La bonne santé ne vient pas d’une aiguille
Nous sommes à la veille de nous voir imposer 11 vaccins sous la pression des lobbies pharmaceutiques qui ont largement circonvenu nos dirigeants politiques et nos autorités sanitaires.
Certains médecins se lèvent contre cette obligation, comme le Pr Joyeux, ou le Pr Gherardi. Ce dernier nous explique que 1 à 2% des humains sont incapables d'éliminer l'aluminium vaccinal, que celui ci s'accumule chez eux dans les muscles, les macrophages et le cerveau. Comme cet aluminium persiste dans l'organisme, il continue à stimuler outrageusement le système immunitaire pendant le reste de la vie de la victime, provoquant des maladies auto-immunes variées et très graves.
Si c'est déjà bien de leur part, c'est insuffisant. Je les comprends, parce qu'un vrai discours anti-vaccin est encore inaudible pour nos cerveaux formatés depuis 200 ans, par la peur et le mensonge. Donc ces deux médecins continuent à affirmer et proclamer l'utilité des vaccins. Comme si l'aluminium était le seul problème...
Il est d'autres médecins, comme je le suis devenu moi-même sous la pression des faits, qui proclament que les vaccins sont d'une très faible utilité, sans commune mesure avec les dégâts qu'ils occasionnent, preuves à l'appui.
C'est le cas du Dr Suzanne Humphies, dont je vous présente l'interview. Pour elle comme pour moi, l'année 2009 fut l'année du déclic et du réveil d'un endormissement coupable, avec la scandaleuse affaire du vaccin H1N1 que vous connaissez tous : 2 milliards jetés aux chiens, 94 millions de doses achetées, 7 millions administrées, pour une pseudo-épidémie, la plus bénigne depuis des lustres, par la promotion scandaleuse d'un vaccin inutile.
Le Suzanne Humphies ne se contente pas de stigmatiser les effets indésirables nombreux et sous notifiés des vaccins dans leur ensemble, elle souligne aussi leur inefficacité globale, et les dégâts qu'ils causent au système immunitaire.
Elle prend l'exemple de la rougeole, qui est une maladie bénigne, quoiqu'on tente de vous faire croire, et de son vaccin qui a terme fragilise à cette maladie, et termine son exposé sur cette évidence que je défends comme elle depuis longtemps, le caractère bénéfique de l'hyperthermie, qu'il faut impérativement respecter devant toute maladie infectieuse.
Bonne lecture à tous, et soyez prêts à protester en masse dans les semaines qui viennent, faute de quoi, si certains de vos enfants resteront handicapés à vie, tous en sortiront affaiblis et bien plus souvent malades que les non-vaccinés. Et si un jour il n'y a plus que des vaccinés, on vous fera croire que la maladie est une chose naturelle, alors que c'est la santé qui l'est.
N'ayez plus peur de penser par vous-mêmes, étudiez le sujet à fond, votre santé n'est la propriété d'aucun gouvernement, d'aucun lobby.
Interview avec le Dr Suzanne Humphries : L’illusion de la vaccination, le vaccin contre la rougeole et les faits étouffés 16.07.2017
Le Dr Suzanne Humphries est médecin spécialiste des maladies internes et néphrologue et elle travaille indépendamment de l’industrie pharmaceutique. Pendant sa pratique qui a duré des dizaines d’années, elle a fait l’expérience personnelle que la médecine courante crée dans beaucoup de cas des nouvelles maladies au lieu de guérir les gens. Pendant de nombreuses années elle a fait des recherches sur les vaccins et sur les maladies infectieuses et a publié ses résultats dans son livre intitulé. « L’illusion du vaccin – les maladies infectieuses, les vaccins, et les faits étouffés ». Elle y met à la lumière des aspects importants qui jusqu’à présent sont peu connus du public mais qui pourraient être très utiles.
Pendant son voyage en Scandinavie le Dr Suzanne Humphries a rencontré kla.tv pour une interview en ce qui concerne la rougeole, le vaccin contre la rougeole et les vaccins en général. Elle a parlé de ses propres convictions en ce qui concerne ces différentes questions. Par exemple, si un vaccin contre la rougeole a du sens ou non et comment on peut se protéger d’une infection de rougeole par un moyen naturel. En fin de compte elle montre combien le savoir des médecins en ce qui concerne le système immunitaire est insuffisant et quelle imprudence ce serait d’obliger les gens à se faire vacciner malgré ce manque de connaissance. Écoutez maintenant sur kla.tv cette voix indépendante sur le sujet du vaccin contre la rougeole ; cela doit continuer à vous aider à vous forger votre propre opinion.
