L’ARME CLIMATIQUE - La manipulation du climat par les militaires - VOLET N° 3
Le temps des chemtrails ! Suite du volet n° 2.
La plupart du temps, les avions en vol dégagent une « petite traînée blanche » communément appelée « traînée de condensation », ou « contrail » en anglais. Cette traînée reste visible dans le ciel, 10 à trente secondes environ. Parfois plus, mais jamais des heures.
Or, depuis trente ans, un peu partout dans le monde, les gens constatent de nouvelles caractéristiques de ces traînées pour le moins surprenantes.
Ces nouvelles caractéristiques sont les suivantes :
1/ les traînées peuvent perdurer une journée entière, voire plus.
2/ Elle s'élargissent après leur émission et prennent un aspect , filandreux ou cotonneux ou duveteux.
3/ De véritables grilles sont créées dans le ciel. Question : pourquoi ces grilles, et à quoi servent-elles ?
4/ Les dimensions de ces traces aériennes peuvent aller jusqu'à des centaines de kilomètres, leur étalement sur 2,3, pays, parfois plus.
5/ Elles se forment à une altitude où les « traînées de condensation » ne pourraient être émises.
6/ Elles apparaissent au-dessus de zones où il n'y a aucun vol commercial.
7/ Dans ces zones, certains avions en émettent, d'autres non.
8/ Ces traînées peuvent totalement obstruer le ciel en très peu de temps, si elles sont nombreuses et se multiplient.
9/ On peut les observer sur des images satellites.
Les explications données à ces traînées chimiques :
Au vu de leur caractéristiques, les observateurs pensent qu'il s'agit de programmes d'épandages de substances dans l'atmosphère. Ces « Chemtrails », « traînées chimiques », ces « traces » visibles à l’œil nu dont il faudrait vraiment être aveugle pour ne pas les voir, vu leur multiplication, vu leur apparition soudaines et récurrentes, multipliées, provoquent des interrogations légitimes. L'explication la plus probable, au vu de leur caractéristiques, de la part des observateurs dont bon nombre de scientifiques et de météorologues est la suivante : des « composés de produits chimiques, mais essentiellement des particules métalliques tels le baryum, aluminium, etc. avec répercussion sensible sur l'environnement et la santé publique. Plus lourdes que l'air, elles finissent par retomber et contaminer l'air, l'eau, les sols et les sous-sols par capillarité.
Devant ce phénomène, et malgré les interrogations, aucune explication officielle satisfaisante n'émane des pouvoirs publics ni civils ni militaires. Cependant devant la sophistication des moyens aériens mis en œuvre pour réaliser ces épandages, la déduction est la suivante : « seuls, les militaires semblent en mesure de réaliser de telles opérations d'autant plus que des épandages sont effectués dans les couloirs aériens qu'ils se sont réservés ».
Aucune explication n'étant apportée à la population sur les formations systématiques de telles densités nuageuses artificielles, les autorités sont régulièrement interpellées : (les gouvernement, la cour européenne, et les autorités militaires).
Une seule et même réponse parvient aux populations qui révèle en fait un « refus d'investigations de la part de ces mêmes autorités ».
« Il n'existe pas de chemtrails, rien que des « contrails ». Ce qui ne peut résister à l'analyse. Car ces explications, bien entendu ne satisfont personne. Malgré la somme de courriers, de demandes internationales auprès des pouvoirs publics, malgré les analyses effectuées des retombées des substances par des laboratoires indépendants, dont les résultats décèlent la présence de métaux lourds, baryum, aluminium, etc.
Il s'agit en fait, d'un raccourci commode, d'une pirouette dialectique, « pour balayer toute remise en cause de ces nouvelles méthodes de modification des conditions atmosphériques, qui, visuellement modifient le paysage familier que nous avons toujours connu, (villes et campagnes ), dans tous les pays, malgré l'essor des vols commerciaux ».
Enfin, pour « neutraliser » toute tentative de recherche des causes et de l'origine des effets inclus par ces « épandages », les « auteurs » qui qu'ils soient, se « protègent », en mettant en avant la trop fameuse accusation de « complotisme », ou de « théorie du complot », ou de « canular des chemtrails ». Ce qui a pour effet inverse de conforter toutes les personnes soucieuses du respect de l'Environnement et de nos écosystèmes menacés de réfuter la trop facile explication avancée des pouvoirs publics : la « théorie du complot » !
