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Accueil du site > Tribune Libre > Grèce : l’Europe tombe le masque

Grèce : l’Europe tombe le masque

Je vous l’avais bien dit qu’il fallait que les masques tombent : l’Allemagne fait savoir aujourd’hui qu’il n’y a pas d’alternative au remboursement des dettes, quelle que soit l’issue du scrutin en Grèce. Tout en se contredisant magistralement dans les faits, puisqu’il est dit qu’elle envisagerait dans ce cas la sortie de la Grèce de la zone euro… c’est comme ceux qui vous disent qu’on ne peut pas déroger à une loi en vous opposant les sanctions que vous risquez si vous ne vous y soumettez pas ; ce qui prouve bien que vous « pouvez » le faire, vous devez juste savoir quelles en seront les conséquences.

Que cela signifie-t-il en définitive ?

Cela signifie qu’il y a bien des alternatives puisque la sortie de la zone euro serait la « sanction » au non-remboursement de la dette, sachant que l’Allemagne se découvre en montrant que c’est bien elle qui établit les lois régissant supérieurement un Etat théoriquement souverain ; ce qui constitue une ingérence directe dans les affaires intérieures d’un pays souverain puisqu’avec une telle menace elle refuse aux Grecs le droit d’élire librement le gouvernement qu’ils désirent installer au pouvoir. Tout ceci est proprement inacceptable et devrait être condamné unanimement.

Mais que tout le monde soit rassuré : tout ceci n’est qu’un grand bluff, car si le parti Syriza remporte les élections et fait ce qu’il dit vouloir faire, alors l’Allemagne sera mise face à son impuissance devant le monde entier : on imagine mal l’Allemagne envahir la Grèce pour aller se servir directement sur le dos d’un peuple alors pris en otage, qui sonnerait comme un diktat assez malvenu… Et puis surtout elle n’a aucun intérêt à voir la Grèce ou quelconque autre pays sortir de la zone euro (c’est sur l’euro qu’est fondée sa puissance !).

Maintenant, il faut essayer de comprendre pourquoi l’Allemagne se découvre autant : est-elle si engagée dans la dette de la Grèce qu’elle craindrait qu’à l’occasion d’un changement de gouvernance en Grèce de perdre sa mise, ou essaye-t-elle tout simplement d’empêcher l’Europe des peuples se rendre compte qu’il est tout-à-fait possible de refuser une dette illégitime… sans rien risquer du tout, comme l’a fait l’équateur en son temps ? Car une fois un gouvernement élu démocratiquement au sein de la zone euro refusant la dette illégitime, il n’arrivera rien d’autre que le refus par les autres pays de leur propre dette… sans aucune autre sanction possible que la fin de l’hégémonie de l’Europe des marchés sur celle des peuples.

Il apparaît qu’en France, comme dans de nombreux autres pays européens, le problème est le même : le Collectif pour un audit citoyen de la dette conclut dans un pré-rapport que 59% de la dette sont illégitimes… Si on ajoute la part illégitime de celle des autres pays, combien de centaines de milliards sont-ils illégitimement réclamés aux peuples ?

Le problème n’est donc pas l’Europe mais bien sa manière de fonctionner. Si on refuse de se laisser berner par cet « il n’y a pas d’alternative », pas besoin du TAFTA, ni de la loi Macron, ni du pacte de responsabilité ni de tous ces moyens déguisés pour déréguler le marché du travail…

Allez-les Grecs, résistez, car l’Europe des peuples compte sur vous !

Caleb Irri
http://calebirri.unblog.fr


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89 réactions à cet article    


  • Le p’tit Charles 5 janvier 2015 10:20

    Il y a deux monde différent...celui de la politique basé sur le mensonge..et la réalité celui des peuples...entre les deux « RIEN »...et pourtant certain vont encore voter pour ces crapules...Allez comprendre.. ?


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 5 janvier 2015 22:21

      Une poigneé de gens ont mit le mond en coupe reglé et l’exploitent efficacement a leur profit. Ca ne changera que quand ils ne pourront plus exercer ce pouvoir. Normalement, c’est quand on le leur enleve et ce n’est jamais sans violence. A chacun de prendre les mesures que sa conscienc lui suggere, mais toute discussion est du bavardage inutile, Agissez... ou soumettez vous.


      Pierre JC Allard

    • Croa Croa 5 janvier 2015 23:14

       La Grèce a aussi dans ses médias des chiens de garde qui, comme chez nous, aboient comment voter. En quoi c’est dur à comprendre ???


    • AlainV AlainV 5 janvier 2015 23:28

      Pierre JC Allard,
      Vous pourriez expliciter « Agissez ! » ?


    • sirocco sirocco 6 janvier 2015 00:40

      Je vais répondre à sa place :

      1789, ça vous dit quelque chose ?... et 1871 ?


    • colere48 colere48 5 janvier 2015 10:30

      Un article plein de bon sens, bravo !


      • Fergus Fergus 5 janvier 2015 10:35

        Bonjour, Caleb Irri.

        « Le problème n’est donc pas l’Europe mais bien sa manière de fonctionner. »

        Cela, c’est ce que je ne cesse d’affirmer, notamment en répondant aux militants de l’UPR.

        OUI, l’avenir des nations de l’Europe est au sein d’UE, et même de la zone Euro. Et la possible accession au pouvoir de Syriza, a fortiori confortée par une possible victoire de Podemos en Espagne, lève un formidable espoir car il est évident que Merkel sera impuissante à pousser le Grèce, puis éventuellement l’Espagne, vers la sortie et devra de facto composer avec la nouvelle réalité émergente : la volonté des peuples à ne plus vouloir se laisser imposer l’austérité par une poignée d’oligarques.

        A nous, en France, de suivre la même voie en balayant l’UMP et le PS solférinien, partis conservateurs libéraux, pour faire lever à gauche le même espoir en soutenant une coalition FdG, Verts, gauche du PS et Nouvelle Donne sur des bases réellement sociales et respectueuses des attentes du peuple français.

        Bravo pour cet article.


        • Doume65 5 janvier 2015 11:34

          « Le problème n’est donc pas l’Europe mais bien sa manière de fonctionner. Cela, c’est ce que je ne cesse d’affirmer, notamment en répondant aux militants de l’UPR. »

          Crois-tu que les responsables de l’UPR ne l’aient pas compris ? Lis un peu leurs analyses sur leur site, et tu verras qu’on est loin des réflexions du café du commerce. Et tant que tu y es, tu trouveras la réponse à ta réflexion : Non seulement lUE n’est pas réformable (il faut la liquider pour en reconstruire une autre, celle que tu attends) mais de plus, il est stipulé dès le début du traité de l’UE qu’elle est soumise à l’ultralibéralisme. Tu devrais admettre cette réalité. Cela t’éviterait de te fatiguer vainement à « cesser d’affirmer » cette... erreur.


        • Nestor 5 janvier 2015 13:33

          Salut Fergus,

          «  A nous, en France, de suivre la même voie en balayant l’UMP et le PS solférinien, partis conservateurs libéraux, pour faire lever à gauche le même espoir en soutenant une coalition FdG, Verts, gauche du PS et Nouvelle Donne sur des bases réellement sociales et respectueuses des attentes du peuple français. »

          Je crois que là tu trompes ... En Grèce la majorité de la population soutient un mouvement qui veut créer une vraie démocratie sans pantin aux manettes ... Anéantir les dérives et détournements de tout bord !

          Un jour peut-être que d’autres suivront l’exemple et décideront eux aussi de ne pas mettre au pouvoir des faces qui ont toujours des faces cachées qui créaient les polémiques et les indignations !


        • dithercarmar dithercarmar 5 janvier 2015 14:15

          <<Crois-tu que les responsables de l’UPR ne l’aient pas compris ?>>

          AVEC TOUS VOS NOMBREUX ADHÉRENTS ET SURTOUT VOS GRANDS RESPONSABLES
          (DE QUOI ?) VOUS ATTENDEZ QUOI ? À PART ENVAHIR AGORAVOX ? 2017, ÇA VA ÊTRE TRÉS LONG !!!
          SI VOUS ARRÊTIEZ D’AGRESSER LES GENS ? DE LES PRENDRE POUR DES DEMEURÉS ?

          VOS ADHÉRENTS SONT AU NOMBRES DE 6700, MÊME CETTE CROTTE DE DIEUDONNÉ FAIT 108 000 POUR ÇA PÉTIFION. ALORS RESTEZ HUMBLE.


        • Layly Victor Layly Victor 5 janvier 2015 17:40

          a Nestor

          FDG, gauche du PS, nouvelle donne : les plus opportunistes des plus opportunistes des plus opportunistes. Mélenchon, c’est la girouette la plus rapide du monde à prendre le vent, prêt à tout pour se faire des alliés. Comme le coup des fabuleuses « hydrauliennes sous marines », pour faire guili guili aux écolos. Et le fait de bien soigneusement fermer sa grande gueule face aux attaques nazies en Ukraine pour ne pas déplaire aux journalistes de gauche. Et le fait d’attaquer le nucléaire français, dernier rempart avant l’effondrement final de toute l’industrie, alors que dans son for intérieur il est pour (car c’est quelqu’un qui aime l’industrie et le monde ouvrier), pour ne pas déplaire aux verts.
          Et toute la classe politique, de Juppé à Mélenchon, qui rampe devant les zadistes qui terrorisent toute la région de Gaillac, et d’autres endroits maintenant, parce que ça fait bien.

          Aucun d’eux n’a compris que pour sortir de la crise, il faut 1)l’industrie2)l’éducation3)supprimer toutes les officines inutiles (sciences po, l’Ena, tous les conseils supérieurs de ceci et de cela, la commission de Bruxelles, le parlement européen, etc).

          De Juppé, Bayrou, Sarkozy, Hollande, Walls à la sinistre clique Autain, Mélenchon, Duflot, etc en passant par le FN, ce sont tous les mêmes et ils font tous la même chose, redistribuer les impôts, seuls le blabla qui accompagne cette redistribution et l’idéologie qui préside à certains arbitrages changent.
          Avec une différence : ceux du premier groupe sont capables épisodiquement de faire preuve d’esprit de responsabilité. Mais apparemment, après tous ces malheurs, les gens veulent encore du blabla et des promesses.

          Il n’y a plus de dirigeant (peu importe la couleur) et il n’y en aura plus, car nous sommes dans l’ère de la « démocratie participative » et de la conduite en zig zag, au gré des sondages et des impulsions données par les journalistes.

          J’ai trop d’admiration pour la Grèce pour confondre le combat du peuple Grec avec nos bobos « de gauche ».


