La dictature de l’enfantement
Quelques articles s'écrivent, sporadiquement, sur le sujet ; de rares livres en parlent. Et pourtant, la réalité existe et elle est à l'origine de sentiments forts. Sentiments, donc émotions. Emotions provoquées par le jugement, la vaine incompréhension, le rangement dans des catégories inexistantes, le confort de ceux qui "veulent etre comme les autres".
Hier soir, nous partagions une table conviviale avec des amis au coeur de ce Piémont viticole et chaleureux. Trois hommes, trois femmes, des chiens, des chats. Un seul homme a un enfant, issu d'un précédent mariage, terminé depuis quarante ans. L'objet de mon article sera compris par certaines femmes, mais bien des hommes - peut-être plus encore- y seront sensibles.
Nous étions trois femmes, qui n'ont jamais enfanté. Ne les nommait-on pas, à une certaine époque, "des ventres stériles" ? Et si, désormais, les mots se font plus prudents, les jugements et les idées pré-conçues n'en restent pas moins obtus et féroces.
Nous avons toutes au moins une anecdote sur le propos. Du "tu n'as pas d'enfant, tu ne peux pas comprendre", en passant par les phrases émises par des femmes elles-mêmes : "Je suis devenue femme lorsque j'ai été mère" !
Ce ne serait que des paroles de comptoir ... ou plutot, de tables à langer, si elles n'étaient aussi blessantes qu'elles sont stupides. Mais, elles sont aussi restées larvées dans certains courants politiques qui, surfant actuellement sur l'onde de droite extrême, les clament à nouveau de la tribune. Renzi, l'ex-premier ministre italien (parti démocratique !) a prononcé un jour un discours adressé notamment aux mères, pas aux femmes. Doit-on parler de l'actuel gouvernement extrémiste et populiste ? On n'est pas loin des tristes 3 K : Kinder, Kuchen, Kirchen (enfant, cuisine, église) germaniques. On promet des rentrées financières supplémentaires aux couples qui ont des enfants.
Ce discours encourageant les femmes reproductrices me révulse. Il émane presque systématiquement d'hommes, dont le corps n'est pas en jeu. Il réduit la femme au rôle de parturiente, d'allaittante, au service des fils et des hommes décideurs.
Le succès d'une telle rhétorique me fait frémir. Avoir ou non un enfant, que cela vous plaise ou pas, relève du choix de la femme, car elle est seule à en être capable.
Et toujours, quand j'aborde le sujet, me revient à l'esprit la remarque d'une mère de trois enfants, interviewée lors de l'écriture de mon premier livre. Elle me dit : "Avoir un enfant est presque toujours un acte égoiste. En effet, la plupart des humains font des enfants pour eux-mêmes" : Pour le comprendre, il suffit de regarder autour de soi.
Françoise Beck
45 réactions à cet article
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@Françoise Beck
Si votre mère n’avait pas eu d’enfant, nous n’aurions pas eu le plaisir de lire cet article.
Vous n’avez pas eu d’enfant, cela ne regarde que vous, mais était-il nécessaire de suggérer que celles qui en ont l’on fait par égoïsme ? Comme si le fait de ne pas en avoir était un signe d’altruisme ?
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@popov
Bonjour, bien dit ça. Mme Beck ramène tout à elle je trouve ça égocentrique . -
@blablablietblabla ne lui parlez pas , elle n’existe pas, c’est un bot ( de plus)
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Elle a commencé par la guerre sexiste à outrance. Elle poursuit son escalade de l’abjection.
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« des ventres stériles »
il y a bien pire que les « ventres stériles » : les pensées stériles
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@ Françoise Beck
Il me semble qu’il faudrait distinguer la rhétorique « dictature de l’enfantement » produite dans la sphère privée, familiale souvent, (influence culturelle, cultuelle, patriarcale) de celle produite au niveau politique.
Dans cette Europe comme dans d’autres pays de longue date il y eut et il y a des politiques natalistes pour inciter à la procréation en la subventionnant surtout après les guerres.
Je ne connais pas Mr Renzi ni son programme politique mais son discours s’inscrit peut-être dans une logique démographique plus nationale que nationaliste, quoique les deux ne sont pas incompatible.
Comme vous connaissez bien l’Italie il ne vous a pas échappé que le taux de fécondité est un des plus bas du monde actuellement, ce qui d’un point de vue sociologique comme d’un point de vue économique est un signal inquiétant quelles que soient les tendances politiques. Car cela aura un impact sur la société dans de nombreux domaines à court, moyen et long terme.