Devant la recrudescence des questions posés aux civils mais aussi aux militaires, aux USA, par exemple, en 2005, l'US Air Force a donc été amené à rédiger un rapport publié sous la référence AFD-051013-001, qui traite ainsi de la question des chemtrails :
Extraits : « La politique de l'Air Force est d'observer et de prévoir le temps. L'Air Force se concentre sur l'observation et la prévision du temps afin que les informations puissent être utilisées en appui des opérations militaires. L'Air Force ne procède à aucun programme ou expérimentation sur le climat et n'a aucun plan de la sorte pour le futur ».
Sauf que... le 17 juin 1996, « des militaires américains publient un rapport, qui, ainsi que l'exprime l'avertissement, n'engage qu'eux-mêmes et en aucune façon leur gouvernement, le ministère de la Défense ou les forces armées des États-Unis. La lecture de cette étude non classifiée est très instructive. Son titre : Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025 »1... C'est bien de « propriété » du climat dont il est question.
Que dit cette étude non classifiée dont on peut trouver l'intégralité sur Internet ?
En 1957, le Comité Orville annonçait explicitement que la modification du climat était une arme au potentiel supérieur à la bombe atomique !
Extraits :
« Les technologies courantes qui arriveront à maturité dans les trente prochaines années offriront l'opportunité à ceux qui possèdent les ressources nécessaires de modifier les conditions climatiques avec les effets correspondants, au moins au niveau local. Les tendances démographiques, économiques et environnementales créeront une tension globale qui fournira l'élan nécessaire pour que des pays ou des groupes de pays transforment cette opportunité en capacité. Aux États-Unis, la modification du climat deviendra probablement une partie de la politique de sécurité nationale, avec, à la fois des applications nationales et internationales. En fonction de ces intérêts, notre gouvernement poursuivra cette politique à différents niveaux, par des actions unilatérales, la participation à une structure telle que l'Otan, une organisation internationale comme l'ONU, ou à une coalition. Partant du principe qu'en 2025 notre stratégie de sécurité nationale inclura la modification du temps, il s'ensuivra naturellement son utilisation dans notre stratégie de défense nationale. Outre les bénéfices significatifs qu'apporteront ces possibilités opérationnelles, une motivation supplémentaire à poursuivre ces recherches réside dans le fait de dissuader et contrer les adversaires potentiels. Dans cette étude, nous démontrons qu'une utilisation appropriée de la modification du temps peut offrir la domination du théâtre des opérations à un degré jamais imaginé. Dans le futur, ces opérations augmenteront la supériorité aérienne et spatiale, et fourniront de nouvelles options pour l'influence et la connaissance du champ d'intervention. La technologie est là, attendant que nous la fassions émerger : en 2025, nous pouvons posséder le temps ».
Dans cette étude, c'est le chapitre 4 qui devient de plus en plus intéressant.
En effet, intitulé « Concept of Operations », il aborde la question des techniques employées en soulignant que « le nombre de méthodes d'intervention est seulement limité par l'imagination », mais qu'à de rares exceptions près, elles impliquent d'injecter dans le processus météorologique de manière optimum, au bon endroit et au bon moment, soit de l'énergie, soit des produits chimiques ».
Il s'agit aussi d'adapter les techniques aux événements météorologiques : nuages et précipitations, intensité des tempêtes, climat, brouillard, et espace. « Mais, tandis que des efforts vers une modification du temps offensive seront certainement entrepris par les forces américaines avec une grande prudence et de l'effervescence, il est clair que nous ne pouvons permettre à un adversaire de posséder l'exclusivité de la modification du temps ».
Durant la guerre froide, les deux blocs Ouest- Est ont travaillé sur des armes stratégiques de haut niveau et le contrôle du climat a été ce multiplicateur de force requis des futures recherches.
URSS :
Bien entendu, les Soviétiques ne sont pas de reste. Ils perfectionnent, pendant la guerre froide, à leur tour des techniques de dispersion et de stimulation du brouillard, de stimulation de la grêle et de stimulation de la foudre. Une partie de cette technologique a pu être exportée, mais il en reste une autre partie au potentiel d'utilisation secrète.
A suivre...
1« Le climat comme multiplicateur de force : posséder le climat en 2025 ». L'intégralité de cette étude se trouve sur Internet.
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