        • Le421... Refuznik !! Le421 5 janvier 2015 18:23

          http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1155024-ukraine-pourquoi-melenchon-est-le-seul-politique-francais-qui-donne-raison-a-poutine.html

          Je déconseille l’abus de stupéfiants, ça fait dire ou écrire des choses étranges !!

          Mélenchon, une girouette ?? Ah ouais... On doit pas parler du même.


        • Nestor 5 janvier 2015 19:22

          Salut Victor,

          « Il n’y a plus de dirigeant (peu importe la couleur) et il n’y en aura plus, car nous sommes dans l’ère de la « démocratie participative » et de la conduite en zig zag, au gré des sondages et des impulsions données par les journalistes
          . »

          Une démocratie participative ce serait l’éveil du peuple et des peuples, enfin c’est mon avis ... La politique en France comme ailleurs depuis déjà longtemps est comme l’article 49/3 (fermez la c’est MOI qui décide)...

          Toujours pareil, la manipulateur arrive au pouvoir avec ses belles promesses et par la suite ne les respecte pas ... Un gros menteur quoi ! (surtout si en plus on considère qu’une parole est une parole il n’y a pas besoin d’écrit) ...

          Dans ce monde, politiques et journalistes connaissent très bien les faiblesses et l’inintérêt que portent certaines personnes au vrai pourquoi des choses ... Ils savent qu’une grosse partie de la population n’ira pas vérifier si c’est bien la réalité qui nous est donnée à avaler ... Tant que l’effet de masse ne se déplacera pas à contre sens je pense malheureusement que rien ne changera ... Alors va t-on continuer encore longtemps à donner le pouvoir à ce genre de personnages  ? Des personnes qui nous obligent à nous agenouiller devant une Chancelière, une Chancelière qui semble imaginer que les autres pays membres de cette macabre Europe Économique sont des colonies Teutoniques ... Ces mêmes dirigeants qui voudraient aussi que nous adulons un État qui bombarde tout ce qui ne va pas dans son sens ou ne lui obéit pas à travers ce monde ... Tout comme ne pas sanctionner un pays qui bombarde ses populations voisines et s’octroie ses terres ... Ces quelques exemples ne peuvent que nous faire comprendre que si chacun pouvait dire ce qu’il en pense de ça comme d’autres choses d’ailleurs et que bien sûr chaque voix soient prises en compte, alors oui là il se pourrait que l’on se mette à naviguer à contre courant, on prendrait sûrement une autre voie que celle que l’on nous impose depuis temps de temps ...

          « J’ai trop d’admiration pour la Grèce pour confondre le combat du peuple Grec avec nos bobos « de gauche ». »

          Effectivement, apparemment en Grèce il semble y avoir moins de pleureuses et plus de combattants puis l’âge semble ne pas avoir d’importance ... smiley 


        • Ouallonsnous ? 5 janvier 2015 20:06

          Mélenchon, une girouette qui dés le départ savait où se tourner !

          Vers l’UE et sa sinécure de parlement fantoche, au dépens de tous les « gogos » qu’il a trompé par son discours !


        • AlainV AlainV 5 janvier 2015 23:30

          Fergus,
          je ne comprends pas ceux qui vous moinssent sur ce post. l’UPR ?


        • elpepe elpepe 6 janvier 2015 01:22

          oui le projet Européen est nécessaire, mais les bases sont mauvais, comme vous avez parfaitement raison je vous ai mis un - car je crois que c’est comme ça que ce site fonctionne smiley


        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 07:56

          elpepe,
          Le projet européen et la zone euro ont été mis en place pour en finir avec les Etats providence.
          C’est un mauvais projet pour les peuples, à moins que vous ne souhaitiez finir comme les Grecs ?
          Pour changer les Traités, il faudrait l’accord unanime des 28 pays
          « Une autre Europe est- elle possible ? » Non.


        • mmbbb 6 janvier 2015 21:03
          @ Par Fergus je le croirai quand la gauche aura couper le cordon ombilical avec le PS La gauche avec ce mariage consanguin a perdu son ame et de facto ses electeurs polulaires L’artisan le plus felon et roue de tous mitterand a coule la gauche Il suffit de regarde le parcours de Moscovici passant par la LCR ayant eu comme professeur DSK finissant comme fonctionnaire a Bruxelle et venant tancer les grecs s’ils votent « mal » Du grand art Cet enarque est connu combien d opportunistes comme lui ?

        • Francis, agnotologue JL 5 janvier 2015 11:33

          Bonjour caleb irri,

          vous écrivez : ’’ ... c’est comme ceux qui vous disent qu’on ne peut pas déroger à une loi en vous opposant les sanctions que vous risquez si vous ne vous y soumettez pas ’’.

          J’avais un prof au lycée qui nous disait : ’’vous avez le droit de tricher, mais pas de vous faire prendre’’. Le brave homme qui nous apprenait l’histoire et la géographie, n’avait apparemment pas lu Baudrillard lequel écrivait dans son ouvrage sur la séduction : "le contraire de la loi ce n’est pas l’absence de lois, c’est la règle’’.

          La règle, au contraire de la loi ne peut être transgressée et c’est une erreur que de confondre les deux : en l’occurrence, la loi dit une chose, et la règle est que si vous transgressez la loi et que vous êtes pris, vous serez puni en conséquence.

          Mais pour en revenir à votre article, en effet, vous avez pleinement raison : la question est de savoir qui fait la loi, et quelle est l’autorité chargée de la faire respecter.

          On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif pas plus que soumettre avec des lois, un peuple qui est déterminé à préserver sa liberté envers et contre tout.


          • titi titi 5 janvier 2015 12:03

            « Maintenant, il faut essayer de comprendre pourquoi l’Allemagne se découvre autant : est-elle si engagée dans la dette de la Grèce qu’elle craindrait qu’à l’occasion d’un changement de gouvernance en Grèce de perdre sa mise, ou essaye-t-elle tout simplement d’empêcher l’Europe des peuples se rendre compte qu’il est tout-à-fait possible de refuser une dette illégitime »

            Bah c’est tout simple.

            Tous les pays d’Europe sont solidaires de la dette de la Grèce dans le cadre du M.E.S.

            Si la Grèce reprend son mode de gouvernance d’avant 2007, cela veut dire que ce sont les Allemands qui devront payer la note, alors qu’eux mêmes ont accepté il y a 10 ans les mesures que les grecs refusent aujourd’hui.

            Donc, oui, Mme Merkel, est dans son rôle : si les grecs veulent continuer le fête du slip, alors qu’ils le fassent mais ils faut d’abord qu’ils quittent l’Europe, car ils engagent les autres pays.

            Pour ce qui est de la sortie de l’Allemagne de l’Euro, je pense que c’est envisageable.
            Sauf que contrairement à ce qui transparait dans le ton de votre article, l’Allemagne n’est pas seule contre tous. L’Allemagne est suivie par les pays d’Europe du Nord.
            Et même l’Allemagne est suivie par plus de pays que ne le sont les pays du Club Med ; qui en fait représentent eux mêmes.

            Il n’y a aura pas l’Allemagne d’un coté, et l’Europe de l’autre, mais bien deux Europe. Et sans doute 3, avec le Brexit.


            • Nestor 5 janvier 2015 13:22

              Salut Victor,

              La dette Grec ce n’est peut-être pas ce qui fait réellement le plus flipper la chancelière Allemande et d’autres gouvernements de cette Europe Économique ... Non la peur qu’ils ont c’est que les anarchistes prennent « le pouvoir » en Grèce ... Les dirigeants Européens savent maintenant que les anarchistes sont en grand nombre dans ce pays et sont soutenus par une grande majorité de la population ...

              Ça ils en flippent grave, ils ont peur que ce soit contagieux !


              • Nestor 5 janvier 2015 13:38

                Oups ... Salut Caleb !


              • Le421... Refuznik !! Le421 5 janvier 2015 18:13

                Le plus terrible, ça serait que ces salopards de gauchistes (comme moi !!) trouvent une autre solution que celle imposée par la Troïka et pire, que ça aille mieux...
                Recette miracle, il n’y a pas.
                Mais parfois, on doit procéder à l’amputation pour éviter une septicémie.
                Au moins, le malade arrive à survivre, et même si c’est avec une canne, à remarcher...
                En effet, terrible risque pour Merkel et son orchestre !!


              • Xenozoid 5 janvier 2015 18:31

                j’ai beacoup a dire , la grèce est et restera pourri in politique, et dans la peur,j’écrirais un article ou les orthodoxes ne pourrons pas monopolisé pas le débat...promis


              • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 janvier 2015 21:55

                Le421,
                Je crois que vous vous trompez, l’ Allemagne n’en n’a rien à faire de la Grèce.
                Ce qui l’inquiète, c’est la planche à billets de la BCE qui va faire baisser la valeur du mark.


              • izarn izarn 5 janvier 2015 14:35

                C’est la constatation allemande que le redressement de la Grece est un échec. Comme l’est celui de l’Espagne et de l’Italie. Pour que ces pays s’en sortent il faudrait qu’ils fassent défaut et arretent les mesures d’austérité. S’ils restent en zone euro cela impliquerait l’effondrement de l’euro lui-meme par adjonction mégatonique de monnaie par la planche à billet.
                Donc logique : La Grece doit sortir pour sauver l’euro. Le comportement de Syriza n’a pas de sens autre que démagogique comme toutes les gauches de ce genre. Parceque la demande de Syriza est impossible à accepter de la part de l’Italie et de l’Espagne.
                De plus il faut arreter d’écrire que l’Allemagne a fait des réformes qui l’ont fait championne. Les économistes sérieux le disent ; cela n’a servit qu’a cacher la pauvreté envahissante du prolétaire allemand. Donc l’inverse d’une réussite brillante.
                Pour que les PIGs s’en sortent il faudrait que l’Allemagne arrete de leur faire une concurrence sauvage. Or cette concurrence sauvage est pour l’Allemagne indispensable pour surnager.
                L’Allemagne utilise massivement les travailleurs de l’Est bon marché qui ont été éduqué par un système soviètique. L’Allemagne délocalise massivement en Chine toute leur production grand-public destinées à des pays sans le sou et vivant à crédit. Pendant ce temps on augmente le nombre de travailleurs pauvres en Allemagne. Les allemands ne se sont pas serré la ceinture il y a dix ans, ils continuent toujours à le faire ! Et cela va probablement empirer.


                • Le421... Refuznik !! Le421 5 janvier 2015 18:00

                  Un éclair de lucidité dans un monde d’imbéciles drogués à la Téeffunite camphrée !!


                • AlainV AlainV 5 janvier 2015 23:44

                  Vous avez raison, izarn,
                  l’Agenda 2010 du SPD Schröder, c’est la paupérisation d’une grande partie du pays et l’enrichissement d’une petite minorité, le reste se sentant « menacé de paupérisation ». La différence d’avec la France, c’est que beaucoup de pauvres ont un « mini-job », alors que chez nous, ils n’ont rien, ou si peu.
                  Remèdes ? Partager le travail et doubler le revenu du travail, en ponctionnant sur tous les revenus qui ne proviennent pas du travail. C’est possible en revenant aux tranches élevées de l’impôt sur le revenu (45, 50, 55, 60 % de prélèvement à partir de 100 000 euros annuels et au-delà. Si certains partiront à l’étranger, beaucoup resteront. Et on peut toujours imposer en France les revenus gagnés en France. Les USA le font, pourquoi pas nous ?


                • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 01:01

                   Très juste, Izarn, à part que Syriza est de moins en moins encline à sortir de l’Euro, trop populaire et ressenti par des grecs défiant comme une garantie contre de nouvelles incompétences administratives qu’ils connaissent très bien. Syriza se trouve maintenant dans la loufoque situation d’avoir à demander à garder l’Euro pour sa « force » tout en demandant un effacement de la dette qui battrait ce même euro à mal. L’Europe y perdrait sur les 2 tableaux.
                  On se dirige tout droit vers le scénario Argentin (que j’ai vu qu’on comparait plus au au cas de l’Islande : rien, mais alors, rien à voir), et je souhaite bien du plaisir aux grecs, ils n’ont eu que le Hors-d’Oeuvre. Les Argentins ont payé un prix qu’on imagine pas ici pour la bonne raison que la communauté internationale a eu le soin de tout faire pour en cacher la réalité souvent insoutenable.

                  Si effacement de la dette grecque, sortie de l’euro et dévaluation drastique du nouveau Drachme. La Grèce ne produisant pas grand chose, c’est une catastrophe humanitaire en perspective, sans compter l’anarchie frontalière qui en découlera, mouvements de populations et exodes divers d’euros-citoyens grecs... Bref régime facho à cours terme.
                  Si pas effacement (ce qui ne signifie pas rediscussion) et pas de sortie de l’euro, l’Europe paye le prix fort mais peut garder ses espoirs (virtuels ou non, il s’agit d’équilibrer des prévision de façon pas trop fantaisiste) de remboursement et garder un cours acceptable pour l’euro ;
                  Si pas d’effacement mais rediscussion avec sortie de l’Euro (solution Merkel ????? à voir...) il faudra dévaluer, mais certainement beaucoup moins. Ce ne serait ni plus ni moins que la situation actuelle mais réajustée sur le papier et donc au moins une base saine de rééchelonnement.

                  L’effacement n’est pas qu’un mot. Laquelle des banques européenne serait la première à se casser la gueule, les paris sont ouverts... Y’a pas loin à chercher. Surfez un peu... Les bourses vont s’enerver cher...

                  J’espère que les oliviers produiront un peu mieux l’année prochaine. Choisissez de l’huile grecque, achetez de la feta, de l’Ouzo, etc...si vous voulez aidez les grecs ! Allez passer vos prochaines vacances là-bas, bientôt elles ne seront vraiment pas chères, il suffira de nourrir l’hôtelier et sa famille affamée.


                • Hermes Hermes 6 janvier 2015 13:54

                  Bonjour,

                   L’Allemagne va tellement bien qu’elle a mis les revenus de la prostitution dans le PIB ! Qu’’on y trouve des pools de travailleurs en hébergement quasi carcéral corvéables à merci, etc.

                   L’humain, de la chair à profit. le principe fondateur de l’Euro ?

                   Tout cela n’est qu’un rapport de force dans la course à l’abime : en se mettant debout sur les têtes de ceux qui coulent (aussi bien les citoyens à l’intérieur que les pays à l’extéreur) avec la bénédiction des saints économistes, elle garde la tête hors de l’eau. Le faux exemple que donne l’allemagne justifie les politiques de rigueur qui permettent de continer à payer les dettes.

                   Le protestantisme a initié une fausse valeur dont les peuples commencent à payer chèrement les conséquences : la réussite, succès de la prise en main de son destin économique comme manifestation possible de la communication directe avec le divin. Historiquement ce n’est bien sûr qu’une réaction à la diabolisation du rapport à l’argent et de la pauvreté (destin voulu par Dieu) véhiculé par le catholicisme.

                   L’humain, tant qu’il ne s’acceptera pas, et voudra se corriger, ne produira que des réactions excessives et des croyances erronées (nécessaire euphémisme), qui se succèderont les unes en réaction des autres au fil des siècles, et que les plus tordus pousseront à leurs extrémités dans l’espoir d’éviter la souffrance qui les ronge (comme le transhumanisme aujourd’hui).

                   La croyance ou l’adhésion à des principes ne peuvent pas remplacer la présence à soi-même. Cela l’exclut même plutôt, car la discrimination implicite des points de vue produit une ségrégation intérieure, le rejet d’une partie de soi-même.

                   Or il n’y a rien à rejeter de soi, ni a faire plier sous des principes, car tout ce qui est obéis à une nécessité. C’est juste que la plupart du temps la nécessité a disparu depuis longtemps, mais les habitudes sont restées. Il s’agit seulement de tout regarder en face : ses habitudes mentales, émotionnelles, physiques, qui sont le résultat d’une histoire qui parfois a ses racines dans la souffrance plusieurs générations auparavant. Tout en se connectant au présent par le biais des sens, tout regarder sans jugement, avec tranquillité, avec un regard amical mais sans complaisance, ni auto-pitié, justification ou dégradation (ce ne sont que des habitudes aussi). . Une attitude équilibrée et adaptée surgit progressivement, avec un nouveau sentiment harmonieux de soi-même, indéfinissable et capable d’un regard neuf. On sait ce qu’on a à faire avec la nécessité réelle du présent, et on le fait.

                  Tout le monde a cette possibilité et un chemin différent à faire, qu’il soit pauvre comme Job ou riche comme Crésus. La porte existe au fond de nous-même. smiley Attention toutefois, les gonds se rouillent quand on la laisse trop longtemps fermée, scellée par des idées intangibles, fussent-elles les meilleures.... Et dans ce cas il ne reste que la violence comme issue.

                  Pourquoi ne pas essayer ? Ecoutez bien votre réponse......

                  Bonne fin de journée.


                • BA 5 janvier 2015 14:38

                  Que nous apprend l’Histoire à propos des constructions supranationales ?

                  Réponse :

                  1- Au début du cycle, il y a des nations, des nations indépendantes et souveraines.

                  2- Ensuite, à l’intérieur de ces nations, certaines élites décident de commencer à bâtir une construction supranationale.

                  3- Ensuite, grâce à la propagande, ces élites parviennent à convaincre les peuples que cette construction supranationale va leur apporter la croissance économique, le progrès social, la baisse du chômage, la solidarité entre tous les hommes, et patati, et patata.

                  4- Ensuite, les peuples votent pour cette construction supranationale, en pensant qu’elle va réaliser toutes ces belles promesses. Pendant des décennies, il y a de plus en plus d’intégration. C’est la PHASE ASCENDANTE.

                  5- Ensuite, il arrive toujours un moment où les peuples finissent par comprendre que cette construction supranationale NE profite PAS aux peuples, mais qu’elle profite aux élites. Les peuples finissent par comprendre que cette construction supranationale ne profite qu’à la nomenklatura dans les pays communistes, aux élites politiques et aux élites financières dans les pays occidentaux.

                  6- Ensuite, les peuples commencent par se révolter, parfois dans la rue, parfois dans les urnes. La construction supranationale entre dans une phase d’implosion, d’effondrement. C’est la PHASE DESCENDANTE.

                  7- Dernière étape, la construction supranationale se désintègre, se disloque. Les nations qui la composaient reprennent leur indépendance. Fin du cycle.

                  Aujourd’hui, l’Union européenne est à l’étape 5.

                  Lundi 5 janvier 2015 :

                  Europe : l’implosion qui vient.

                  http://www.michelsanti.fr/europe-implosion/


                  • Passante Passante 5 janvier 2015 14:56

                    la dette n’était que discours,

                    le domino qui menace est fruit de ce discours ; 
                    c’est délectable les premières fissures avant un écroulement gigantesque,
                    on entendrait une mouche se distraire, un ballon hésiter.
                    pour aller se faire voir, c’est chez les grecs.

                    • wawa wawa 5 janvier 2015 17:30

                      de toute façon la dette grecque n’est pas remboursable (ni aucune dette d’état d’aillieurs) alors autant qu’ils sortent. 


                      Les conséquences : un réajustement du niveau de vie grec à un niveau beacoup plus bas avec un non paiement des salaires des fonctionnaires.

                      une grosse crisouille deflationaire avec les banques qui « sautent » dont la BCE, suivi d’une émision monetaire gigantesque pour faire tenir le système et/ou d’une confiscation des depot pour tenter de faire tenir le système.

                      dans tous les cas une fonte des patrimoines fictifs (assurance-vie, point retraite complémentaire)
                      non sans conséquence y compris pour les petite gens

                      • Le421... Refuznik !! Le421 5 janvier 2015 17:56

                        Au fait !!
                        Qu’est-ce qu’il s’est passé le 27 Février 1953 aux « accords de Londres » ??
                        On a annulé la dette de l’Allemagne ??
                        Nooooonnnnn !!! Pas possible !!

                        Ils sont venus par deux fois pourrir la vie de leurs voisins et voilà, plus pacifiquement, je le reconnais, qu’ils continuent !!
                        Ca va mal finir. Forcément.


                        • titi titi 5 janvier 2015 19:26

                          Absolument pas.

                          Au contraire, par les accords de Londres, la RFA se récupère les dettes d’avant le 8 mai 1945, donc du Reich, mais aussi des dettes des années 20, donc de la République de Weimar.

                          Cela inclus également les remboursements des Verrechnungskasse : c’est à dire des achats effectués en pays occupés par les armées du Reich.

                          Et de tous les ressortissants Allemands dans les pays occupés ou annexés avant le 1er septembre 1939.

                          Les seuls cadeaux faits sont une modulation des taux d’intérêts par rapport aux taux initiaux.

                          Bref : un plan de désendettement.

                          www.admin.ch/ch/f/rs/i9/0.946.291.364.fr.pdf

                          A noter que la RDA échappe à ce règlement et ne met pas au pot.


