La France sacrifie un prêtre sur l’autel de la « Tolérance »
Nous n'allons pas, aujourd'hui, apporter notre propre contribution au débat sur l'Islam, qui se fait de d'autant plus pressant qu'il y a de plus en plus d'égarés qui croient judicieux de tenter de l'interdire, c'est à dire de se soumettre lâchement aux tentatives d'intimidation du terrorisme musulman. Un théologien américain du nom de David Wood, dans une vidéo sur You Tube (lien ci-dessous), analyse notre société française et les nombreux coups qui lui sont portés, sans complaisance et avec une grande lucidité : il nous accuse ainsi d'adorer le dieu Tolérance, auquel nous sacrifierions sans cesse plus de victimes. Jugeant son analyse pertinente pour la réflexion à laquelle elle invite, nous en présentons ci-dessous la traduction française. Pour le discours original, voir ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=nzwJPHnezLE
La France sacrifie un prêtre sur l’autel de la « Tolérance »
Un prêtre français a été sacrifié aujourd’hui (26/07/2016) sur un autel.
Alors, parlons des sacrifices : Sur l’ancienne terre de Canaan, les adeptes du dieu Moloch croyaient que l’acte de dévotion suprême consistait à sacrifier son enfant à son dieu. Le prêtre allumait un feu auprès d’une immense statue de Moloch, et les adeptes plaçaient leurs enfants dans les bras enflammés du dieu, où ils étaient brûlés à mort.
Puis vint Abraham. L’une des plus célèbres histoires de l’Ancien Testament est celle de Yahvé ordonnant à Abraham de lui sacrifier son fils Isaac. Abraham ficela son fils et fit un tas de bois sur lequel il s’apprêtait à le brûler après l’avoir tué. Ceux qui critiquent la Bible pointent cette histoire en disant : « Quelle barbarie dans le comportement du Dieu d’Abraham, de l’inciter à commettre cet acte odieux, et chez Abraham par la volonté de sacrifier son fils ! ». Mais je crois qu’ils se trompent : Abraham était entouré de gens qui étaient convaincus que la plus grande chose qu’ils pouvaient faire était de sacrifier leurs enfants à leur dieu. Abraham était prêt à le faire, mais Yahvé lui dit d’arrêter son sacrifice. Le message d’Abraham et d’Isaac pour la culture environnante était ceci : Abraham était aussi dévoué à son dieu que n’importe lequel de ses congénères, montrant qu’il était prêt à exécuter tout ordre venant de son Dieu. La différence entre vous et Abraham est que le Dieu d’Abraham ne veut pas qu’il sacrifie son fils. Son Dieu empêche Abraham de lui sacrifier son fils. Le Dieu d’Abraham fournit son propre sacrifice.
Les dirigeants français sont très semblables aux prêtres de Moloch, et le peuple de France ressemble beaucoup aux habitants de Canaan : J’entends d’ici les Français me répondre : « Que voulez-vous dire ! Nous sommes parfaitement laïcs ! »
Non ! Non ! Vous avez vos dieux, et vous montrez la dévotion que vous leur portez en sacrifiant vos propres frères sur l’autel de vos dieux. Tôt ce matin, deux djihadistes ont pénétré dans l’église de Saint-Etienne du Rouvray avec des couteaux et de fausses bombes. Ils ont forcé le prêtre catholique à s’agenouiller, et se sont filmés en train de l’égorger au pied de l’autel, au cri de « Allah Akhbar ». La police les a ensuite abattus.
Il est intéressant de constater que l’un des djihadistes avait été arrêté deux fois l’année passée alors qu’il essayait de se rendre en Syrie pour rejoindre L’Etat Islamique. Les agents de l’Etat répondirent à sa tentative de rejoindre le djihad en lui passant au poignet un bracelet électronique, en vue de l’empêcher de fuir le pays à nouveau.
L’église du crime figurait sur une liste de cibles potentielles trouvée dans l’appartement d’un djihadiste en 2015. Donc, l’église était une cible connue, il y avait dans la ville des adeptes de l’EI connus des services de renseignements, et ISIS avait récemment ordonné à ses admirateurs d’attaquer ses cibles en Europe. Mais tout le monde est choqué, de fait : Quand un homme qui a déclaré son allégeance à l’EI obéit au culte du djihad et attaque une église dont les autorités françaises savaient qu’elle était une cible, alors que la France est en alerte maximale depuis que les djihadistes se sont mis à lancer des attaques régulières, on peut considérer, dans ces conditions, où un terroriste a fait allégeance au groupe qui lui ordonne d’attaquer, et que la cible est libre de toute protection, qu’il aurait plutôt été étonnant qu’il n’y eût pas de mort.
Les autorités françaises connaissaient le profil des assassins et des cibles, mais il y a eu des morts. Auprès de ces hommes, l’inspecteur Clouseau fait office de Superman ! Comment peuvent-ils être incompétents à ce point ?