Avec un taux de fécondité qui approche de 2, la situation en France ne s’en sort pas trop mal pour l’instant, mais quel serait ici le discours s’il avoisinait 1,35 comme en Italie ou en Espagne ?
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@njama Une personne qui ne commente rien ne mérite pas de commentaires.
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@adeline
On peut toujours lancer une perche à l’auteure qui sortira peut-être du bois... qui risque rien n’a rien.
J’aimerais que au-delà de son article elle viendrait exprimer son point de vue sur cet effondrement du taux de la fécondité en Italie (phénomène identique en Espagne), un (épi)phénomène sociologique indépendant à priori des possibilités d’enfantement des femmes, qui aurait peut-être conduit à un discours larvé et lourdingue peut-être pas sans lien en Italie avec ce problème démographique très contemporain.
Bien que les nationalistes populistes pourraient opportunément s’emparer du sujet pour en faire leurs choux gras en politique, un tel signal démographique à un stade aussi alarmant mérite un meilleur traitement que de culpabiliser les femmes sans enfant(s)
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@ Françoise Beck, 24 mai 2019
« Je suis devenue femme lorsque j’ai été mère » ! L’Ignorance totale. La biologie prouve que dès la fécondation la femme régresse au stade de mammifère. Le programme archaïque se bloque définitivement sans possibilité de mise à jour.
Épargner à un parfait innocent non désiré un esclavage de 80 ans est définitivement de l’altruisme féminin à sanctifier.
Le code pénal doit criminaliser toutes femelles ayant un QI de moins de 110 tentant de se reproduire, ordonnant interruption et stérilisation immédiate.
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@Le Gaïagénaire. Blanche Gardin réplique qu’elle s’est sentie femme lorsqu’elle a été doigtée par un homme marié. Long couplet sur la contemplation de l’alliance au bord de la chatte.
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@JC_Lavau 25 mai 13:35
Merci pour la découverte.
J’ai hâte qu’un(e) « humoriste » nous fasse part de ce que subissent les bébés mâles de 0 à 4 ans aux mains des harpies.
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@ Françoise Beck
Mr Renzi ignore-t-il les causes politiques de cet effondrement du taux de fécondité des italiennes ? il serait de sa responsabilité politique en premier lieu d’essayer d’enrayer certaines d’entre elles.
Ça se passe en Europe : les Italiens, un peuple en voie d’extinction
La population de la péninsule a diminué l’année dernière, son taux de fécondité est l’un des plus bas du monde.
le 12/01/16
[...] Les causes de cette réticence au pays de la « famiglia » reine sont multiples. La précarité économique des couples, le manque d’aides de l’État et de crèches, un changement du rôle et de la place de la femme dans la société, un net recul du modèle de la famille traditionnelle, des attentes et un investissement plus grands pour assurer l’avenir de la progéniture, et une idéalisation de la maternité. Autant de raisons qui pousseraient les futurs parents à attendre avant de se décider à mettre au monde un « bambino » qui se fait de plus en plus rare. Attendre, quitte à ce qu’il soit trop tard puisque le taux d’infertilité touche désormais 25% des couples.-
Hé ben... J’en reste bouché bée...
Quelle sorte de rejet, de haine, de dégoût vous anime ?
Si je vous lis encore, c’est par curiosité pour voir jusqu’où vous pouvez aller avec votre philosophie incompréhensible pour moi.
Heureux les petits anges que vous n’avez pas enfantés et qui sont restés dans les limbes !
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@cevennevive
j’ai été marqué comme vous par sa rhétorique... mais au moins elle est logique.... pas comme certaines mères qui mettent au monde des enfants qu’elles vont détester... donc, c’est une question épineuse
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J’ai survolé, manque de temps.
Flaubert « faire venir un être c’est faire venir un misérable »
Une soirée, troquet. 5,6,attablés. Conversations. Sujets. Elle,elle est d’une grande beauté mais ne le sait pas,elle est voluptueuse. Idiote...ou imbécile aussi peut-être, elle s’est entichė avec cet intriguant, relativement copain...Le sujet est justement les enfants,elle,elle contient difficilement une explosion de larmes en regardant sont concubin « c’est quand que tu t’y met a m’en faire un ! » Lui...l’un _puissant mais sujet très délicat, elle...idiote.
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@UnLorrain
« son » Der die das die. Des der des dem.
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Bon alors, du coup, c’est quand le prochain ?
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Ouf ! Si vous aviez eu un enfant, il aurait été bien à plaindre.
