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La démographie romaine ? La solution par l’immigration fit la France

Sujet passionnel, l’immigration enflamme les débats qui sombrent dans bien trop souvent dans l’hystérie. Est-il pourtant impossible d’observer le sort de l’immigration dans des territoires qui en ont subi ?

L’exemple des feudataires romains pourrait nous inspirer.

Pour examiner l’immigration et son impact identitaire, je vous propose d’examiner un passage historique dans notre passé : La fin de l’empire romain et son évolution démographique avant d’observer l’état de notre pays.

 

La crise démographique romaine

Pourquoi sélectionner cet exemple ? D’abord par facilité, car l’histoire romaine nous est proche et appartient à notre passé. Des exemples chinois seraient certainement intéressants, mais nous nous heurterions à la difficulté à accéder aux sources pour ceux non familiers avec le mandarin. Optons donc pour la facilité. 

Avant nous, Rome connu une évolution démographique heurtée et tenta d’y répondre par l’importation de personnel. L’empire romain après sa conquête connue une remarquable expansion démographique : de 50 millions d’habitants à la proclamation d’Auguste (en -27), il atteint 88 millions en 117 après JC.

Cette apogée fut suivie d’une chute et apparemment en 150 la population a diminué à 75mio et en 350, elle serait retombée à 39mio d’ha, soit une baisse plus de la moitié.

Les historiens listent nombre de causes à cette perte de population : La fin de l’optimum climatique romain[1] est souvent citée, le climat plus frais et plus sec conduit à des récoltes moins abondantes ! D’autres pointent la dépopulation de l’Italie, parfois en lien avec le dur statut imposé au populations serviles trop mal nourries pour assurer le renouvellement des générations, ou le saturnisme lié au réseau d’eau transporté par des tuyaux en plomb.

Comme on le voit, les causes sont multiples, complexes, certainement avec de profondes synergies entre elles, mais nous laisserons aux historiens le soin de rendre à César ce qui appartient à César !

L’important est cette baisse de population, synonyme de diminution des revenus pour le trésor. Cette baisse de ressources conduit le pouvoir à rencontrer des difficultés pour solder les troupes à un moment où les populations des frontières, probablement poussées par les événements climatiques et une pression des peuples de la steppe sur leurs arrières à pousser vers l’Europe occidentale où des régions entières deviennent des zones de faibles densités démographiques.

L’intéressant pour nous est la solution adoptée par l’empire romain qui autorisera certains peuples à s’installer sur les territoires de l’empire en contrepartie d’engagements divers.

Incapable de restaurer sa capacité démographique, les dirigeants romains ont préféré éviter les questions qui fâchent et régler les véritables problèmes. Quid de l’esclavage, du système latifundiaire ? Ces questions ne furent pas posées et l’empire romain préféra importer des "barbares" comme il disait. Le résultat, nous le connaissons tous, la Gaulle gallo-romaine se nomme aujourd’hui la France du nom de l’un de ces peuples !

Au début, simples bandes de mercenaires isolés employés par l’armée, les peuples fédérés prirent sans cesse davantage d’importance. Devenus plus nombreux, l’état romain fut incapable de leur imposer ses règles et leur abandonna des régions entières. In fine, ils finirent par créer leurs propres royaumes sur les ruines de l’empire précédent.

 

Le parallèle saute aux yeux, dans nos pays incapables de gérer le ralentissement démographique, nos dirigeants ont préféré importer de la main d’œuvre. Solution facile, moins coûteuse que d’accorder aux populations un revenu suffisant pour leur permettre d’avoir des enfants.

Car là, est le paradoxe de nos nations où on se plaint de la baisse de la natalité et constatent en même temps que les familles contraignent leur désir d’enfant en raison d’une insuffisance de revenus pour accueillir le petit être dans de bonnes conditions. La politique économique vise à assurer le niveau de vie d’une classe consommatrice de « services » et non de faire perdurer la nation forgée par plus de mille ans d’une histoire commune.

Faribole, négligeable, que veut ce commun construit ensemble si on le compare avec le compte en banque ? Rien, vous répondront les marconistes et ils auront raison, dans leur monde, cela ne veut rien.
Seulement, leur monde est défendu par des soldats et des policiers fidèles à ce commun (Les mercenaires sont plus chers), peut-être la classe sociale derrière l’hypercentre pourrait-elle réfléchir ? Je sais, j’en demande beaucoup, mais le pays a besoin d’une pause, même si les quartiers bobos sont encore bien protégés.

Vous comprenez leurs enjeux, ces gens peuvent s’offrir de croire à de grandes théories qui tout en leur conférant une aura morale, améliorent leur structure de coût et l’immigration vient en tête de ces dogmes.

Sauf que, à force d’utiliser la méthode romaine, de vous fier à des hommes nés ailleurs, vous importez avec eux leurs méthodes et cadres culturels. Comme les romains avec les feudataires, vous perdez le contrôle du territoire et les importés apportent leurs règles. Devons-nous le considérer comme un enrichissement civilisationnel ?

Tout est différent, certes, je vous l’accorde. Les romains importaient des soldats, des mercenaires, types d’hommes difficiles à contraindre. Les pédaleurs d’Uber eats ou les plongeurs sans papiers qui triment dans les restaurants semblent fait d’un autre bois. Admettons, mais l’effet volume joue, on estime les peuples feudataires à 5 % de la population de l’empire. En sommes nous là ? Probablement avons-nous passé ce seuil depuis longtemps.

La modernité permet justement de piller la main d’œuvre, d’importer très vites des masses de population par un processus brutal à l’échelle des temps historiques, bien loin de l’infiltration progressive des feudataires qui changea à jamais le sort de la Gaulle Gallo-Romaine.

Alors, certes, l’aventure donna la France, mais le processus de remplacement fut douloureux, devons-nous le considérer comme un événement souhaitable ?

Apparemment oui, pour certains qui désirent voir disparaître la France, mais dans ce cas, il faudrait démocratiquement poser la question aux français : Voulez-vous cesser d’être ?

 

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27 réactions à cet article    


  • Buzzcocks 10 décembre 2024 12:52

    Tout est différent, certes, je vous l’accorde.

    C’est bien, vous prenez les devants... du coup, on parle de quoi ? Il fait frais pour un 10 décembre, non ?


    • Jules Seyes Jules Seyes 10 décembre 2024 14:27

      @Buzzcocks
      L’idée est de poser le débat et de le nourrir d’arguments de qualité.
      La demande finale est un reférendum, respecté cette fois-ci.


    • Eric F Eric F 10 décembre 2024 19:11

      @Jules Seyes
      Oui mais quelle serait la question dans un referendum ?
      Par exemple ’’êtes-vous d’accord de payer davantage d’impôt pour que l’on puisse augmenter sensiblement les allocations familiales dès le premier enfant ?’’


    • Jules Seyes Jules Seyes 10 décembre 2024 21:12

      @Eric F
      On pourrait commencer par fixer le nombre d’immigrants autorisés par an.
      Ensuite, on poserait les questions suivantes.


    • Eric F Eric F 11 décembre 2024 10:09

      @Jules Seyes
      OK, c’est donc surtout sur la question de la régulation de l’immigration ? A priori une très grande majorité y est favorable, mais moins volontariste pour occuper les emplois correspondants ou élever une famille nombreuse.


    • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 10:34

      @Eric F
      Une politique, c’est cela : une politique.C’est á dire, une stratégie, servie par un discour.
      Le discours actuel, pro immigration, suivit d’une stratégie équivalente produit les éffets que vous indiquez.
      Il faut justement inverser cela.
      D’où mes tentatives pour créer un corpus théorique.
      Je penses que les gens pourraient le faire, à condition de ne pas leur cracher á la figure (Ce que l’on fait avec les travailleurs manuels et ca commence dès l’éducation nationnale) et de les effrayer avec les discours du on va tous mourrir des écolos.
      Levez ces deux hypothèques et vous verrez déjà les comportement changer.


    • sylvain sylvain 10 décembre 2024 14:26

      Ce qui fit la france, c’est une petite bande d’immmigres, les francs, places sur le territoire gaulois par l’empire romain pour diriger cette bande de braillards et qui, a la chute de l’empire, ou peut etre a sa transformation en eglise romaine, (question d’interpretation) surent s’emparer du pouvoir.

      Ce qui fit la gaule avant ca, ce fut la colonisation de l’empire romain.

      Avant il y avait des tribus vaguement federees.


      • SilentArrow 10 décembre 2024 14:29

        @Jules Seyes

        Les Romains ont importé des populations principalement germaniques avec qui ils partageaient un fond culturel commun, ne fût-ce qu’à travers le tronc linguistique indo-européen et qui, pour la plupart, avaient au préalable été converties au christianisme, même si pour plusieurs, il s’agissait de l’arianisme. Et il a fallu 10 siècles entre la chute de l’empire romain et la renaissance pour retrouver un certain niveau de civilisation.

        Ce que l’Europe importe aujourd’hui est tout à fait différent. Des gens qui n’ont pas évolué depuis 14 siècles et qui pratiquent une religion dont la principale caractéristique est la bestialité (vous allez assister à une nouvelle débauche de bestialité allahakbarique en Syrie) et dont le programme consiste à soumettre à leur grotesque idole ou égorger dès qu’ils peuvent le faire impunément.

        Attendez-vous à voir la France convertie en une sorte de planète des singes dirigée par des êtres poilus brandissant un livre absurde et où les européens réfractaires seront considérés comme du gibier. Un France ramenée à l’âge du chameau.


        • Jules Seyes Jules Seyes 10 décembre 2024 21:17

          @SilentArrow
          J’objecte sur la proximité culturelle entre romains et germianiques, au contraire très loins culturuellement.

          Pour le reste, le problème n’est pas l’islam, mais la CIA.
          Les islamistes sont aussi tarés que les azoviens de Kiev (Et je serais pire que vous.) C’’est l’effet CIA qui fait ressortir le pire de chaque population qu’elle instrumentalise !
          En ce sens, la France, larbn des USA connait un déclin prévisible.


        • SilentArrow 11 décembre 2024 01:25

          @Jules Seyes
           

          J’objecte sur la proximité culturelle entre romains et germianiques, au contraire très loins culturuellement.

          Ils ont quand même produit Beethoven et Mozart. Qu’est-ce que les arabo-islamiques ont produit comme œuvre culturelle appréciée en Occident ? Rien, nul, zéro.
           

          Pour le reste, le problème n’est pas l’islam, mais la CIA.

          La CIA utilise les crotales islamiques pour faire son sale boulot, on l’a vu en Syrie, en Iraq, en Tchétchénie, chez les Ouïghours de Chine et les Rohingyas de Birmanie...
          Mais elle n’a pas dû inventer leur idéologie bestiale : elle est congénitale à l’islam.

        • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 10:18

          @SilentArrow
          L’éloignement d’une culture ne se mesure pas à ses productions, mais à la différence sur les concepts fondamentaux. Famille, place du groupe et de l’individu...
          Les cultures occidentales et Chinoises sont ainsi très loin, mais l’apport de la culture chinoise fut considérable.
          Quand aux cultures arabo musulmannes, durant les siècles d’or de l’islam elles ont beaucoup produit, désormais, avec la chute de l’empire ottoman, le monde arabo musulman rencontre d’importantes difficulté. 
          Mais si vous croyez à la théorie des cycles pour les civilisation, nous sommes désormais engagés dans les ciseau inverses.
          Pour la chine, c’est clair, pour le monde arabo musulman, on distingue des signes à confirmer, et pour le monde européen, la voie vers la décadence prend la forme d’un tobogan !


        • SilentArrow 11 décembre 2024 15:25

          @Jules Seyes
           

          L’éloignement d’une culture ne se mesure pas à ses productions, mais à la différence sur les concepts fondamentaux.

          Si vous pensez que les Germains était culturellement plus éloignés des Romains que ne le sont les arabo-islamiques des Européens d’aujourd’hui, dites-le clairement.
           

          et pour le monde européen, la voie vers la décadence prend la forme d’un tobogan

          La civilisation européenne est aujourd’hui réfugiée en Russie. La Russie va-t-elle suivre l’Occident sur le même tobogan ?

        • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 20:24

          @SilentArrow

          Si vous pensez que les Germains était culturellement plus éloignés des Romains que ne le sont les arabo-islamiques des Européens d’aujourd’hui, dites-le clairement.

          Je l’ignore, ca devrait se mesurer scientifiquement, mais un tel résultat ne me surprendrais pas !

          La civilisation européenne est aujourd’hui réfugiée en Russie. 

          Désolé de ne pas suivre. Vous abandonnez notre responsabilité.
          Les Russes von développer leur destin. Il nous revient de nous dresser en Hommes et de revivifier/réinventer la civilisation Européenne.


        • SilentArrow 12 décembre 2024 00:32

          @Jules Seyes
           

          Il nous revient de nous dresser en Hommes et de revivifier/réinventer la civilisation Européenne.

          Voilà quelque chose qui fait plaisir à entendre, ça nous change des théories défaitistes.

        • Jules Seyes Jules Seyes 12 décembre 2024 08:59

          @SilentArrow
          Le défaitisme a un avantage. Il suffit de dire, on ne peut rien et vous êtes libéré de toute charge morale.
          J’ai l’arrogance de souhaiter mieux et d’y travailler.


        • Eric F Eric F 10 décembre 2024 19:03

          ’’Solution facile, moins coûteuse que d’accorder aux populations un revenu suffisant pour leur permettre d’avoir des enfants’’

          L’explication de la baisse de la natalité par l’insuffisance de pouvoir d’achat n’est pas convaincante ; en effet, les femmes des classes populaires ont davantage d’enfant que celles des classes intermédiaires, et dans le monde les peuples les plus pauvres sont les plus prolifiques.

          C’est surtout une question civilisationnelle, liée au sentiment de déclin, crainte de l’avenir, on entend des jeunes affirmer ne pas souhaiter avoir d’enfant dans un monde qui sera surpeuplé, pollué, ou avec un climat apocalyptique annoncé à tout bout de champ. il y a aussi l’individualisme hédoniste.

          La chute de natalité s’est accentuée après la crise sanitaire et depuis la guerre sur le continent, le moral est au plus bas.


          • Jules Seyes Jules Seyes 10 décembre 2024 21:14

            @Eric F
            Permettez moi d’objecter :
            https://www.insee.fr/fr/statistiques/6441218

            Pour le reste, oui, il faudra faire le ménage de notre classe politique.
            Et bien sur : interdire les partis escrologistes.
            Je plaides pour que tous leurs membres soient privés de leur liberté d’expression, de leur droit de vote et condamnés à l’indignité nationale (Enfin, dans les moments où je suis clément)


          • Eric F Eric F 11 décembre 2024 10:18

            @Jules Seyes
            Les écolos sont relayés par la quasi majorité des média mainstream pour entretenir un climat (c’est le cas de le dire) de psychose climatique. Sur les chines publiques, ils ont même renommé la météo en ’’météo-climat’’.
            Il en fut de même lors de la crise sanitaire.
            Le but n’est plus l’information, mais le reformatage des mentalités, comme en régime soviétique.

            On se met des contraintes rédhibitoires dont le reste du monde s’exempte, la consommation de charbon a encore battu un record, or dès lors qu’on est face à un phénomène mondial (les rejets de toute nature dans l’atmosphère) l’ensemble du monde doit agir au même rythme. Les pays asiatiques rejettent en une seule année ce que l’ensemble de l’Europe avait rejeté pendant l’ensemble des 30 glorieuses cumulées !


          • Eric F Eric F 11 décembre 2024 10:22

            rectif : ’’les chaines publiques’’


          • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 10:35

            @Eric F
            Tout à fait d’accord, on reformate les mentalités.
            Sauf que le reste du monde a raison et nos écolos devront être poursuivit et condamnés pour leurs crimes. (Journalistes inclus avec circonstances agravantes pour eux)


          • Eric F Eric F 11 décembre 2024 14:08

            @Jules Seyes
            ’’crimes’’ faut pas exagérer, ils sont convaincus de militer pour la ’’bonne cause’’, et tout n’est pas faux, les rejets de combustion dans l’atmosphère contiennent des oxydes gazeux mais aussi des particules.

            Mon propos est que cela concerne la totalité du monde, et que multiplier les contraintes uniquement chez nous est une autopénalisation disproportionnée. On doit marcher d’un même pas partout dans le monde.
            C’est une caractéristique de notre civilisation européenne actuelle, qui n’existe nulle part ailleurs, que la repentance et l’expiation, cela traumatise et démotive les générations montantes.


          • SilentArrow 11 décembre 2024 15:32

            @Eric F
             

            L’explication de la baisse de la natalité par l’insuffisance de pouvoir d’achat n’est pas convaincante

            Coupez l’électricité aux ménages pendant un mois et les maternités seront débordées 9 mois plus tard.

          • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 20:20

            @Eric F
            Je maintiens le mot crime, si vous me le permettez.
            Les nazis aussi étaient convaincus de militer pour la bonne cause.
            Leurs histoires, propagent misére et pauvretée partout ou elles s’appliquent et il existe une corrélation directe entre pauvreté et années de vie perdues.
            Je ne parles même pas des délires de certains qui veulent réduire la population du globe à 500 mio d’ha, en droite ligne de cette idéologie. Ca ferait un génocide 1000 fois pire (Pardon, légérement plus) que la Shoah. (6 mio fois 1000 fait 6 mds, il faudrait « éliminer » si on suit leur raisonnements 7,5mds de personnes)
            Ajoutez les dommages économiques causés par ces gens et nous ne pourrons jamais être assez dur contre eux !


          • titi titi 10 décembre 2024 22:34

            @L’auteur

            Il est exact que les Romains ont eu recours à la « main d’oeuvre étrangère » pour regarnir leurs légions.

            Et petit à petit ces auxiliaires sont devenus de plus en plus nombreux et de plus en plus présents dans les rouages de l’Empire.

            Au point que Clovis pris le pouvoir en Gaule aux dépens de Syagrius le « dernier romain ». A la suite de quoi la « Loi Salique » fut promulguée. Cette « Loi Salique » précise les peines en cas de déli ou de crime. Et ces peines sont différentes selon que l’auteur ou la victime sont francs ou gallo romains, ces derniers devenant des citoyens de seconde zone.

            Le résumé est donc : une fois les « immigrés » en surnombre, ils imposent leur loi, et ceux qui étaient là deviennent des citoyens de seconde zone.

            C’est de cela dont vous vouliez parler en invoquant Rome et en faisant le parallèle avec le futur de notre pays ?


            • Jules Seyes Jules Seyes 11 décembre 2024 10:19

              @titi
              Exact, c’est la thése de l’article.
              Rien de mieux qu’un bel exemple historique pour dépasser l’idéologie.


            • Eric F Eric F 11 décembre 2024 10:23

              @titi
              dans votre analogie, les français sont en quelque sorte les ’’anciens francs’’, et les migrants africains les ’’nouveaux francs’’.


            • SilentArrow 11 décembre 2024 16:01

              @titi
               

              Et ces peines sont différentes selon que l’auteur ou la victime sont francs ou gallo romains, ces derniers devenant des citoyens de seconde zone.

              Ce qui est sûr, c’est que si rien n’est fait pour faire crever la bête de La Mecque, la France va vivre sous la bestiale charia dans quelques années.

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