâteau je vous retrouve l’étude dont tout les journaleux et bloggers superficiels parlent sans la citer. -
Le sujet central de mon billet n’est pas de parler du DRD4. Je vous remercie d’avoir fourni les liens pour ceux qui s’intéressent à la biologie médicale.
Je ne parle pas d’affection ou de pathologie, mais d’une discipline naissante dans le monde la génétique comportementale. -
« Je ne parle pas d’affection ou de pathologie, mais d’une discipline naissante dans le monde la génétique comportementale. »
J’insiste, même si vous avez une vision superficielle des choses, la génétique comportementale s’intéresse au gènes par définition, et dans ce cas au DRD4
Or il se trouve que ce gène est impliqué dans des pathologies, qui plus est des pathologies comportementales. -
Article navrant d’un point de vue de l’esprit critique mais néanmoins soumis à ALERTE GÉNÉRALE depuis le temps que nous disons : attention ce qui est gratuit sur le web génère des profits insoupçonnés. Celui-ci est un peu ridicule car l’humain ne se trouve jamais là où on le cherche*
Certains le disent : nous ne sommes pas encore sortis de la préhistoire, c’est notre seule excuse. Pour exemple : l’étude de la sensibilité des différentes populations à certaines maladies (STOP SECRET DÉFENSE**)
*il paraît que 3% de notre génome perso n’est hérité ni du père ni de la mère. SAvoir ce que va « engendrer » ce bout réfractaire à toute prévision...
**mais de quelle défense parlons-nous ? « si tu veux la paix prépare la guerre » ?
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Merci de réagir.En effet la génétique comportementale est peut-être destinée aux oubliettes de la science, mais qui est en mesure de la disqualifier par avance.Ce qui est certains, c’est que ces territoires de recherches seront dûment explorés.Et là je ne parle pas de secret ou de complot, je n’y crois guère, mais simplement de l’irréductible curiosité de l’homme.Cependant, j’ai du mal à comprendre le sens de votre dernière phrase.Si vous pouviez préciserThierry -
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » Rabelais
et des coups d’essai qui furent des coups de maîtres, l’histoire ne peut s’en glorifier :
- stérilisation des populations marginales (celles qui ne pouvaient faire des USA cette grande nation que nous connaissons...), getthoisation des populations ayant une destinée inférieure...tout ceci s’appuyant sur des données « scientifiques » qui s’avérèrent « pseudo », partielles, partiales. Comment mieux rendre inférieur que de vous en convaincre ?
- dissémination de ces « données (pseudo)scientifiques alimentant le nazisme et sa »race pure« , justement n’ayant pas connaissance de l’inconstance génétique (ces 3% dits »d’apparition récente« )On dit que »gouverner c’est prévoir"
Sait-on par exemple qu’un enfant laisse quelques petits cadeaux cellulaires à sa mère ?
S’il s’agit de gouverner des êtres humains, il se peut que par sagesse, on prenne le parti de ne s’intéresser qu’à la culture...
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Oui, ce que vous dit marque dans le concert international le positionnement français et donne tout son sens avec la citation de Rabelais. Et en tant que français, j’ai ce penchant là aussi.
Je pourrais me permettre d’ajouter qu’il faut savoir penser aussi hors de sa culture. D’autres cultures dans ce monde n’auront pas ces préventions car il y a aussi un attrait universel dans la génétique comportementale et qui prend source dans le « connais-toi toi-même. »Si je sais que je suis né avec un patrimoine génétique donné, il sera possible alors d’accéder à mes limites en tant qu’être humain sur certains aspects de ma personnalité. Après, je serais libre d’y croire ou non, de les prendre en compte ou non, :travailler mes forces pour m’améliorer, cultiver mes faiblesses pour me rendre plus social et attachant, ou ne rien faire...Ce n’est pas si simple que cela, car le monde n’est pas à notre unique disposition, le cours des idées non plus. -
Oui, ce que vous dit marque dans le concert international le positionnement français et donne tout son sens avec la citation de Rabelais. Et en tant que français, j’ai ce penchant là aussi.
Je pourrais me permettre d’ajouter qu’il faut savoir penser aussi hors de sa culture. D’autres cultures dans ce monde n’auront pas ces préventions car il y a aussi un attrait universel dans la génétique comportementale et qui prend source dans le « connais-toi toi-même. »Si je sais que je suis né avec un patrimoine génétique donné, il sera possible alors d’accéder à mes limites en tant qu’être humain sur certains aspects de ma personnalité. Après, je serais libre d’y croire ou non, de les prendre en compte ou non, :travailler mes forces pour m’améliorer, cultiver mes faiblesses pour me rendre plus social et attachant, ou ne rien faire...Ce n’est pas si simple que cela, car le monde n’est pas à notre unique disposition, le cours des idées non plus. -
Alors intéressons-nous plutôt à la plasticité neuronale !
