La Grèce et les barbares
LA GRECE ET LES BARBARES
Dans la Grèce antique, le barbare était celui dont la langue ne contenait pas de voyelles.
Les 7 voyelles furent inventées par Palamidis. Selon Aristote Palamidis a réussi à séparer les syllabes dans l’écriture du linéaire B -sytème archaïque d’écriture grecque- en deux parties : Les consonnes et les voyelles.
Les pays dit « civilisés », ont intégré dans leur alphabet les voyelles rendant ainsi la langue plus mélodieuse, plus harmonieuse et plus compréhensible.
La langue grecque, comme chacun sait, a donné naissance à la philosophie, à l’histoire, au théâtre, bref, à la civilisation.
Une des paroles du Christ devenue célèbre est : « Je suis l’Alpha et l’Oméga ». L’alpha et l’oméga n’ont pas toujours été la première et la dernière lettre de l’alphabet grec. En réalité, il s’agit de la première et la dernière « voyelle » de l’alphabet grec. Les voyelles sont au nombre de sept : α,ε,η,ι,ο,υ,ω. Le nombre sept est un nombre sacré.
La « bonne parole » du Christ serait-elle la base d’une nouvelle civilisation fondée sur l’amour, la vérité et la justice à la suite de l’effondrement de la civilisation romaine basée uniquement sur la force et la ruse ? La langue grecque aurait-elle put inspirer le fils de Dieu, qui Lui, parlait l’hébreu, ou plus exactement l’araméen ? En tous cas, c’est grâce à la langue grecque, celle d’Alexandre le Grand, la koinè, que la bonne parole s’est répandue aux quatre coins du mode connu de l’époque.
Pensons aux 2000 ans d’histoire dédiés au Christ et ses « bonnes paroles » ne serait-ce que par la remise à zéro du calendrier de l’occident et puis de l’humanité toute entière.
On peut penser aussi à une autre parole significative : « Que ta main droite ne sache pas ce que fait ta main gauche ».
Combien de mains droites n’ont été tendues pour porter serment sur la « Bible », dépositaire de la parole du Christ, avant de commettre les crimes les plus abominables avec la main gauche.
On ne sait pas si la violence a reculé, en tout cas, l’hypocrisie et le mensonge ont largement dépassé le seuil de la tolérance. Le barbare, lui, est sincère et fier de sa « barbarie » même lorsque au bout du compte il va se suicider par sa propre violence.
C’est devant ce nouveau barbare qu’est l’« Europe » que le grec de 2018 doit utiliser ses voyelles pour hurler comme un barbare, « nouveau barbare », bien sûr, lorsque sa maison est confisquée, son salaire réduit au niveau d’un bakchich, son pays vendu pour « un plat de lentille », -encore une expression biblique- et sa langue saccagée par le ministère de l’éducation lui-même.
Évidement tout cela n’est que « fake-news » pour la dictature européenne.
Le premier ministre grec, mandaté par l’Europe, décide tout seul et sans égard pour le Président de la République, garant de la Nation et de la Constitution, d’accorder le nom de « Macédoine » si chargé d’histoire « grecque » avant et après Alexandre le Grand, à un infime territoire de l’ex-Yougoslavie. Ce genre des décisions ne peuvent être négociées, prises, puis signées que par le Président de la République, SI cela devait se faire.
Ce pays est composé de slaves, bulgares et albanais. Sous la pression de l’Allemagne et des États unis contre la Russie et la Chine, plus exactement contre l’union slave dans les Balkans, il doit porter le nom d’une entité culturelle et historique qui n’a absolument aucun rapport avec la réalité, si ce n’est que de la propagande et de l’accoutumance à un mensonge mille fois répété.
Pour l’histoire, ce rêve était caressé dans le passé par les plus grands criminels de l’histoire : Hitler et Staline. Le 5 septembre 1944 à l’époque où cette région faisait partie de la Bulgarie, Hitler charge Michaïlof de promouvoir ce petit état comme la « Suisse des Balkans ». D’ailleurs, la ville touristique de Bansko s’appelle toujours « Suisse des Balkans ».