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« Avoir un enfant est presque toujours un acte égoïste. En effet, la plupart des humains font des enfants pour eux-mêmes »
Comment pouvez-vous dire ça ? Avoir un enfant n’a rien d’un acte égoïste.
Avoir un enfant, c’est s’engager, se sacrifier pour l’Autre, ce petit être fragile qui va venir au Monde, qui sera sous votre entière responsabilité pendant des dizaines d’années.
Le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt désignait la naissance nécessite le Don de soi, donner beaucoup d’Amour, un immense Sacrifice, qui ne va pas sans contraintes matérielles et parfois psychologiques.-
@Jonas
Élever un enfant est pour vous se sacrifier ?
Allez vous dire à votre enfant je me suis sacrifié pour toi, j’ai saigné des quatre veines pour toi ?
j’espère que non, quand on aime, on ne compte pas et on attend rien en retour. Certes nous passons du temps avec eux, surtout quand ils sont jeunes, mais cela n’a rien à voir avec un sacrifice de soi-même, c’est juste une nécessité de la vie que de les accompagner dans leurs premiers pas. Ça fait partie du jeu de la vie ou du contrat d’éducation.
Vous savez les enfants n’en demandent pas tant, simplement « vivre » leur suffit. J’ai eu trois enfants, adultes maintenant, à aucun moment je n’ai eu l’impression de me sacrifier pour eux. Tout a été plutôt simple et facile. -
@njama « Allez vous dire à votre enfant je me suis sacrifié pour toi, j’ai saigné des quatre veines pour toi ? j’espère que non, quand on aime, on ne compte pas et on attend rien en retour. »
Sacrifier dans le sens où votre mode de vie a été entièrement bouleversé, et que vous devez consacrer une part de votre temps entièrement à ces petits êtres.
Ce Sacrifice est évidemment gratuit, un Don de son Amour dont on n’attend rien en retour et c’est ce qui fait la beauté de cet acte miraculeux qu’est la naissance.Ce que ne semble par comprendre l’auteur de l’article.
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@njama. L’échange entre les générations est bidirectionnel.
En échange de deux fonctions basiques, « Celui qui prend soin de moi », et « Le contre-prédateurs crédible », nos enfants nous fournissent leur appétit de vivre, parfois leur sollicitude en retour. En plus de leurs clowneries et maladresses que nous n’oublions pas.
« Mamie ! Ma pâte à modeler est trop moule ! Tu peux me la démollir ? ».Les abus sont un peu faciles.
Les parents hystérogènes (qui produisent des hystériques) réclament de leurs enfants qu’ils les rassurent sur leur pouvoir de séduction. Ainsi une fillette ne cessera plus de prouver à son père qu’il est séduisant, en multipliant à vie les promesses sexuelles qu’elle n’a aucune intention de tenir. Et mutatis mutandis depuis une mère hystérogène, sans compter les figures homosexuelles.Variante : un parent sadique réclamera de ses enfants qu’ils soient aide-bourreau ou aide-bourrelle, à son service pour martyriser l’autre parent, ou un aïeul sous la main. Et les menaces plus l’attachement instinctif au contre-prédateur le plus féroce font le reste de l’ignominie. Nous avons sur Gorgonavox plusieurs exemplaires de ces pervers histrioniques, qui n’en finissent plus de prouver à un ascendant monstrueux (mort ou vif) qu’ils sont sadiques comme exigé, qu’ils savent persécuter les plus humains et les plus humanistes qui passent à portée de tir.
Variante encore : la guerre sexiste qui se transmet de mère en filles, afin de perpétuer la persécution de l’autre sexe, le sexe héréditairement maudit. Plusieurs exemples sur Gorgonavox :
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/le-tres-controverse-syndrome-d-59616
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-syndrome-d-alienation-parentale-196073
https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/scandale-le-syndrome-d-alienation-200329Ou ailleurs :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0
Variante qui peut être moins tragique : les mères d’enfants prodiges, surtout les pianistes. Certaines n’hésitent pas à suicider l’enfant qui ne satisfait pas leur narcissisme : http://deonto-famille.info/index.php?topic=66.0 -
@Jonas
L’amour n’est pas un sacrifice...
et puis il n’est pas à sens unique, c’est très amusant d’avoir des enfants, l’amour ils nous le rendent bien, lol, faut pas s’en faire une montagne d’avoir des enfants, on peut les éduquer dans la bonne humeur (ils préfèrent d’ailleurs), le mot « »Sacrifice" (avec la majuscule en plus !) ça plombe grave, vous allez faire peur aux futurs parents -
@njama « L’amour n’est pas un sacrifice...et puis il n’est pas à sens unique. »
Qu’il y a-t-il de mal à se sacrifier pour l’autre sans retour ? Il n’y a là rien de mal.
