L’exoracisme occulté, ou le syndrome de Telford
Exergue
« Si la Gestapo avait les moyens de vous faire parler, les politiciens d’aujourd’hui ont les moyens de vous faire taire ». (Coluche)
Préliminaire
Le texte qui suit fait clairement entendre qu’un complot est ourdi contre l’existence de la France même, dans ce qui fait qu’elle porte son nom, et le tintamarre incessant depuis la mort de George Floyd est le signe manifeste de la partition qui se joue depuis longtemps déjà. A ceux qui se lèveront contre cette thèse en disant que les complots n’existent pas, nous répondrons de garder ce mensonge pour ceux qui ont la faiblesse de se prosterner devant eux. Ce n’est pas parce que des complots imaginaires ont parfois été annoncés à tort, qu’il n’en existerait pas dans la réalité.
Avertissement : le texte qui suit est un court essai, mais il est long si on le considère comme un « article de presse », car bien que l’ensemble des choses à dire ait été aussi ramassé que possible, il était pourtant impossible de faire tenir tout ce que devait contenir ce travail dans la taille habituelle d’un article, encore que nous l’avons déjà amputé de certains développements. Il est donc précédé d’un résumé de son contenu, composé de 6 parties.
Résumé
1-Dans un premier temps, nous rappelons ce qu’est le racisme et définissons l’exoracisme et l’endoracisme comme les deux côtés de la médaille raciste.
2-Nous montrons ensuite que l’exoracisme est résolument occulté dans les nations occidentales, pour la simple raison qu’il sert le plan de mondialisation, qui est en fait plutôt une américanisation. Nous montrons par deux exemples que la France n’a jamais été solidaire du racisme d’Etat des Anglo-Saxons. Nous montrons également les scandaleuses manœuvres de vassalisation culturelle et économique de la France par les USA, dont les services gouvernementaux n’hésitent pas à se comporter comme une véritable mafia.
3-Nous montrons alors que, sous couvert d’un imaginaire devoir de repentance, l’exoracisme se cache derrière l’alimentation permanente d’un foyer d’accusations portées de façon tonitruante contre l’endoracisme pour pouvoir agir sans être sanctionné : le prototype éclatant de cette réalité est ensuite détaillé sous le nom de syndrome de Telford. Nous voyons ainsi que le pouvoir, la presse et les associations prétendument antiracistes veillent à faire taire toute velléité de dénonciation de l’exoracisme, dont ils ont la malhonnête audace de prétendre qu’il n’existe pas, et accusent carrément de racisme ceux qui osent affirmer son existence !
4-Nous analysons ensuite les manœuvres visant à intimider le peuple et les dépositaires de l’autorité afin de renforcer l’impunité de l’exoracisme, en s’appuyant sur l’interprétation fallacieuse de certains faits divers. Nous montrons que le laxisme flagrant de l’Etat envers ce fléau ne peut qu’encourager l’exoracisme qui ne connait plus de limite à ses prétentions.
5-Nous exposons ensuite 4 thèses exoracistes pour montrer qu’il est temps d’agir enfin contre ce mal, car si on le laisse se développer encore, il mènera à la guerre civile.
6-Nous concluons enfin par un message de bienvenue aux immigrants non racistes, suivi d’un appel à la lutte contre l’exoracisme qui constitue actuellement la plus grave des menaces pour notre paix civile.
****
1. Les deux faces de la médaille raciste
Toute médaille a son revers, et il apparaît de plus en plus clairement que le racisme revêt deux formes opposées qu’il importe maintenant de définir et de désigner clairement pour mieux combattre le fléau qu’elles composent. Nous commencerons par donner un nom à ces deux formes de racisme, dont nous éclairerons ensuite le sens : endoracisme et exoracisme.
Racisme : définition
Le Grand Robert (2e édition) définit le racisme de la façon suivante :
Racisme
1.Théorie de la hiérarchie des races, qui conclut à la nécessité de préserver la race dite supérieure de tout croisement, et à son droit de dominer les autres. Attitude inégalitaire d'hostilité à l'égard d'un groupe ethnique ; ensemble de réactions qui, consciemment ou non, s'accordent avec cette théorie.
2.(v.1960) Hostilité violente contre un groupe social.
Le second sens est un sens dérivé, car il ne fait plus référence à la race biologique, mais se fonde sur un critère quelconque de groupement social. Il a couramment été utilisé depuis les années 1960 comme une arme dialectique par les mouvements de subversion de l’ordre établi, aboutissant aux expressions racisme anti-femmes, racisme anti-jeunes, puis racisme antimusulman, récemment remplacé par le néologisme islamophobie. Cet élargissement du sens premier permet d’exposer toute bipolarité conflictuelle sous l’angle du racisme mais l’aspect gênant de ce second sens est qu’il finit par masquer le problème réel posé par le sens véritable : Nous nous en tiendrons donc autant que possible au sens premier d’une discrimination dégradante fondée sur la reconnaissance raciale, bien que la frontière entre les deux sens ne soit pas aussi étanche qu’on pourrait l’espérer.
L’inscription d’un racisme dans la loi moderne fut principalement le fait des Etats Anglo-Saxons, Etats-Unis en tête, ceux-ci n’ayant fini d’abolir totalement le racisme d’Etat qu’en 1968, et l’Afrique du Sud, ancienne colonie britannique, en 1994. En France métropolitaine, le racisme d’Etat n’a jamais existé.
