La créativité de l’artiste
La semaine dernière, je commençais le nouvel eBook de fiction "Catch-22 chez les lobbies". Pour moi, une fiction s'associe souvent à une réalité pour l'extrapoler.
Au sujet de cet eBook, j'avais eu l'idée de solliciter l'imagination des rédacteurs et des commentateurs de agoravox.fr dont je fais partie puis 2005
Personne ne s'est présenté. Quelques commentaires étaient intéressants, mais tous étaient tournés sur le passé ou le présent sans extension dans un futur fictif et imaginatif.
La semaine dernière, Le VIF parlait de la créativité comme une bouclier contre l'anxiété.
Préambule du dossier : "Vivace chez l'enfant mais souvent enfouie chez l'adulte, la créativité est un outil efficace pour améliorer notre quotidien. Face à l'adversité, au stress et un monde incertains, elle peut aider. Collectivement ou à titre personnel, à l'école, sur scène ou en entreprise, certains ont choisi de miser sur elle".
L'imagination par l'écriture peut donner l'envie de s'extraire de l'anxiété du quotidien rabâché comme un leitmotiv par les médias.
Des personnalités parlent de la créativité
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- “Les chocs culturels stimulent la créativité.”, Picasso
- “La créativité autorise chacun à commettre des erreurs. L’art c’est de savoir lesquelles garder.”, Robert Byrne
- “La créativité et le génie ne peuvent s'épanouir que dans un milieu qui respecte l'individualité et célèbre la diversité. ”, Maurice Zeidman
Les principes de la créativité
En dehors d'une activité productrice, c'est un investissement en temps passé à réfléchir après une idée à sous-estimer les compétences requises au risque de se planter. Dans une situation particulière et un contexte donné, la créativité met en œuvre une production nouvelle. Il ne faut pas la confondre avec l'innovation qui cherche à changer les choses sans contrainte de forme et de fond. Pour la science, c'est le développement des idées face à une contrainte. En littérature, cela peut être un alexandrin qui amène l'auteur, plus loin, au-delà de tout en sortant même de soi et de ses habitudes. La notion de créativité est imprégnée d'idées contradictoires entre un comportement volontaire dans un but à recombiner des propositions inappropriées ou d'un relâchement des inhibitions de pensées libérées dans des associations spontanées en modifiant les perceptions et en s'affranchissant des discours dominants des réalités par une envie sans juge et sans peur de s'écarter de la norme. Une légère déconstruction est nécessaire puisque la créativité n'est pas reliée à un talent artistique mais dans version conceptualisée de manière authentique qui porte du sens pour soi-même et en soi-même. Il ne faut pas chercher des lois à la créativité. Elles n'existent pas. Il vaut mieux les respecter sans plus comme des pensées à partir d'un mouvement intérieur qu'elles arrivent à l'âge de 20 ans ou celui de 75 ans, initiées parfois par le mouvement, le bruit ou une réaction à la suite d'un contact humain instinctivement inapproprié. La créativité ne tourne pas autour du savoir mais autour d'un appétit, de la passion et de l'énergie nécessaire à l'interprétation d'une situation avec le regard que l'on porte sur elle suite à une pause, un arrêt sur image à réfléchir sur le temps qui passe. Tout le monde peut être créatif à un moment donné, mais la créativité de l'artiste n'est pas très répandue.
Réflexions du Miroir
Créer, c'est une idée de fondation, d'établissement de quelque chose qui n'existait pas avant elle. Elle engendre un sentiment, une réflexion qui tourne autour d'un bonheur réel ou fictif.
Un créateur est celui qui fait varier les concepts de résolution de problèmes que personne n'avait imaginé avant lui.
Aucune idée d'hégémonie à y ajouter dans ce processus de créativité puisque tout le monde peut en avoir de la sorte en fonction de son expérience, de ses réussites et de ses échecs.