D’autant que comme vous le signalez, « l’amour, ils nous le rendent bien », qu’il y-a-t-il de plus beau comme récompense, que de voir le sourire d’un enfant ? -
@Jonas
Je suis complétement étranger et étanche à à votre idée de sacrifice concernant l’éducation des enfants, je n’ai rien connu de ça.
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@Jonas
Votre raisonnement conduit à ce qu’une femme (épouse, ou compagne) « devrait » vous donner des enfants (bien que cela ne fasse pas partie du contrat de mariage — vie commune -), bien que elle ne le souhaiterait pas peut-être (?, ou simplement ne le pourrait pas, et vous alimentez, consciemment ou non, les dérives technologiques de confort de procréation médicalement assistée, puisque la stérilité (de la femme ou de l’homme) est dès lors socialement perçue comme une pathologie.
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@njama « la stérilité (de la femme ou de l’homme) est dès lors socialement perçue comme une pathologie. »
Qu’une femme enfante, c’est le dessein de Dieu, c’est le propre de la Création.
Pourquoi la Nature a-telle dotée la femme d’un utérus, d’ovaires, pourquoi l’homme secrète-t-il du sperme à votre avis ? -
@JC_Lavau. Voir aussi
Ces BD turques qui apprennent aux enfants à mourir en martyr :
https://fr.sputniknews.com/societe/201604041023932297-turquie-bd-enfants-martyr/
Déjà beaucoup hurlaient à l’affabulation quand je rapportais les livres
d’Histoire sous Vichy pour les enfants. Mais là le record est largement
dépassé.
Même sujet de préoccupation : Erdogan prépare des assassinats ciblés aux Pays-Bas :
Un courriel émanant du consulat turc à Rotterdam a fâché la classe politique néerlandaise en demandant à des organisations turques du pays de rapporter toute insulte relative au président turc Recep Tayyip Erdogan. Le consulat parle d’un « malentendu » mais Ankara devra s’expliquer sur l’affaire.
Un courrier électronique émanant du consulat turc de Rotterdam a demandé à plusieurs mouvements turcs aux Pays-Bas de transmettre jeudi les insultes exprimées « sur Facebook, Twitter ou par e-mail » à l’encontre de M. Erdogan, de la Turquie, ou la population turque.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2683755/2016/04/22/Le-bras-long-d-Erdogan-agace-les-Pays-Bas.dhtml -
@Jonas
Qu’une femme enfante, c’est le dessein de Dieu, c’est le propre de la Création.
Voilà vous êtes tout à fait dans ce que dénonce l’auteure, on résume votre pensée >> une femme est faite pour ça ! Dieu l’a dit nan ! Il lui a donné un utérus et elle n’a ka se soumettre à la loi divine et toc !
femmes soyez soumises à vos maris ! saint-Paul l’a dit ! « Je veux pourtant que vous sachiez ceci : le chef de tout homme, c’est le Christ ; le chef de la femme, c’est l’homme ; le chef du Christ, c’est Dieu. » Cor 1/11 : 3Cela était peut-être vrai avant sous l’influence des religions maquées par des mecs, mais dans la « vraie » vie libérée de leurs carcans stupides ce n’est pas comme ça que ça marche...
Si une femme ne veut pas d’enfant, c’est son libre arbitre et la moindre des choses est de le respecter, non ?
Et si on n’est pas content on va voir ailleurs... c’est pas compliqué d’évier les embrouilles stériles lol -
@JC_Lavau. L’adjectif « insécure » aurait rendu la phrase plus claire : Et les menaces plus l’attachement insécure mais instinctif au contre-prédateur le plus féroce font le reste de l’ignominie.
Les aides-bourreaux et aide-bourrelles restent insécures pour le restant de leur vie, si rien d’essentiel ne change.
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« Avoir ou non un enfant, que cela vous plaise ou pas, relève du choix de la femme, car elle est seule à en être capable. »
Pendant des millénaires, les sociétés humaines ont été organisées à partir d’un groupe de personnes interagissant entre elles, spécifiant des lois, des rites, des traditions, dont la religion constitue en règle général le ciment, avec protection de la famille, du patrimoine et de l’héritage, c’est ce qu’on appelle le bien commun.