Hitler avait rêvé de créer une base militaire à cet endroit. Ce rêve est sur la voie de se réaliser sous la bannière de madame Merkel, pure « démocrate européiste » et le consort « otanesque ».
Ce rêve n’était pas seulement celui du nazisme. La haine que le communiste Staline et son comparse yougoslave Tito avaient pour la Grèce et toute référence à la démocratie, les a conduits à vouloir donner le nom de « Macédoine » à un rien fait de toute pièce.
Ainsi le « nouvel ordre mondial » n’est que la reprise du projet impérialiste du IIIème Reich comme Hitler l’a imaginé, sous les masques de l’« Otan », de l’ « U.E. » l’ « ONU » les « E.U. », « Soros » et le quartel des banques.
Par l’entrée des pays « hybrides » - Hybride du grec ‘hybris’, démesure, qui appelle ‘némésis’, le retours à ce qui est juste - comme l’Albanie, le Kosovo et maintenant la « Macédoine » dans l’Europe cela signifie : « la garantie de stabilité et de paix contre la poudrière des Balkans ».
La novlangue d’après le roman d’Orwell 84, consiste à affirmer que la guerre c’est la paix, le mal c’est le bien, le noir c’est le blanc et réciproquement. Il faut sauver les apparences, rester « cool », sans armes ni combat « smouth empire » est là pour vous servir.
Voici comment les grecs sont devenus aujourd’hui des « barbares » et les Balkans une « nouvelle terre promise » ... de conflits.
Pour l’instant, la France, la Hollande et le Danemark s’opposent à cette mascarade. Mais il suffira qu’un Soros, Trump ou Merkel -comme Goldman-Sachs pour la Grèce- se portent garants de stabilité et de prospérité pour qu’une « Macédoine » sans queue ni tête soit reconnue comme un pays européen à part entière, prêt à entrer dans l’OTANASIE...organisation criminelle et suicidaire comme tout impérialisme, il n’y a qu’à suivre les analyses de Michel Collon ou de François Asselineau.
Il n’est nulle part question des richesses du sous-sol que convoitent les mammouths pilleurs, ni de l’accès à la méditerranée par la suite, car tel est le projet.
Écoutons ce que dit sur youtube un professeur d’économie à l’université du Missouri pour la dette actuelle de la Grèce :
ALL WE ASK IS THAT ALL YOU GREEKS GET OUT OF OUR COUNTRY the moratorium of a death (720p_30fps_H264-192kbit_AAC)
La Grèce doit payer sa dette ILLÉGALE ET ANTI-CONSTITUTIONNELLE jusqu’au dernier centime… Ce « professeur d’économie » parle d’un pays comme d’un particulier. D’un pays qui a donné des lumières bien avant que les « universités » aient pu produire des mystificateurs de cet acabit.
Écoutons ensuite l’avis d’un grec qui démasque la politique du 4ème reich allemand au sein de la Communauté Européenne :
ΧΡΕΩΜΕΝΟΙ ΕΛΛΗΝΕΣ ΤΟ ΜΕΓΑΛΥΤΕΡΟ ΨΕΜΑ -Δ.ΜΑΝΤΕΣ (360p_30fps_H264-96kbit_AAC) GRECS SURENDETTÉS, LE GRAND MENSONGE
GRECS SURENDETTÉS LE PLUS GRAND MENSONGE, Sous-titré ou pas, les chiffres sont lisibles.
La richesse du sous-sol de la Grèce en pétrole, uranium, or et métaux rares, s’élève à : 1.061.400.000.000.000.000 d’euros !!!
Mesdames, Messieurs, la Grèce ne se chiffre pas en euros bien que le mot « euro » soit d’origine grecque. Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour voir qui sont les vrais barbares.
Ce qui est certain pour les grecs d’aujourd’hui c’est que le combat qu’ils doivent mener n’est pas avec des armes letales ou de l’uranium enrichi. Le combat cette fois – ci, sera celui de l’esprit ou il ne le sera pas. L’eprit dans la philosophie grecque est le retour à la vie simple.
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