La géolocalisation comme preuve du vol des élections présidentielles américaines de 2020
J’avais écrit deux articles sur les élections américaines de 2020 que j’avais traduit en anglais pour l’occasion.
Un premier qui concluait, après une analyse statistique et un usage approprié de la loi de Benford, qu’il y avait une très forte irrégularité statistique dans les États pivots. J’en concluais que des irrégularités statistiques ne constituaient pas des preuves en soi, et qu’il fallait attendre que des preuves tangibles viennent les corroborer.
Un deuxième sur la possibilité matérielle d’organiser une fraude à une telle échelle. Et je penchais, si tel devait être le cas, vers un usage frauduleux des machines à voter tant il me semblait inimaginable d’organiser un bourrage d’urnes à l’ancienne coordonnée sur une si veste échelle géographique et avec une telle significativité dans les irrégularités statistiques mises à jour dans le premier article.
Et bien j’avais tort, puisqu’il semble qu’un trafic de vaste ampleur des bulletins de votes par correspondance a bien été organisé. Les machines à voter sont peut-être impliquées, mais il n’est fondamentalement pas nécessaire qu’elles l’aient été pour l’organisation de la fraude.
L’association True the vote a analysé la géolocalisation des smartphones des États pivots de l’Arizona, de Géorgie, du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin durant la période où le vote par correspondance était ouvert et a mis en évidence l’existence de « mules » qui passent d’une boite à votes à l’autre tout au long de cette période. A l’image des trafiquants de drogue, elles sont chargées de passer la marchandise d’un point de collecte à un point de livraison, d’où le terme de mules. Je pense, sous réserve que les données soient correctes, que cette association a fourni un travail d’analyse remarquable et présente à ce jour la preuve la plus tangible de l’organisation d’une fraude massive lors de ces élections. Leur approche méthodologique a été explicitée dans un documentaire « 2000 mules » accessible ici en traduction française. Les deux responsables principaux à l’origine de cette analyse ont aussi été interviewés par le journal en ligne Epoch Times. Les mondialistes qui ont la main sur la technostructure et qui sont très friands des données de géolocalisation ont été pris avec leurs propres armes.
Bien sûr, les médias de l’oligarchie appliqueront la stratégie habituelle du "shoot the messenger" . Mais je rappellerais à toutes les bonnes âmes en syntonie avec les médias de l’oligarchie que ce n’est pas parce que cette analyse a été effectuée par une association conservatrice que les données présentées ne sont pas réelles. Car, c’est un sophisme, ou erreur de raisonnement, dûment répertorié dans la catégorie sophisme par confusion sous la dénomination sophisme par association ou déshonneur par association, que de refuser une argumentation sous le prétexte que celui qui la présente ne serait pas « convenable », c’est à dire compatible avec ses valeurs.
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