La stabilisation d’une société repose sur la transmission de ce patrimoine, du savoir accumulé, pour qu’elle puisse prospérer et se perpétuer de générations en générations.
Et qui permet cette régénération ? Les enfants, qui représentent l’avenir de la société.
C’est pour cela, que dans les sociétés humaines, une femme n’a pas le droit de vie et de mort sur son enfant, car il est un bien de la communauté.
Le culte maçonnique des « droits de l’homme » est une grave anomalie favorisant l’individualisme, le confort, l’égoïsme et l’instantané (je veux tout, et tout de suite), au détriment de la communauté.
Cette idéologie permet aux femmes de nier tout sacrifice envers la communauté, en particulier la décision volontaire et assumée de ne pas vouloir enfanter.
Ce qui conduit à terme, à une extinction de toute la communauté, et son remplacement.-
@arthes erreur de destinataire, réponse donnée ci-dessous
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@Jonas
Si toutefois vous étiez tombé (ou vous tomberiez) sur une compagne qui ne désirait (désirerait) pas d’enfant, il vous aurait simplement fallu reprendre votre baluchon, vous remettre en chemin pour en trouver une qui vous aurait donné une famille.
La vie c’est pas compliqué ,-) -
@njama
Les aléas de la vie et de la Nature font que toutes les femmes ne peuvent pas procréer, il ne s’agit nullement de leur jeter la pierre.
Dans cet article de propagande, mon but est de dénoncer l’idéologie maçonnique de l’auteur expliquant que l’enfantement est une « dictature », car donner la vie à un être humain, ce serait mal.Cette idéologie conduit à terme au suicide collectif des sociétés humaines.
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@Jonas
parce que vous pensez que Françoise Beck serait sous l’emprise des frères la truelle ? la Loge P2 en Italie
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@Jonas 25 mai 13:52
« car donner la vie à un être humain, ce serait mal. »
Personne , actuellement, ne « donne » la vie à un être « humain ». Une idéologie cache le fait que ce sont des « esclaves » qui sont mis au monde. Ça c’est mal.« Cette idéologie conduit à terme au suicide collectif des sociétés humaines. »
Quelle société mérite de ne pas mourir par la trop nombreuse production d’esclaves, de « Misfits ». Ce n’est pas la quantité mais la mauvaise qualité qui favorise l’entropie. -
« Est ce que vous n’allez pas vers une objetisation de l’enfant, du ventre de la mère et de vous même en tant qu’individu devenu ainsi « bien de la communauté » pour laquelle il faut se sacrifier ? »
C’est la nature même des sociétés humaines, et une loi divine commune également à toute vie animale, si elle veut se perpétuer.
Qu’est-ce qui oblige une lionne à passer des heures et des heures à risquer sa vie pour chercher de la nourriture pour ses petits ? Pourquoi ne les laisse-telle pas tout simplement mourir de faim, et pouvoir ainsi partir se reposer tranquillement vers d’autres lieux ?
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@arthes 25 mai 15:27
@Jonas,
Remplacez le mot valise « amour » par « désir d’enfant » pour faire la différence entre la lionne et la « femme » qui, sauf rare exception, n’a pas modifié son acquis par épigénétique.
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@arthes 26 mai 18:22
Les hommes viennent de vénus et les femmes de mars...
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@arthes 26 mai 15:49
Bonjour,
La cuisine. Vous pouvez comprendre que le plat cuisiné par « McDo » n’intègre pas le subtil filtre d’ « amour » d’une amoureuse.Comme le baisé de la prostituée ne transmet pas les mêmes phéromones que l’amoureuse en période d’ovulation.
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C’est autant inquiétant à notre époque une société qui se reproduit comme des lapins (par idéologie en mode : Soyez féconds et remplissez le monde« ;
Qu’une société qui adopterait par idéologie là aussi (faire un enfant est une acte égoiste) le mouvement contraire et donc amorcerait son déclin...
auquel cas, elle devient vulnérable... peut dire adieu à court ou long terme à sa civilisation, sa culture faute de transmetteurs en nombre suffisants ou du moins suffisamment forts/ jeunes pour défendre ses acquis... (non seulement culturels, religieux mais aussi certaines notions auxquelles nous sommes attachés dont l’égalité homme/femme dans la rue, au travail, dans le couple, les choix vestimentaires et la mixité de vie) — je dis cela parceque justement dans mon quartier, les hommes sont d’un coté, les femmes de l’autre en groupes homogènes, jusqu’au café de mon village ou l’on ne trouve que des hommes... on ne vous mettra pas dehors si vous êtes une femme, nan, mais on vous fera sentir que vous gênez...(regards appuyés, conversations qui s’arrêtent, ambiance bien lourde)
Ce choix individuel qui n’en est plus un, dés lors qu’il se transforme en idéologie (je traduis : faire un enfant est un acte égoiste, vive l’individualisme !) affectant notre société, aura et a déjà des répercutions sur les générations suivantes... NOS jeunes.. (oui les vôtres aussi par extension : ceux de vos frères et soeurs, de vos cousins, de vos amis auxquels vous dites être attachés.