Le racisme ayant établi une hiérarchie de droit contraire au principe de fraternité universelle induit par le droit chrétien médiéval qui influence encore la société moderne, il entraine en conséquence un phénomène de mépris ou de haine, dont il résulte des violences exercées contre la race dominée pour la maintenir en état d’oppression, mais finissant en réaction par se retourner contre la race dominante, car les dominés peuvent engendrer à leur tour des éléments haineux qui mettront un point d’honneur agresser des « dominants » non pour ce qu’ils ont fait personnellement, mais uniquement pour la race qu’ils représentent : On voit ici apparaître le second volet du racisme, ou le revers de la médaille. Il importait de désigner ces deux pôles, que nous allons maintenant nommer et définir.
Endoracisme : définition
Nous appellerons endoracisme le racisme endogène, à savoir le racisme des autochtones d’un pays envers des immigrés reconnaissables à leur couleur de peau distincte de celle des indigènes : en France, il s’agit du racisme des Blancs envers les immigrés à la peau colorée. Ici, ce racisme endogène fait l’objet, depuis près de cinquante ans, d’une stigmatisation impitoyable de ceux qui le manifestent, et les autorités sont promptes à brandir contre eux les lois qui ont été forgées pour interdire le racisme. La campagne incessante menée contre cette forme de racisme a porté ses fruits, puisque les « ratonnades » appartiennent maintenant à un lointain passé.
Exoracisme : définition
L’exoracisme est cette forme exogène réciproque de racisme exercée par les immigrés envers les autochtones reconnus eux aussi et par symétrie à leur couleur de peau. En France, il s’agit d’un racisme exercé par certaines personnes de couleur envers les Français de souche, de race blanche, en recherchant l’impunité sous couvert des luttes permanentes menées contre l’endoracisme depuis bientôt 50 ans. L’exoracisme est né de l’immigration massive qui a suivi l’instauration du regroupement familial, alliée aux discours de repentance, de haine de la souveraineté nationale et d’encouragement au maintien des identités allogènes (« multiculturalisme ») qui ont remplacé la fierté patriotique et la volonté d’assimilation des nouveaux arrivants.
L’exoracisme profite de la stigmatisation des Blancs induite par la condamnation de l’endoracisme pour insinuer que dans toute action d’un homme blanc face à un homme de couleur il y a une causalité raciste : Ce préjugé est foncièrement raciste et mène à des raisonnements biaisés qui exaltent une haine anti-blanc portant en germe une possibilité de guerre civile interraciale. Il est donc urgent désormais de lutter contre l’exoracisme avec toute la rigueur que l’on a appliquée à l’endoracisme depuis les années 80.
2 – Occultation de l’exoracisme
Or, certaines franges de la population soutiennent que l’exoracisme n’existe pas, ou pire encore, qu’il est une réaction légitime. Pourquoi est-ce absurde ? Parce que protéger ou encourager l’exoracisme en France, c’est favoriser une forme de racisme plus nocive que la première parce qu’elle utilise, pour se propager, des manœuvres de déstabilisation profonde de la civilisation dans laquelle elle s’exprime, tandis que l’endoracisme est naturellement tempéré par la volonté de protéger cette civilisation dont les fondations chrétiennes sont la source même du rejet du racisme, décrété par Jésus-Christ il y a 2000 ans : « Allez, enseignez toutes les nations » (1). Il a dit « toutes », car toutes sont destinées à une même gloire et à un même salut : l’Evangile ne fonde aucun mérite sur la race, contrairement au Talmud, qui fait de la race de Juda une humanité supérieure (2), ou au Coran qui proclame l’élection de la langue arabe et de ceux qui la parlent (3).
Le pourquoi de cette occultation : l’américanisation rampante
D’où vient ce sentiment de culpabilité névrotique de la part d’une population qui s’accuse de crimes qu’elle n’a jamais commis ? De l’influence américaine, car nous sommes de plus en plus un vassal économique, culturel, politique et juridique des Etats-Unis, dont les organismes les plus puissants, publics ou privés, agissent pour la destruction des nations européennes.
Nous sommes envahis de séries télévisées américaines, de cinéma américain, de variétés américaines et de nourriture américaine, notre droit s’américanise d’année en année, notre plan comptable a été américanisé, la Bourse de Paris a été vassalisée par le système financier américain, qui se permet en sus de lancer une captation scandaleuse de nos fleurons économiques sous prétexte d’infractions imaginaires donnant lieu à des amendes indécentes et la séquestration d’un cadre supérieur, Frédéric Pierucci, dans le système pénitentiaire américain sans avoir commis aucun crime ni délit, et de l’y maintenir en otage jusqu’au rachat d’Alstom à prix dérisoire (4). Ce système de racket des entreprises françaises par l’Etat américain devrait être un des premiers sujets à traiter par le prochain pouvoir, si enfin nous y installions des gens dignes de cette fonction.
Tout est fait pour que le peuple de France se préoccupe quotidiennement de ce qu’il se passe aux USA, principalement en l’abreuvant d’informations futiles sur les faits et gestes des célébrités d’outre-Atlantique : Notre indépendance culturelle et politique est profondément menacée, pour ne pas dire moribonde.