INTERVIEW : kla.tv : Dr. Suzanne Humphries, vous êtes médecin et vous travaillez à mettre la lumière sur le sujet de l’immunité et de la vaccination ; dans votre livre « L’illusion de la vaccination – Les maladies infectieuses, les vaccins, et les faits étouffés », vous recherchez la véritable cause des maladies infectieuses et le rapport avec les conditions de vie, la nutrition et la santé. Vous vous basez sur des faits longtemps négligés et aussi sur des sources et vous dissipez le mythe selon lequel les vaccins nous ont libérés des maladies. Qu’est-ce qui vous a poussée en tant que médecin à remettre les vaccins en cause ?
Dr. Suzanne Humphries : C’était pendant l’hiver 2009 quand je travaillais dans un grand institut d’enseignement aux Etats-Unis en tant que néphrologue. J’étais un médecin qui vaccinait et je n’avais jamais envisagé qu’il pouvait y avoir de problème avec la vaccination. Certains patients étaient admis dans la clinique, ils avaient auparavant un fonctionnement rénal normal, et quand ils sont rentrés à l’hôpital ils avaient besoin d’une dialyse et le premier patient qui m’a fait penser qu’il pourrait y avoir un problème, c’est un patient qui m’a dit : « J’allais bien jusqu’à ce que j’aie ce vaccin. »
Et je lui ai posé d’autres questions et j’ai découvert que nous avions un dossier qui disait qu’avant le vaccin il avait des reins normaux, et maintenant il avait besoin d’une dialyse. Il y a eu trois autres cas identiques. Et là j’ai pensé : voyons ce qui se passe quand nous administrons ces vaccins à l’hôpital.
Et là j’ai vu qu’il y avait certains patients, c’était rare mais c’est arrivé, qui développaient des insuffisances rénales, 24 heures, parfois 48 heures après le vaccin quand ils étaient à l’hôpital. Aucun autre médecin ne pouvait trouver une autre cause à cela. Si dans le passé il y avait un médicament pour la tension artérielle ou bien un antibiotique qui causait un dommage aux reins, alors j’ordonnais d’arrêter de donner ce médicament et personne ne remettait ça en question. Car moi j’étais la spécialiste et tout le monde était d’accord que c’était ce médicament qui causait le problème.
Mais quand il a été question de la vaccination, ça a été une toute autre histoire. Personne ne pouvait croire qu’un vaccin pouvait causer des problèmes rénaux. Même quand je leur présentais les faits et les rapports des cas où certains patients n’avaient pas bénéficié d’un protocole de sécurité dans notre hôpital, je me heurtais toujours à un mur d’incrédulité obstinée. Et pour cette raison et parce que j’avais affaire à des vaccins contre la polio et la variole, quand je voyais des patients souffrir d’une insuffisance rénale après avoir été vaccinés contre la grippe, je me suis dit : Je ne pense pas que ça à voir avec le vaccin contre la grippe. Mais je vais quand même faire des recherches sur le vaccin contre la polio et la variole.
Et quand j’ai fait des recherches, j’ai découvert que l’histoire et la science derrière ces deux vaccins est tout autre que la minuscule portion d’information que nous en tant que médecins, nous comprenons. Le fait est que pendant leurs études de médecine en règle générale les médecins n’apprennent rien du tout sur les vaccins. Ils apprennent seulement quels vaccins existent et quand ils doivent être administrés. Nous prenons pour argent comptant qu’ils sont efficaces, importants et nécessaires. Exactement comme je le croyais aussi jusqu’en 2009 lorsque j’ai remarqué qu’ils ne sont pas forcément sûrs pour tout le monde. Et quand j’ai commencé à remettre en question la sécurité, je me suis heurtée à l’incrédulité et à un vrai rejet.
De façon surprenante cela m’a amenée à faire plus de recherches, ce que je fais depuis à temps plein, toute la journée, presque tous les jours ces dernières années. Je me suis intéressée à l’histoire de la biologie immunitaire et à la biologie des vaccins et à la littérature médicale sur l’immunologie des vaccins.