                        • Garance 5 janvier 2015 18:45

                          Vous avez bonne mine les Bolos de vous occuper de ce qu’il se passe pour les grecs et pour l’Allemagne


                          Pendant ce temps là vous occultez ce qu’il se passe ici


                          Même chez les grecs le chômage baisse

                          C’est vous dire dans la merde ou nous sommes

                          Vous la méritez bien la Face-de-Cul pour qui vous avez voté

                          • Nestor 5 janvier 2015 19:50

                            Carence (en matière grise), smiley

                            L’article parle de la Grèce et l’Allemagne ...

                            T’as apparemment pas que les dents comme blem ! smiley


                          • Xenozoid 5 janvier 2015 19:53

                            Nestor, il s’en fout, pour lui et d’autre argumenter est un jeu,pas plus


                          • Xenozoid 5 janvier 2015 19:57

                            je parlais du boulanger



                          • Spartacus Lequidam Spartacus 5 janvier 2015 23:27

                            Mais si le chômage a baissé.....


                          • AlainV AlainV 5 janvier 2015 23:48

                            Eurostat n’est pas fiable.
                            C’est une officine de propagande.


                          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 08:07

                            Alian V
                            Et bien donnez des chiffres fiables, vous qui êtes si malin. Vous préférez ceux -ci ?
                            Tous les chiffres disent la même chose, la Grèce agonise.


                          • BA 5 janvier 2015 20:01

                            Lundi 5 janvier 2015 :

                            Grèce : pour la Commission européenne, l’appartenance à la zone euro est « irrévocable ».

                            http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/01/05/grece-pour-la-commission-europeenne-l-appartenance-a-la-zone-euro-est-irrevocable_4549370_3214.html

                            L’appartenance à la zone euro est « irrévocable » !

                            J’éclate de rire !

                            Lisez ce dialogue entre Charles de Gaulle et Alain Peyrefitte :

                            - De Gaulle : Le Marché Commun, il n’y a en fait que deux ans qu’on a commencé à le réaliser. Or notre expansion industrielle remonte à bien avant deux ans. L’expansion industrielle allemande, italienne, de même. Ceux qui racontent des histoires sur les bienfaits incomparables de l’intégration européenne sont des jean-foutre.

                            - Alain Peyrefitte : Le traité de Rome n’a rien prévu pour qu’un de ses membres le quitte.

                            - De Gaulle : C’est de la rigolade ! Vous avez déjà vu un grand pays s’engager à rester couillonné, sous prétexte qu’un traité n’a rien prévu pour le cas où il serait couillonné ? Non. Quand on est couillonné, on dit : « Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! » Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça.

                            Alain Peyrefitte, « C’était De Gaulle », Fayard, tome 2, page 267.


                            • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 janvier 2015 21:49

                              BA,
                              Du temps de De Gaulle, il n’y avait pas de clause de sortie aux Traités Internationaux.
                              Il n’y avait pas non plus la panoplie de sanctions financières pour les pays récalcitrants.


                            • wesson wesson 6 janvier 2015 01:41

                              Bonsoir BA, 


                              ce qui est le plus terrible dans votre citation, c’est qu’il me rappelle que le seul homme politique qui a mené une politique d’envergure que l’on puisse qualifier « de gauche » est bel et bien De Gaulle. 

                              Lorsqu’il décida d’en finir avec l’Algérie Française, ça c’était une véritable politique de Gauche, que même les socialistes d’alors n’avaient pas voulu faire.


                              Sur la Grèce, deux remarques. 

                              Une que j’ai déjà faite : ce qui fout les jetons à l’Europe, ce n’est pas l’extrême droite qui maintenant gouverne dans une demi-douzaine de pays Européens. Lorsque ces mecs là arrivent au pouvoir, ils lèchent tous le cul à Bruxelles tout en tapant sur leurs « immigrés » pour le faire oublier. Ceux là, ils ne posent aucun problème à la commission. Par contre, lorsque c’est la Gauche - une qui ressemble enfin à quelque chose d’authentique - peut le faire, 3 semaines avant l’élection c’est déjà le souk t’as toutes les bourses du monde qui passent en mode panique, et les dirigeants Européens qui commencent à dire des conneries de ce calibre.

                              Et l’autre, sur l’avenir politique de Syriza : Si ils arrivent au pouvoir, ce sera pour mener une politique radicale, et il me semble impensable qu’ils prennent le risque de ne rien faire ou à la marge - car si ils sont élus, ce sera pour cela et pas pour autre chose, et en pleine connaissance du fait que on leur savonnera la planche. Dans ces condition, la jouer « Hollande » serait catastrophique, peut-être même risque d’amener le pays à la guerre civile.

                              Dans le cas plus probable ou effectivement Syriza mène une vraie politique de Gauche, je voit mal comment l’Allemagne pourra tolérer cela en Europe. Bref si elle ne pousse pas la Grèce vers la sortie, c’est l’Allemagne elle-même qui se barrera (en reprenant son Mark par exemple).

                              On peut d’ailleurs interpréter la réaction de Merkel comme une forme de lucidité : « la Zone Euro et la construction Européenne ne sont plus réparables en l’état, donc organisons-en son démantèlement de la manière la plus ordonnée possible ». Et les Allemands de laisser partir l’Europe du Sud (y compris la France), tout en conservant son empire recréé (principalement tous les ex pays du bloc soviétique, et les nordiques).

                            • alinea alinea 6 janvier 2015 23:36

                              Eh bien, deux Europes, ça me plait, si on fait partie de l’ Europe du sud !
                              Et que les sages protestants boivent le thé ensemble, nous, j’espère que nous saurons convoquer Bacchus !


                            • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 janvier 2015 21:46

                              Je crois que l’auteur se trompe au sujet de l’ Allemagne.
                              La Grèce se portait très bien avant que Goldman Sachs ne bricole ses comptes pour la faire entrer dans l’ UE et la zone euro : 5% de croissance par an, et pas de chômage. Leur fonctionnement était ce qu’il était, mais cela leur convenait.


                              Syriza veut profiter de la planche à billets (QE) que la BCE veut mettre en route.
                              Cette politique monétaire de la BCE entre en conflit ouvert, depuis l’été dernier, avec la Bundesbank. Je suppose que toute le monde a compris que l’euro et le mark c’était pareil.
                              Mais le mark et l’ Allemagne, c’est une seule et même chose aussi.

                              Pour comprendre ce qui se passe dans la tête des Allemands, je veux dire, de tous les Allemands, il faut remonter au traumatisme de la crise des années 20.
                              Où il fallait une brouette de billets pour acheter son pain.
                              Et quand ils arrivaient à la boulangerie, le prix du pain avait encore augmenté depuis la veille.

                              De ce traumatisme sont nés les statuts de la Bundesbank, inscrits dans la Constitution allemande.
                              Ses objectifs sont connus de tous :
                              - maintenir la valeur du mark
                              - contrôler la quantité de monnaie en circulation
                              - des prêts à court terme et pas à long terme
                              - des prêts nantis et pas sur des actifs douteux.
                              - éviter les pertes financières.

                              Une orthodoxie dont ne s’embarrasse pas du tout la BCE, qui fait exactement le contraire.
                              Faire tourner la planche à billets, c’est faire baisser à terme la valeur du mark.

                              D’où un conflit à couteaux tirés entre la BCE et la Bundesbank.


                              Ce n’est pas contre la Grèce spécifiquement que se noue le conflit, c’est autour du QE de la BCE et du manque de rigueur des pratiques de la BCE.
                              Du moins, c’est ainsi que les Allemands, et pas seulement Merkel et la Bundesbank, l’entendent.

                              Ce qui transparaît dans ce conflit, c’est que le fait de mettre ensemble des pays qui n’ont ni la même histoire, ni la même culture, ni la même économie, ne peut que mal tourner.
                              Personne n’arrivera à transformer les Grecs en Allemands, ni à modifier les rapports des Allemands avec leur histoire et leur monnaie.
                              Il n’existe pas de peuple européen et c’est toujours ainsi que finissent les Empires.

                              • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 01:50

                                GS a trafiqué les comptes justement parce que la Grèce allait mal et qu’il fallait le cacher. Jamais elle n’a atteint les 3% requis. GS n’a pas foutu la Grèce dans la merde : les Grecs ont appelé GS parce que justement il y étaient jusqu’au cou. GS a menti et, avec la complicité des vendus du Gvt grec, fabriqué un 3% et donc GS a foutu l’Europe dans la merde. Ce n’est que sémantique, d’accord, le résultat est le même, mais les mots ont un sens. Malheureusement, pas de doute, lce résultat, c’est la catastrophe humanitaire qui pointe ; et son contingent de troubles et de malheurs... internationaux !


                              • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 08:32

                                Emmanuel,
                                Tout ce que vous dites est faux.
                                La Grèce avait une croissance du double de celle des pays européens et pas de chômage.
                                « C’était comment la Grèce avant l’ UE et l’euro ? »


                                L’UE a ouvert les vannes de la dette, comme en Espagne, puis a instauré l’austérité pour se payer sur la bête : faire payer les Grecs et piller les biens communs de la Grèce.

                              • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 13:32

                                OK vous avez raison : ce que je dis est faux.
                                A ce stade, je ne contredis plus. Je collectionne.
                                Je me demande quand-même un peu si vous existez vraiment, mais bon.
                                Un peu triste pour le futur quand-même.

                                Après, ouvrez wiki, si vous avez le temps, cherchez et lisez : tapez « Bulle ».


                              • alinea alinea 6 janvier 2015 23:39

                                Et nous. On les a atteint les 3% requis ? Fantoches trois pour cent de mes deux !!


                              • fcpgismo fcpgismo 5 janvier 2015 21:50

                                Annuler la dette publique, l’Allemagne l’a fait ! Pour mémoire, ce fut le 27 Février 1953 ! La Conférence de Londres, réunie pour tirer d’affaire l’Allemagne vaincue et détruite, décida l’annulation de près des deux tiers de la dette allemande (62,6%) par ses créanciers étrangers ! L’accord a été signé par la RFA et 22 pays créanciers. Et parmi les 22 créanciers généreux, on trouve les États-Unis, la Grande Bretagne, la France, mais aussi la Grèce ! On ne peut pas dire que la reconnaissance étouffe les Allemands. Pourtant, l’addition était salée. La dette allemande d’avant-guerre a été réduite de 22,6 milliards à 7,5 milliards de Marks. Et celle d’après-guerre de 16,2 milliards à 7 milliards de Marks.


                                • titi titi 5 janvier 2015 22:06

                                  Absolument pas.

