Journée des Femmes
Bien que la charte des Nations Unies propose l’égalité des sexes comme un des droits fondamentaux de l’homme, elle est incapable de fixer des normes, des programmes, et des buts pour avancer le statut des femmes dans le monde musulman. Par exemple, l'ONU évite de condamner le voile obligatoire en Iran qui est le joug le plus symbolique de la misogynie des mollahs qui châtient et harassent des centaines des milliers de femmes « mal voilées » par an.
Sachant que les femmes ont toujours été privées de l’égalité avec les hommes, Les femmes travailleuses n n’ont pas bénéficié des conditions égalitaires, l’Internationale Socialiste décide en 1910 de mettre fin aux discriminations à l’égard des femmes. Le 8 mars alors a été nommé la journée internationale des femmes et a été depuis célébrée dans beaucoup de pays.
Elle demande le droit de vote, le droit au travail avec des conditions égalitaires, la formation professionnelle pour les femmes et d’autres conditions de travail non-discriminatives pour les travailleuses. Depuis lors, le 8 mars est commémorée et fériée dans les pays démocratiques et laïques. Cette journée symbolise une longue lutte des femmes opprimées. Pour la première fois, les femmes avaient l’espoir de quitter leur statut subalterne qui a été imposée par des tardions patriarcales et religieuse depuis des siècles.
La journée internationale des femmes a emmené un nouvel élan pour des femmes dans les pays développés et en voie de développement. Mais dans le monde musulman, l’islam fait barrage à l’égalité de sexe. Un statut non-discriminatif des femmes dans les sociétés dominées par le credo islamique est pratiquement impossible car le credo islamique officiellement considère que la valeur de femme est la moitié de celle de l’homme.
L’islam, surtout en tant qu’une idéologie de l’état, est une nouvelle barrière sérieuse contre la liberté des femmes et l’égalité entre la femme et l’homme. Aujourd’hui, en dépit des efforts coordonnés dans le monde non-musulman, les conditions des femmes se dégradent jour après jour sous les régimes islamiques et les régimes dit laïques qui exercent une partie de lois islamiques dans leur pouvoir judiciaire et leur system éducatif. Malheureusement la communauté internationale et l’ONU ignorent le destin des centaines de millions de femmes qui sont les victimes consentantes de la misogynie islamique. L’exemple flagrant est la misogynie institutionnalisée depuis la partition du régime islamique de 1979, en Iran.
Dès 1910, le 8 mars était un symbole de laïcité contre l’église catholique. Les féministes et d’autres partisans de l’égalité des sexes doivent maintenait doubler le cap en réclamant plutôt une lutte mondiale contre la misogynie de l’islam. Si l’église catholique était une institution favorisant la discrimination sexuelle, la mosquée islamique donne l’ordre de la misogynie et la ségrégation sociale dont le hijab islamique est le mur de séparation entre les femmes et les hommes.
En ce qui concerne les femmes iraniennes le renversement du régime islamique est une condition sine qua non pour leur liberté et les droits égaux. Si nous voulons repousser les principes religieux qui mettent les femmes dans une position inférieure, nous n’y arriverons jamais avec de tels régimes islamiques au pouvoir. Le régime islamique de l’Iran est basé sur le credo moyenâgeux et misogyne de l’islam. Là, la ségrégation des femmes est symbolisée par toutes une série de lois misogynes dont la plus part ont été rectifiées sous le cabinet de l’ex-premier ministre Mr. Moussavi, actuellement le chef présumé du Mouvement Vert opposant le président Ahamadinejad l’issu de l’élection truquée de 2009—hijab islamique a été pratiquement imposée par le cabinet de Moussavi bien avant qu’il soi passé comme une loi.
Ainsi, sous le gouvernement de Moussavi, le viol en tant que moyen d’humiliation, de pression, et de torture a été systématiquement employé contre les prisonnières politiques. Les gardes et tortionnaires ont violé des femmes « infidèles » avant leur exécution. Après la réélection frauduleuse d’ Ahmadinejad et en conséquence des protestations populaires, le viol des détenus masculins ont aussi été rapporté par Karrubi, un autre candidat malheureux de cette élection truquée.
Depuis 1979, les femmes iraniennes sont obligées de porter le voile islamique, un vêtement long et sombre qui voile entièrement le corps. Une majorité entre elle, identifiées comme « mal voilées », souffrent quotidiennement de la pression psychologique et physique commise par les sbires du régime, récemment appelés la Police de la Moralité. Elles peuvent être interpellées et harassées dans la rue et parfois détenues. Durant 8 ans du gouvernement de Mr. Moussavi, pas un jour ne s’est écoulé sans attaque, agression physique, arrestation, jet d’acide, harcèlement et pression psychologiques sur les femmes. Le régime islamique a clairement indiqué que pour les femmes aucune autre sorte de vêtement n’est acceptable sauf le voile islamique.
La croissance écœurante de la violence contre des femmes en Iran a rigoureusement limité les conditions d’accès au travail, à l’éducation, aux arts, au sport, au divertissement et à la liberté générale dans les toutes les branches de la vie sociale. La raison pour laquelle l’islam insiste sur le port du hijab est pour éviter les contacts « inutiles » entre les femmes musulmane et les « non mahrams » (hommes hors du cercle de famille). Cette raison a formé un dogme qui consiste des « mahram » (membre masculins de famille) et « non mahram ». Ce dogme est à la base de ségrégation sexuelle ou bien l’apartheid de sexe. Sa « croix gammée » est le hijab islamique qui symbolise cet apartheid de ségrégation sexuelle—voire mes articles (Hijab Islamique) ainsi qu’en anglais, (Non-Mahram) et (Gendre Division).
