La défaite de la contre-offensive est actée, les rats de l’OTAN quittent le navire !
La défaite de la contre-offensive est actée, les rats de l'OTAN quittent le navire !
Ils prétendaient soutenir l'Ukraine jusqu'à la défaite de la Russie, mais en fait, ils l'ont simplement détruite !
Les Occidentaux reprochent aux Ukrainiens de ne pas être assez reconnaissants aux Occidentaux de toute l'aide apportée pour la reconquête, mais faut-il rappeler que ce sont les Occidentaux, en particulier les États-Unis qui ont provoqué le coup d'état de Maidan en 2014 pour détacher l'Ukraine de la Russie ?
Faut-il rappeler que ces mêmes États-Unis par le biais de l'OTAN ont formé et armé les nazis d'Azov contre les populations du Donbass ?
Faut-il rappeler que les États-Unis et l'OTAN ont manigancé l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN pour combattre la Russie ?
Faut-il rappeler que l'armée ukrainienne reconstruite par les États-Unis et l'OTAN s'était massée dans l'est pour attaquer le Donbass au début de 2022 ?
Faut-il rappeler que les Occidentaux ont interdit à Zelensky de négocier avec la Russie fin mars 2022 un traité de paix avantageux pour l'Ukraine en échange de sa neutralité ?
Faut-il encore expliquer que la contre-offensive a été décidée par les USA avec l'objectif d'infliger une défaite totale à la Russie pour obtenir la reddition inconditionnelle de Poutine.
Cet échec retentissant est celui de l'Occident qui tente de sauver la face en rejetant toute la faute sur l'Ukraine incompétente et ingrate.
Le soutien à l'Ukraine se disloque, la Pologne en tant que caniche le plus soumis aux États-Unis trahit publiquement l'Ukraine, mais cela fait partie du jeu orchestré par les États-Unis pour sauver les apparences !
L'Ukraine se retrouve seule à supporter les conséquences de sa soumission aux intérêts exclusifs des États-Unis et n'a plus les moyens humains et matériels de s'opposer à la contre-attaque russe au cas où la Russie le déciderait.
Comme décrit dans mes précédents billets, l'Ukraine a déjà perdu environ 400 000 hommes et les plus déterminés à combattre la Russie sont déjà morts, les nouveaux mobilisés le sont contre leur gré !
Comme expliqué dans différents billets, publiés précédemment sur AgoraVox, la contre-offensive ukrainienne est une débâcle totale pour les forces occidentales.
Après trois mois et demi de contre-offensive, il n’y a plus grand monde pour espérer que Kyev puisse réussir le moindre de ses objectifs.
Nous sommes le 21 septembre, et les meilleures brigades ukrainiennes n’ont toujours pas dépassé le village de Rabotyno, qui a été défendu par 500 hommes de l’armée russe, face, a plus de 30 000 ukrainiens dont plusieurs milliers sont morts sans pour autant avoir pu dépasser les limites de ce village.
J’expliquais précédemment que les États-Unis tentent d'inciter l’Ukraine à négocier un gel du conflit au prix de la perte du Donbass et de la Crimée. Ce point de vue qui était moqué est aujourd’hui confirmé et Zelensky en est arrivé à proférer des menaces à l’encontre des Européens au cas où l’Ukraine serait abandonnée à son sort.
Il a dit précisément « que ce ne serait pas une bonne histoire pour l’Europe si elle devait pousser le peuple d'Ukraine dans ces derniers retranchements ».
Le lâchage de l’Ukraine par les États-Unis est la conséquence de l’échec total de la contre-offensive en cours.
Comme écrit précédemment, le camp démocrate ne peut pas se présenter aux élections présidentielles américaines avec l’échec total de cette guerre contre la Russie.
Cette guerre a été voulue et préparée par les États-Unis afin de faire s’effondrer la Russie. Cela a été expliqué à de multiples reprises.
L’Ukraine a cru en les promesses de victoire foudroyante que les États-Unis et l’OTAN lui ont fait miroiter, il s'agissait d'une guerre courte et destructrice pour les Russes, qui n’avaient pas les moyens militaires humains de résister à l’Ukraine.
Zelensky s’était vanté de bientôt pouvoir se baigner sur les plages de Crimée !
Les Occidentaux n’ont eu de cesse que de mépriser ouvertement la Russie, et ses capacités militaires ont été sous-estimées et sous-évaluées en permanence, faisant croire à l'état-major de Zelensky que la contre-offensive serait une promenade de santé.
La Russie sous le coup des sanctions occidentales devait littéralement s'effondrer au premier coup de boutoir ukrainien aussi bien militairement que politiquement.
L'Occident a poussé de toutes ses forces l'Ukraine dans le dos pour qu'elle fasse la guerre à la Russie. Pourtant, en mars 2022, au tout début de l'opération russe en Ukraine, Zelensky avait proposé à la Russie de négocier le statut des deux républiques de Louhansk et de Donetsk, ce que la Russie était prête a accepter d'autant plus que Zelensky avait déjà signé le traité, mais les Occidentaux avaient un autre objectif.
Il ne fallait donc pas que Zelensky puisse négocier avec la Russie. Il s’agissait pour les États-Unis de porter un coup à Poutine afin de favoriser un changement de régime en Russie.
Les États-Unis ont en conséquence poussée à l'extension du conflit, interdisant une résolution négociée, transformant l'opération russe en guerre ouverte. Peu se souviennent que ce sont les États-Unis qui ont convaincu Zelensky de mettre la Crimée au centre de la contre-offensive, en effet la prise de la Crimée est d'une importance capitale pour les États-Unis, cela permettrait d'exclure les russes de la mer Noire et Sébastopol serait le port d'attache de la flotte américaine, mais surtout, les américains sont persuadés que la prise de la Crimée serait un coup fatal pour Poutine, initiant ainsi une crise politique majeure en Russie.
Pour atteindre cet objectif, les États-Unis ont exigé que l’Ukraine concentre toutes ses forces en direction de la Crimée.
Le déroulement de la contre-offensive a été dicté directement par les généraux américains : percer les lignes russes en direction de Tok-Mak et ensuite la mer d’Azov et la Crimée.
C’est la raison pour laquelle la contre-offensive ukrainienne s’est principalement fixée comme objectif, la prise de Rabotyno, ce petit village au sud de l’Ukraine, défendu par environ 500 soldats russes qui ont tenu en échec les assauts successifs de plus 30 000 soldats ukrainiens.
La bataille de Rabotyno donne la mesure de l’échec de la contre-offensive ukrainienne.
L’échec de la contre-offensive est dorénavant largement commenté dans les médias et par les experts qui s’aperçoivent enfin que les Occidentaux ne pourront pas gagner cette guerre et qu'ils ne savent pas comment sauver la face.
Alors que jusque-là les occidentaux s'étaient tous engagés pour une défaite écrasante de la Russie qui devait provoquer un changement de régime à Moscou, car ils étaient persuadés que cette contre-offensive allait provoquer la panique dans les rangs de l’armée russe, supposée enfuir à la vue des chars Léopards et Challangers, mais maintenant il s'agit de sauver la face en rejetant la faute sur les ukrainiens.
Les États-Unis tentent néanmoins de transformer une défaite totale en une victoire médiatique, mais pour cela ils doivent contraindre Zelensky à négocier un gel du conflit au prix de la Crimée et du Donbass.
Ce qui est un résultat désastreux au regard de ce qui était prévu lors des négociations en mars 2022 entre la Russie et l'Ukraine.
Même en mars 2022, Zelensky avait encore le choix entre la paix et la guerre, mais il a choisi la guerre pour satisfaire l’intérêt de ses sponsors américains. Et cela au prix de la vie de centaines de milliers d'Ukrainiens.
L’Ukraine aurait eu le statut de l’Autriche ou de la Suisse, un État tampon neutre entre l’OTAN et la Russie, mais Zelensky a préféré la guerre contre la Russie.
Entre la paix et la prospérité ou la guerre et la désolation, les États-Unis ont décidé l'avenir de l'Ukraine et maintenant, tel Ponce Pilate, ils s'en lavent les mains.
C’est dans ce contexte qu’il faut situer les menaces à peine voilées que Zelensky a proféré contre Europe.
Ukraine, la contre-offensive quoi qu’il en coûte !
La Russie n’acceptera rien de moins que la capitulation sans conditions des forces de l’occident
L’OTAN propose de céder le Donbass et la Crimée à la Russie
L’Ukraine au bord de l’effondrement
L’Occident a joué à la roulette russe en Ukraine… Et a perdu
Il vaut mieux un Ukrainien mort qu’un Ukrainien russe
La « Grande Contre-Offensive » ukrainienne a commencé
Ukraine : jusqu’à la victoire !
Au secours les russes pourraient peut-être ne pas perdre cette guerre, voire même la gagner
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