• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Grippe A, faut-il vacciner l’opinion publique contre les profiteurs (...)

Grippe A, faut-il vacciner l’opinion publique contre les profiteurs de la peur ?

Derrière la mise en vedette de la grippe A, alias grippe mexicaine, alias grippe porcine, se dessinent des enjeux de santé publique justifiant un débat franc et éclairé sur l’éventualité d’une vaccination. Depuis la fameuse affaire de Tchernobyl, l’opinion publique peut se prévaloir d’un doute sur l’honnêteté intellectuelle des experts, que ce soit en matière de risques nucléaires, sanitaire et autres. Le cas de la grippe A n’échappe pas à cette interrogation.

Déjà, des rumeurs sur une combine du géant Sanofi qui aurait signé au Mexique un contrat portant sur l’implantation d’une usine de vaccins. Ce fut à l’occasion de la visite présidentielle. Les amateurs de la théorie du complot se sont emparés de l’affaire en soupçonnant les autorités mexicaines quelques connivences avec les industriels et quelque manœuvre visant à gérer le timing des annonces pandémiques. Quoi qu’il en soit, l’usine ne sera opérationnelle qu’en 2012. Mettons ces faits sur le compte de la coïncidence comme l’explique Rue89. Du reste, Sanofi construit des usines dans le monde entier, y compris la Chine, pays très préoccupé du risque pandémique. Et dans nos contrées européennes, c’est le principe de précaution qu’on invoque. Cela dit, ce principe n’est que général et ne contient aucun critère formel permettant de décider. Seules, les évaluations des risques par les experts doit compter, avec l’aptitude à juger de l’adéquation entre une mesure et un risque. Et s’agissant d’une éventuelle vaccination à grande échelle, les effets secondaires doivent également être pesés. Enfin, le coût pour la collectivité mérite aussi une considération.

En 1976, une campagne massive de vaccination fut déclenchée aux Etats-Unis sous la présidence de Gerald Ford. L’histoire s’est passée dans une garnison. Un soldat se plaint de faiblesses et décède. Les médecines concluent à une grippe de type porcine. Les analyses sanguines révèlent que 500 personnes du site auraient été infectées, sans pour autant tomber malade. Les autorités gouvernementales, inquiètes, voire paniquées, décident d’une vaccination à grande échelle. Un quart de la population a été vaccinés mais des cas suspects de décès après injection du vaccin ont fait reculer les autorités. 25 morts seraient comptabilisés. La procédure de vaccination est donc arrêtée tandis que la conclusion est nette. Le virus ne se serait pas propagé en dehors de l’enceinte militaire. La panique des autorités s’explique sans doute par les précédents. La grippe russe fit un million de morts en 1890 puis entre 30 et 100 millions de victimes comptabilisées pour la grippe espagnole de 1918 et rebelote avec environ un million de morts pour la grippe asiatique (1957) puis de Hong Kong (1968).

On ne sait pas pourquoi certaines souches sont plus virulentes. Toujours est-il que la grippe dite ordinaire, c’est-à-dire la banale grippe saisonnière que nous connaissons, fait chaque année des victimes qui se comptent en milliers, voire plus, surtout parmi les personnes âgées. La grippe aviaire, tant redoutée, a causé 250 morts mais aucun cas recensé dans les pays industrialisés. L’OMS avait émis l’hypothèse d’une pandémie gigantesque mais le virus H5N1 s’est avéré moins transmissible. Si le virus H1N1 de 2009 avait eu une potentialité pandémique, les autorités auraient vite constaté une montée en flèche des infections et des décès. Au vu de la promiscuité régnant dans la mégalopole de Mexico, le temps d’incubation aurait permis au virus d’infecter des millions de personnes. Par ailleurs, on ne sait rien de précis sur les 25 décès constatés. Juste une chose, le terrain physiologique et la possible surinfection bactérienne déterminent le sort d’un patient infecté hyper sensible.