                                  Au contraire, par les accords de Londres, la RFA se récupère les dettes d’avant le 8 mai 1945, donc du Reich, mais aussi des dettes des années 20, donc de la République de Weimar.

                                  Cela inclus également les remboursements des Verrechnungskasse : c’est à dire des achats effectués en pays occupés par les armées du Reich.

                                  Et de tous les ressortissants Allemands dans les pays occupés ou annexés avant le 1er septembre 1939.

                                  Les seuls cadeaux faits sont une modulation des taux d’intérêts par rapport aux taux initiaux.

                                  Bref : un plan de désendettement.

                                  www.admin.ch/ch/f/rs/i9/0.946.291.364.fr.pdf

                                  A noter que la RDA échappe à ce règlement et ne met pas au pot.


                                • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 01:33

                                  je ne mets pas en doute votre parole, mais je ne comprends pas votre première phrase ; Gismo dit vrai. Ce qui n’enlève rien à vos dires qui n’enlèvent rien aux siens. Vous vous complétez.
                                  Vous nous avez expliqué de quoi fut, après-guerre, constituée cette dette « télescopique » à rallonge, et Gismo lui nous a informés sur les modalités de rabais consenties dans les années 50.
                                  Merci aux 2.

                                  Ceci-dit, il y a dette et dette. Les dommages de guerres révêtent des aspects « punitifs » dont la coercition revient aux vainqueurs, et leurs montants, ridicules ou énormes, ont aussi valeur de symboles. Les rabais s’imposent à mesure que les rancœurs s’estompent.

                                  Les dettes systémiques que nos économies nationales trimballent servent à équilibrer nos balances déficitaires, mais il y a point ou elles-mêmes creusent le déficit. La poule et l’oeuf. Il faudrait je crois se poser quelques question, non sur la Grèce, non sur l’Europe, mais sur la l’impuissance apparente de nos divers gouvernement à réglementer les comportement bancaires. Où en sommes-nous ; par exemple, de la séparation des banques de réseaux et des banques de services ???


                                • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 08:22

                                  Emmanuel,
                                  Je crois que vous vous trompez sur la dette des pays européens.
                                  C’est la loi Pompidou -Giscard de 1973, devenue l’article 104 du Traité de Maastritch, puis l’article 123 du TFUE qui impose aux Etats d’emprunter au marché, ou aux banques privées, c’est pareil.


                                  Et interdisent d’emprunter à leur Banque Centrale à taux 0%.
                                  C’est une arnaque et une dette illégitime, puisqu’il y avait moyen de faire autrement.
                                  Progression de la dette depuis les années 70/80.

                                  C’est Michel Rocard qui l’explique.
                                  Les Etats ne sont pas impuissants, ils sont parfaitement d’accord pour appliquer cette arnaque, puisqu’ils ne demandent pas à sortir des Traités qui ruinent leurs peuples, et qui justifie qu’on liquide les biens publics et le modèle social.

                                • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 13:36

                                  Rien à voir.
                                  Vous vous référez à Rocard ? vous progressez, c’est bien.
                                  Et passez-lui mon bonjour d’ailleurs, vous pouvez y aller. Dites-lui seulement que je n’ai pas changé d’avis sur la dissolution du PSU.
                                  Vous avez compris la définition d’une bulle ?


                                • Captain Marlo Fifi Brind_acier 7 janvier 2015 09:01

                                  Emmanuel
                                  Si vous vous donniez la peine d’ouvrir les liens ?


                                • Spartacus Lequidam Spartacus 5 janvier 2015 23:25

                                  Les Grecs importent tout, jusqu’à leur huile d’olive.....

                                  Ils ne produisent rien sauf un peu de tourisme et une montagne de fonctionnaires.

                                  Avec Sirzia, et la politique sur l’exemple coco Vénézuélien de création monétaire, va plonger dans la misère la Grèce. 

                                  L’Allemagne a raison
                                  On laisse tomber les cigales qui croient que payer des gens à creuser des trou et d’autres à les reboucher crée de la richesse. ça coûtera 45 milliards d’€uros à l’Allemagne mais moins que de soutenir ce panier percé. 

                                  Que l’€uros soit débarrassé de la Grèce. Et s’il faut de la France Keynésienne.




                                  • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 01:11

                                    bonsoir,
                                    A propos de l’huile d’olive, effectivement, cette « culture endémique » (oxymore !) était effectivemnt tombée en désuétude jusqu’à la crise. Les Grecs ont depuis et pour cause spectaculairement réhabilité un grand nombre de plantations, mais catastrophe... si la récolte de l’an dernier fut ok, c’est une année blanche cette année. Chirac disait que les emmerdements, ça vole en escadrille.
                                    (même topo partout autour de la Méditérrannée, suivant les espèces, mouche de l’olive et surtout conditions météo de m..., j’espère que c’est temporaire... )


                                  • ecophilopat 6 janvier 2015 09:29

                                    Eh oui c’est cela la mentalité spartacus, si t’est pas productif tu peux allé crever dans ton coin.


                                  • Spartacus Lequidam Spartacus 6 janvier 2015 17:20

                                    Non si t’es pas productif remue toi le cul pour le devenir au lieu de quémander.


                                  • malitourne malitourne 6 janvier 2015 18:30

                                    Pourquoi Spartacus comme pseudo ?


                                  • Enabomber Enabomber 6 janvier 2015 18:32

                                    Spartacus, tu dis ça pour Liliane Bettencourt et consorts ?


                                  • Pere Plexe Pere Plexe 6 janvier 2015 18:55

                                    Non

                                    C’est pas pour Liliane.

                                  • Spartacus Lequidam Spartacus 6 janvier 2015 23:34

                                    @malitourne

                                    Spartacus a son libre arbitre. Et j’ai toujours trouvé ridicule que des gauchistes s’y retrouvent. 
                                    Aujourd’hui Spatacus donnerait un coup de pied au cul à ces gauchistes qu ne se prennent pas en main et préfèrent attendre tout de l’état.

                                  • alinea alinea 6 janvier 2015 23:42

                                    Il suffit qu’il gèle encore un peu, et la mouche sera occise ! C’est bien parti !


                                  • malitourne malitourne 8 janvier 2015 10:02

                                    Je trouve que Miss Maggie serait un pseudo idéal pour toi, mais évidemment je respecte ton choix


                                  • coinfinger 6 janvier 2015 09:22

                                    Il y a une idée fausse qui me dérange : c’est l’illusion qu’un peuple pourrait ne pas payer sa dette .
                                    Pédagogiquement , je peux comprendre qu’il s’agit en fait de parler de négociations , et de changer l’apriori social , selon lequel ce sont toujours aux mémes de payer . Hélas , ’ne pas payer’ , laisse supposer qu’il suffirait de dire , non .
                                    çà ne peut pas étre comme çà , parce que déjà un pouvoir qui entreprendrait un tel projet se verrait privé de ressources , au moment où il en aurait le plus besoin . A savoir que ceux qui les possédent les ressources , les garderaient . Ils ont pris leurs dispositions pour çà . Le peuple ne peut les fournir dans l’immédiat puisqu’il est au pain sec .

                                    Donc il ne peut étre question que de renégocier , dans des conditions dures où l’opposant n’est pas à un mauvais coup prés , les plus vicieux étant les meilleurs . Ce n’est pas dans la culture populaire , où de gré ou de force on est contraint d’étre honnéte .


                                    • lloreen 6 janvier 2015 09:58

                                      « Il y a une idée fausse qui me dérange : c’est l’illusion qu’un peuple pourrait ne pas payer sa dette »
                                      Et moi ce qui me dérange fondamentalement, c ’est l’ idée d’ être « endettée » auprès de quelqu’ un...qui crée la monnaie à partir de rien d’ autre qu’ une soi disant « dette ».


                                    • lloreen 6 janvier 2015 10:04

                                      1,8 milliards de dollars par jour, c ’est le budget militaire américain payé par tous ceux qui « remboursent leur dette »...
                                      Amusant, non, de payer pour les bombes qu’ on reçoit en travers de la figure par le prix nobel de la paix...

                                      http://www.vineyardsaker.fr/2015/01/03/18-milliard-de-par-jour-cest-le-budget-militaire-us-officiel-finance-par-le-reste-du-monde/


                                    • coinfinger 6 janvier 2015 11:02

                                      Certes , néamoins , il s’agit des Etats-Unis . Pays qui a pu hypothéquer , un immense potentiel accumulé pendant le 19e . Et aujourd’hui , cet état quoique surpuissant est contraint d’avoir recours à toutes sortes de subterfuges , et manigances , en sophistiquant ses finances , pour donner l’illusion d’une contre partie à sa dette . çà ne marche , encore , que parce que tout ce que contient la Terre , d’oligarques ( on va dire çà comme çà c’est la mode ) , les soutient , méme à ses dépends , comme un impot ou une prime d’assurance . Reste qu’inévitablement va venir le moment ou la taxe est plus lourde que le service . çà ne signifie pas qu’on puisse échapper à sa dette .
                                      Quand bien il réaliserait leur plan ( Brezinski ) de régression de la pop mondiale , eux aussi régresseraient . ce qu’on oublie de préciser , faute de pensée réelle .


                                    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 19:44

                                      coinfinger,
                                      Dette légitime ou pas, pour rembourser une dette, il faut une économie qui fonctionne et des rentrées d’impôts. Si on ruine un pays par des mesures d’austérité, il va rentrer encore moins d’impôts, emprunter à nouveau pour rembourser les intérêts de la dette, et on entre dans un cycle infernal.


                                      C’est Raphaël Corréa, le Président de l’ Equateur qui l’explique :
                                      - Il faut faire exactement le contraire de ce que préconise le FMI
                                      - Pas de coupes dans les dépenses publiques
                                      - Faire un programme de redistribution
                                      - Faire des investissements publics

                                      Exactement le contraire de ce qui est impulsé par Bruxelles.


                                      L’Équateur est la preuve vivante que la politique du bulldozer contre les pauvres en Europe n’est pas la seule envisageable.

                                    • alinea alinea 6 janvier 2015 23:44

                                      Vous voulez dire qu’elle aurait dû être la seule inenvisageable !!


                                    • lloreen 6 janvier 2015 09:36

                                      Vous ignorez un fait majeur.L’ Allemagne n’ est plus souveraine depuis 1945 et n’ a toujours pas de constitution votée par le peuple allemand comme cela doit être la règle, mais elle a une loi fondamentale, ce qui est très différent.