Kla.tv : L’organisation mondiale de la santé (OMS) avait pour but d’éradiquer la rougeole dans le monde entier avant 2015 avec l’aide d’un vaccin contre la rougeole. Ce but ne sera pas atteint mais la pression des services de santé pour créer des vaccins obligatoires pour les enfants devient de plus en plus forte. D’après vous est-ce qu’un vaccin contre la rougeole a du sens ?
Dr. Suzanne Humphries : Oui, s’il existait un vaccin efficace et de longue durée et qui entre dans le corps de façon naturelle comme la rougeole entre dans le corps, mais un tel vaccin n’existe pas. Et cela a été imprimé et publié à maintes reprises par certains des chercheurs en vaccinologie reconnus mondialement comme par exemple le Dr Gregory Poland qui a dit explicitement que le vaccin que nous avons n’est pas en mesure de faire disparaître la rougeole de la planète parce que :
a) il ne reste pas assez longtemps dans le corps, ce qui fait que maintenant des adultes peuvent contracter la rougeole,
b) certaines personnes ne réagissent pas du tout au vaccin quand il est injecté. »
Alors que quand vous attrapez la rougeole et que vous guérissez, vous avez pendant 65 ans ou plus, une immunité naturelle, solide et forte. L’autre problème avec les vaccins, c’est que les mères vaccinées ne sont pas en mesure de transmettre une immunité forte et durable à leurs bébés. C’est pour cela que nous avons des bébés qui peuvent attraper la rougeole alors que dans le passé ils ne le pouvaient pas, car leurs mères leur avaient transmis pendant la grossesse une très forte immunité.
Alors nous avons un vaccin qui n’est incontestablement pas en mesure d’atteindre le but de l’Organisation mondiale de la Santé, même si tous les hommes sur terre étaient vaccinés deux fois. C’est impossible. L’OMS avait aussi pour but d’éradiquer les oreillons avant 2010. Maintenant nous sommes en 2015 et il y a eu de grandes épidémies en Australie, en Corée et nous avons toujours des épidémies aux États-Unis bien que nous ayons ajouté un autre vaccin dans le programme. Nous entendons toujours le même message : Nous avons pour but d’éradiquer des maladies et il y aura une campagne de vaccination de masse ; alors ils font ces campagnes de vaccinations de masse. Et quand il s’agit de la rougeole ou des oreillons, ce qu’ils font, c’est qu’ils arrivent à faire disparaître la transmission de la maladie chez les enfants et ils exposent le reste, les adultes à la maladie et alors il y a des épidémies.
Et alors ils disent : « Nous devons ajouter plus de vaccins. » Mais ce qu’ils disent maintenant c’est que nous devons entrer dans le nouvel âge d’or des vaccins et que nous devons commencer à créer des sortes différentes de vaccins avec différentes techniques génétiques et avec plusieurs rappels. Et alors si un vaccin échoue nous ne pouvons dire qu’il y a eu un problème avec celui-ci que si nous avons un autre vaccin à présenter au public. Donc il y a certains grands problèmes en ce qui concerne l’efficacité des vaccins et en ce qui concerne cette croyance religieuse que les vaccins tiennent à peu près aussi longtemps que la maladie naturelle nous immunise. Et nous avons aussi un faux niveau d’alerte en ce qui concerne le danger de la rougeole, des oreillons et de la grippe. J’en ai déjà souvent parlé, et dans beaucoup de conférences que j’ai faites en Scandinavie ; nous avons parlé de certains points dans notre livre. Bien que les chercheurs en vaccinologie puissent parler d’un succès puisqu’ils ont fait baisser le taux de malades dans une partie de la population, ils ne vont pas éradiquer la maladie. C’est une utopie de penser qu’ils pourraient complètement éradiquer ces maladies. Et de la même manière il est aussi faux de dire que ces maladies sont mortelles aujourd’hui dans notre société.
Kla.tv : Y a-t-il des moyens naturels pour se protéger d’une infection de rougeole ?
Dr. Suzanne Humphries : Si vous êtes susceptibles d’attraper la rougeole c’est-à-dire si vous n’êtes pas immunisé contre la rougeole alors vous ne pouvez pas vous protéger. Vous allez l’attraper ! Donc si vous êtes quelqu’un chez qui l’effet du vaccin a diminué ou chez qui le vaccin n’a jamais pris ou si vous êtes quelqu’un qui n’a jamais été vacciné, ou si l’immunité transmise par votre mère n’est restée que peu de temps dans votre corps, alors vous êtes susceptible d’attraper la rougeole. Mais je ne crois pas qu’il est nécessaire d’empêcher les gens d’attraper la rougeole et nous avons écrit un livre détaillé sur ce sujet car le taux de mortalité dû à la rougeole était déjà à presque 0% avant que le vaccin soit introduit dans les sociétés occidentales.