Ces choses étant établies, on se demandera si la riposte des autorités est adéquate, justement proportionnée face au risque. Pour le dire ouvertement, cette question est scientifique en premier lieu, puis politique. Et l’on s’aperçoit que les deux niveaux peuvent être contaminés par des intérêts spécifiques. Quoique, sur le plan politique, les gouvernants n’ont aucune mais vraiment aucune raison de propager l’inquiétude au risque de susciter la panique. Un bon dosage est de mise si l’on pense que cette affaire de grippe peut faire oublier la crise. Un dosage médiatique ajusté, pour que les populations soient inquiètes mais pas d’excès au point de confiner les gens au risque de produire un impact sur la croissance économique. Quant au volet scientifique, il concerne les experts mais comme l’a rappelé un récent numéro de Books, le corps d’expertise médicale est fortement corrompu par les industriels de la pharmacie. Selon les propos des témoins, le corps médical, Aux Etats-Unis mais aussi en Europe, serait corrompu au point, moyennant quelques milliards de dollars versés par les firmes, de produire des rapports falsifiés. Des maladies nouvelles sont artificiellement créées pour s’ajuster aux molécules existantes. Des molécules nouvelles voient leur efficacité gonflée fallacieusement alors que les effets secondaires sont occultés. 

La conclusion la plus raisonnable, c’est que compte tenu des déficiences cognitives des élites, des corruptions généralisées, des velléités de profit émanant des industriels, des intentions sécuritaires provenant des tyrannies politiciennes, on ne peut plus accorder confiance au propos écrits dans la presse ainsi qu’aux mesures édictées par les autorités et qu’en la matière, l’attitude du citoyen, une fois la perplexité résolue, sera de résister à ce matraquage de la peur et si le cas se présente, à être libre d’accepter les mesures sanitaires décrétées, notamment celle de refuser la vaccination. Les médias sont au garde à vous face à la menace brandie par les autorités sanitaires. Comme ils l’ont été face à P. en 39 en France et face à H. en Allemagne en 33. Le Monde a jugé proportionnée la précaution. Mais La peur n’a jamais engendré les belles civilisations. Les progrès de l’humanité ont toujours été accompagnés d’une résistance face aux peurs. Une société qui a peur régresse. Mais dans notre système technicien et capitaliste, la peur peut être un ressort de profits temporaires. Le principe de précaution a été dévoyé. D’invitation à la prudence, il est devenu le principe des profits économiques et politiques réalisés en jouant sur les peurs citoyennes. Ce qui était évident, le monde étant largement dévoyé depuis quelques temps.  

Pour finir, avez-vous remarqué que si cette grippe A est prise au sérieux, c’est parce qu’elle touche des gens dans la force de l’âge, autrement dit des actifs, des gens qui sont dans le système productif. La grippe saisonnière tue des centaines de milliers de vieux. C’est naturel en somme, quand on est vieux, on peut mourir mais concevoir qu’une grippe puisse tuer un travailleur de 40 ans, c’est un scandale. Alors que les millions de morts liés au paludisme sont oubliés, mais c’est en Afrique, un pays qui n’a pas une grosse part dans la globalisation économique. Après tout ça, la France ose encore se réclamer de l’universalité. Feraient mieux de la fermer, tous ces eunuques de la pensée !


Moyenne des avis sur cet article :  4.4/5   (20 votes)




Réagissez à l'article

17 réactions à cet article    


  • paul muadhib 6 mai 2009 11:09

    Salut, cet article reprends ce que je ressens, entre les necessites economiques de profit a tout prix, de corruption et de plein d autres attitudes « humanistes », je doute de toute information, celle ci ayant la necessite de controle global des « masses » d ou sont issues nos cheres elites...ces elites devraient lire le mythe de la caverne de platon, ca serait un debut..
    la peur en general et la peur de la mort sont de vrais sujets, mais la peur fait peur, alors on ne regarde jamais dans cette direction, en fuite permanente de ce qui fait un humain.
    C est la la premiere violence de l humain , qui se la fait a soi meme, cette violence est la negation de notre nature, par extension cette violence s applique aux autres, en fait a tout ce que l on ne veut pas voir, la peur cree la fuite qui engendre la violence, cercle vicieux sans fin...