Sur ce plan là, salvini a raison, il défend une civilisation, celle qui paradoxalement a abouti au féminisme qui s’est dévoyé en désignant l’homme et son besoin naturel de transmission, d’enfant, comme un adversaire et non plus comme un partenaire avec aussi des droits, des besoins, qui pousse des cris d’orfraie dés lors qu’on parle de complémentarité... (il n’empêche qu’il faut connaitre l’italie pour constater le pouvoir qu’à »la mamma" dans son foyer,sur les siens et le respect qu’on lui témoigne :)
Mais heureusement la nature est bien faite, sacrifier son confort de vie c’est aussi recevoir en échange bien des joies, c’est aussi l’occasion de mieux se connaitre parfois certes dans la confrontation, mais aussi et surtout dans l’échange..
c’est la vie....
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Madame Berk est la preuve éclatante que les articles sont choisis par les auteurs modérateurs, et non par les administrateurs du site. En effet, ses 5 derniers articles obtiennent une moyenne de 5,2 sur 20, preuve que les commentateurs malfaisants ne pensent pas comme les modérateurs bien-pensants...
En outre, elle n’a jamais répondu une seul fois aux commentaires reçus, preuve qu’elle est très au-dessus du populo de base. Normal puisqu’elle est enseignante !
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Avoir ou ne pas avoir d’enfant, c’est le libre choix de chacun.
Par contre, on peut se demander pourquoi on poursuit des politiques natalistes à l’heure où la planète compte bientôt 8 milliards d’habitants.
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Parceque l’italie, comme les autres pays d’europe n’ont pas renouvellé leurs générations et qu’il rentre dans l’équation des enjeux civilisationnels. (qui se réglaient jadis par des politiques d’assimilations, aujourd’hui très mal vues en occident)
Avec une politique occidentale de natalité suffisante à renouveller les générations, les sociétés en « trop plein » serait bien obligées d’adopter une politique visant à réguler leurs naissances, puisqu’il n’y aurait plus ou peu de besoin de main d’oeuvre... (faut pas se leurrer ce n’est pas par humanisme que nos politiques font venir des jeunes gens)
du coup, on atteindrait un certain équilibre... en laissant chacun faire face aux conséquences de ses choix...
Evidemment, cela passe aussi par l’adoption d’une politique économique juste, éthique vis à vis de ces pays... sans cela, il y aura toujours des pauvres gars qui risqueront leur vie pour migrer afin d’aider leurs familles...
cela dit, notre mode de vie hyper consumériste, énergitivore, érigé comme modèle est beaucoup plus préjudiciable à la planète que la surpopulation...
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L’auteur semble trimballer une bonne dose de mal-être personnel. Elle est en conflit avec tout et tout le monde. Aujourd’hui, elle dit être « révulsée » par les hommes qui considèrent les femmes comme des mères. Hier, c’était les nationalistes faibles d’esprit, avant-hier les crétins qui n’aiment pas les chihuahuas...
Françoise Beck n’a pas d’élans, de bouffées de bienveillance envers ses semblables, elle n’a que des cibles, auxquels elle crache son mépris et sa désapprobation.
Calmez-vous Françoise ! Au lieu d’aller en Italie, sans doute devriez-vous envisager une petite retraite bouddhiste au fin fond de l’Inde loin de tout.
Vous n’avez pas eu d’enfant ? Vous détestez les remarques désobligeantes à ce sujet ? Les politiques natalistes ? Et alors ? Assumez votre choix parfaitement légitime, laissez les mauvaises langues s’empoisonner elles-mêmes, et vivez votre vie sans vous soucier de celles des autres.
Enfin, je dis ça, je ne suis pas sûr que Françoise me lise. Trop occupée à cracher ses frustrations et sa détestation du monde qui ne correspond pas à ses fanstasmes pour venir voir ce que les gens lui disent. Tant pis pour elle !
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