Je lis votre fiche que je n’avais pas lue alors que je m’apprêtais à raconter une histoire vraie.
Les cours de récré sont un lieu privilégié d’observation : culturelle ou génétique ? des amitiés se lient au hasard ?
C’est ainsi que, les amis de mes quatre enfants étant de fait un peu les miens (loisirs, vacances...), je me suis retrouvée avec un fils né au Cameroun. Quelle surprise lorsque j’apprends que son papa fait le même métier que moi...Quelle surprise lorsque échangeant sur nos fils (car le mien est également considéré comme le fils de parents nés au Cameroun), nous rapprochons leurs « comportements » petits comme quasi identiques, l’un dans un village camerounais, l’autre dans « un quartier ».
Va-t-on parler de génétique ou de culture ?
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NB pour la suite :
l’un a choisi avec succès une profession médicale, l’autre une profession dans l’architecture et le bâtiment. -
Sur les cours de récrés, bah si on a affaire à la réalité
, celle-ci est assez complexe pour que cela soit indécidable entre génétique et culturel.
Je ne vois d’ailleurs pas d’opposition ni d’exclusion réciproque entre les deux. Il faudrait m’expliquer.Sinon, le critère d’impossibilité n’a pas empêché nos lointains ancêtres de se poser des questions sur des sujets aussi « simples » que la taille et la forme du monde, la place du soleil et de la terre, etc.Le fait de ne pouvoir expliquer n’a jamais été une raison valable à la cessation de l’interrogation, et en réalité, jamais effectif. -
« La génétique néolibérale, les mythes de la psychologie évolutionniste » un petit ouvrage publié aux éditions de l’éclat dans lequel Susan McKinnon, Pr d’anthropologie à l’université de Virginie démontre brillamment que, non seulement le récit des généticiens néolibéraux détruit les preuves qui témoignent de la créativité humaine et de la diversité culturelle dans le monde en meêm temps qu’il restreint considérablement notre champ d’investigation.
Sur cet article : la face cachée et complémentairees aux sources de renseignement que cet article dénonce, ce sont les fichiers des empreintes génétiques.
Cherchez à qui profite le crime.-
Merci pour cette citation.
En effet, l’utilisation d’un fichier des empreintes génétiques est à dénoncer comme un détournement de sa raison d’être (l’identification certaine) ; On peut se poser la question suivante : comment, alors que nos généticiens découvrent l’incroyable complexité de l’expression des gènes, d’autres pourraient utiliser ces données (les gènes) pour les corréler avec des éléments aussi complexes que sont des choix électoraux.
ça sent fort l’imposture, la souris truquée ou tout simplement de partir de la conclusion pour déterminer le protocole...
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Oui, c’est le versant idéologique du débat aux Etats-Unis.
Très présent entre « liberals » (je traduis en language européen, sociaux-démocrates de gauche) et libertariens.Mais prenons de la hauteur.Lorsqu’on parle de culture aujourd’hui on omet souvent de signaler que c’est aussi ce qui sépare, ce qui maintient des frontières artificielles aux yeux de la raison, témoin le mot assez ironique et de Pascal (qui préfigure Voltaire) :« Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. »Et justement, l’un des bénéfices de la génétique comportementale pourrait-être la détection de passerelles ou de caractères communs au-delà des différences culturelles ou purement physiques.La question reste ouverte et pour l’instant reste indécidable.Quand à la « restriction du champ d’investigation », c’est un argument idéologique, c’est à dire un argument qui s’appuie sur une grille de décodage de la réalité, une façon de voir l’adversaire politique qui l’inclut d’office dans une démarche d’occultation de la réalité.Ce qui n’est pas le cas comme de tout travail scientifique. On ne travaille que sur un aspect de la réalité en tant que telle avec les restrictions de contexte d’usage.On pourrait aussi faire remarquer que vouloir exclure la génétique comportementale du champ d’investigation est aussi une restriction de ce dernier.On voit bien alors qu’il s’agit bel et bien d’une querelle politique, même si elle est noble, elle ne peut se substituer à l’irréductible fraction de l’être humain qui cherche à évoluer et comprendre, et qui parfois se trompe... mais c’est la liberté... -
ThierryL, je vous assure que quand on lit l’ouvrage de Susan McKinnon, il est difficile de dire comme vous que la « restriction du champ d’investigation », c’est un argument idéologique.
Et que la génétique néolibérale serait une science. Je n’ai pas le temps de me référer à l’ouvrage que j’ai sous les yeux et des annotations que j’y ai faites, mais à l’occasion, j’y reviendrai. -
Houlà JL, loin de moi l’idée de mettre en doute votre bonne foi.
