Henri Proglio (EDF) a été choisi parce qu'il était le meilleur (ah bon ?)

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Cette affirmation nous a été serinée par tous les caciques du pouvoir, les Sarkozy, Fillon, Bertrand, Lefebvre, et autres Estrosi. Il suffisait de le dire pour que cette doxa du Sarkoland soit devenue un axiome, un postulat, une vérité élémentaire. Mais qui aurait eu l’auguste et imbécile idée d’aller vérifier ? La vérité tombe tout droit de l’Olympe. Confronter la réalité aux déclarations officielles serait œuvre impie et lourdement condamnable. Et bien évidemment aucun journaliste n’est allé regarder de plus près ce qui s’est passé à Véolia pendant le règne de l’homme au 1,6 millions d’euros annuels et à la retraite chapeau, genre Midas, qui va plomber un peu plus les comptes de son ex-entreprise.

Il était extraordinairement insultant pour quelques milliers de cadres d’EDF de considérer qu’aucun, homme ou femme, - enfin pas femme car ce gouvernement soi-disant paritaire pour répondre aux promesses sarkosyaques (un pouvoir paritaire et irréprochable) n’aime pas trop les femmes puisque par exemple au hasard que ce soit au Conseil constitutionnel (trois places) ou à la Cour des comptes (une place) pas une femme n’a été nommée - ne fût assez compétent et informé et dynamique et visionnaire pour diriger EDF hormis Proglio, le Fouquet’s boy. Comme il est tout aussi extraordinairement dégradant et pessimiste de la part du pouvoir de considérer que parmi quelques millions de Français en âge de travailler et diplômés et expérimentés - ce qui veut dire en d’autre terme que le peuple français n’est composé que de minables et de médiocres hormis une élite d’une trentaine de convives nocturnes et élyséens du Fouquet’s - il aura été impossible d’en trouver un ou une qui puisse arriver à la cheville de Proglio (ou même d’être plus adéquat que lui à la tête d’EDF).

Qui donc est allé vérifier cette légende du patron providentiel que l’étranger nous envie tellement qu’il a fallu lui passer ses caprices de rémunération sinon le méchant worldwide nous le piquait ? Comme je le disais aucun journaliste n’a fait de commentaire ni de vérifications après chacune des déclarations tonitruantes (et proprement scandaleuses, notamment celle de Fillon justifiant l’extravagante augmentation de 145 % de Proglio pour faire le même job (mot du vocabulaire présidentiel, donc précieux) que Gardoneix) si réellement l’action de Proglio à la tête de Véolia était une telle réussite qui permettait de poser de telles couronnes de lauriers sur la tête du grand Patron comme l’on dit chez les couturières. Du reste en France on reconnaît un Grand Patron, non au résultat de son entreprise mais à son salaire et à sa morgue.

Il y a bien un journaliste à la retraite qui en a parlé. Il s’agit de JFK (pas celui qui fut flingué par la balle magique, mais le fondateur de Marianne). Sur son blog : Proglio était le meilleur

Pourquoi a-t-on placé Henri Proglio à la tête d’EDF ? Parce que c’était le meilleur a-t-on expliqué, son action à la tête de Veolia ayant été exemplaire. Or, son successeur vient de présenter les résultats 2009 de la présidence Proglio à Veolia. Et qu’apprend-t-on ? Que l’endettement est considérable (15 milliards d’euros), qu’il est nécessaire de vendre de nombreux actifs, que le chiffre d’affaire est en chute libre, que la rentabilité du groupe a été plombée par les acquisitions « malencontreuses » - certaines s’avérant catastrophiques, en particulier en Chine – que les contrats qui s’avéraient prometteurs, notamment dans les transports, on en revanche été perdus, qu’en conséquence l’année 2010 s’annonce très mal. Il y a des pays où, à la vue d’un tel bilan, on est [ait ndt] écarté. Proglio, lui, a été promu…. placé à la tête de l’empire EDF tout en gardant d’importantes fonctions chez Veolia.

Sans faire une analyse poussée on peu prendre parmi les éléments officiels ceux qui donnent une idée de la gestion Proglio (radioBFM) :

1- l’endettement est de 15,1 milliards pour un CA de 34,5 soit 45 %. Il était de 16,5 pour 35,5 (46,5 %) en 2008. Ce qui veut dire que la politique de Proglio était à l’endettement massif. Mais si cet endettement a été réduit c’est par la vente d’actif. 1,3 milliards en 2009 avec un objectif de vente d’actifs de 1 milliard par an sauf en 2010 où ce seront 1,7 milliards (objectif 3 milliards en 2009/2010). On peu facilement en conclure que ces achats ont été des erreurs puisqu’il faut s’en séparer. Dans le cadre d’une entreprise industrielle un achat ne peut se faire qu’à long terme et non à court terme. Ainsi les deux mamelles de Proglio auront été endettement massif (45 % ! du CA) et croissance externe inutile car à revendre dans le court terme.

2- la capacité d’autofinancement se dégrade de 1,7 % en monnaie constante mais 3,6 en monnaie courante à près de 4 milliards

3- il a fallu faire une dépression en 2008 de la bagatelle de 430 millions d’euros pour une acquisition en Allemagne (visionnaire le Proglio). Ce qui veut dire hors résultat exceptionnel que les bénéfices de 2009 ont baissé de 292 millions pour un résultat 2009 de 584 millions. Et le tout avec un plan d’économie de 220 millions d’euros qui sera de 250 en 2010. Et encore faudrait-il savoir de quelles économies il s’agit, je ne pense pas que ce soit la réduction des salaires des Grands Patrons.

Il faut savoir pour conclure que Véolia travaille dans l’eau, l’énergie, le transport et les déchets et que ces secteurs sont des secteurs quasi monopolistiques avec des contrats outrageux - et peut-être même outrageants, qui sait ? - avec les municipalités (souvent amies vous voyez ce que je veux dire) et qu’il est de ce fait pour le plus médiocre d’entre nous bien plus facile à gérer une entreprise quand celle-ci a une manne récurrente annuelle qui représente en pourcentage du résultat opérationnel 1,932 milliards sur 2,020 milliards c’est-à-dire 95,6 % ! Donnez moi une entreprise qui réalise 95,6 % de sa marge de façon récurrente sans lever le cul de son siège et je serais au moins aussi productif que Proglio. Et croyez-moi je ne demanderais que 10% de son salaire sans retraite chapeau et j’augmenterais ainsi le résultat opérationnel (de 30 millions en ce qui concerne la retraite chapeau).

Proglio était bien le meilleur, mais de quoi ? Certainement pas de la gestion d’une multinationale et donc encore moins d’EDF. L’Etranger aurait dû nous le piquer, cela aurait bénéficié à nos entreprises parce qu’alors ce sont nos concurrents étrangers qui auraient été plombés, et EDF aurait eu un patron maison bien moins rémunéré et plus enclin à travailler pour son entreprise sans ce scandaleux conflit d’intérêt de son actuel PDG ayant encore un pied chez son concurrent Véolia. Au fait Sarkozy, lui qui les distribue comme des bonbons à la sortie de l’école, la lui a-t-il accrochée, la breloque, au revers de son veston ? C’était déjà fait, on lui a donc donné celle du mérite en novembre 2009, juste 12 jours avant de prendre la direction de l’électricien, maintenant il en a 5 : 2 d’honneur et 3 du mérite - c’est vrai que c’est dur d’être au front dans les tranchées, crevant de froid, de faim et de peur, et cela en vaut la peine avec des étoiles aux revers de sa veste en soie naturelle ou en laine peignée catégorie 1.

Une autre question subsidiaire EFF va-t-il digérer Aréva quand sa patronne (une des rares ) va être éjectée sur ordre du château ? Tant qu’à mettre le plus brillant des patrons, comme le prouve son éclatante réussite à la tête de Véolia et ce d’autant que Véolia et Aréva ça rime, même si ce n’est pas une rime riche comme les pâtes aux œufs, à la tête d’une entreprise surendettée pourquoi ne pas augmenter son rayon d’action afin qu’il soit encore plus compétent ?

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20 réactions à cet article

François51 10 mars 2010 10:56

Proglio a été mis en poste a ErDF pour fusionner l’entreprise (encore public ?) avec Veolia, tout comme Gerard Mestrallet a fusionné en douceur GrDF avec Suez. entreprise déjà beaucoup moins public depuis. on le voit d’ailleurs avec l’envolée des prix du gaz. surement 9% d’augmentation en Avril ? sans compter les hausses précedente. (25% en trois ans)
vous avez un petit aperçue de ce qui va se passer pour les prix avec l’electricité dans un avenir proche. déjà sur le prix des abonnements, et ensuite sur le prix du kilowatt a l’unité.
Bruxelles a voulu l’ouverture des marchés en 2007. merci d’ailleurs a Jospin qui a lancé le processus au sommet de Barcelone en 2002..
les « joies » de la libre concurence. ......