    • Francis, agnotologue JL 6 mai 2009 11:27

      Bon article. Vous écrivez : « C’est naturel en somme, quand on est vieux, on peut mourir mais concevoir qu’une grippe puisse tuer un travailleur de 40 ans, c’est un scandale. »

      Je ne suis pas d’accord, il y a des vieux qui sont riches ! La bonne formulation c’est celle-ci : Quand on est pauvre, on peut mourir mais qu’une grippe puisse tuer un riche, c’est un scandale. Il en est de même pour toutes les maladies.


      • Stéphane Bouleaux 6 mai 2009 11:39

        Je ne suis pas tout à faiti d’accord avec l’auteur.

        Vous semblez affirmer que cette grippe est plus dangereuse qu’un autre car elle attaque des jeunes.

        Or , dans le cas des jeunes mexicains, il est prouvé que l’accès au soin est plus difficile là bas, notamment pour les pauvres (meme jeunes). De meme la coutume locale est plutot à l’automédication et aux remedes de grand meme. 2 facteurs aggravants.

        De meme, les 2 morts americains etaient : un bébé mexicain malade venu se faire soigner aux us, et une jeune americaine connue pour ses nombreux problemes de santé.

        Un public à risque donc.

        Cette grippe ne semble pas plus dangereuse que notre grippe hivernale, mais certains pays et l’oms ne veulent pas perdre la face après avoir criés au loup.

        Pour preuve le mexique re ouvre aujourdhui les bars, restaurants, sites archeologiques , au grand bonheur des touristes.


        • appoline appoline 6 mai 2009 13:22

          Le jour où les laboratoires vont bosser sur un vaccin anti-con, ils vont se faire un maximum de fric. Ceci dit, j’ai eu l’occasion de voir l’attitude des labos dans une pharmacie centrale qui désservait 9 hospitaux de la région parisienne ; c’est simple, ils arrivent en territoire conquis, il s’en faudrait peu pour qu’ils mettent les pieds sur le bureau. Quelques échantillons à la secrétaire et hop, l’affaire est presque dans le sac. Quant aux incontournables, ils sont simplement odieux.

          Vaccin anti-grippe : qu’est-ce qu’ils vont mettre dedans ? Ne risque t-on pas d’avoir les dents qui poussent après ? Parce que, pour certains, il y a déjà eu overdose, ils ont les dents tellement longues, qu’elles traînent déjà sur le parquet.


          • La Taverne des Poètes 6 mai 2009 14:04

            Señor Dugué, vous avez un plan B aussi contre la grippe A ?
            Faut-il faire le plein de vitamine C ?
            Non ? Ah bon le virus A est relégué en groupe B ? Peuh ! le looser...


            • zelectron zelectron 6 mai 2009 17:50

              Le marché de la mort a toujours été bénéfique pour les sorciers et autres acolytes, aujourd’hui il devient florissant et ça n’est pas près de s’arrêter. Au fur et à mesure du temps, les intérêts deviennent colossaux à force de créer des technologies et procédures artificiellement sophistiquées, soigneusement abritées à l’abri d’un langage plus ou moins ésotérique. La complicité objective de ces professions entre elles fait qu’il va être de plus en plus difficile de trancher le nœud gordien...qui les lient telle une assemblée de conspirateurs sous le sceau de secrets dissimulant l’incompétence, la prévarication et ce au moins pour certains d’entr’eux.


              • souklaye 6 mai 2009 17:50

                Une contagion inconnue passionne davantage les foules qu’une maladie maîtrisable.
Le nombre de morts configure la couverture médiatique.

                Plus la problématique est globale, plus elle est déclinable, plus elle est universelle.

                Flash info publicitaires et épileptiques, reporters spéciaux concernés et consternants, analyses des causes prévisibles ou prémonitoires et des conséquences envisageables ou inéluctables.