                                      L’ Allemagne est un pays toujours occupé par les Etats-Unis et lorsqu’ on parle à gorge déployée de l’ Allemagne, il fat comprendre que c’ est de fait une colonie américaine, dont le territoire est toujours occupé militairement.
                                      Il suffit de se rappeler les faits historiques et l’ attitude du général de Gaulle concernant la France. Il a refusé la proposition des américains de réserver le même sort à la France que celui qui a est réservé à l’ Allemagne.
                                      Avec la création de l’ UE, les pays des territoires européens ont été colonisés de fait par la finance mondiale.

                                      La seule solution est celle de l’ Islande. Il n’ y en a pas d’ autre.

                                      La seule question est celle de savoir si la « libération » de cette emprise ne sera pas la guerre.
                                      Les américains sont déjà en Allemagne et organisent toutes leurs opérations de guerre vers le Moyen-Orient à partir de leur base de Ramstein.

                                      http://www.businessinsider.com/ramstein-air-base-tour-2014-9?op=1&IR=T

                                      Mais c’ est vrai qu’ Obama est prix Nobel de la paix...


                                      • ecophilopat 6 janvier 2015 10:07

                                        Il me semble qu’il y a 2 ou 3 choses que certain ici n’ont pas encore compris.

                                        Tout l’argent en circulation sur terre n’y est arrivé que par l’endettement, par conséquent si tout le monde (Etats, particuliers, entreprises) remboursent ces dettes et bien l’argent disparait.

                                        Les dettes n’ont donc pas vocation à être remboursées mais à rapporter des intérêts à ceux qui peuvent créé l’argent à partir de rien et qui vous le prête.

                                        Posez-vous la question de savoir pourquoi une banque qui vous accorde un prêt commence par vous demander le payement des intérêts avant de vous demander le remboursement du capital prêté.

                                        Le système d’argent-dette est une immense escroquerie qui a inspiré quelques citations célèbre à ceux qui en ont compris le fonctionnement.

                                        En voici quelques unes :

                                        “Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.”

                                        Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre (1880-1941) (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque 1920).

                                        “Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.”

                                        Henry Ford (1863-1947).

                                        “Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquise.”

                                        Thomas Jefferson (1743-1826).

                                        « S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent. »

                                        Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed.

                                        « Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). »

                                        M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939.

                                        ”Les banquiers Illuminati gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.”

                                        Henry Makow, Ecrivain Canadien né en 1949.

                                         “Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.”

                                        William Lyon Mackenzie King, Ex-premier ministre du Canada (1874-1950).


                                        • ecophilopat 6 janvier 2015 10:17

                                          Une petite chose que j’ai oublié, une petite histoire que beaucoup connaissent surement déjà mais qui pourra en éclairer d’autres.

                                          http://www.viiif.net/images/docs_101/fable_sur_largent.pdf


                                        • lloreen 6 janvier 2015 11:06

                                          Vous avez absolument raison dans votre commentaire et je suis tout à fait d’ accord avec vous.
                                          La dette, c ’est du vent.
                                          Par contre, ce qui ne l’ est pas- et c ’est tout le problème- c ’est ce qui est réalisé par le travail en contre partie de cette monnaie de singe.
                                          Pour les Etats-Unis, c ’est une fabuleuse machinerie de guerre, à l’ oeuvre sur la planète presque entière, depuis la création de la FED. La première guerre mondiale est l’ exemple type de ce pour quoi cette « dette » a été créée.

                                          L’ excellente contribution d’ Ed Griffin dans son ouvrage -la créature de Jekyll island, tout sur l’ histoire des banques- permet de comprendre la situation actuelle.

                                          http://www.google.de/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&ved=0CDMQFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.lepouvoirmondial.com%2Fmedia%2F01%2F01%2F749375387.pdf&ei=obKrVLz8LaKc7gbz2oCgDg&usg=AFQjCNHPikpE76XghqkW-Tpnu6q_14MYOg&bvm=bv.82001339,d.ZGU

                                          Elle est l’ instrument parfait d’ asservissement des individus et de la destruction totale de tout ce qui est susceptible d’ enrayer cette machinerie diabolique : la libre-pensée, la liberté d’ expression et l’ auto détermination.

                                          Bref, la dette est l’outil maléfique par l’ intermédiaire duquel un syndicat du crime a la mainmise sur les 3/4 de la population mondiale.

                                          L’ amalgame entretenu par la propagande médiatique fait le reste en ce qui concerne le décérébrage : jeux vidéos guerriers, histoire tronquée, propagande insidieuse perpétuelle.Le sens commun finit par percevoir le danger (« réveil » de la population) mais n’ arrive pas encore à cerner le réel problème, faute d’ information véritable.


                                        • coinfinger 6 janvier 2015 10:09

                                          L’idée qu’un peuple , pourrait ne pas payer sa dette , j’insiste , est trés vicieuse .
                                          En ce que cette dette , qui a profité aux déjà nantis , a pu l’étre par manque de vigielance ,( pour étre gentil ) du peuple en question . En fait ce peuple a cru pouvoir en profiter .
                                          Qu’il pourrait dire non , l’échéance venue , çà l’incite à recommencer .
                                          Or dans le monde , c’est vrai pour la finance , comme pour les déchets , il semble qu’on ne puisse plus faire comme les siécles précédents : externaliser .
                                          çà n’a pas encore percuté , en France , dans le peuple , à mon avis .
                                          Y a un autre truc vicieux , l’idée de cycle . Qui masque le coté exponentiel , les changements qualitatifs associés . Notamment le moment ou la qualité tourne en son contraire .


                                          • tf1Groupie 6 janvier 2015 12:52

                                            "Or dans le monde , c’est vrai pour la finance , comme pour les déchets , il semble qu’on ne puisse plus faire comme les siécles précédents : externaliser .« 

                                            Remarque frappée au coin du bon sens, et donc à moinsser par »le peuple".


                                          • alinea alinea 6 janvier 2015 10:42

                                            Je n’ai pas relu tous les commentaires, donc excuse si cette pétition a déjà été mise en ligne :

                                            http://troikabasta.wesign.it/fr


                                            • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 19:59

                                              alinea,
                                              Comment pouvez-vous défendre encore une Europe qui a ruiné la Grèce ?

                                              Elle a encouragé des emprunts massifs (qui ont d’ailleurs servi à acheter de l’armement à la France et à l’ Allemagne), alors que tout le monde savait que le système de collecte de l’impôt en Grèce était défaillant, qu’elle ne pourrait jamais rembourser, et que les mesures d’austérité imposées aggraveraient encore sa capacité à rembourser.


                                              A moins de ruiner les Grecs et de piller les biens communs.
                                              Tout est à vendre en Grèce, le peuple grec est tombé dans un traquenard !
                                              Et vous voulez encore qu’on soutienne ce système de banksters ?

                                              Le seul moyen pour la Grèce de retrouver une activité économique, c’est de sortir de l’euro-mark, et donc de l’ UE.
                                              Mais ce n’est pas du tout ce que propose Siryza, euro-atlantico-compatible, comme toute la Gauche européenne.
                                              Je ne signe donc pas cette pétition. La seule que je signerais, serait une pétition qui demande le rassemblement sans condition de tous les Grecs pour sortir de cette usine à gaz.

                                            • tf1Groupie 6 janvier 2015 12:51

                                              Que de contorsions de l’auteur pour justifier que l’Union Européenne c’est chacun pour soi.

                                              Car la Grèce est souveraine pour choisir d’être dans la zone Euro ou pas.
                                              Si elle est dans la zone Euro elle a de fait accepté un partenariat avec les autres membres de la zone, et donc revendiquer une totale « non-ingérence » est assez ridicule ... sauf quand on est français.

                                              Faut pas s’étonner que dans l’imaginaire de pas mal de pays le Français est le symbole du traitre absolu.

                                              Alors si la Grèce veut vivre sa vie elle peut sortir de la zone Euro, voire de l’UE.

                                              Mais ce qui est drôle c’est que quand la Grèce était bénéficiaire net des subventions européennes, elle ne se plaignait certainement pas de son sort.

                                              En cela les Grecs et les Français sont assez proches : travail au noir, magouilles, piratage ; chacun mange à tous les rateliers, profite des systèmes collectifs puis se barre quand y a plus rien à gratter.
                                              ça fait longtemps que le masque est tombé.


                                              • ecophilopat 6 janvier 2015 13:18

                                                Dites moi chère tf1groupie, vous êtes vous offusquée ces dernières décennies lorsque nos différents gouvernement faisaient gonfler notre dette.
                                                Je crois savoir que vous êtes fonctionnaire, avez-vous demandée une réduction de salaire afin de participer à la réduction de l’endettement du pays.

                                                Je vous pose ces questions parce qu’a vous voir taper sur les autres comme vous le faites, j’imagine que vous devez êtres vous même un modèle de probité.


                                              • bourrico6 6 janvier 2015 13:33


                                                En cela les Grecs et les Français sont assez proches : travail au noir, magouilles, piratage ; chacun mange à tous les rateliers, profite des systèmes collectifs puis se barre quand y a plus rien à gratter.

                                                C’est beau les généralisation, mais pour le coup t’es trop timide, car ce que tu décris, on peut le coller sur tout et n’importe qui.
                                                C’est le genre de propos qui montre que .. euh... que t’es peut être moins malin que tu ne le crois.

                                                ça fait longtemps que le masque est tombé.

                                                Au lieu de t’occuper des masques, tu devrais peut être enlever le tien et te servir de ce qu’il y a derrière.


                                              • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 20:05

                                                TF1,
                                                Je ne crois pas qu’on ait demandé ni aux Grecs, ni aux Français, ni aux autres, leur avis sur la dette, et quand nous avons dit NON en 2005, toute la classe politique a fait comme si on avait dit OUI.
                                                Pour vous rafraîchir la mémoire, voici les votes des Députés et Sénateurs de l’ époque.


                                              • BA 6 janvier 2015 18:52

                                                Le mot de l’année 2015 : le Grexit (= Greece exit).

                                                Mardi 6 janvier 2015 :

                                                Allemagne : pour le patron de l’Ifo, la Grèce doit quitter la zone euro pour éviter le défaut.

                                                Après Angela Merkel, c’est au tour de Hans-Werner Sinn, patron de l’Ifo, d’évoquer sans tabou l’hypothèse du Grexit.

                                                C’est ce que l’on appelle « jeter de l’huile sur le feu ». Après la chancelière allemande Angela Markel, qui a fait savoir qu’une sortie de la Grèce de la zone euro n’est plus un problème, le patron de l’institut Ifo, Hans-Werner Sinn, scelle le destin de la Grèce. Ces propos sont rapportés par lagence Handelsblatt. Pour Hans-Werner Sinn, la Grèce peut éviter un défaut en sortant temporairement de la zone euro.