Deux paradigmes s'entrechoquent et parfois se complètent : l'humain analogique et le numérique.
Le paradigme humain est sujet à interprétations, à des déviances en agissant sur les sentiments influencés par son entourage.
Si tous les êtres vivants suivent le même schéma entre une alternance de statuts de prédateurs et de proies par le pouvoir et par le sexe, l'homme s'associe à des croyances et des convictions personnelles qu'elles soient politiques ou religieuses.
Le paradigme du numérique, lui, est immuable sans interprétations convictionnelles. Il fait partie des sciences dites exactes. Rationnelles, elles donnent toujours les mêmes résultats sans intégrer sentiments, croyances et fois.
En 2016, le billet La stratégie du cœur contre celle du cerveau ? en parlait déjà.
Pas de dieux suprêmes. S'il y a des erreurs de calcul ou d'appréciation de phénomènes, la stratégie du cerveau apporte une correction pour remettre le bon sens sur les rails.
L'inverse de la citation "le cœur à ses raisons que la raison ne connaît pas" existe aussi par une autre citation : "la raison a des solutions que le cœur ne connait pas".
D'après les croyances, Dieu est le créateur du monde. Un créateur n'assume pas pour autant, les erreurs qu'il a dû commettre en les introduisant dans notre monde.
Un créateur n'est jamais obligé de vendre ses idées, ni de les consommer. Il les crée et ne s'en préoccupe qu'au moment où les clients reviennent au créateur pour lui révéler son désaccord. Je n'ai jamais entendu que les croyants ou les disciples vendeurs de la foi de Dieu-créateur lui aient envoyé une lettre pour apporter ses récriminations. Non, chacun à sa place avec ses propres fonctions pour propager les inventions et les créations avec ses propres facultés de prospection, de persuasion envers ses clients.
Trop liés aux convictions politiciennes et religieuses, ces facultés restent dans une logique partiale et beaucoup plus ou trop limitées.
L'incompatibilité semble alors, devenir chronique avec le seul lien entre les deux : l'utilisation de l'argent et de l'humour.
"Une intelligence artificielle redoutable", lisais-je.
L'Intelligence Artificielle fait peur mais elle n'a rien d’artificiel. Ce sont les idées et méthodes humaines qui ont été introduites dans une machine ou un robot pour éviter les étapes répétitives, pour accélérer les résolutions de problèmes en accédant à des bases de données mondiales. Cela dit, ChatGPT produira une réponse à ce que vous le demanderai mais sans originalité. Le problème n'est pas qu'il soit naturel ou artificiel mais comme le dit cet enregistrement l'homme n'est pas prêt et l'écolage traditionnel avec des programmes statiques ne parviendra pas à contrer l'écolage sur en ligne flexible comme ZOOM, bon marché, mis à jour en continue mais qui demande comme points négatifs de l'autodiscipline, une perte d'interaction sociale
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Le paradigme dit naturel existe dans la vie de tous les êtres vivants avec le pouvoir et le sexe pour perpétuer les espèces. L’homme y a seulement ajouté les croyances et l'argent comme lien avec le paradigme du numérique.
Dans notre monde, il y a trois sortes de personnes : les créateurs, les vendeurs et les clients.
Dans la version religieuse, ces mots parlent de Dieu(x), de prophètes et de ouailles.
Ce sont les artistes qui font l'intermédiaire selon les principes de la créativité.
J'ai relu le billet "Donne-moi l'esprit", écrit 2020.
A part le fait que nous étions en plein dans la crise sanitaire du Covid et son empêchement de circuler librement, rien n'a vraiment changé. Masi il faut suivre l'évolution et les études qui expliquent ce que l'on ne comprenait pas avant elles.