Or, il importe de bien comprendre que le passif raciste des Etats-Unis et celui de la France sont radicalement opposés : C’est seulement sous John Kennedy, en 1961, que les USA ont commencé à démanteler leurs lois de ségrégation raciale, parfaitement comparables à celles de l’Apartheid. Nous allons voir tout de suite que l’endoracisme, si violent aux Etats-Unis parce qu’originellement inscrit dans les lois même de l’Etat, d’inspiration judéo-protestante, était parfaitement absent de l’esprit français, d’origine catholique donc antiraciste (5).
Deux faits historiques pour illustrer l’esprit français
Premier fait : En 1958, alors que les lois de ségrégation brimant Noirs et métis étaient en pleine vigueur aux Etats-Unis, Gaston Monnerville fut élu président du sénat français et demeura dix ans à ce poste : Il se trouvait donc être le second personnage dans l’ordre du protocole de la République, c'est-à-dire l’homme le plus honoré du pays après Charles de Gaulle lui-même : or, Gaston Monnerville était un métis guyanais et descendant d’esclave : Une telle situation était impensable à cette époque dans le monde anglo-saxon.
Gaston Monnerville
Second fait : Le navire-école de la Marine Nationale, en 1960, fit escale en Afrique du Sud. Parmi les élèves officiers se trouvait Didier Ratsiraka, Noir malgache qui devint plus tard président de Madagascar. Après une longue traversée du globe du nord au sud, les jeunes marins avaient hâte de toucher terre pour pouvoir se détendre et avoir le plaisir de visiter un pays lointain. Or, l’Afrique du Sud était alors en plein Apartheid : Lorsque les autorités locales découvrirent qu’il se trouvait un Noir parmi les élèves officiers, elles lui refusèrent l’autorisation de débarquer. Les autres élèves, malgré le vif désir de cette escale tant attendue, furent choqués par cette attitude raciste et refusèrent tous de descendre à terre par solidarité avec leur camarade malgache.
Didier Ratsiraka
Non, en effet, la France n’a aucun rapport avec le monde Anglo-Saxon en matière de racisme, et serait bien inspirée de cesser d’importer les idées politiques d’une nation historiquement raciste, dont même l’antiracisme comporte des aspects névrotiques ou hypocrites qui, loin de résoudre le problème, ne font que l’envenimer.
3 - L’exoracisme protégé par le système politico-médiatique
Les factions mondialistes qui dominent actuellement la pensée politique occidentale, utilisant le grotesque discours de repentance postcoloniale sans cesse martelé par leurs nombreux médias et les politiciens à leur botte, cherchent à détruire les nations chrétiennes en tant que telles en favorisant outrancièrement l’exoracisme, dans lequel elles voient un moyen de démoraliser les populations autochtones en faussant la justice dans le sens d’un laxisme scandaleux qui mènera à la destruction de toute identité nationale dans les pays occidentaux : Ce processus de démoralisation est indispensable à l’avènement du gouvernement mondial qu’ils appellent de leurs vœux, et l’exoracisme est un des leviers les plus efficaces de cette démoralisation.
Le syndrome de Telford, ou l’omerta sur l’exoracisme
L’exemple le plus abject de cette campagne mondialiste est l’affaire de Telford, en Angleterre, où des exoracistes pakistanais ont, durant plusieurs décennies, exploité de jeunes filles anglaises, le plus souvent mineures, qu’ils prélevaient sur des familles blanches, pauvres et sans défense pour les prostituer dans leurs quartiers sanctuarisés par un exoracisme organisé avec la complicité des autorités anglaise qui s’interdisaient d’y mettre les pieds.
Tommy Robinson, qui a dénoncé ce scandale durant le procès qui avait fini par devenir inévitable, mais au sujet duquel la justice britannique avait interdit toute communication publique, vit depuis lors un véritable chemin de croix, subissant injures, calomnies, vexations et condamnations judiciaires étant allées jusqu’à son incarcération : Voyez comme s’éloigne à grande vitesse la liberté d’expression dans les démocraties occidentales !
En 2019, Robinson a heureusement réussi à enrayer la campagne de calomnies dirigée contre lui en piégeant John Sweeney, journaliste de la BBC qui, préparant un reportage télévisé pour achever d’anéantir socialement ce malheureux justicier, tenta d’utiliser une de ses anciennes employées : Il la contacta en l’invitant à dîner en vue de la préparer à témoigner à charge contre Robinson dans son émission.
John Sweeney, présentateur vedette du magazine « Panorama »
Peut-être la BBC avait-elle des accointances avec les services de renseignement britanniques qui auraient mis le téléphone de Robinson sur écoute, car il se trouve que quelque temps auparavant, Robinson et son ex-employée avaient eu une vive dispute par téléphone : Par quelle autre coïncidence pourrait-on expliquer que Sweeney ait pu croire qu’elle viendrait témoigner à charge contre son ancien patron ? Mais cela n’est qu’une supposition.
Ayant reçu cette invitation à dîner, cette jeune femme ressentit une certaine méfiance et s’en ouvrit discrètement à Robinson, avec qui elle était réconciliée, ce qu’ignorait Sweeney, et Robinson lui conseilla de filmer ce dîner secrètement avec son téléphone pour en extraire éventuellement des preuves de manipulation. Elle suivit ce conseil et ses attentes ne furent pas déçues car, outre des propos mal-pensants de nature à choquer le public britannique, Sweeney lui suggéra d’accuser Robinson de tentative de viol.
Suite à la publication de cette vidéo cachée, la BBC a dû renoncer à monter son documentaire sur Robinson et s’est vue contrainte, en octobre 2019, de licencier Sweeney, qui était pourtant présenté jusqu’alors comme le modèle de l’enquêteur impartial et minutieux, ténor de la plus prestigieuse émission d’information britannique, existant depuis 1953 : « Panorama ».
Sweeney montra toute sa grandeur d’âme après son licenciement, en disant à propos de Robinson :
« Je peux enfin dire que ce n’est pas le point de vue de la BBC, mais c’est [Robinson] un parfait connard » (6)
La finesse du propos est à la hauteur du personnage, car c’est dans la défaite qu’on voit le beau joueur…
Permettons-nous ici une digression qui éclaire cependant notre sujet : On retrouve contre Tommy Robinson la même technique visant à salir dans sa vie privée un opposant au système et qui avait déjà été utilisée contre Julian Assange, accusé de viol en 2010 et contre qui la justice suédoise a finalement reconnu qu’il n’y avait aucune preuve, mais pendant les dix ans qu’a duré cette affaire, la réputation de Julian Assange, un autre justicier, a été honteusement salie.
A ce sujet, honte à François Hollande, valet des puissances d’argent dont il s’était pourtant vanté d’être l’ennemi avant son élection présidentielle, d’avoir refusé à Julian Assange, confiant dans la tradition française de protéger les opprimés, l’asile politique qu’il avait demandé en 2015. Cette France-là n’est plus, place à la morgue servile des politiciens à la botte des puissants de ce monde.
Julian Assange extirpé de l’amabassade du Vénézuela par la police britannique
Mais revenons à Telford. Cette protection abominable accordée à l’exoracisme est commentée ainsi par Le Parisien :
« (…)au grand dam de l'opposition conservatrice, qui réclame une grande enquête indépendante comme celle menée à Rotherham. En 2014, elle avait fait de cette cité en déclin industriel à l'est de Manchester la honte du pays, en révélant 1 400 cas d'abus sciemment ignorés par incompétence, incurie, corruption et peur de réveiller les tensions raciales. » (Le Parisien, « Telford : le scandale des jeunes filles violées qui bouleverse l’Angleterre », 15 avril 2018) - c’est nous qui soulignons.
Ici, tout est dit : « sciemment ignorés (…) par peur de réveiller les tensions raciales » ! Alors que le moindre propos, même si légèrement endoraciste que le qualifier de « raciste » peut faire matière à discussion, lorsqu’il est tenu par une personne célèbre, entraîne une levée de boucliers médiatique assourdissante et des poursuites implacables aboutissant à une condamnation lourde et humiliante, telle la série d’attaques incessantes qui accable par exemple le malheureux Eric Zemmour, inversement l’exoracisme pratiquant à grande échelle l’esclavage sexuel de jeunes filles autochtones (1400 cas et trente années dans une seule ville avant que le pouvoir ne réagisse !) fait l’objet d’un pudique détournement du regard. Voilà un contraste qui donne une idée assez effrayante de ce que peut signifier le mot « décadence », et que nous appellerons désormais « syndrome de Telford ». Les ancêtres de cette Angleterre-là, si, d’où ils sont, voient ce qu'il s'y passe, ne peuvent que se sentir couverts de honte.
La France suit l’Angleterre
En France, le même système est en train de se mettre en place : Sanctuarisation des quartiers islamisés dans lesquels s’installe un exoracisme décomplexé pratiquant l’intimidation des français de souche, qui finissent par devoir s’enfuir, hostilité manifeste aux mœurs françaises, contestation permanente de l’autorité de l’Etat, attaques physiques et verbales contre les représentants des corps constitués, fussent-ils entièrement dévoués au secours de la population, tels les médecins, les ambulanciers ou les pompiers : ce racisme-là agit dans un esprit de conquête et d’affrontement de plus en plus dur. Il est d’autant plus dangereux que des consciences s’autoproclamant exemplaires vous expliqueront qu’il n’existe pas, et que si vous insistez à vouloir clamer son existence, elles se feront fort de vous accuser vous-mêmes de racisme : Magistral !
Ne croyez pas que les mondialistes fassent avancer leur cause par des moyens loyaux et impartiaux. Comme nous venons de le voir avec le cas Sweeney, la calomnie est leur instrument préféré, suivant le conseil que leur donna Voltaire en son temps (7). C’est ainsi que Mélenchon lui-même, fils de Voltaire par la Loge, vient d’être pris la main dans le sac en accusant une jeune fille « identitaire » d’avoir effectué un salut nazi alors qu’elle brandissait simplement une torche. « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » disait Francis Bacon, illustre précurseur dudit Voltaire.
La presse dite « de gauche » prise par le syndrome de Telford
Ainsi, pour Dominique Sopo, président de SOS Racisme, officine soi-disant destinée à pourfendre le racisme, l’exoracisme, qu’il appelle clairement « racisme anti-blanc », n’existe pas. Ecoutons plutôt ce ténor du syndrome de Telford, à qui les colonnes de Libération sont bien sûr grand ouvertes, au sujet d’une polémique née de cris de singes dans un stade italien à l’encontre d’un footballeur noir, cris parfaitement répréhensibles mais dont les commentaires maladroits de Lilian Thuram engendrèrent une polémique médiatique :
"(...)Aussitôt, l’extrême droite française s’est emparée de l’interview pour créer un « scandale » au nom de la dénonciation du fumeux concept de « racisme anti-blanc ». Le problème n’était plus le racisme subi par Lukaku et les personnes rabaissées au statut de singe. Le problème devint, sous le prétexte de la dénonciation par Thuram du racisme parmi les populations se vivant comme blanches, le racisme de Thuram envers elles.
Cette stratégie de l’extrême droite n’a rien de nouveau. Spécialiste des retournements pervers, ce camp politique appelle « peuple » sa seule fraction raciste, qualifie de démocratie la violence de la foule et gueulait au patriotisme pendant que ses nervis portaient l’uniforme de la Wehrmacht." (Libération, 23 septembre 2019)
Les mots sont lâchés, tels des boutons à presser que l’on a installés par matraquage sur les consciences populaires dont on peut modeler aisément l’opinion avec quelques mots-clefs qui canalisent immédiatement la conscience vers une attitude docile : « extrême droite », « fumeux concept » (pour ce « spécialiste » du racisme, le racisme anti-blanc n’existe pas !), « retournement pervers », « fraction raciste », « gueulait au patriotisme » (notez bien qu’ils ne crient pas, ils « gueulent », ce qui revient à assimiler les patriotes à des animaux) sans oublier le bouquet final : « portaient l’uniforme de la Wehrmacht ».
Cet « uniforme de la Wehrmacht » sous la plume de cet homme prétendument « antiraciste » est du plus bel effet, il lui va comme un gant. Il prend vraiment ses lecteurs pour des imbéciles et nous, nous voulons croire qu’il se trompe car, à ce niveau, le mépris à peine caché dans une telle prose a quelque chose de grotesque et d’indécent. SOS Racisme porte bien son nom : il vient au secours du racisme. Exoraciste uniquement, bien sûr, car le problème est si vaste qu’il a dû se spécialiser…
4 – Les processus d’intimidation
Intimider le peuple
Le matraquage
Le matraquage est une technique de communication connue des publicitaires et des politiciens professionnels. Il permet de vendre des biens ou propager des idées en combinant deux leviers conjoints : séduction et répétition. La séduction opère plus facilement quand elle procède d’une voix reconnue comme faisant autorité, car un peuple docile a tendance à s’incliner devant ceux qui le dirigent, ce qui est d’ailleurs une bonne chose pour peu que ces dirigeants soient sincèrement soucieux des intérêts de leur peuple : Dans le cas contraire, la désobéissance devient préférable.
Le matraquage a par exemple permis en 2017 de vendre au peuple Emmanuel Macron, jusqu’alors quasi inconnu de l’essentiel de la population : Tous les médias « officiels » se sont partagé l’honneur de le mettre en première page, de retracer quotidiennement sa campagne, de louer ses slogans et son dynamisme, d’affirmer qu’il avait été le meilleur après les débats télévisés, d’annoncer des sondages le déclarant vainqueur. Bref, Emmanuel Macron était aussi désirable qu’un nouvel usentile de cuisine vendu avec succès grâce à une avalanche de spots publicitaires. Tout cela s’appelle du matraquage, et son élection nous prouve que le matraquage est une technique efficace. La preuve de cette efficacité est aussi clairement établie par l’économie de la publicité, puisque son budget global en France se chiffre à environ rien moins que 16 milliards d’euros par an.
Dans le sujet qui nous occupe, il faudra répéter au peuple sur tous les tons que l’exoracisme n’existe pas, et même menacer des foudres ceux qui refuseraient d’admettre cette vérité officielle. Les médias du pouvoir politico-capitaliste seront mis à contribution pour appuyer cette propagande et toute voix dissonante se verra aussitôt affubler de noms disgracieux bien gradués, incluant même quelques néologismes de circonstance, propres à effrayer le petit peuple qui se détournera de ces voix maudites : d’abord, il y a « conservateur », puis « rigide », « franchouillard », « réactionnaire », nous avons ensuite « complotiste » « populiste », « repli identitaire »,« conspirationniste » et si ça ne suffit pas à éteindre le feu, il reste « extrême droite », « nationaliste », « fasciste », « néo nazi »… La liste est longue, des qualificatifs utilisables, jusqu’au risible « en uniforme de la Wehrmacht » que nous avons vu plus haut : toute la rhétorique nécessaire tient dans ce catalogue. On ne se donnera pas la peine d’entrer dans un échange intellectuel d’arguments rationnels, une simple invective utilisant ces épouvantails doit suffire à étouffer les récalcitrants…
Plus la voix fait peur aux nantis, plus le qualificatif choisi sera infamant. Il faut ce qu’il faut. Les « sciences humaines », qui n’ont bien souvent de science que le nom, seront mises à contribution pour concourir à éteindre les feux de la prise de conscience : En première ligne, bien sûr, vient la sociologie.
La sociologie, ou la « science » des foules : Telford++
Dominique Sopo n’est pas seul à prendre les gens pour des imbéciles, il y a aussi dans le service de la pensée unique quelques étoiles de la sociologie, tel Eric Fassin, qui lui non plus n’y va pas avec le dos de la cuiller. Il est vrai qu’il a été formé outre-Atlantique par le mouvement Young Leaders, ce haras d’élevage de cadres européens au service de l’impérialisme anglo-saxon. On comprend que dans ce cas, il nous « démontre » que l’exoracisme n’existe pas, parce que c’est son devoir d’empêcher de le combattre :
« le racisme anti-Blancs n'existe pas pour les sciences sociales, ça n’a pas de sens (...) lorsqu'on parle de racisme anti-Blanc, on revendique une conception purement individualiste, alors que le racisme repose sur des rapports sociaux. Le racisme est un phénomène de domination sociale, donc, par définition, il ne peut pas être symétrique : parler de racisme anti-Blanc est donc absurde. » (8)
Revenons à la définition du Grand Robert : « Attitude inégalitaire d'hostilité à l'égard d'un groupe ethnique ». On ne voit pas ce qui empêche un Noir d’être hostile aux Blancs si sa pensée politique l’y incline, il semble donc que la sociologie ne soit pas la meilleure voie pour atteindre la vérité…
Si l’on comprend bien Eric Fassin, ce sont donc les Blancs qui exercent leur domination sociale dans les « quartiers sensibles » de la République. Ils seront ravis et tout à fait rassurés de l’apprendre.
Ce qui est absurde, ce sont les propos cités ici. Il s’agit juste d’un petit écran de fumée, comme celui de Dominique Sopo, signifiant en substance : « Circulez, y’a rien à voir ».
Un peu plus concret mais tout aussi égaré , un autre sociologue, Patrick Simon :
« Ce n'est pas parce qu'on se fait insulter dans la rue que ça relève du racisme dans le sens d'un désavantage qui va se retrouver dans plein de domaines de la vie sociale. Ces personnes insultées ne disent jamais qu'elles ont eu du mal à trouver un emploi parce qu'elles ont la peau blanche » (9).
Donc, la vie se résume à trouver un emploi, le reste est anecdotique. Sortir de chez soi avec la peur au ventre, dans certains quartiers, parce que l’on sait être une cible sans protection pour un exoraciste ayant envie de se faire un Blanc, ce n’est pas être confronté au racisme. Combien de ces gens qui se sont présentés au commissariat de police pour se plaindre de brimades exoracistes incessantes finissant par être assorties de menaces de mort, et à qui la police a répondu qu’elle ne pouvait rien faire, et qui finissent par fuir leur quartier ? Nous touchons ici du doigt la haute pertinence de la sociologie et la haute trahison de l’Etat envers ses citoyens en bridant l’action de sa police.
Intimider les dépositaires de l’autorité de l’Etat
Pour l’exoraciste de France, le postulat de base est le suivant : tout homme blanc est nécessairement raciste jusqu’à ce qu’il se mette à genou devant l’homme de couleur qui, lui, est nécessairement innocent donc intouchable : On ne peut que constater de façon inquiétante que ce mouvement exoraciste s’étend de plus en plus, non seulement en nombre d’adeptes et de secteurs géographiques, mais également par le glissement de plus en plus envahissant de la frontière morale de ses exigences : Un non-blanc de banlieue se tue-t-il tout seul en voiture en essayant d’échapper à un contrôle de police, qu’aussitôt la banlieue s’enflamme durant 48 heures ou plus : C’est une campagne d’intimidation pour repousser la frontière de l’exercice de l’autorité de l’Etat dans les banlieues à majorité allogène. Depuis quarante ans, l’islamisme, composant de premier choix de l’exoracisme de France et qui s’ébat librement dans ces banlieues a fait plus de 1600 victimes, morts ou blessés, (10) parmi nos concitoyens.
George Floyd
L’affaire George Floyd est navrante à plus d’un titre. Il est évident, tout d’abord, que le policier qui l’a tué est une sorte de brute incapable d’exercer avec discernement l’autorité dont il se trouve dépositaire. Il n’est d’ailleurs pas certain que si le voyou qu’il a tué avait été blanc, il n’aurait pas agi exactement de la même façon :
Car, en effet, le George Floyd en question, que sa fille présente un peu rapidement comme un ange, n’en était certainement pas un, même s’il reste certain qu’il n’a pas mérité la mort qui lui a été infligée : Il s’agissait d’un délinquant multirécidiviste, condamné à une vingtaine de reprises – rien que ça ! – et donc bien connu de son tortionnaire. C’est donc probablement bien plus en raison de son passé délinquant qu’en raison de sa couleur de peau que le policier a manqué de retenue dans l’interpellation de George Floyd.