                                                « Avec une forte coupe de la dette, évidente ou dissimulée, il y aurait une autre banqueroute. S’ensuivraient de nouveaux prêts et de nouvelles coupes de la dette, encore et encore lors des prochaines années, si on ne rétablit pas la compétitivité du pays via une sortie de la zone euro et une dévaluation de la monnaie », renchérit-il.

                                                Ce n’est pas la première fois que l’homme évoque le « Grexit », un scénario qui coûterait 77 milliards d’euros à l’Allemagne, selon les calculs de l’Ifo. Et 66 milliards d’euros à la France. « La situation grecque est insupportable pour la population et les prêts continus ne sont pas soutenables pour la communauté », a-t-il déclaré, rappelant que la Grèce a subi une chute de 30 % de sa production industrielle par rapport aux niveaux d’avant la crise.

                                                http://bourse.lesechos.fr/infos-conseils-boursiers/actus-des-marches/infos-marches/pour-le-patron-de-l-ifo-la-grece-doit-quitter-la-zone-euro-pour-eviter-le-defaut-1023134.php


                                                • lloreen 6 janvier 2015 18:55

                                                  De toutes façons toutes les entreprises gouvernementales, dont l’ UE sont forcloses.

                                                  http://sans-langue-de-bois.eklablog.fr/un-groupe-d-avocats-contre-le-systeme-decident-de-corriger-les-injusti-a80445134

                                                  Extrait.
                                                  "

                                                  Le One People’s Public Trust ou OPPT * est constitué d’un groupe d’avocats très compétents qui, dans le cadre du système judiciaire, a décidé quelques années en arrière, de se dresser contre le système afin de corriger les injustices, dont ils étaient témoins. Pour commencer leur investigation, ils décidèrent, de dénoncer les malversations faites par les banques avec l’argent public.

                                                  Cet argent est employé par les banques à des fins privées et s’avère souvent en relations directes avec la majorité de tous les crimes  : Crime contre l’humanité, contre la souveraineté du citoyen, crimes judiciaires et commerciaux, etc. et qui inclue sans limites, la violation de la paix, les outrages, la servitude involontaire, l’escroquerie, la coercition, l’utilisation de la force, le vol, le découragement, les actes et pratiques trompeuses, etc.

                                                  Ces courageux avocats ont décidé de renverser le système avec ses propres règles. Ils ont mené une série d’investigations très complexes où ils ont repris le Public Trust, crée dans le cadre de la constitution des Etats Unis. Ils ont inscrit tous les habitants de la planète et ont suivi une procédure judiciaire où les défenseurs sont tous les débiteurs et l’accusation, non seulement le système bancaire mais aussi toutes les multinationales abusant de ces mêmes citoyens...Une fois les dossiers constitués, ils leurs ont demandé de contester l’accusation, ce qu’ils n’ont pas fait, bien sûr.Un groupe d’avocats contre le Système, décident de corriger les injustices.

                                                  La défense a donc entamé des poursuites allant jusqu’à la saisie complète et la clôture d’ entités légales du système dans leur totalité.

                                                  Parallèlement à cela, fut créée une structure de base d’un autre type de gouvernance appelé le CVAC (Centre de Valeur des Actifs du Créateur). Le CVAC est une structure légale très bien constituée.

                                                  Qu’est-ce donc que l’OPPT ? C’est une organisation légale constituée par nous tous, chaque individu de la planète. Y sont inclus les capitaux de la planète, c’est à dire tout ce qui a une valeur, aujourd’hui, principalement l’or et l’argent, et qui a été consigné en propriété par le Trust. Il est important de  préciser que dans l’OPPT, c’est tout les individus de la planète qui sont concernés, personne n’est mis à l’écart, il n’y a pas de frontières, pas de gouvernements et pas de multinationales. L’OPPT est donc une organisation derrière laquelle tous les individus de la Planète se positionnent pour dénoncer les injustices commises à leur insu et dont le but principal est de récupérer les richesses volées afin qu’elles soient redistribuées de manière égale .

                                                  Note : CVAC= Creator’s Value Assests Centre

                                                  * Comprendre « Groupement Public du peuple Uni »

                                                  One People’s Public Trust (OPPT) saisit légalement les avoirs des grandes entreprises, des Banques et des Gouvernements, pour abus d’esclavage et usage de systèmes monétaires privés.

                                                  Beaucoup d’entre vous en ont entendu parler… beaucoup d’autres pas du tout. Annoncé publiquement le 25 décembre 2012, le système de «  Multinationale Gouvernementale » a été saisi. Saisi en toute légalité… via l’un de ses propres mécanismes. Les « pouvoirs en place » sont maintenant les « pouvoirs du passé ». Toute dette a été effacée et les entreprises incluant, sans limite, les Multinationales Gouvernementales, et les Banques – ont été saisies.

                                                  Bien entendu, ils pourront continuer leur jeu en espérant que nous continuerons à jouer avec eux. Mais grâce à une série  d’investigations menées par One People’s Public Trust (connu sous le nom de OPPT) dans le cadre du C.C.U. (Code de Commerce Uniforme), le choix est désormais de notre côté. Un nouveau cadre légal pour une gouvernance sociale est maintenant en vigueur, un fait qui a été ratifié légalement par le cadre juridique contrôlé par son prédécesseur.Automatiquement et pour ainsi dire… NOUS SOMMES LIBRES !!!(Mettez-vous à l’aise - c’est un article long, mais c’en est un que vous ne pouvez rater !!!) One People’s Public TrustLe jugement des poursuites judiciaires menées par OPPT à la cour a entraîné beaucoup d’agitation. Et à juste titre ! Le potentiel pour le changement positif qu’il a généré est d’une IMPORTANCE CAPITALE ! Mais avant d’en arriver aux conséquences, j’aimerais vous présenter « les faits » et « comment cela s’est passé ». La multinationale Gouvernementale sous contrôle et les principaux médias sous contrôle, refusent d’annoncer leur propre disparition – pour une raison évidente. Ainsi, en tant que citoyens planétaires informés, je crois que notre rôle est de comprendre ce qui est arrivé, de comprendre comment, afin d’informer les autres … et finalement pour initier le mécanisme de changement mondial que nous attendons tous.Mais tout d’abord, un tour d’horizon de la réalité.Avant de poursuivre, permettez-moi de formuler quelques faits marquants.1) Les Gouvernements étaient des multinationales. Le phénomène de la multinationale Gouvernementale n’est pas seulement démontré par le fait que les «  Gouvernements » se comportent comme des Bénéficiaires (non comme des Administrateurs) du Gouvernement supposé en place, mais de nombreux documents, apportant la preuve, le démontrent aussi ! Les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, Le Royaume Uni, la France, l’Italie, le Japon, l’Afrique du Sud… et la liste est longue… sont tous des multinationales basées aux Etats-Unis, et enregistrées en tant que telles auprès de la Commission des Opérations de Bourse des Etats-Unis… (S.E.C) et agissent de la sorte à nos dépens. « Ce Système » est oligarchique par nature, dans la mesure où il est destiné seulement à offrir le profit « à quelques-uns », alors que nous autres travaillons pour l’alimenter. 2) Les individus étaient des entreprises privées : A la naissance, un acte de naissance est signé par vos parents, qui est utilisé ensuite par la Multinationale Gouvernementale pour alimenter un Trust en votre nom. Ce Trust permet de cautionner votre fond de garantie, et « un compte en fond de garantie » est créé et financé sous votre propre nom. Vous êtes le bénéficiaire de ce Trust… mais personne ne vous signifie qu’il existe. Si vous ne faites pas un acte testamentaire à l’âge de 7 ans, la Multinationale Gouvernementale vous considère comme décédé – selon la loi maritime – et vous êtes officiellement considéré « comme disparu en mer » par le système. Sérieusement. C’est alors que la  Multinationale Gouvernementale assure ensuite le contrôle financier de vos avoirs, en toute connaissance de cause. Elle sait que la plupart d’entre nous vivons de fait au-delà de l’âge de 7 ans, et continue à nous considérer comme des esclaves vivants. Les fonds de garanties générés par la monétisation de votre vie – vous utilisant comme cautionnement – vous sont prêtés lorsque vous avez recours aux prêts bancaires, prêts immobiliers, etc. Vous êtes alors forcé de travailler pour rembourser ces prêts en plus des intérêts – au système sur votre fond de garantie. Légalement, vous n’avez aucun droit sur ce fond, parce que vous êtes considéré comme « décédé » à l’âge de 7 ans. Vous perdez. 3) Les grands médias sont l’instrument dont se servent les Multinationales Gouvernementales pour mener la propagande directement chez vous. Ils sont utilisés pour manipuler les perceptions du public sur les actions et inactions de la Multinationale Gouvernementale, dans le but de renforcer les normes sociales, de les délimiter, de dicter des comportements sociaux et vous vendre des futilités en créant un « besoin  » et un produit qui le satisfait. Ceci n’est pas limité aux seuls grands médias. La psychologie du « vieux » paradigme est également renforcée par les institutions telles que l’éducation nationale et la religion.Les multinationales, les gouvernements et les grands groupes médiatiques racontent tous les mêmes mensonges. Ils font tous partie de la même bête. 4) En conséquence, la structure du monde économique était un mécanisme d’esclavage de masse. L’esclavage est un système dans lequel les gens sont traités comme une propriété, et forcés de travailler. Les esclaves sont détenus contre leur gré, depuis le temps de leur capture, l’achat ou la naissance, et privés de leur droit de partir, ou de refuser de travailler. Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ? Vous êtes né dans « le système » sans que l’on vous dise comment il fonctionne. Vous avez été élevé et l’on vous a appris à contribuer au système. Vous devez travailler des heures exhaustives dans le système, et vous devez payer des taxes au système privé. Vous devez adhérer aux règles du système – qui relèvent pour la plupart de la propriété et de la possession – sinon vous serez puni par le système. L’architecture du système délivre délibérément l’abondance à une minorité « triée sur le volet », et de nombreux autres auront faim. Mais si vous n’aimez pas ça, vous ne pouvez pas quitter le système. Le système « possède » tout, tout le monde et partout. Jusqu’à maintenant, vous n’aviez qu’une option : coopérer. C’est comme vivre dans un casino sans porte de sortie, et la maison mère gagne toujours. "


                                                  • lloreen 6 janvier 2015 18:56
                                                    Quand nos Gouvernements sont-ils devenus des sociétés ?