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- CoolRaoul 10 mars 2010 10:59
  
  Le titre est incomplet, il fallait lire « ... était le meilleur *parmi les invités du Fouquet’s pas encore récompensés* »
  
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  - Sinbuck 10 mars 2010 11:03
    
    Bravo Imhotep,
    
    tout cela devient tellement gros, l’esprit critique tellement absent, que toutes ces implications « non-objectives » entre les genres et les gens passent pour être de bon ton !
    
    Les « grands patrons » n’ont pas de responsabilité, ils restent intouchables malgré leurs résultats médiocres... Les élites chez Airbus/EADS perdent des milliards d’euros à cause des retards, ils rajoutent 5 milliards à la facture de chaque avion 400M et les états payent pour une armée suréquipée au détrriment des simples citoyens... Et Total qui n’est taxé qu’à 8 % en France alors que n’importe quelle « petite entreprise » du coin crache 20 ou 30 % d’impots !
    
    Toute cette élite des hautes sphères va-t-elle encore nous prendre pour des cons pendant longtemps ? OUI, il faut donc trouver davantage de moyens permettant de dénoncer tout cela !!
    
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    - jef88 10 mars 2010 11:10
      
      Le meilleur ! Cela ne veut rien dire !
      Meilleur en quoi ?
      Meilleur pourquoi ?
      Meilleur quoi ?
      Tant que l’on a pas défini le QUOI on aura droit au Couac
      
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      - A. Nonyme 10 mars 2010 15:00
        
        Ouais, c’est ce qu’on appelle le COUAC 40.
        
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      - ARMINIUS 10 mars 2010 16:04
        
        « Le meilleur d’entre-nous », c’est aussi comme ça que la daronne du Pompée de Levallois-Isabelle Balkany pour les intimes- qualifiait le fiston Sarkozy lors de sa tentative de main mise sur l’EPAD. Il faut dire que chez ces gens là,il faut user de superlatifs pour compenser l’absence de diplômes.
        Avez vous vu aussi l’émission télé lundi soir(Direct 8) sur les fils de riches qui ne connaissent pas la crise, les« Nappies » ( dérivée de Neuilly Auteuil Passy Pereire), leur vocabulaire regorgeait de superlatifs aussi creux que consternants. La traduction anglaise de Nappy étant couche, j’ai compris qu’ils s’en trimballaient aussi une sacrée...heureusement qu’il nous reste notre meilleur président aux sept cerveaux ( d’après Carla) que le monde entier nous envie (d’après Estrosi)
        
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      - jef88 10 mars 2010 18:55
        
        Les politiques , les medias, comme les peoples actuels, ont une tendance à pratuquer l’enfumage intellectuel.
        Le superlatif, le chiffre balancé à la volée (même s’il est inexact) le qualificatif flatteur remplcent la réflexion
        D’autre part, un nombre de propos considérable est érigé en dogme. On devient « négationiste » si l’on n’est pas d’accord avec la vérité officielle. Il serait nécessaire d’être un peu plus cartésien et de réfléchir par nous même...
        
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      - zelectron 10 mars 2010 11:12
        
        Quel panégyrique d’Henri ! il doit en être tout émoustillé. Proglio est disqualifié et disqualifiable d’office. Ceci étant il n’a rien à faire chez EDF et on peut se demander ce qu’il va fricoter avec Rosatom.
        Ce n’est pas en critiquant quoique ce soit au niveau d’Areva, qu’il va s’acheter un diplôme (ou une conduite ?) : il n’y connait rien de rien. Certes Mme Lauvergeon n’est pas parfaite, mais 100 fois meilleure que cet arriviste aux dents si longues...et au moins elle est loyale et éduquée, elle...Les longues années qu’elle vient de vivre en expériences diverses et variées ne vont servir à rien , surtout qu’elle commence à être vraiment au point (ça n’est pas une plaisanterie).
        
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        Michel DROUET 10 mars 2010 11:14
        
        Merci d’avoir rappelé l’importance de Véolia dans les marchés et délégations de services publics des collectivités locales.
        Le vrai scandale, ce n’est pas les indemnités des élus ou les petits fours offerts lors des réceptions en Mairie ou au conseils généraux ou régionaux, c’est l’abandon par ces collectivités de compétences en matière de transport, d’eau, d’assainissement, etc, etc... au seul profit d’intérêts privés, là ou tout ou partie de ces compétences peuvent être exercées en régie par des personnels territoriaux.
        
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        eichenbach 10 mars 2010 12:55
        
        @ Imotep : si vous vouliez vous lancer sérieusement dans ce type d’analyse de compétences, il aurait été honnête de considérer le bilan de Proglio dans son ensemble. Pour mémoire, quand Henry Proglio est devenu PDG de Vivendi, il a pris les rennes d’une entreprise moribonde dont tous les spécialistes prédisaient la proche liquidation, avec à la clé plus de 250 000 personnes sur le carreau. Aujourd’hui les résultats de Veolia sont ce qu’ils sont, mais vos analyses financières semblent un peu légères...
        
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        Imhotep 10 mars 2010 17:16
        
        Faux Proglio n’est jamais devenu le PDG de Vivendi mais de la filiale Véolia qui s’est détachée de Vivendi en 2000 ! Et c’est en 2003 que Vivendi a eu de très gros problèmes. Véolia est une poule aux œufs d’or depuis le début.
        
        Me critiquer pourquoi pas, mais pour le coup vous dites tout simplement n’importe quoi. Vous mélangez tout, les dates, les sociétés, les scissions, les CZA les bénéfices, les pertes selon les entreprises et les PDG
        
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        Céphale 10 mars 2010 17:30
        
        Imhotep
        
        Véolia est une poule aux œufs d’or depuis le début.
        
        C’est vrai. Et Proglio est un minable qui a gravi peu à peu les échelons de la Générale des Eaux parce qu’il ne faisait peur à personne. Sait-il seulement lire un compte de bilan ?
        
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        Servane 10 mars 2010 18:22
        
        Cher Imotep, je trouve votre réaction au commentairee de Eichenbach un peu violente. Car si l’on considère que Eichenbach a juste oublié de préciser qu’il parlait de Vivendi Environnement il n’y a aucune inexactitude dans son message. En effet, Henri Proglio est devenu PDG de Vivendi Environnement en 2002 ou 2003 je crois, et sans vouloir vous offenser, Eichenbah n’a pas tord lorsqu’il dit que Proglio a hérité alors d’une société dont la dette est très importante -petit cadeau - de Vivendi...
        De façon plus générale ne pensez vous pas que l’avantage de Agoravox est que chacun est la possiblité de s’exprimer y compris lorsque ses opinions diverges de celles d’un auteur ? En tout cas j’ai lu plusieurs de vos articles notamment sur le modem est je trouve qu’ils ne manquent pas de pertinence.
        
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        Imhotep 10 mars 2010 20:22
        
        Pour Servane :
        
        Voici ce qu’écrit mon contempteur :
        @ Imotep : si vous vouliez vous lancer sérieusement dans ce type d’analyse de compétences, il aurait été honnête de considérer le bilan de Proglio dans son ensemble. Pour mémoire, quand Henry Proglio est devenu PDG de Vivendi, il a pris les rennes d’une entreprise moribonde dont tous les spécialistes prédisaient la proche liquidation, avec à la clé plus de 250 000 personnes sur le carreau. Aujourd’hui les résultats de Veolia sont ce qu’ils sont, mais vos analyses financières semblent un peu légères...
        
        Voici quelques remarques : N’est-ce pas lui qui me parle de sérieux. Ensuite l’entre^rise moribonde n’est certainement pas Véolia environnement qui vit de sources financières récurrentes très juteuses (eau, déchets, transports etc ;). Donc l’entreprise moribonde est bien Vivendi qui s’est séparé de Vivendi environnement une perle qui crachait du pognon. Il y a donc bien une confusion de la part de mon contradicteur et non de ma part. Les 20 000 emplois penacés sont de Vivendi de Messier et non le futur Véolia de Proglio.
        
        Une preuve par Wikipédia là c’est Vivendi : En juillet 2002, Jean-Marie Messier est contraint de démissionner de son poste de président : le groupe est au bord de la banqueroute. En effet, il est alors proche de la cessation de paiements, perdant un milliard de dollars par mois.
        
        En mars 2003, Vivendi Universal annonce une perte comptable de 23 milliards d’euros alors qu’un an auparavant, son PDG déclarait qu’elle allait « mieux que bien ! ». L’évolution en bourse de CGE-Vivendi est la suivante3
        
        PDG :
        
        Jean-Marie Messier : 1996 - juillet 2002
        Jean-René Fourtou : 2002 - 2005
        Jean-Bernard Lévy : 2005 -
        
        Une autre preuve par Wikipédia là c’est Vivendi environnement qui devient Véolia, séparé en 2000 du groupe Vivendi :
        
        En juillet 2000, l’entreprise est scindée en deux groupes, Vivendi Universal et Vivendi Environnement.
        
        En 2003, Vivendi Environnement devient Veolia Environnement.
        
        Président du Directoire
        Henri Proglio : depuis 2000
        Présidents-directeurs généraux
        Henri Proglio : depuis 2003
        Patrice Fonlladosa : PDG de Veolia Eau (Veolia Water AMI)
        
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        ficelle 10 mars 2010 21:15
        
        @ eichenbach
        
        Pas joli joli de prendre les rennes du Père Noël !
        Ce vieil homme n’a pas droit, lui, à une retraite bonnet.
        
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        voxagora 10 mars 2010 16:08
        
        Qu’henri Proglio ait été choisi parce qu’il était/est le meilleur,
        cela ne fait aucun doute.
        Mais le meilleur de quoi ? parmi qui ? en vertu de quoi exactement ?
        
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        voxagora 10 mars 2010 16:10
        
        @ Jeff88,
        mille excuses pour le doublon, je viens de lire les commentaires.
        
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        fhefhe 14 mars 2010 05:42
        
        Qui peut me citer le ou les Noms de Grands Patrons « Débauchés » par les autres Pays. Renault n’ayant pas trouvé la perle rare en France a pris Carlos Goshn....
        
        Oui combien de nos Grands Patrons s’expatrient ?????
        
        Nous avons les meilleurs Patrons du Monde....mais nous reculons dans le classement des puissances mondiales économiques....nous sommes passés de la 4 éme à la 6éme place .
        
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        David Meyers 14 mars 2010 18:59
        
        Ah ça fait plaisir de lire quelqu’un qui met bien les pieds dans le plat, proprement, en salissant partout où ça fait mal, et décrivant clairement les turpitudes du petit agité. Etrange qu’Elkabach n’ait pas pondu un tel édito avant Imopthep.
        
        Quant à Monsieur Fillon, c’est un homme qui a le sens des priorités pour la France et les français puisqu’il va mettre en oeuvre la loi contre la Burqa avant la taxe carbone.
        
        URGENT --- Pays FRANCE ch gouvernement compétent — bon salaires — voitures de fonction et secrétaires — de droite, de gauche, du centre ou peu importe mais vite vite... écrire POLEMPLOI qui transmettra - XBertrand, BHortefeux, EBesson, RDati s’abstenir...
        
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        Et hop ! 15 mars 2010 08:43
        
        Comme avec Jean-Marie Messier, le patron mégalomane de Vivendi, et sa frénésie d’achats d’entreprises étrangères foireuses, ce sont les ménages français qui payent toutes les pertes dans leurs factures d’eau.
        
        De quel droit impose-t-on aux ménages français une surfacturation de leur consommation d’eau, pour financer une expansion économique qui ne les concerne pas, puisque c’est dans des pays éttrangers ?
        
        Henri Proglio est un naufrageur, en mission commandée, dont la « feuille de route » est de prendre en main des entreprises nationales saines et profitables, de les endetter au maximum auprès des banques internationales, puis de provoquer leur liquidation.
        
        Sous sa présidence, EdF va acheter à prix d’or tout un tas d’entreprises étrangères merdiques en empruntant de l’argent très cher, et pour finir devoir brader tous ses actifs rentables.
        
        C’est aussi ce que fait Eric Woeth au niveau de l’État : on emprunte des sommes colossales sur la marché financier international, et on privatise et brade tout ce qui a de la valeur : EdF, l’hôtel de la Marine,.. pour payer les usuriers.
        
        C’est toujours la même bande des inspecteurs des finances : Haberer et le Crédit Lyonnais, Messier et Vivendi,,...
        
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