Ce que nous avons aujourd’hui, ce sont des rappels du ministère de la Santé qui montrent qu’au 19ème siècle il y avait un taux de mortalité élevé dû à la rougeole et c’est vrai. Même en Islande au 19ème siècle il y avait un taux de mortalité due à la rougeole élevé, mais si vous regardez à partir de 1916, vous remarquerez une baisse significative du taux de mortalité qui se poursuit jusque dans les années 60-70 avant que le vaccin ne soit introduit. Dans la plus grande partie de la Scandinavie, le taux de mortalité était presque de 0%, et c’est aussi le même cas en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis, en Angleterre et au Pays de Galles. Donc face à cela vous devez vous poser la question suivante : La rougeole est-elle aussi mortelle qu’on nous le dit ? Et la réponse est NON.
Il n’y a aucune raison pour que la rougeole soit mortelle aujourd’hui avec les connaissances que nous avons aujourd’hui, avec l’équipement médical que nous possédons et dont nous n’aurions même pas besoin si la rougeole était bien traitée et cela veut dire aussi de donner de la vitamine A (et là l’OMS est d’accord : donnez de la vitamine A en cas de rougeole), de donner de la vitamine C et d’avoir une bonne alimentation de base, ce qui est le fondement. Si ces choses sont faites et si on a un microbiome sain – en fait les bactéries et les virus qui vivent normalement dans le corps, cela fait partie de votre système immunitaire. Nous savons aujourd’hui d’autant plus comment garder un système immunitaire en bonne santé, il ne devrait pas y avoir de raison d’avoir peur de la rougeole dans la population.
Un autre argument est que les bébés doivent être protégés et que les enfants doivent être protégés ainsi que les adultes qui ont le cancer, et que ceux-ci ne doivent pas être vaccinés. En ce qui concerne les bébés, les bébés étaient bien protégés avant les vaccins, ils étaient bien mieux protégés qu’ils ne le sont maintenant. En fait les vaccins sont la raison pour laquelle les bébés ne sont plus bien protégés de nos jours. C’est pourquoi je ne peux pas approuver ce contre-argument.
Et en ce qui concerne les malades du cancer, vous pouvez lire un panneau dans tous les centres de cancérologie : « N’entrez pas si vous avez été vaccinés récemment avec un vaccin qui contient des virus vivants. » Alors si les virus vivants des vaccins sont transportés par des gens qui sont vaccinés donc ils sont dangereux pendant les premières semaines après la vaccination. Et il en est de même avec plusieurs vaccins. Mais il y a autre chose : si vous avez le cancer il est de toute façon plus sage de ne pas chercher la grande foule car vous pouvez attraper non seulement des maladies contre lesquelles il existe des vaccins mais aussi certaines maladies contre lesquelles il n’existe pas de vaccins. Si vous avez un cancer et que votre système immunitaire a été de façon intentionnelle complètement neutralisé par les oncologues et les médecins dans l’espoir que vous puissiez vaincre le cancer.
D’après moi nous ne devrions jamais laisser vacciner tous nos enfants en parfaite santé qui pourraient parfaitement gérer la rougeole seulement pour protéger une toute petite partie de la population qui a été créée par le système médical et dont le système immunitaire a été complètement détruit par la médecine. Il n’est pas juste de vous demander que vous le fassiez avec vos enfants et avec tous les autres enfants en bonne santé. Car il y a des risques qui sont liés au vaccin de la rougeole, et le vaccin de la rougeole ne protège pas aussi longtemps ou aussi bien que la maladie naturelle.
Kla.tv : C’est très intéressant. Les parents des petits enfants se posent toujours la question de savoir s’ils doivent faire vacciner leurs enfants. Ils veulent le meilleur pour leur enfant, en plus de cela l’information que les vaccins nous protègent des maladies est largement propagée. Avez-vous un conseil à donner aux parents : comment peuvent-ils s’informer sur les vaccins et à quoi doivent-ils faire attention ?