Dimanche, suite à une étude, Pasquale Nardonne apprenait que c'était la chauve souris qui, en vecteur de ce virus, avait aussi l'homme comme autre vecteur plus important suite à sa manière de s'organiser, de son propre mal-être
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"Créer des solutions par l'intermédiaire du paradigme numérique", c'est ce que j'ai fait pendant la vie active, jusqu'en 2006. Je ne m'intéressais pas aux sciences humaines. Depuis 16 ans à la retraite, je me suis tourné vers l'homme et sa psychologie en "émetteurs d'allusions" de manière originale, sans aucune volonté de donner de leçons à quiconque.
Comment s'y prendre pour stimuler sa créativité et sortir de soi en se confrontant à ses habitudes et son environnement ?
Une clé facile d'accès est l'écriture transmises ensuite dans des discussions.
J'ai déjà parlé de l'écriture dans un billet "Quand les livres délivrent".
Il faut qu'écrire délivre ce qu'on a dans l'esprit et en laissant une petite place au cœur. C'est un investissement personnel qui ne doit pas perdre de vue la relation entre prix et performance.
Ouverture de parenthèse : "En 2022, avec certains contacts en parallèle, j'ai ouvert plusieurs parenthèses avec des phases de tests ouvertes dans la bonne humeur mais qui se terminaient en bides, en queue de poisson dans la déception de chacun". Fermeture de parenthèse.
Dans le livre "Ça commence aujourd'hui", Faustine Bollaert raconte l'histoire de quelques invités parmi les 4000 visiteurs qu'elle a eu depuis 2017. Les titres de ses chapitres sont invocateurs des pensées différentes de ses invités :
- Vie qui commence dans la rue
- Quand la liberté devient combat
- Pas né dans le bon corps
- Des retrouvailles inespérés
- Quand la parole libère
- Quand l'impossible arrive
- Partager pour informer
Il parait que une des résolutions des Français pour 2023 est de lire plus
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Je lis beaucoup. Je survole tout ce qui me tombe dans les yeux en surface ou en profondeur.
Comme le cactus, quand j'entame une nouvelle année, j'appréhende toujours la page blanche, le manque d'idées. J'ai peur de me répéter sur les pratiques politiciennes, sur les indécences qui sapent la démocratie à la racine par le populisme
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J'ai parlé récemment de ce qui attendaient les LION pour 2023.
Cette semaine, je lisais en substance sur MSN au sujet du signe de la Vierge dont je fais partie : "2023 est une année faite de nombreux défis qui se profile à l’horizon des Vierge. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les astres vont mettre les Vierge à rude épreuve ! Ils devront à tout prix dépasser leurs limites pour démontrer leur combativité et leurs capacités d’adaptation pour ne pas passer à côté de nombreuses opportunités. Désavantagés, ils pourront en ressortir gagnants sur tous les plans. À l’approche de l’été notamment, il faudra saisir la balle au bond car les choses évolueront dans le bon sens pour tirer l'épingle du jeu des troubles et des tourments. Une tendance à s'autodétruire et/ou à gâcher en draguant des personnes de façon inappropriée. Au pied du mur, il faut sortir de la zone de confort si les autres auront du mal à vous comprendre. En fin d’année, il faudra tenir le bon bout et se montrer particulièrement fort. Haut les cœurs !".
J'ai donc du travail sur la planche...
Un journal n'est pas un blog qui exprime une seule idée à la fois. Ecrire un livre c'est encore autre chose .
J'y écris ce qui me plait en me faisant d'abord plaisir avec le support de la liberté d'expression. L'écriture doit rester individuelle et indépendante sans être influencée avec la recherche d'idées neuves qui correspondent en esprit avec les paroles d'une vieille chanson de "Christine and the Queens".
Je commence les livres par la fin
Et j'ai le menton haut pour un rien Mon œil qui pleure c'est à cause du vent Mes absences c'est du sentimentJe ne tiens pas debout
Le ciel coule sur mes mainsSous mes pieds le ciel revient
Ils sourient rouge et me parlent gris
Je fais semblant d'avoir tout compris Et il y a un type qui pleure dehors Sur mon visage de la poudre d'orComme des origamis
Le bras tendu pareil cassé Tout n'est qu'épis et éclis Ces enfants bizarres Crachés dehors comme par hasardCachant l'effort dans le griffoir
Une creepy song en étendard J'fais tout mon make up Au mercurochrome Contre les pop-ups qui m'assurent le trône"
...