                                                    Tout a commencé avec l’introduction du système bancaire dénommé, la Réserve Fédérale. Lorsque le décret de la Réserve Fédérale fut voté par le congrès aux Etats Unis en 1913, le Député Charles Lindbergh a prévenu le Congrès Américain dans un registre du Congrès daté du 22 décembre 1913 (vol. 51), qu’en instituant le système privé de la Réserve Fédérale, la conséquence inévitable serait qu’en utilisant le pouvoir de créer la monnaie, permettrait de provoquer l’inflation et la déflation de l’économie, et les grandes entreprises prendraient le contrôle. Selon les termes du député Lindbergh : “A partir de maintenant, les dépressions seront créées scientifiquement”. Et elles le sont. En 1929, les « pouvoirs du passé » ont délibérément fait chuter la bourse. Comment ? Les fluctuations des titres de la bourse sont causées par l’émotion. Avant le crash de 1929, on a créé une euphorie qui a généré une période d’inflation. Les pouvoirs aux commandes ont vendu leurs titres à prix élevé, puis créé la panique sur la baisse dans le marché. Lorsque les cours se sont effondrés, ils ont racheté leurs titres pour une bouchée de pain – et éliminé la concurrence aux abois du même coup. En bref, la Grande Dépression de 1929 a été générée artificiellement afin que les grandes entreprises qui contrôlaient  la bourse puissent en profiter pour prêter aux gouvernements l’argent nécessaire pour sortir de l’effondrement qu’elles avaient provoqué. Les nations souveraines ont finalement été forcées de signer des emprunts qui, par leur nature même, ne pourraient jamais être remboursés. Et comme les dettes souveraines ne cessaient de s’accroître, le paradigme de « l’esclavage par l’endettement » a été formalisé … et les grandes entreprises ont pris le contrôle. De nos jours, les multinationales Gouvernementales continuent de feindre d’être les vrais gouvernements. Le Système des Banques centrales (qui domine actuellement les économies occidentales) continue d’alterner les périodes de ‘boom des marchés’ et de ‘dépression des marchés’ en restreignant ou relâchant stratégiquement l’émission de monnaie et de crédit. L’actuelle Crise Financière Mondiale en est un parfait exemple. Et en même temps, les grands médias jouent leurs rôles en manipulant les humeurs de la bourse sur les marchés et en facilitant les contre-vérités politiques. Mais la campagne judiciaire complexe entreprise par l’OPPT a mené à la saisie des avoirs et propriétés du système des grandes  multinationales. Toutes les sociétés privées, y compris les systèmes gouvernementaux et bancaires, ont été saisies de leurs avoirs en utilisant leurs propres mécanismes de législation/réglementation commerciale. En langage juridique, cela signifie la fin pour les anciens Trust du vieux système et le début pour les nouveaux ! Alors est-ce le « renversement du Gouvernement » ? Non – c’est le renversement des grandes multinationales qui se sont comportées comme des gouvernements. Si vous comprenez que les «  Gouvernements » sont en fait des entreprises privées qui ont, par ruse, altéré les constitutions des nations souveraines, leur acte de décès était un fait programmé à venir. La fraude du gouvernement est réelle. Et finalement – par leur incapacité à réfuter les accusations basées sur le CCU (le Code de Commerce Uniforme) – l’imbrication des multinationales gouvernementales dans son ensemble se trouve coupable de fraude, de trahison et d’esclavage. En vertu du droit international, l’OPPT a le droit d’exiger la réparation par dédommagement de ces crimes. Celles-ci ont choisi la saisie de leurs avoirs et la cessation de leurs activités de grandes entreprises, banques et gouvernements en tant que responsables ainsi que la confiscation de leurs titres et avoirs des infrastructures légales – y compris l’or et l’argent détenus comme garanties par le système financier – pour les transférer entre les mains de l’OPPT. N’y pensez pas en termes de renversement, mais comme la saisie de biens usurpés. Les poursuites en justice de l’OPPT récupèrent ce qui nous appartient en tant qu’êtres souverains sur cette planète. La loi Universelle, la Common Law et le C.C.U. sont maintenant la loi applicable sur cette planète.(Je décrirai plus tard en détail les mécanismes mis en place par l’OPPT pour remplacer les fonctions de gouvernance). CCU : La bible du commerce Le C.C.U est la “bible” du commerce ; il décrit précisément la manière selon laquelle le commerce international est régi. En fait, l’ensemble du système commercial gravite autour du C.C.U. Si le prêt immobilier de votre logement est saisi, via une hypothèque, ou que vous êtes dépossédé de votre voiture, la banque utilise le mécanisme parallèle du C.C.U pour agir. Mais la législation du C.C.U. n’est pas enseignée dans les facultés de droit. Elle reste le domaine des grandes entreprises privées et de leurs dirigeants, qui forment leurs employés en contentieux du C.C.U. – gardant ainsi la connaissance de cet instrument « en interne ». Mais un des administrateurs d’OPPT a été amené professionnellement à utiliser la législation du C.C.U durant un certain temps, et comprend en profondeur comment les « pouvoirs du passé » manipulaient le C.C.U pour contrôler le système financier américain au plus haut niveau. Experte en C.C.U, mère et fondatrice de l’OPPT, Heather-Ann Tucci-Jarraf a utilisé la saisie de sa propre maison comme cas d’école. Elle a attaqué la procédure de saisie immobilière à travers le mécanisme C.C.U et, ce faisant, a découvert – pour employer des termes simples – que la justice américaine est toujours en faveur des multinationales. Ce qui n’est pas étonnant, vu que 99% des lois se rapportent à la propriété privée… ou au commerce. En avançant prudemment, l’OPPT arriva à la conclusion que les entreprises privées opérant sous le couvert des gouvernements souverains et des systèmes financiers se rendaient coupables de trahison envers les habitants de cette planète en l’absence de toute information connue, volonté et consentement express de leur part. Le rapport final de cette investigation se trouve ici . Et en l’espèce, … pour saisir le « système », les administrateurs du Trust OPPT ont tendu un piège en utilisant la structure légale qui leur était fournie PAR le « système » lui-même.Comment les administrateurs OPPT sont-ils arrivés à la saisie ? L’OPPT est géré par des administrateurs Caleb Skinner, Hollis Randall Hillner et Heather Ann Tucci-Jarraf. L’OPPT a été créé lorsque les administrateurs se sont associés – et ce faisant ont renoué – avec le Trust intégré dans les termes de la Constitution originale des Etats-Unis de 1776, laquelle constitution, fut abandonnée lorsque le gouvernement des Etats-Unis fut transformé en Multinationale Gouvernementale en 1933. L’OPPT a ensuite associé chaque individu de la planète à cette structure de Trust en tant que bénéficiaires de ses titres et propriétés, et l’a désigné « le Peuple Unique, Créé par le Créateur ». Ce faisant, les administrateurs créaient un Trust, dans le cadre légal qui a des droits supérieurs à quelconque partie – le Trust entre le Créateur et les « Êtres existants » de la Terre. Les « Êtres existants » sur Terre sont les bénéficiaires du Créateur en tant que garants des manifestations du Créateur sur Terre. Juridiquement parlant, il ne peut y avoir de proclamation supérieure à celle du One People’s Public Trust … exceptée celle émise par le Créateur lui-même. Les ressources de notre planète – spécifiées dans les actes du C.C.U. comme étant l’or et l’argent mondial – ne peuvent de ce fait être détenues, vendues contre rémunération, comptées sous forme de ‘salaire’ pour nous rendre esclaves, ou être épargnées afin de créer de la pauvreté ou déposséder. Sous l’OPPT, nous sommes tous actionnaires de titres. Les ressources de notre planète nous appartiennent dorénavant à chacun à parts égales. C’est notre droit de naissance. Maintenant c’est la loi.Entre 2011 et 2012, les administrateurs ont déposé une série d’investigations complexes au C.C.U. au nom de ses bénéficiaires. Les détails de ces investigations de l’OPPT au C.C.U. peuvent être consultés sur leur site : http://peoplesstrust1776.org/. Attention : c’est une lecture juridique dense destinée à un enregistrement et une divulgation légale officielle. Ce n’est pas destiné à la communication de poursuites de l’OPPT contre des tiers ou leurs conséquences sur le public. Cependant les administrateurs travaillent directement avec la collectivité de ‘médias alternatifs’ pour être sûrs que le public reçoive une information précise, claire et adéquate. Pour résumer ces documents :En l’espèce, les grandes entreprises multinationales, les gouvernements et les banques ne font qu’un, « Une Commission d’enquête et une instruction » ont été déposées à l’encontre « du débiteur », une entité juridique créée via le mécanisme C.C.U. régit par le Code d’Enregistrement des sociétés. Le dépôt de plainte stipule que le débiteur a « en toute connaissance de cause, volontairement et intentionnellement commis des actes de trahison  » en « possédant, faisant fonctionner, aidant et encourageant des systèmes monétaires privés » et « en faisant fonctionner des systèmes d’esclavage envers … des citoyens sans les informer, contre leur volonté et leur consentement ». Les dossiers de procédures de C.C.U. sont des données publiques, et suivent les mécanismes de procédures juridiques classiques. Si une entité légale fait l’objet d’une plainte, la personne morale (dans ce cas le «  débiteur ») a le droit de la contester. Si celle-ci n’est pas en mesure d’en apporter la preuve contradictoire ou, n’est pas reçue dans un délai imparti, il en résulte un jugement par défaut, suivi par l’application du verdict. La conséquence est, la cessation immédiate d’activité de cette entité légale, dans le cas présent, au motif qu’elle a été incapable d’apporter la preuve contraire des charges de trahison démontrées par l’OPPT. Le plus important ici, est que le jugement en culpabilité selon le C.C .U. a valeur légale immédiate s’il n’est pas démontré le contraire. Et dans ce cas, les administrateurs de l’OPPT se sont assurés qu’ils créaient une situation juridique dans laquelle les individus et toute entité légale dénommée le « débiteur » n’avaient aucune capacité de démontrer le contraire. Comment ont-ils réussi ? Toutes les charges déclarées d’esclavage et de fraudes sont vraies. Bien sûr, aucune preuve tangible de leur innocence n’a été démontrée.Le « débiteur » est de ce fait coupable de trahison.En dédommagement, les grandes entreprises sont saisies de leurs avoirs usurpés et confisqués,La richesse de notre planète est réaffectée au Trust l’OPPT. Toute dette des multinationales est effacée,Le « système » est définitivement clos. Les archives publiques le prouvent,Les dépôts et déclarations enregistrés au C.C.U. font office de Loi Internationale Selon les clauses même du système, celui-ci n’existe plus. Nous sommes libres !! Cliquer ici pour lire le communiqué de presse de l’OPPT du 4 février 2013.

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