Eh bien, la recherche montre que les autorités françaises obéissent à un culte ; ce culte leur a lavé le cerveau et les empêche de penser clairement : C’est le culte de la Tolérance. La « tolérance » avec un « t » minuscule est une bonne chose : Nous sommes en désaccord, mais ne nous entretuons pas. Restons-en là. Voilà une saine sorte de tolérance.
Mais il y a autre chose qui s’appelle « Tolérance », et qui n’a rien à voir avec l’autre « tolérance » : Cette sorte de tolérance dit : « Vous devez faire ce que nous faisons et dire ce que nous disons, sinon nous vous tuerons, parce que nous sommes tolérants ». Cela ressemble à l’exact opposé de ce que le mot tolérance signifie en réalité, mais c’est ce que font les cultes superstitieux : ils utilisent les mêmes mots, mais en changent radicalement le sens.
Cette sinistre sorte de tolérance est beaucoup plus importante aux yeux des Français, si importante, en fait, que nous l’appellerons « Tolérance » avec un « T » majuscule. Nous mettons en majuscule l’initiale de cette catégorie, parce qu’il s’agit ici d’un nom propre, auquel le peuple de France rend un culte. Comment sais-je qu’ils lui rendent ce culte ? Je le sais parce qu’ils lui sacrifient leur peuple.
La « Tolérance » (avec un « T » majuscule) exige le sacrifice, et elle met à l’épreuve la foi de ses adeptes : Par exemple, elle brandit le Coran en disant : « Voici un livre qui vous fait une obligation de violence et de sacrifice de tout ce à quoi vous tenez : Je veux que vous le défendiez jusqu’au prix de votre vie, je veux que vous stigmatisiez ou discréditiez toute personne qui oserait le mettre en question ou le critiquer ! Et si cela advient à votre mari, ou votre femme, ou vos enfants, ou vos prêtres, vous devez tous les offrir en holocauste sur mon autel afin de satisfaire ma volonté ».
Ainsi , les nouveaux prêtres commencent à sacrifier les anciens. Le plus brillant aspect de ce culte est son renversement du langage : Utiliser le mot « tolérance » pour promouvoir et protéger la plus vicieuse forme d’intolérance, voilà le summum de la manipulation. Même maintenant, alors que je me moque de la « Tolérance » (avec un « T » majuscule), vous vous imaginez que je moque de la « tolérance », comme si je vous disais d’aller attaquer les musulmans : Le culte de la « tolérance » vous a lavé le cerveau, si bien que vous ne voyez que deux possibilités :
Ou bien vous protégez l’Islam contre toute critique, quelle qu’elle soit, ou bien vous imitez la folie meurtrière de l’Islam. Vous ne voulez pas imiter la folie meurtrière de l’islam, n’est-ce pas ? Dans ce cas, vous devez protéger l’islam contre toute critique, quelle qu’elle soit. Toutefois, il est parfaitement ridicule de penser que ceci est la seule alternative, mais les cultes ont leurs mythes, et cette alternative dérisoire est le mythe le plus cher du culte de la « Tolérance ».
Ceux d’entre nous qui rejettent ce culte savent que si vous voulez protéger hommes, femmes et enfants, vous n’avez pas besoin de vous jeter dans la folie meurtrière. Vous avez juste à cesser de protéger l’islam contre toute critique. L’islam ne peut résister à la critique, c’est pourquoi le djihad a fait assassiner les dessinateurs de Charlie Hebdo.
C’est terriblement simple : Etudiez la vie de Mahomet et le Coran, et partagez vos connaissances jusqu’à ce qu’elles deviennent des lieux communs. Dans le même temps, les militaires français s’occuperont des menaces militaires, et la police française aura à s’occuper des menaces locales, maisla seule solution de long terme face au djihad est de miner sa racine en l’exposant au grand jour : Cette racine, c’est Mahomet . Et cela est bon non seulement pour les victimes du terrorisme, mais encore pour les terroristes potentiels également : Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais quand je lis qu’un homme de dix-neuf ans qui a déjà essayé à plusieurs reprises de rejoindre la Syrie, égorge un prêtre dans son église, je sais qu’il l’a fait parce que sa communauté lui a farci la tête avec d’immondes sottises, et que personne ne s’est occupé de réfuter ce qui lui a été mis dans le crâne, parce que le culte de la fausse « Tolérance » proclame : Taisez-vous et laissez-le mourir en tuant le plus de personnes possibles.
Alors je me dis : Quelle sorte de monstre serais-je si je ne criais pas cela sur les toits ? Laisser ces jeunes gens tuer et mourir au nom du plus évident faux prophète de l’histoire est le signe d’un cœur endurci. Mais à quoi d’autre devons-nous nous attendre de la part d’une nation qui sacrifie ses propres enfants et ses propres prêtres sur l’autel de la fausse tolérance ?
O France, renverse l’autel ! Le culte de la fausse Tolérance n’est plus digne d’être célébré.
David Wood
(traduit de l’anglais par Michel Brasparts)
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