                Quand le chantage moral ne se distingue plus du droit de savoir, on peut avoir peur, cette fois-ci.

                La suite ici :

                http://souklaye.wordpress.com/2009/04/27/bloc-note-psychose-mediatique/

                 


                • Kalki Kalki 6 mai 2009 20:07

                  Souklaye : Je vois que tu essayes les générateurs de texte, on dirait un collégien qui jutte avec les mots (onomatopée, scorbut et cacahuète ouette ouette, la raison de vivre du prolétaire vindicatif dé-cultivé)

                  JE te donne un lien, mais j’imagine que tu as quelque chose de plus soffistiqué pour faire automatiquement tes textes et spammer les forums.

                  La suite : C’est ici.


                • Pierrot Pierrot 6 mai 2009 18:08

                  Quant un risque de pandémie est maîtrisé des ronchons, crédules du complot mondialiste, disent :« je vous l’avez bien dit que les médecins nous trompaient, ainsi que les laboratoires pharmaceutiques, experts, gouvernements ... » sans imaginer que si le risque est maîtrisé c’est qu’il y a eu une importante mobilisation mondiale des autorités sanitaires fort bien coordonnée par l’OMS.

                  Si la pandémie s’était étendue au monde, ces mêmes rochons auraient dit : " je le savaient bien que les médecins, laboratoires pharmaceutiques, experts, gouvernements étaient des incapables qu’ils ne se soucient pas de la santé des populations etc...

                  L’ensemble de l’article est inadapté et absurde.

                  J’ai plus confiance dans la parole du corps médical compétent que dans ces journalistes obscurantistes auto proclamés.

                  Bonne journée et renseignez vous auprès de votre médecin. 


                  • Kalki Kalki 6 mai 2009 19:13

                    L’oeuf ou la poule ?

                    Parfois il vaut mieux passer pour un fou et avoir la conscience tranquille, crier au loup, ainsi le loup apeuré par les cris ne vient pas.

                    L’événement prophétique n’advient pas.

                    Quel plaisir on aurait tous d’avoir TORD APRES COUP, de crier au loup tout le temps, ON AURAIT un monde meilleur.

                    Soi-disant passant : Que vaut un ’intellectuel’ ou un expert, qui ne se trompe pas ? Je veux dire qu’à force de dire des banalités, s’en devient des grossières-ratés.

                    Quelle valeur de quelqu’un qui veut être intellectuel, qui se dit intellectuel (et cultivé d’ailleurs) et surtout qui se dit engagé (c’est a dire avec quelque conviction), et dont l’accomplissement tellement prôné dans l’étiquette (du livre) est au final tellement « Raté »

                    Dans ces cas-là est ce que l’on doit remettre en cause que la contemporanéité de l’intellectuel ( et le monde dans lequel il vécut) ou les choix, les voies, les directions de ce même intellectuel.

                    Sir dugué est engagé ce n’est pas lui que je vise, mais beaucoup d’autres.
                    QU’est ce qui est plus important le fric ou la vocation ?


                  • Sébastien Sébastien 6 mai 2009 18:53

                    Pandemie ou pas, le traitement de cette info par les medias est lamentable. On peut lire ou voir partout un rapport de progression de cette grippe minute par minute, les medias ne parlent que de ca, la pseudo pandemie est omnipresente, on a l’impression que des millions de personnes sont mortes...

                    Apres les complots c’est des foutaises et je prefere que l’on prenne trop de precautions plutot que de subir une reelle pandemie.


                    • Kalki Kalki 6 mai 2009 20:00

                      Avoir peur (faire peur), çà change les idées,

                      et ça fait se tourner vers les dirigeants figure paternaliste sécuritaire, en place,
                      ils en ont besoins, ses braves types avec la crise.

                      Crise de légitimité de la vision économique, et donc politique.