Dr. Suzanne Humphries : Oui, la 1re chose que les parents devraient faire c’est d’écouter tout ce que le gouvernement à dit, d’écouter l’OMS, d’écouter leur médecin, de lire toutes les informations qui sont données et ils peuvent demander la notice de la boîte du vaccin, et puis les substances que contient le vaccin. On ne va pas être content si vous demandez cela, mais je veux que tous les parents lisent toutes les notices d’accompagnement, recto et verso et qu’ils comprennent les informations qui y sont écrites. C’est ce que les parents devraient faire pour commencer. Et alors en plus de cela ils devraient lire d’autres informations, dans des livres et des informations alternatives car il y a beaucoup d’informations qui ne sont pas données aux parents, exprès, parce que (et encore une fois, c’est très bien expliqué dans le journal Pédiatrix et dans d’autres revues médicales) parce que les infos qui sont données aux parents sont réduites au minimum pour les pousser à laisser vacciner leurs enfants.
Leur but n’est pas de donner une compréhension étendue des maladies et des vaccins. C’est pour cela que les parents doivent comprendre qu’il y a des maladies contre lesquelles il existe des vaccins qui vont protéger leur enfant contre cette maladie pour une courte durée. C’est le cas pour presque tous les vaccins. Mais la bonne santé ne vient pas par dune aiguille. Dans le vaccin il n’y a rien qui a un effet positif sur la bonne santé du corps.
Et les parents doivent comprendre cela. Ils doivent comprendre le système immunitaire des bébés et que le système immunitaire des bébés de par sa nature est créé pour être anti-inflammatoire ; et il y a une bonne raison pour ça. J’ai parlé abondamment de ce sujet dans ma conférence sur l’immunité des petits enfants. Ils doivent comprendre que quand un vaccin est administré à un petit enfant cela viole cet état naturel dans lequel un bébé est censé se trouver pendant que son système immunitaire apprend à se développer et à devenir fort.
Alors les parents doivent décider si leur peur devant une maladie est assez grande pour enfreindre toute disposition naturelle du système immunitaire naturel. Je conseille aussi aux parents de parler avec d’autres parents dont les enfants n’ont pas été vaccinés et avec des parents dont certains enfants ont été vaccinés et d’autres pas vaccinés. Ils devraient s’informer de la santé de ces enfants, combien ils ont besoin d’antibiotiques ; qu’est-ce qu’ils ont fait quand les enfants ont été malades et comment on les soigne et ils devraient leur demander pourquoi ils n’ont pas fait vacciner leurs enfants et qu’est-ce qu’ils ont compris. Car de tels parents sont des mines d’informations et ils sont sûrement heureux de partager leurs connaissances avec vous.
Alors peu importe que vous soyez vaccinés ou pas, que vous ayez fait vacciner vos enfants ou pas, vous devez comprendre comment s’y prendre avec le système immunitaire. Vous devez comprendre l’alimentation, vous devez comprendre comment on peut se soigner soi-même, y compris avec la vitamine C et vous devez comprendre ce qui se passe chez un mammifère lors d’une fièvre.
Car la fièvre a un but mais malgré tout les parents et les médecins ont d’une certaine façon peur de la fièvre (je n’ai jamais compris pourquoi) ils veulent traiter la fièvre comme si c’était la maladie elle-même. Alors que la fièvre est un signe que le corps est en train de faire son travail. Et lorsqu’on essaye de faire baisser la température c’est comme si on tuait son chien parce qu’il aboie, vous ne voulez pas ça. Vous devriez laisser cette fièvre pour qu’elle fasse son travail, ce qui veut dire : chauffer le corps pour qu’il tue les microbes et qu’il communique avec d’autres cellules qui peuvent entrer en jeu pour combattre cette maladie. L’enfant ne va pas se sentir forcément mieux, en fait, c’est les parents et les médecins qui se sentent mieux. Mais en fait il serait mieux de ne pas traiter cette fièvre car alors vous êtes moins susceptibles de répandre la maladie et vous risquez moins d’en mourir. Et c’est une réalité médicale attestée dans beaucoup de revues médicales, que vous soyez en soins intensifs ou chez vous, vos chances de survie sont plus grandes si vous n’essayez pas de faire baisser la fièvre avec un médicament.
Kla.tv : Merci beaucoup, Dr Suzanne Humphries pour le temps que vous avez pris pour cette interview.
Dr. Suzanne Humphries : De rien. Merci.
de Claudia H.
Sources / Liens : SOURCES : Interview Die Impf-Illusion – Infektionskrankheiten, Impfungen und die unterdrückten Fakten, Dr. Suzanne Humphries, Roman Bystrianyk http://drsuzanne.net/
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