Bien que certains musulmans « modérés » proclament que les femmes et les hommes aient l’égalité des droits, les faits quotidiens sont contraires. Les problèmes des influences religieuses, particulièrement dans les sociétés islamiques, n’ont pas été résolus depuis long temps.
Au fil des années, des conférences, des manifestations et des commémorations de toutes sortes se sont tenues pour réfléchir sur les progrès accomplis. Il est maintenant temps de réclamer ce qui n’a pas été fait. La journée internationale des femmes devrait être l’occasion de rassembler des efforts efficaces et communs contre la misogynie islamique qui demeure le principal obstacle devant la réalisation des droits des femmes dans les pays musulmans.
Bien que la charte des Nations Unies propose l’égalité des sexes comme un des droits fondamentaux de l’homme, elle est incapable de fixer des normes, des programmes, et des buts pour avancer le statut des femmes dans le monde musulman. Par exemple, l'ONU évite de condamner le voile obligatoire en Iran qui est le joug le plus symbolique de la misogynie des mollahs qui châtient et harassent des centaines des milliers de femmes « mal voilées » par an.
La charte de l’ONU, signée en 1945, était le premier accord affirmant le principe d’égalité entre hommes et femmes. Pourtant la charte a été préparée avant l'arrivée de l'islam sur la scène politique. Aujourd’hui, l’ONU doit adopter de nouvelles résolutions défendant le statut des femmes sous les régimes islamiques ou semi-islamiques comme en Arabie Saoudite, les pays du Golf Persique, l’Égypte qui tolèrent les traditions misogynes comme crime d’honneur et l’excision. Ces femmes-là, souvent inconscientes, prises par les traditions de misogynie islamique, ont besoin d’appui international. L’ONU doit maintenant réagir en vue des rapports sur la misogynie permanente contre les femmes nées accidentellement dans les pays, dits musulmans.
L’ONU qui a été capable de condamner l’Apartheid doit maintenant condamner l’apartheid sexuel des états islamiques en y imposant des sanctions adéquates. La violation des droits fondamentaux des femmes dans le monde islamique est un fait qui a été trop longtemps ignoré. La sauvegarde des droits des femmes est maintenant essentielle pour redonner un sens à cette journée commémorative de 8 mars.
Sous d’autres pays musulmans, dit laïques, les états (semi-islamiques) tolèrent les traditions misogynes. Selon l’organisation mondiale de la santé, 85 à 115 millions de filles et des femmes ont subi des mutilations génitales. Ces pratiques archaïques sont toujours en cours dans beaucoup de pays musulmans malgré le fait qu’elles soient critiquées par la communauté internationale.
Dans certains pays musulmans, des femmes qui ont été violées sont parfois tuées par leurs propres familles pour préserver l’honneur de la famille. Ces crimes d’honneur, en tant qu’un legs des traditions islamiques, ont été rapportés en Jordanie, au Pakistan, au Liban, en Syrie, en Irak et d’autres pays du Golfe Persique
Beaucoup d’exemples quotidiens de misogynie en Iran prouvent que le régime islamique bafoue le statut des femmes en réduisant leur statut à un simple moyen de reproduction et l’objet du sexe. Le régime islamique de façon démagogique et publicitaire a fait émerger des organisations féminines proches au régime misogyne, souvent dirigées par des femmes voilées. Ces organisations n’ont d’autre but que d’officialiser les comportements les plus abjects et les plus misogynes sous couvert du respect de l’islam.
La communauté internationale doit prendre des actions adéquates pour l’égalité des genres en condamnant tous les régimes et institutions islamiques qui sont responsables actifs de la misogynie. Au vingt et unième siècle, le monde ne peut pas accepter que les droits des femmes soient conditionnés par une doctrine moyenâgeuse et patriarcale. Il est temps de cesser d’ignorer une telle doctrine qui considère les femmes comme des « demi hommes » avec des « demi droits » sociaux !
La promotion de l’égalité des sexes est non seulement de la responsabilité des femmes, mais une responsabilité sociale de toutes les personnes démocrates et laïques. Les droits égaux de femmes dans une société moderne non seulement sont un indicateur de croissance nationale dans la vie sociale et économique, mais aussi un facteur du développement démocratique et laïque pour tous les individus de cette société.
Socio psychologiquement, la séparation des sexes crée des perversités et de l’agressivité. Elles sont le résultat de frustration sexuelle. Politiquement, une telle séparation est favorable pour les régimes totalitaires parc que selon W. Reich les effets secondaires démontrent sous l’aspect de l’obéissance aveugle qui historiquement caractérise toutes les sociétés opprimées.
Dédiions-nous cette journée internationale des centaines de millions de femmes qui sont des victimes conscientes ou inconscientes de la misogynie islamique. Il y aura beaucoup à accomplir pour jeter les bases légales pour inviter la communauté internationale à se rappeler qu’il est de notre responsabilité de défendre les droits de l’homme dans l’égalité, la dignité, et la liberté pour les deux sexes.
Aujourd’hui, nous savons que la lutte pour l’égalité, la justice, la paix, la démocratie, le sécularisme et le développement de la société n’est pas séparée de la lutte contre l’islam politique qui est le berceau de la misogynie dans le monde d’aujourd’hui. La journée internationale des femmes est un symbole des femmes en tant qu’associées à aux hommes. C’est un démenti aux discriminations religieuses, sur tôt celles de l’islam, qui considèrent les femmes moins dignes que les hommes. Ce jour est enraciné dans la lutte historique contre les jours noires de l’église européenne, c’est une demande de « liberté, égalité, fraternité » comme durant la Révolution française. Elles doivent maintenant inspirer le monde musulman.
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