Journée de la Femme islamisée
La charte de l’ONU, signée en 1945, était le premier accord affirmant le principe d’égalité entre hommes et femmes. Pourtant la charte a été préparée avant l'arrivée de l'islam sur la scène politique. Aujourd’hui, l’ONU doit adopter de nouvelles résolutions défendant le statut des femmes sous les régimes islamiques ou semi-islamiques comme en Iran, Afghanistan, Arabie Saoudite, les pays du Golf Persique, l’Égypte qui tolèrent les traditions misogynes comme crime d’honneur et l’excision. Ces femmes-là, souvent victimes ignorantes, prises par les traditions de misogynie islamique, ont besoin d’appui international. L’ONU doit maintenant réagir en vue des rapports sur la misogynie permanente contre les femmes nées accidentellement dans les pays, dits musulmans.
Le 8 mars, la journée internationale de la femme, est le début d’une conscience égalitaire d’homme-femme. Elle est une lutte juste et laïque contre l’inégalité de sexe voilée par la misogynie de religion et la société de classes. C’est pour obtenir une série de droits fondamentaux que l’Internationale Socialiste en 1910 a tenté de mettre aussitôt fin aux discriminations à l’égard des femmes travailleuses.
À cette occasion, les revendications des femmes sont basées sur des conditions égalitaires dont les femmes ne pouvaient jadis bénéficier : parmi lesquelles on peut compter le droit de vote, le droit au travail avec des conditions égalitaires, la formation professionnelle pour les femmes et d’autres conditions de travail non-discriminatives pour les travailleuses. Depuis lors, le 8 mars est commémoré et férié dans les pays démocratiques et laïques.
La journée internationale des femmes a emmené un nouvel élan pour les femmes dans les pays développés et en voie de développement. Mais dans le monde musulman, l’islam fait barrage à l’égalité des sexes. Un statut non-discriminatif des femmes dans les sociétés dominées par le credo islamique est pratiquement impossible car ce credo islamique officiellement considère que la valeur de femme est moins de celle de l’homme.
L’islam, surtout en tant qu’une idéologie de l’état, est une nouvelle barrière sérieuse contre la liberté des femmes et l’égalité d’homme-femme dans tous les domaines. Aujourd’hui, en dépit des efforts coordonnés dans le monde non-musulman, les conditions des femmes se dégradent jour après jour sous les régimes islamiques qui exercent des lois islamiques, « Charia » dans leur pouvoir judiciaire et leur système éducatif.
Malheureusement la communauté internationale et l’ONU ignorent le destin des centaines de millions de femmes qui sont les victimes consentantes de la misogynie islamique. L’exemple flagrant est la misogynie institutionnalisée depuis la partition du régime islamique de 1979, en Iran.
Non seulement les régimes Islamique imposent la Charia, mais d’autres régimes semi-islamiques tolèrent les traditions misogynes de la charia. Selon l’organisation mondiale de la santé, 85 à 115 millions de filles et des femmes ont subi des mutilations génitales. Ces pratiques archaïques sont toujours en cours dans beaucoup de pays musulmans malgré le fait qu’elles soient critiquées par la communauté internationale.
En plus, le mariage des fillettes de moins de 10 ans, le mariage temporaire chez les Chiites, viol des jeunes filles qui sont les prisonnières politiques du régime islamique surtout avant leur exécution, tous sont tirés du credo ou des traditions de l’islam.
Dans certains pays musulmans, des femmes qui ont été violées sont parfois tuées par leurs propres familles pour préserver l’honneur de la famille. Ces crimes d’honneur, en tant qu’un legs des traditions islamiques, ont été rapportés en Jordanie, au Pakistan, au Liban, en Syrie, en Irak et d’autres pays du Golfe Persique. Beaucoup d’exemples quotidiens de misogynie prouvent que l’islam bafoue le statut des femmes en réduisant leur statut à un simple moyen de reproduction et l’objet du sexe.
Aujourd’hui, nous savons que la lutte pour l’égalité, la justice, la paix, la démocratie, la laïcité et le développement de la société n’est pas séparée de la lutte contre l’obscurantisme. L’islam politique qui est le berceau de cet obscurantisme dans le monde d’aujourd’hui.
La journée internationale des femmes est un symbole des femmes en tant qu’associées aux valeurs laïques et progressives ou bien en opposition à cet obscurantisme de l’islam. Elle est un démenti aux discriminations religieuses, surtout celles entre femmes et hommes et qui considèrent les femmes moins dignes que les hommes.
Dès 1910, le 8 mars la journée des femmes était un symbole de laïcité contre l’église catholique. Les féministes et d’autres partisans de l’égalité des sexes doivent maintenait doubler le cap en réclamant plutôt une lutte mondiale contre la misogynie de l’islam. Si l’église catholique était une institution favorisant la discrimination sexuelle, la mosquée islamique donne l’ordre de la misogynie et la ségrégation sociale dont le hijab islamique est le mur de séparation entre les femmes et les hommes.
Bien que la charte des Nations Unies propose l’égalité des sexes comme un des droits fondamentaux de l’homme, elle est incapable de fixer des normes, des programmes, et des buts pour avancer le statut des femmes dans le monde musulman. Par exemple, l'ONU évite de condamner le voile obligatoire en Iran qui est le joug le plus symbolique de la misogynie des mollahs qui châtient et harassent des centaines des milliers de femmes « mal voilées » par an.
La charte de l’ONU, signée en 1945, était le premier accord affirmant le principe d’égalité entre hommes et femmes. Pourtant la charte a été préparée avant l'arrivée de l'islam sur la scène politique. Aujourd’hui, l’ONU doit adopter de nouvelles résolutions défendant le statut des femmes sous les régimes islamiques ou semi-islamiques comme en Iran, Afghanistan, Arabie Saoudite, les pays du Golf Persique, l’Égypte qui tolèrent les traditions misogynes comme crime d’honneur et l’excision. Ces femmes-là, souvent victimes ignorantes, prises par les traditions de misogynie islamique, ont besoin d’appui international. L’ONU doit maintenant réagir en vue des rapports sur la misogynie permanente contre les femmes nées accidentellement dans les pays, dits musulmans.
L’ONU et la communauté internationale qui ont été capable de condamner l’Apartheid doivent maintenant condamner l’apartheid sexuel des états islamiques en y imposant des sanctions adéquates. La violation des droits fondamentaux des femmes dans le monde islamique est un fait qui a été trop longtemps ignoré. La sauvegarde des droits des femmes est maintenant essentielle pour redonner un sens pratique à cette journée commémorative de 8 mars par les mesures effectives imposées aux régimes misogynes.
16 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON