La dette ou comment faire peur aux électeurs
La dette, le sujet qui fâche et qui cupabilise les français ou comment ccaher ses erreurs dans un fatras d'explications d'experts en tout ;
Il y a des sujets en France, où tout le monde perd son sang froid et sombre dans l’hystérie collective. L’idéologie prend le pas sur le bon sens qui, lui, est rélégué au maquis de la pensée, à la cave de la sagesse.
Quand on aborde le thème de la dette, les mêmes images s’imposent à notre esprit : Déficit, remboursement et cupabilisation, agence de notation et jugement arbitraire, dette abyssale où les chiffres ne veulent plus rien dire au commun des mortels, perte du tripe A pour sombrer vers le AAB et substitution subliminale du mot dette par cancer national.
Tout ceci est vrai, on ne peut le nier. On peut très vite sentir de vraies tensions entre les partis politiques. Chacun y va de sa petite recette, de son commentaire pédagogique, plus fait pour rassurer l’électeur acquis que dans un souci d’explication rationnelle et pédagogique.
La dette est énorme et il faut la rembourser. Evidemment. Depuis quand un pays ignore ses créanciers ?
Là où le débat est intéressant, c’est la définition du mot dette, son étude et son contenu. Plus personne n’en parle, comme si l’exposé allait soulever des secrets de famille inavouables, des erreurs cachées depuis quelque mandat, un contresens qui ne dit son nom.
Mais qu’est-ce qu’une dette au juste ? A titre de particulier, j’en ai une. Mes traites pour mon appartement, le crédit de ma voiture, un autre à la consommation et les études de mon fils. Tout ceci sont des dettes à payer chaque mois. Mais en face de mes remboursements, il y a des actifs, du solide et de l’immatériel comme les études de mon enfant.
Donc, ma dette, n’est que le reflet de mon investissement personnel.
Concernant la dette de la France, les actifs sont passés sous silence par nos grands économistes experts en tout et invités partout par les médias.
L’Etat français, depuis 1973, emprunte aux banques privées puisqu’il ne bat plus monnaie.
Aujourd’hui, si l’Etat emprunte, par exemple pour des collectivités publiques, 1000€ à une banque (privée), celle-ci va les prêter avec intérêt. L’Etat devra rembourser sur x années, 1005€ à cet établissement financier.
Mais ces 5 euros de plus à rembourser, comment fait-il l’Etat pour les payer vu qu’il ne produit aucune richesse ? Il ré-emprunte...avec intérêts.
Ce petit jeu dure depuis plus de 40 ans et on en arrive à une situation qui défie tout bon sens. Les intérêts, aujourd’hui, représentent plus de la moitié de notre dette.
Et en face de cette dette, il y a de moins en moins d’actifs qui la compose.
Dans cette logique (absurde), plus on emprunte, plus on a d’intérêts. Plus on a d’intérêts, moins on a d’actif. Moins on a d’actif, plus on s’appauvrit.
Les dossiers de sur-endettements n’existant pas pour les Etats, ce sera notre patrimoine national qui sera bradé pour éponger un tonneau des danaïdes.
Peu importe les idéologies de gauche ou de droite, peu importe les explications apportées, la réalité est là, nette, cruelle, cynique. Nous sommes de plus en plus pauvres.
On pourrait disserter sur le pourquoi d’une telle situation mais j’ai voulu aborder, sur un des 10 thèmes qui régit notre pays, dont notre dette, le comment en est-on arrivé là ? Le comment en amont.
Quand on découvre le contrat qui nous lie à l’Europe, le Traité du Fonctionnement de l'Union Européenne (TFUE) on s'aperçoit avec stupéfaction et effarement que tout, absolument tout est écrit, prévu, normé et légiféré.
Cette dette, telle que nous la vivons en bien ou en mal, est imposée, j’écris bien le verbe imposer par le Traité européen et précisément par l’article 123 qui impose à l’Etat d’emprunter à des banques privées et qui interdit à la BCE (banque centrale eurpéenne) de prêter aux Etats.
Voilà, entre autre, la raison de mon livre Comment Sortir de l’Europe sans Sortir de Table qui démontre, articles à l’appui, que ce que l’on nous présente comme une énorme charge financière, est tout simplement prévue et pensée parce que actée dans le Traité de l’Union.
Pour lire des extraits du livre, de cette pièce de théâtre, écrit sur un ton humoristique à travers deux personnages extrêmement attachant et au langage décalé et fleuri le tout accompagné par 11 menus divins concoctés par Ginette, l’épouse de Gérard, c’est ici.