                    • dupual 6 mai 2009 20:46

                      @bernard ! Qu’est-ce que ce charabia à la fin de votre article ?!
                      En France on soigne tout le monde, les inactifs : les enfants, les mères au foyer et les pauvres le sont gratis, les étrangers aussi hélas pour nos cotisations toujours en hausse et les remboursements toujours en baisse !
                      Le principe de précaution doit être appliquée, car l’on sait très bien ce que ça peut donner une bonne grippe : 50 millions de morts à la fin de la 1ère guerre mondiale. Et à l’époque l’humanité ne comptait moins de 2 milliards d’êtres humains...
                      Le vaccin est la meilleure arme contre un virus identifié.

                      Nous aurions dû faire appliquer la quarantaine dans tous les aéroports du monde en même temps dès que nous avons eu connaissance de nouveau virus !
                      Espérons que la laboratoire comme Sanofi (sic !) nous concocterons un vaccin qui nous permettra de rester en bonne santé !
                      En attendant, restez propres et apprenez la propreté à vos enfants : le lavage des mains avec du savon et achetez-leur une petite bouteille solution hydroalcoolique pour l’école.


                      • franc 6 mai 2009 21:21

                        Très bon article qui pose des questionnements fondamentaux et expose des avertissements importants et nécessaires 

                        seuls les capitalistes de tous bords et en particulier du milieu médical trouvent que tout cela est très bien
                         


                        • dup 7 mai 2009 07:00

                          ce battage médiatique pour un pétard mouillé est pas le seul . Ca devient une technique habituelle pour l’élite planétaire . C’est d’ailleurs ainsi que tout le monde commence à voir ce qui se trame

                          http://www.blog-video.tv/video-1063118fc3-Archive-tele-du-03-05-2009-10-19-14.html


                          • chmoll chmoll 7 mai 2009 08:37

                            voilà ,l’tamiflu a été en grande partie liquidé,moins d’perte pour la boite qu’il la conçue

                            asteur faite gaffe bétot la conjectivite du renard vas arriver


                            • xray 7 mai 2009 11:52

                               

                              Quel cinéma ! 
                              Le virus de la connerie humaine ?  À quand un vaccin ? 

                              OMS : Organisation mondiale de la Mal-santé publique
                              L’OMS n’est qu’une institution politique au service de l’ONU. 
                              L’ONU (ONUSIDA) gagne à générer les maladies pour multiplier les malades.  (Une population malade est une population soumise.) 

                              La grippe porcine, encore et toujours des salades pour les limaces. 
                              Il n’y aurait pas d’élections européennes en vue ? 

                              Ce qui est à craindre, ce ne sont pas les virus imaginaires colportés par les journalistes. 
                              Ce qui est à craindre, ce sont les toxines bien réelles avec lesquelles on va vacciner les cochons. 

                              Comme pour la grippe aviaire, le bétail à peine vaccinés, la convalescence vaccinale tout juste commencée, les toxines vont se retrouver dans nos assiettes. 


                              Une population malade est une population soumise. 
                              L’Europe des curés n’a t-elle pas prévu d’élection prochainement ? Encore une fois, grâce à la grippe porcine, l’argent du financement de la campagne des partis, risque bien de sortir des caisses de la Sécu. 


                              La construction européenne, merci la grippe porcine ! 
                              La grippe aviaire a été une représailles.  En revanche, la grippe porcine est manifestement une prévention. 


                              Ces virus imaginaires qui nous manipulent. 
                              Les virus de curés
                               
                              http://levirusmachin.hautetfort.com/
                               

                              Le virus de la Grippe aviaire 
                              http://levirusmachin.hautetfort.com/archive/2007/08/01/le-virus-de-la-grippe-aviaire.html 


                              On compte sur les journalistes pour se taire.  
                              Le premier métier d’un journaliste est de se taire, son deuxième est de mentir. 
                              C’est bien simple ! Quand un journaliste ne se tait pas, c’est qu’il ment. 

                              Quand un professionnel du mensonge me ment,  je sais que ce qu’il me dit n’est pas vrai. 

                              L’Europe gagne à pourrir la vie du plus grand nombre. 
                              La grippe porcine ne se transmet que de fonctionnaires à fonctionnaires. 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès