« Nous ne pouvons pas exclure la possibilité qu'un mutant du SRAS-CoV-2 échappe à l'immunité vaccinale et conserve son aptitude et sa pathogénicité »
« Ce serait un problème majeur, car une telle variante pourrait diminuer, voire abolir, les effets bénéfiques d'un vaste programme de vaccination ».
Roberto Burioni, virologue.
Des études de modélisation suggèrent que le respect d'autres mesures de prévention, telles que le port de masques et la distanciation physique, continue d'être important dans le contexte de la mise en œuvre du vaccin. (176-184) Dans une étude, l'assouplissement complet des mesures de prévention pour l'ensemble de la population avant une couverture vaccinale adéquate (60 à 80 % selon la population considérée) n'a entraîné pratiquement aucune réduction des infections au SRAS-CoV-2
Les politiques de santé publique, pressées de rétablir les économies perturbées par le processus viral en cours, ont tout misé sur la solution vaccinale.
Il se trouve que ce virus, dans son efficience mutante, rebat les cartes biologiques toutes les heures, voire toutes les secondes, à chacune de ses nouvelles intrusions au sein de sociétés diverses répondant différemment, non seulement politiquement mais biologiquement à cette présence virulemment intrusive.
Quand l’épidémie de Sida a frappé le monde occidental, les décideurs de ce dernier ont plaidé pour la plus grande tolérance possible à l’endroit de ses porteurs. Hormis quelques voix incorrectes qui évoquaient la possibilité d’établir des sidatoriums, afin de prémunir les collectivités de toutes formes de contaminations, les autorités publiques se contentaient de fixer des normes hygiéniques à respecter, en laissant libre cours aux diverses fêtes débridées et autres apologies esthétisantes du lâcher-prise personnaliste à forte connotation individualiste déresponsabilisante.
Dès lors, comment comprendre la pression faramineuse opérée par les États et leurs médias affiliés pour assurer une totale soumission des citoyens à une campagne de vaccination fortement hypothétique quant à son efficience du fait d’une variabilité permanente et insaisissable du processus viral en cours et de l’impossibilité technique de déboucher sur une immunité collective, immunité dont la théorisation strictement scientifique n’a jamais fait l’unanimité chez les spécialistes concernés.
L’irresponsabilité schizophrénique de ces autorités publiques se manifeste quotidiennement, via toutes les célébrations populaires tolérées ayant trait aux Jeux Olympiques lourdes de revenus fiscaux potentiels, ou autres compétitions libérales ayant droit de cité.
Certains philosophes sarko- compatibles affirment que les récalcitrants à ces campagnes de vaccinations aux horizons indéterminés ne sont que des pitres liberticides doublés de crétins nazis.
Ils oublient qu’en fait, ce ne sont pas ces derniers individus souverains qui ne veulent pas brader leurs libertés physiques et spirituelles sur l’autel d’une communauté fictive de destin, qui mettent en danger toute forme d’unité sociale, mais bien elles, ces élites auto-proclamées venues de nulle part, qui bradent le sacré de la liberté fondamentale, celle de disposer de son corps et de son esprit, et non au profit de firmes et de conglomérats internationaux qui n’ont que faire de la santé des uns et des autres, mais ne visent qu’à assoir la puissance de leurs capitaux dévoyés.
C’est face à cet abîme de cynisme, que l’individu même le plus égoïste, malgré lui, devient une force de résistance et d’avenir, face à leur nouveau monde, dont ils sont les seuls à vouloir humer le fumet.