L'interview de Comment Sortir de l'Europe Sans Sortir de Table, un livre à rire de nos démences :
http://www.courleuxsansfrontieres.com/Jean-Luc-Mordoh-citoyen-europeen-auteur-Comment-sortir-de-l-Europe-sans-sortir-de-table-Le-Traite-de-Fonctionnement-de_a517.html
— L'iBookstore (Apple) : https://itunes.apple.com/fr/book/comment-sortir-leurope-sans/id570680646?mt=11
— Le Kindle Store (Amazon) : http://www.amazon.fr/Comment-sortir-lEurope-table-ebook/dp/B009R7USE0
— La FNAC : http://www4.fnac.com/livre-numerique/a5009930/Jean-Luc-Mordoh-Comment-sortir-de-l-Europe-sans-sortir-de-table#FORMAT=ePub
— La librairie généraliste Didactibook : http://www.didactibook.com/produit/55353/9782824201047
Vous pouvez aussi télécharger ce livre sur le site de l'éditeur : http://www.labourdonnaye.com/produit/30/9782824201047
Vous trouverez également ce livre au format papier sur Lulu.com : http://www.lulu.com/shop/jean-luc-mordoh/comment-sortir-de-leurope-sans-sortir-de-table/paperback/product-20473717.html
40 réactions à cet article
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voici une petite video qui en 4 minutes vous explique tout sur la dette...
voir : A QUI PROFITE LA DETTE ?
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L’etat ne produit rien mais perçoit des impôts
Philippe
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Au contraire commentaire très pertinent.
C’est l’auteur qui a un raisonnement spécieux en voulant montrer que la dette est une spirale infernale puisqu’on rembourse plus qu’on emprunte.
Si il ne produit pas , l’Etat a des recettes.
L’Etat est un rentier.
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Le particulier s’endette pour consommer, l’entrepreneur pour investir et l’état pour payer ses frais de fonctionnement.
Il y a un cas qui est de la destruction pure et simple de richesse ?Lequel ?-
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12% quand même marginal !!!!!!et tout dépend ce qu’on englobe dans les frais de fonctionnement pour une entreprise il y a aussi les salaires, si c’est le cas pour l’état on est loin des 12% .
a titre indicatif
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-publiques/ressources-depenses-etat/depenses/quelles-sont-depenses-etat-par-fonctions.html -
Bien sur que la masse salariale de l’état est à prendre en compte. On peut même aller au-delà et comptabiliser les heures perdues dans les entreprises à remplir de la paperasse comme un cout à mettre sur le compte état, ce que on ne fait généralement pas.
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voila les vrais chiffres
MISSIONS DU BUDGET GÉNÉRAL en million d’euros
Action extérieur de l’État =2 923
Administration générale et territoriale de l’État =2 725
Agriculture, pêche, alimentation, forêt et affaires rurales = 771
Aide publique au développement =3 323
Anciens combattants, mémoire et liens avec la nation 3= 149
Conseil et contrôle de l’État= 600
Culture=2 729
Défense =38 001
Direction de l’action du Gouvernement =1 132
Écologie, développement et aménagement durables =9 573
Économie =1 987
Engagements financiers de l’État =49 921
Enseignement scolaire =62 212
Gestion des finances publiques et des ressources humaines =1 603
Immigration, asile et intégration =632
Justice =7 386
Médias, livre et industries culturelles =1 268
Outre-mer =1 967
Politique des territoires =337
Pouvoirs publics =997
Provisions =33
Recherche et enseignement supérieur =25 409
Régimes sociaux et de retraite =6 619
Relations avec les collectivités territoriales=2 678
Remboursements et dégrèvements= 85 438
Santé =1 376
Sécurité =17 048
Sécurité civile=437
Solidarité, insertion et égalité des chances 12 694
Sport, jeunesse et vie associative= 485
Travail et emploi=10 103
Ville et logement=7 596
Total pour le budget général 2012(A) 376 152 -
pour les anciens combattants lire 3149 milions
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Je note :
Enseignement scolaire =62 212
Recherche et enseignement supérieur =25 40987 milliards pour fabriquer des chomeurs...
Bel effort !!!
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titi et peripate, vous rendez vous seulement compte des conneries que vous debitez !!!
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Ben non, et c’est pour ça que nous allons continuer.
Vous n’êtes pas choqué de la difficulté à rassembler des chiffres concernant les dépenses de l’état, de la sécu, et des centaines sinon plus d’officines en tout genre qui jouent avec l’argent public ?Pourtant la moindre entreprise se voit contrainte d’adopter un plan comptable, avec actif et passif, bilan, compte de résultat, etc....Mais non, l’état tient une comptabilité de père de famille.Cool raoul... comme ça personne n’y comprends rien. -
@Robert
Ca ne vous interpelle pas lorsque vous voyez la masse colossale d’argent injectée dans le système éducatif pour un résultat nul ?
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Pour une fois je vais faire très court :
L’article 50 TUE (Traité de l’Union Européenne) permet aux pays membres de l’UE de sortir.
C’est donc juridiquement possible.
Faut-il avoir peur de sortir de l’euro ?
Sortons de l’Europe.... et vite !
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je le confirme ce que dit eau-du-robinet, nous pouvons sortire de l’UE et le premier qui sort aura le moins de dommage économique !
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Les anglais ont toujours refusé de faire de l’euro leur monnaie.
Pendant des années, ils ont nargué le monde avec leur Livre qui soit-disant les protégeait.Aujourd’hui, l’économie britannique est en ruine. Son déficit se creuse d’années en années et la stratégie de tout miser sur la City ne change pas malgré son échec patent. La situation anglaise est telle que même s’ils voulaient intégrer l’ Euro, ils ne respectent plus les critères d’adhésion. -
Alerte ! mise à jour logicielle urgente ! Vos informations sont obsolètes !
Bon en même temps vivre dans le passé c’est rassurant. -
Le déficit public est réapparu malgré les efforts anglais. Sa dette est à près de 80 % du PIB, la limite étant fixée à 60.
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Je ne nie pas les problèmes anglais. Tous les pays ont peu ou prou les mêmes.
Mais parler d’économie britannique en ruine est abusif.4eme producteurs d’automobile en Europe, 1,8 millions véhicules contre 2,79 en France. 820 000 emplois.La ruine ? -
Il y a une dette abyssale et il faut la rembourser.....
Je crois qu’il faut sortir de ce raisonnement absurde quand on connait les origines de la dette et surtout son utilisation pour convaincre les peuples à accepter plus de sacrifices ,de renoncement et de privation. La dette est une tentative d’asservir les populations afin qu’elles paient les erreurs de l’oligarchie financière.La dette est une dictature sans visage qui permet de détruire l’économie des pays ,de ruiner les peuples ,d’accaparer des ressources au profit d’une minorité.Accepter la dette est donc se résigner à cette dictature de la finance .
Les créanciers sont fragiles car leur survie dépend de la servilité du débiteur .La dette peut donc devenir un instrument de pouvoir des peuples face aux institutions financières à condition que ces peuples le comprennent.-
Au fait, monsieur l’auteur, comptez-vous dans les « actifs » les retraites et les pensions qui ne sont pas comptabilisé dans la petite dette de rien du tout mais qu’il faudra bien, j’imagine, payer aussi ?
Comptez-vous aussi dans les « actifs » les partenariats privé public ou l’état garantit contre les pertes, pertes généralement certaines ?Je crois bien plutôt qu’il y a tentative de sous estimer la question. Politique de l’autruche.-
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La dette n’est plus rien dans une société post-monétaire. Alors... Arrêtez d’être les volontaires esclaves du système.
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Romain Desbois 12 décembre 2012 19:53Chinal
décidément va falloir que l’on vous change d’asile. Ce sera bon pour votre moral, de changer de bande (à d’asile)
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Desbois,
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Revenez seulement lorsque vous aurez un contre argumentaire qui tient la route au lieu d’insulter. -
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« Nous sommes de plus en plus pauvres » ... le discours miserabiliste par excellence et sans aucun fondement !.
Dans un autre article réclamant du fric, l’auteur dira : « notre pays n’a jamais été si riche ».
Et d’ailleurs notre PIB annuel n’a jamais été aussi élevé qu’il y a 3 ans ; nous ne nous sommes jamais autant gavés de voitures, Iphones, machines à laver, maisons avec piscines, Mp3 avec des millions de titres, encyclopédies à milliards de pages etc ...
Alors on vend son Livre sur Agoravox en se prétendant pauvre, parce qu’ici ça mord (d’ailleurs y a du Robert Gil en tête de gondole).
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La dette est aussi illégitime qu’abyssale, et il ne faut pas la rembourser. On peut chinoiser, ergoter, auditer, trier pour distinguer le bon grain de l’ivraie, mais à la base, il faut poser qu’on ne rembourse pas.
En dehors de ça, même pas d’accord avec certaines constatations : la dette ne sert pas à faire peur aux peuples, mais à les asservir et à les spolier (sous prétexte de... remboursement, justement !).
Mais bizzarrement, partiellement d’accord sur la conclusion : il faut sortir de cette Europe de la mise en concurrence libre et non faussée des peuples, sous la tutelle d’une ploutocratie en antagonisme total à la fois avec tout processus démocratique et avec toute notion de liberté individuelle.
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« Nos votes » ? Comme celui de mai 2005 sur lequel s’asseyent l’UMP et le PS depuis plus de 7 ans ? Ben voyons.
Ces votes légitimeraient en théorie ces engagements. Mais en pratique, ces votes sont basés sur une désinformation d’une envergure et d’une efficacité dont ni les bolcheviks, ni Hitler, ni Pol Pot n’auraient osé rêver...
Nos représentants sont illégitimes (ils ne tiennent pas parole ; ont-ils de l’honneur ?). Ces traités sont illégitimes. La gouvernance par des instances européennes non démocratiques (mais à l’origine de 80% de notre législation) est illégitime. Et la clef de voute de ce système : la dette, est illégitime. -
Bonjour, j’ai acheté votre livre, la dette n’est qu’un chapitre.
Il s’agit de passer en revue les textes européens qui nous dirigent, d’une manière simple et divertissante. La lecture de ces Traités est tellement ennuyeuse que personne n’arrive à les lire....
On y découvre par exemple que l’immigration ne tombe pas du ciel, qu’elle est planifiée par l’ UE.
L’auteur a fait oeuvre de salubrité publique en rendant accessible la compréhension du fonctionnement de cette usine à gaz.
Si vous ne savez pas quoi offrir à vos proches pour les fêtes, à ceux qui s’imaginent que les Etats ont encore un pouvoir dans l’ UE, ce livre fera un cadeau à la fois divertissant et utile pour ouvrir les yeux à tous ceux que les médias enfument sur l’ Europe des banksters depuis 40 ans !
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C’est beau, l’économie vue par un CM 1...
« Mais ces 5 euros de plus à rembourser, comment fait-il l’Etat pour les payer vu qu’il ne produit aucune richesse ? Il ré-emprunte...avec intérêts. »Ce n’est pas comme cela que ça marche, tu sais ? Un Etat ne produit pas directement, mais indirectement, par le biais de sa population et des entreprises, qui versent un impôt en rapport avec la richesse produite ou perçue. C’est cet argent qui permet le fonctionnement de l’ Etat, puis de rembourser l’argent avancé.Au fait, que ce soit une banque privée ou publique, cela ne change rien : Un Etat emprunte toujours avec intérêt, jamais gratuitement. Et une banque d’ Etat n’est pas forcément moins gourmande qu’ une privée.
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Effectivement, si un enseignant de l’E.N. ne produit aucune richesse, alors aucun organisme de formation privée ne produit de richesse, va falloir les prévenir rapidement pour qu’ils ferment boutique.
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A Mmarvinbear,
Vous devriez vous relire avant de sortir des inepties pareilles.
Si l’Etat emprunte à la Banque de France, il ne paye AUCUN intérêts.
Si c’est à une banque privé, il paye des intérêts. Et beaucoup.Est-ce que jusqu’à là, ca va ? Vous comprenez ?
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« Si l’Etat emprunte à la Banque de France, il ne paye AUCUN intérêts.
Si c’est à une banque privé, il paye des intérêts. Et beaucoup. »Non c’est pas comme cela que ca fonctionne
« Si l’Etat emprunte à la Banque de France, il ne rembourse jamais.
Du coup pour compenser on fait marcher la planche à billets pour ajuster la valeur de la masse monétaire à celle de la vraie richesse. »
Et finalement le contribuable ne paie pas d’interêt, mais sa monnaie est devenue une monnaie de singe. -
« Si l’Etat emprunte à la Banque de France, il ne paye AUCUN intérêts.
Si c’est à une banque privé, il paye des intérêts. Et beaucoup. »
C’est toi qui ne comprend rien. L’ Etat pouvait emprunter avec un taux préférentiel, mais il payait des intérêts tout de même ! En moyenne, 1 ou 2 %.
Les taux actuels des banques privées sont du même ordre, cela ne change rien. En ce moment même, la France emprunte à des taux négatifs !
Ce qui fait que l’endettement s’accroit est que le pays emprunte plus qu’il ne rembourse. Donc automatiquement, la dette monte et avec le montant des intérêts.Cet accroissement du montant vient en grande majorité des cadeaux fiscaux accordés aux entreprises et donc au fait qu’il n’ y a pas assez d’argent qui rentre dans les caisses. -
Bien avant le traité de Maastricht ,la préparation de cette mise sous tutelle des états par la finance a été organisée par nos politiques.
Pour la France c’est la loi de janvier 1973 ,déjà le gouvernement de l’époque avait préparé le terrain à un abandon de souveraineté de la France.
Le traité de Maastricht ,celui de Lisbonne puis le TSCG ont achevé la tâche entreprise de longue date.
Si l’idée première de l’Europe était bonne cette idée a été dévoyée et n’a plus de sens ,cette Europe qui était sensée souder les populations Européennes n’a en fait que créer des dissensions entre les différents états.
Les dettes en étant le moteur.
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