Ce livre est surement passionnant, mais le débat aux USA est extrêmement polémique et donc idéologique.
Un simple trait pour indication, le terme néo-libéral n’a pas été inventé par des soit-disant néo-libéraux, mais par les anti-libéraux qui voulaient désigner, comme tout premier mouvement politique l’exige, un ennemi.
L’article de Wikipedia parle très justement de ces nouvelles acceptions du terme néo-libéral.Donc déjà, rien que le fait pour cet auteur d’employer en couverture de livre le terme « néo-libéral » qualifie sa démarche de politique, je force un peu le trait en disant « idéologique » certes...
Mais si l’on veut penser par soi, il faut sortir de ces sentiers ultra-battus.De plus en lisant quelques revues de ce livre je vois que ce livre parle « d’Evolutionary Psychology » et non de « Behavioral Genetics ».
Ce qui n’est pas vraiment le sujet que j’ai découvert avec ce billet. -
Page 33, je cite :
« Voici quelqes uns des noms de gènes qu’on trouve dans la littérature de psychologie évolutionniste :
- un »gène de la fidélité« ;
- un »gène de l’alruisme« ;
- un »gène de l’adhésion à un club« ;
- un »gène de pour participer au jeu« ;
- un »gène qui a conduit un enfant à tuer sa soeur qui vient de naître« ;
- etc. (une vingtaine cités)
Parmi tous les noms donnés aux modules décrits dans les textes de psychologie évolutionniste, on trouve :
- un »module amour et progéniture « ;
- un »module attirance pour les muscles « ;
- un »module attirance pour le statut social « !
- un »système de détection de l’âge « ;
- un »module du rejet du partenaire « ;
- un »module de détection des tricheurs « ;
- un »module du meurtre de conjoint « ;
- un »module d’homicidé évolué« .
Vous pouvez préciser la nuance que vous faites entre »Evolutionary Psychology« et »Behavioral Genetics". -
Lorsque vous parlez de d’Evolutionary psychology, on relie (pas exclusivement et pas vraiment) des résultats qui proviennent de la Behavorial Genetics au système darwinien.
C’est à dire que vous orientez des découvertes par le biais d’une autre théorie.Or ce qu’il risque d’y avoir d’intéressant justement, c’est la fraîcheur de ces résultats et non pas leur soumission à une orientation précise, a priori.Un autre mécanise idéologique... -
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Bah il n’y a pas de rapport symétrique entre les deux, ce sont deux sujets assez distincts.
Exemple : si je déduis des raisons morales douteuses du fait de que la terre tourne autour du soleil, cela n’implique pas que le fait que la terre tourne autour du soleil doive être remis en cause.« jeter le bébé avec l’eau du bain » comme on dit couramment. -
@thierryl
"Et justement, l’un des bénéfices de la génétique comportementale pourrait-être la détection de passerelles ou de caractères communs au-delà des différences culturelles ou purement physiques."
Méfions-nous des petites cases. Des passerelles pour diminuer l’altérité ? réduire l’être humain à son plus petit dénominateur commun ? alors qu’on crie haut et fort que ce qui fait l’homme est sa capacité d’adaptation, son pouvoir créateur, sa faculté d’anticiper...
Les constantes ont déjà été trouvées au travers de toutes sortes de disciplines dont notre ADN. La seule différence que vous évoquez est culturelle ou visible (physique) mais le genre humain est un genre bien identifié et sa particularité est justement l’incroyable diversité de ses cultures et de ses créations.
Les génies ont parfois des comportements bizarres et font des découvertes encore plus bizarres (que la terre est ronde sauf que ce n’est pas visible à l’oeil nu : là où je vis : la terre est plate)
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Oui, clostra ce que vous dites est tout à fait louable mais la science ce n’est pas cela, elle ne peut rendre des résultats parfaits et elle est autant creusé par le doute.
elle participe à votre compréhension du monde et y apporte son lot de changements, et c’est déjà beaucoup, elle ne peut prétendre régler tous les problèmes ni rendre le parfait.Vous me parlez des génies mais si je prend mon simple sens commun je répondrais que cela m’étonnerait fort si on pouvait comprendre pourquoi ce que nous appelons communément des génies apparaissent. Il y aura toujours une part de mystère irréductible, quel que soit le niveau scientifique dans lequel vous évoluez.Deuxièmement, je ne sais pas ce que sont des génies, ce que je crois surtout c’est que beaucoup de compétences ne sont pas détectées ni valorisées au niveau des sociétés. Aujourd’hui nous sommes dans un état où seuls quelques maigres critères psychologiques sont appréciés (genre l’absurde QI) et ils viennent pour la plupart du XIXème siècle.Il est possible par exemple que des travaux dans la génétique comportementale ou d’autres disciplines viennent briser un jour ce status quo où seulement quelques valeurs utilitaires ne sont reconnues dans la société. Il faudra peut-être rentrer dans le XXIème siècle un jour.Troisièmement, vous opposez toujours culture et nature, en omettant toujours de signaler le travail de sape des cultures au sein des sociétés. La culture c’est bien, mais c’est aussi une des plus grandes génératrices d’injustice dans la société.Prenons par exemple les enfants du corps professoral dans la République française d’aujourd’hui, ils ont un avantage incontestable pour rentrer dans les grandes écoles car il possèdent grace à la communauté de leurs parents une connaissance intime des parcours et des techniques qui permettent de réussir plus surement dans telle ou telle filière.Si vous comparez avec l’essence de l’instruction publique de la IIIème république, le souci était différent, l’objet était la sélection par le travail et les aptitudes de manière à briser cet écheveau de classes et de corporations et de tirer des quatre coins de la France dans tous les milieux l’élite qui allait accéder aux hautes fonctions.Mais si vous réfléchissez bien les deux systèmes ont leur part d’injustice. Que vous favorisiez la culture, c’est à dire les hiérarchies sociales et les corporations inhérentes à toute civilisation, ou que vous favorisiez les aptitudes, c’est à dire la nature en faisant abstraction des catégories de la société. La France d’ailleurs, n’a jamais très bien choisi son camp.Et c’est là que se trouve un réel débat philosophique et qu’il faudrait peut-être retourner aux textes des lumières qui avaient intégrés (parce qu’ils étaient à cheval entre deux mondes) les échanges entre nature et culture, comprenaient l’harmonie qu’on pouvait y puiser et ne concevaient pas d’opposition radicale entre les deux. -
thierryl, je trouve vos réponses bien évasives.
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Je vous laisse le dernier mot allez-y
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OK ! Votre réponse à Clostrra ci-dessus est un chef d’oeuvre de langue de bois.
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bonjour thierryl
je suis toujours amuser d’entendre ou de lire que l’on trouve le gène de tel ou tel comportement. généralement cela ne conduit qu’a des désirs d’eugénismes. nous oublions la plus par du temps que ce qui existe à toujours une raison d’être même si nous sommes parfois condamner à ne pas la connaitre compte tenu de nos limites humaines, de plus le langage est l’expression du système émotionnel qui essaie de qualifier des comportements que l’on juge semblable mais qui ne peuvent être identique pour chacun compte tenu de nos singularités, mais les mots sont fondateurs et contribuent à induire des comportements et dans le même temps ils sont castrateurs d’une réalité de valeur émotionnele qui serait identique pour tous.
c’est donc amusant de trouver un gène du libéralisme tout comme ils serait amusant de trouver un gène de l’amour, par contre il nous est possible de produire des choix de gènes pour modifier les caractères humains, c’est là la future peste brune, le nouveau fascisme sera l’eugénisme, naturellement au delà du choix des yeux ou de la couleur des cheveux de son enfants.
« ......En fait, l’idée pacifiste et humanitaire peut être excellente à partir du moment où l’homme supérieur aura
conquis et soumis le monde sur une assez grande étendue pour être le seul maître de cette terre. Cette
idée ne pourra pas avoir d’effet nuisible que dans la mesure où son application pratique deviendra
difficile, et finalement, impossible. Donc, tout d’abord combat puis, peut-être, pacifisme. Sinon l’humanité
à dépassé l’apogée de son évolution et le terme n’est pas la domination d’une idée morale quelconque,
mais la barbarie et ensuite le chaos. Ce que je viens de dire peut faire rire certains lecteurs, mais notre
planète a déjà parcouru l’éther pendant des millions d’années sans qu’il y eût des hommes et il se peut
qu’elle poursuive un jour sa course dans les mêmes conditions, si les hommes oublient qu’ils arriveront à
un niveau supérieur d’existence non pas en écoutant ce que professent quelques idéologues atteints de
démence, mais en apprenant à connaître et en observant rigoureusement les lois d’airain de la nature...... »Adolf Hitel, extrait de mon combat, nous savonsce qu’il en est advenu.cordialement.
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Bonjour ddacoudre,
Oui, vous résumez très bien que le noeud d’inconfort face à de tels types de recherche proviennent du traumatisme occidental lié à l’apparition du nazisme en Allemagne et à ses conséquences.Vous montrez aussi par votre billet que les gourous et autre manipulateur de l’être humain, n’ont pas de position philosophique harmonieuse et centrale, il leur faut appuyer grossièrement soit sur la culture, soit sur la nature.C’est leur manière à eux de répandre l’idéologie :Pointer vers une autorité qui est soit en dehors de l’être humain ou au dedans.Alors que le bien penser se situe à la fois au dehors et au dedans, comme le signalait Pascal.
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