La guerre actuelle est une guerre psychologique. Les pervers où l’on trouve iun un bric à brac de narcissique, borderline, bipolaire, pervers narcissique et j’en passe (ils sont des milliards : je pèse mes mots). Prennent leur revanche sur ceux qui ont eu (au moins en partie) une enfance heureuse. Des IAGI envieux. On ne connaît pas le passe de Gollum (son pseudo en dit long...) mais il a un jour décrit son intronisation dans la F.M. qui consistait à pénétrer un femme, le yeux bandés. UN peu comme le dernier film de Kubrick : Nice ONE SHOT.... Pour comprendre la mécanique : Lire Harold Searles : l’effort pour rendre l’autre fou (avec moi, cela ne marche pas.
Résumé :
« Rendre l’autre fou est dans le pouvoir de chacun : qu’il ne puisse pas exister pour son compte, penser, sentir, désirer en se souvenant de lui-même et de ce qui lui revient en propre. » Telle est l’expérience faite par Harold Searles, psychiatre et psychanalyste américain, qui a travaillé pendant quinze ans à Chestnut Lodge, établissement internationalement connu pour le rôle pilote qu’il a joué dans l’approche psychothérapique intensive des schizophrènes. Voici un psychanalyste qui dit ce qu’il fait, qui donne à entendre les mots simples des passions humaines - haine et amour, chagrin, vengeance, mépris, adoration ; il rapporte ce qu’il ressent et le parti qu’il tire de ses propres émotions dans la rencontre éprouvante, bouleversante, avec le psychotique. Jamais l’idée qu’il n’y a pas de psychose sans interaction de processus inconscients n’a été pareillement mise en évidence. L’auteur et, avec lui, le lecteur qui l’accompagne en ami sont sans cesse confrontés à l’intolérable souffrance psychique du « fou », si souvent méconnue aujourd’hui.