Ma méthode d'écriture
Extrapoler l'actualité est une méthode que je ne commence jamais devant une feuille blanche. Pour créer mon site "Réflexions du Miroir", les idées me viennent souvent en me promenant dans mon quartier qui devient le catalyseur à mes réflexions. Plusieurs idées sont inscrites ainsi dans mon carnet de notes pour garder des traces porteuses de sens vers les zones d'espoir où tout parait beau en calmant toute anxiété et parfois en m'adressant à des inconnus rencontrés en chemin pour s'ouvrir aux différences. C'est avec ces notes qui ne sont que des projets que tout commence par après pour faire murir "les idées" en jours ou même en semaines de gestations. Chemin faisant, quand l'abondance des idées dépassent les objectifs, il s'agit d'éliminer le trop plein, de ce que j'appelle passer chez le coiffeur. Tant que je ne suis pas content du résultat, je reprends mes ciseaux.
Comme je n'aime pas me tromper et influencer d'autres dans le négativisme ambiant comme le ferait un prédicateur de mauvaises augures, je ne joue pas au prédicateur par des supputations.
Le testament de Isaac Azimov, maître de la science-fiction, explique ses propres méthodes en ne quittant pas son bureau d'investigations.
Le 9 novembre 2022, Raymond Devos aurait eu 100 ans. Pour célébrer cet anniversaire en lui rendant hommage, de nombreux artistes se sont essayés à réactualiser ses sketchs que j'ai podcastés à cette adresse.
Mais, je choisis celui concernant...
"Le parapsychologue et l'artiste"
Raymond Devos est parvenu avec ses sketchs à faire rire en détournant le sens des mots.
L'enfer du décor est arrivé à la fin de sa vie racontée par sa dernière compagne qui dénonce le comportement de ses proches.
La dernière phrase de ce billet était : "L'enfer est souvent pavé de trop bonnes intentions".
Tout n'est que nuances dans le Comedy Club de Aristophane
...
Riens du tout ou rire de tout ?
Ma devise a toujours été "Tout est dans tout et inversement" avec des liens interdépendant dans un écosystème dont il faut trouver les liens par de simples corrélations et de causalités à départager.
Vendredi passait sur la .5, le film "Riens de tout" qui semblait y répondre par l'affirmative.
Synopsis : En 1991, pour n'avoir pas su évoluer, « Les Grandes Galeries », grand magasin centenaire, est au bord de la faillite. Lepetit, le nouveau directeur, dispose d'un an pour redresser la barre, faute de quoi l'établissement sera fermé et son personnel licencié. Créatif, artiste au fond de lui, il décide d'appliquer de nouvelles méthodes de management par la communication destinées à remobiliser les employés et à leur faire retrouver l'envie du travail de groupe. Au programme : saut à l'élastique et bivouac pour les cadres, travail en groupe, expression corporelle, formation d'une chorale et participation au marathon de Paris… Peu à peu, Lepetit parvient à remobiliser le personnel et à attirer la clientèle : les résultats s'améliorent, la société fait des bénéfices.
Mais, Lepetit découvre qu'il a été berné. Les actionnaires n'avaient jamais eu l'intention de donner leur chance aux salariés. Leur but était d'augmenter le chiffre d'affaires afin de pouvoir revendre le plus cher possible les bâtiments, destinés à devenir un palace. Tout le travail et les efforts du directeur pour restaurer l'esprit d'équipe et renouer avec les bénéfices n'auront servi qu'à augmenter le prix de vente des actions. A la fin du film, ils reprennent en cœur "Moi, c'est moi et toi, tais toi".
Ce film a trente ans. Que d'évolutions n'avons-nous pas depuis lors.
Tout évolue de plus en plus vite.
"Le management n'est plus ce qu'il était. Il se fait désormais par holacratie".
Mon propre management de "Project manager" s'est terminé en 2006. Seize ans, cela représente deux séreux baux si l'on compte sa préparation.
Depuis, je lis et survole tout ce qui me tombe sous les yeux qui parle de tout et de rien : magazines, livres et autres médias.
Vendredi dernier, "Le Point" attirait mon regard par sa page de garde représentant Michel Houellebecq.
Les titres de ses livres sont révélateurs de notre époque morose mégalomane comme lui.
Pour Houellebecq, tout est sujet d'évidence, sous-tendu radicalement par un réflexe de protection comme s'il s'agissait d'un destin bloqué dans une ornière, sans raisonnement logique que les hasards peuvent apporter en bouleversant toutes les idées préconçues.
La musique peut très bien exprimer la créativité. Je suis mélomane ni théoriquement ni pratiquement.
Les "Je sais pas vous" de Patrick Leterme, rappellent les compositeurs du passé et la catégorie "Musique" de ce site en donne quelques références. Mais il y a aussi la musique d'aujourd'hui.
Lundi, le chanteur Raphaël parlait de son évolution dans la chanson
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"Très chère originalité", écrivais-je en 2007. Tellement de moyens techniques sont disponibles pour exercer son originalité. Cette originalité sera encore beaucoup plus chère demain sous tellement de formes et de fonds pour survivre à notre évolution devenue exponentielle pour contrer les outils du genre du ChatGPT par son individualité. Poutine nous rapproche tous mais avec du matériel obsolète.
Les images photoshopées, plus subjectives qu'objectives, ont remplacé les mots et les textes qui ne trouvent plus toujours les idées correspondantes aux idées.
La bande dessinée de la "Guerre des Lulus" y parviendra-t-elle en BD ou en films à atteindre cette grâce de l'esprit
?
Etre artiste, est-ce un vrai métier par le rire ?.
Il a été défini ainsi
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Avec une telle définition, je me sens un peu plus artiste progressiste en prenant le courage de me remettre en question. Tout comme Catherine Meurisse (dont j'ai parlé dans Le Point sur la vie belle), première artiste de BD installée à l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France. Elle dit avoir l'esprit bras d'honneur avec un goût du gai savoir par introspection spontanée. Avec un seul esprit de sérieux, le livre ne se fait pas.
Lundi, sur la .3, passait le road movie : "Qui m'aime me suive" qui me semble une bonne fin pour ce billet.
Pendant mes promenades dont j'ai parlé ci-dessus, j'observe aussi les murs des maisons et les panneaux dessinés qui constitués par la créativité dans l'art de rues qui font leurs spécificité.
J'avais déjà écrit le billet Du tag au tact qui contient des photos récoltées dans la ville de Bruxelles.
Cette fois, je me suis limité dans un périmètre très étroit de mon entourage immédiat dans lequel des panneaux donnent libre court à l'imagination et dans un quartier de maisons sociales de la commune (300-400 euros de location par mois). Maisons préfabriquées d'un étage, toutes identiques à part leurs couleurs. Sur les murs de façades, des dessins d'artistes. Lundi, en me baladant, j'ai questionné un de ses locataires qui y habite depuis près de 30 ans. Contrairement à ce que je pensais dans une tel environnement de village social, il m'a révélé que la solidarité y était loin d'être d'exemplaire et que ce n'était pas ainsi au début. J'ai eu le privilège de visiter l'intérieur de sa petite demeure qu'il appelait son "kot".
L'impression vue par l'extérieur ne donne pas le même reflet vu par l'intérieur et rien ne reste comme avant.
La créativité par l'art de la rue sur Google Photos (clic)
Allusion
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