L’inversion accusatoire par la couleur de peau
Or, depuis cette affaire, qui ne nous concerne pourtant pas directement, la France n’étant pas les USA, des exoracistes de France menés par une fratrie de voyous multirécidivistes ayant à leur actif un nombre incalculable de condamnations, se mettent à hurler au racisme dès qu’une personne noire est appréhendée par l’autorité. Les associations dites « antiracistes » s’empressent de soutenir ces hurlements indignes, parce qu’elles ont dans leurs plans de soutenir l'exoracisme et qu'ainsi, selon SOS Racisme, chien de garde de la soumission mondialiste, « le racisme anti-blanc n’existe pas » , ce qui veut dire « on ne touche pas aux exoracistes », parce qu’on a besoin d’eux pour détruire la société française.
Oignez vilain, il vous poindra
Pourtant, il n’y a pas de pays moins raciste que la France : les étrangers y sont même mieux protégés que les autochtones : Les policiers qui ont crevé les yeux de français de souche, ces malheureux Gilets jaunes, ont été rapidement innocentés (11), tandis que ceux qui ont tabassé un clandestin Afghan se sont retrouvés incarcérés.
Jérôme Rodrigues, canardé à bout portant alors qu’il filmait une manifestation
Nous n’avons donc pas de leçon de racisme à recevoir, ni des Anglo-Saxons, qui ont pratiqué au niveau de l’Etat un endoracisme implacable que la France n’a jamais connu, ni de ces gens couvés par la République et qui, au lieu de la remercier des nombreux bienfaits qu’elle leur dispense, passent le plus clair de leur temps à cracher sur son histoire et ses corps constitués en s’adonnant à un exoracisme décomplexé qu’il va bien falloir un jour finir par sanctionner.
5 - 4 thèses exoracistes
Thèse exoraciste : Un Noir ne doit pas entrer dans la police
Les faits le montrent à l’évidence : Les exoracistes sont des racistes. Telle cette femme qui, il y a quelques jours, crie à un policier noir, lors d’une manifestation interdite : « Vendu ! ». Elle devrait être poursuivie pour injure à caractère raciste, car si l’on suit bien son raisonnement, un Noir ne peut dignement intégrer la police, qui représente l’Etat français, donc tout Noir doit considérer l’Etat français comme un ennemi, c'est-à-dire adhérer à une vision raciste de la société française. Cette femme devrait être condamnée pour cette injure à caractère raciste, puis déchue de la nationalité française si jamais le laxisme ambiant a fait qu’elle ait pu l’obtenir, et renvoyée en Afrique dans son pays d’origine, à l’abri de toute discrimination et du racisme qu’elle abhorre soi-disant avec tant de vigueur tout en le pratiquant de façon si désinvolte.
Thèse exoraciste : Une femme noire n’a pas à payer son billet de train
Le lendemain, une femme est interpellée par les agents de sécurité de la SNCF parce qu’elle tente de monter dans un train sans avoir acheté de billet, et se débat ensuite en vociférant pour monter tout de même dans ce train malgré l’injonction de ces agents de sécurité : Elle est alors saisie et éjectée, comme il se doit. Mais il s’avère que cette femme est noire. Aussitôt, nos exoracistes bondissent sur leurs claviers pour insulter lesdits agents SNCF, qui n’ont pourtant fait que leur travail.
Ainsi, la députée qui traite de racistes les agents de la SNCF parce qu’ils ont interpellé cette femme entre clairement dans cette sphère exoraciste, puisqu’elle s’élève pour défendre non la justice, mais la seule couleur de peau : En traitant ces agents de racistes, elle signifie que la tentative de fraude commise par cette femme est sans importance du fait qu’elle a la peau noire, et elle suit donc un raisonnement raciste et commet elle-même une grave diffamation en accusant les agents de sécurité de la SNCF de racisme, car c’est un délit puni par la loi. Il serait donc convenable de lever l’immunité parlementaire de cette députée, afin qu’elle soit condamnée pour diffamation à caractère raciste et qu’elle apprenne à prôner d’abord le respect de la loi si elle a la prétention, en tant que députée, de vouloir contribuer elle-même à son élaboration.
Thèse exoraciste : un délinquant Noir incarcéré est un prisonnier politique
Le bouquet : Dans une dépêche AFP du 28 juin 2020, selon Nicolas Dupont-Aignan, Assa Traoré ose présenter ses frères emprisonnés comme des « prisonniers politiques » : Venant de recevoir un prix d’une organisation exoraciste Etatsunienne, le BET, Assa ne se sent plus et pense que plus rien ne peut l’arrêter : Donc, maintenant, un Noir qui séquestre un vieillard sous curatelle pour lui extorquer sa fortune et que l’on met en prison n’est plus un délinquant mais un prisonnier politique !
Comment la presse capitaliste peut-elle être assez indigne pour présenter cette femme comme une héroïne, alors qu’elle est la caricature la plus grossière de l’exoraciste décomplexé ? En effet, il est difficile de faire plus en matière de racisme militant que ce qu’accomplit Assa Traoré.
Thèse exoraciste : L’extradition est une double peine
Il est un comble d’avoir satisfait en grande partie la revendication d’ abolition de l’extradition des malfaiteurs étrangers, abusivement appelée « double peine », ce qu’elle n’est pas : En droit, la double peine consiste à condamner deux fois une personne pour le même délit. Or, renvoyer dans son pays un délinquant étranger n’est pas une peine, mais une mesure naturelle de sauvegarde de l’ordre public. Le droit à résider en France n’est pas un acquis inaliénable pour un étranger : c’est une faveur qui lui est accordée, et qui doit lui être retirée s’il trouble assez gravement l’ordre public pour mériter la prison.
6 - Conclusion
A ceux qui veulent s’intégrer
Les étrangers qui veulent sincèrement s’intégrer, c'est-à-dire qui préfèrent sincèrement la culture française à leur culture d’origine, ceux-là sont les bienvenus, car la France n’est justement pas raciste, et ce n’est d’ailleurs pas un hasard si elle subit de puis si longtemps une immigration aussi massive : Si le racisme y sévissait comme le laissent entendre les mensonges exoracistes, comment se pourrait-il que plusieurs centaines de milliers de gens de couleur s’y précipitent chaque année ?
La France est bien le pays le moins raciste du monde : Qu’importe que tu aies la peau noire ou basanée, du moment que tu chéris l’histoire et la culture française et que tu nourris des sentiments d’amitié sincère pour le peuple de France ; dans ce cas, tu es le bienvenu, et nous te considérons comme notre frère, même si tu es d’origine lointaine. Pour toi, nous savons que tu vis comme un calvaire l’insolence haineuse permanente de ceux de tes compatriotes versant dans l’exoracisme et qui retombe malheureusement sur toi qui es pourtant parfaitement loyal envers ce pays que tu as choisi pour t’y intégrer.
De fait, l’intégration est très facile à celui qui la souhaite, car le peuple français est réellement accueillant et n’a jamais fait de la race un critère rédhibitoire, c’est même ce qui caractérise depuis toujours la fille aînée de l’Eglise : Tous les peuples malmenés par la tyrannie ont depuis toujours cherché refuge en France : Arméniens, Russes, Polonais, Italiens, Espagnols, Portugais, Juifs d’Afrique, Iraniens, Vietnamiens, Cambodgiens…
En revanche, celui qui refuse la culture et les mœurs françaises pose un réel problème, quelle que soit sa race, et il faudra bien qu’un jour il retourne épanouir ses mœurs dans leur pays d’origine.
Que faire des autres ?
Les médias capitalistes ou d’Etat sont responsables du spectacle exoraciste orchestré de longue date et subitement accéléré depuis l’affaire George Floyd car, qu’ils soient dits « de gauche » ou « de droite », ces médias sont avant tout au service de ceux qui les possèdent, et ceux-ci ont payé pour qu’on agite au premier plan les marionnettes qu’ils ont confectionnées dans le but de fourvoyer le peuple : c’est la fameuse technique du matraquage dont nous avons parlé plus haut.
Associées enthousiastes du mondialisme, les multinationales entrent dans cette danse hystérique en bannissant le mot « blanc » de toutes leurs communications. Nous touchons là le fond de la bêtise, de l’hypocrisie et de l’abaissement.
Il est temps à présent de reprendre nos esprits pour mettre fin à l’impunité de l’exoracisme en utilisant toutes les dispositions des lois antiracistes pour l’arrêter, en traquant impitoyablement ses agents les plus nocifs, qui profèrent à jet continu des contre-vérités haineuses contre ce pays et sa police en usant d’un racisme si flagrant dans leurs déclarations que l’examen judiciaire de leurs propos devrait largement suffire à les incarcérer puis les faire expulser vers leurs pays d’origine si ce gouvernement manifestait enfin la volonté d’agir contre le racisme, y compris sous sa forme exogène.
Car, encore une fois, l’exoracisme est un racisme. Il est le contraire de l’antiracisme. La volonté antiraciste commande de le combattre avec la même vigueur que celle avec laquelle est combattu l’endoracisme depuis 40 ans.
Pierre Mellifont.
Notes
(1) Evangile selon saint Matthieu, 28.19
(2) : Talmud, Zohar I, 131a : « Les goyim souillent le monde. Le juif est un être supérieur »
(3) Coran, 20. 113 : « C'est ainsi que nous avons fait descendre un Coran en langue arabe »
(4) voir FREDERIC PIERUCCI, « Le piège Américain », JC Lattès, 2019
(5) Bulle pontificale « Sublimis Deus », Paul III, 29 mai 1537, consultable sur Wikipedia
(6) The Observer, 09/02/2020 « interview : John Sweeney », extrait : ‘“… I can finally say these are not the views of the BBC, but he’s a complete c**t.” (N.B : c**t = cunt = con, connard en français).
(7) « Le mensonge n’est un vice que quand il fait mal. C’est une très grande vertu quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours. Mentez, mes amis, mentez, je vous le rendrai un jour » Lettre à Thiriot du 21 octobre 1736 - "Voltaire. Œuvres complètes", Garnier, tome34, p.163
(8) Le Point, 02/02/2018 « Une association réveille le débat sur le ‘racisme anti-Blanc ‘ »
(9) France-Info, 19/09/2019 "L'instant détox : un blanc sur sept serait victime de racisme anti-blanc" (9)
(10) https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27attaques_terroristes_islamistes_en_France
(11), France-Inter, 14/11/2019 https://www.franceinter.fr/je-ne-retrouverai-jamais-ma-vie-d-avant-un-an-apres-deux-gilets-jaunes-blesses-a-l-oeil-temoignent
20 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON