La « Libra » de Facebook, étape majeure des manœuvres de la Bête
1. Manœuvres
L’accomplissement du chapitre XIII de l’Apocalypse est désormais tout proche, c’est pourquoi nous commencerons ce travail en citant ses trois derniers versets :
« Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front,
Et nul ne pourra rien acheter ni vendre s’il n’est marqué du nom de la Bête ou du chiffre de son nom.
C’est ici qu’il faut de la finesse : Que l’homme doué d’esprit calcule le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme. Son chiffre, c’est 666 » (Apocalypse, XIII,16-18)
Le grand dessein des lucifériens, c’est d’établir l’autorité de leur maître sur l’humanité tout entière, en échange d’une opulence matérielle sans limite à laquelle ils aspirent.
Pourquoi « manœuvres » ? Furetière, en 1690, définit la manœuvre, dans son sens figuré, de la façon suivante : « Moyen ou ensemble de moyens mis en œuvre pour atteindre un but, d'ordinaire en usant de ruse ou d'artifice ». De fait, la manœuvre est une action généralement compliquée pour atteindre un but sans passer par la ligne droite, tel le marin qui doit tirer des bords pour mener son navire contre la direction du vent.
La force de la ruse, c’est sa douceur et sa gradualité. Le lion approche sa proie par petits pas entrecoupés d’arrêts afin de ne pas éveiller ses soupçons. Rien ne qualifie mieux la ruse que les adverbes « subrepticement », « furtivement » ou « imperceptiblement » : C’est l’image de la grenouille que l’on fait bouillir à son insu en la mettant dans un bocal d’eau dont on élève très lentement la température jusqu’à ébullition, en sorte que, lorsque la grenouille s’aperçoit qu’elle commence à bouillir, il est trop tard, elle ne peut plus se sauver, car la chaleur l’a anémiée.
Cette approche lente et méthodique a été théorisée par la franc-maçonnerie dès la création de la Grande Loge de Londres en 1717, au sein de laquelle a été méticuleusement préparée la future Révolution française, et illustrée de nouveau par Oswald Wirth (1860-1943), étoile de première grandeur dans la pensée maçonnique française, qui écrit, en parlant du « Maçon » idéal :
« Le voici dans la solitude des sommets d’où l’esprit humain prétend contempler l’ensemble des choses. Nul vertige n’y gagne le penseur qui ne se fait aucune illusion sur les synthèses hâtives, échafaudées par des constructeurs impatients. Il connaît Babel et sa tour de confusion. » (Oswald Wirth, « Le Livre du Compagnon » ,Tome III, p.83).
Il fallait détruire le monde chrétien et reconstruire le monde luciférien, mais patiemment, à petit pas, sans précipitation, comme le lion chassant dans la savane : A titre d’exemple, l’homosexualité était un délit réprimé par la loi il y a cent ans, un vice toléré il y a soixante-dix ans, une maladie il y a cinquante ans, un droit il y a trente ans, et aujourd’hui une vertu admirable devant laquelle chacun doit s’incliner, et qui donne droit au « mariage » (ne riez pas !) et permet d’accabler d’insultes, voire de procès, celui qui ose trouver à redire à ce nouveau statut, inversion parfaite des siècles passés : Ce retournement spectaculaire est une des plus belles réussites des manœuvres de la Bête.
2. L’obsession d’un pouvoir global
Quelques citations tout d’abord. Excusons-nous tout d’abord platement, auprès des journalistes dûment encartés, de laisser passer au sein de ces citations le substantif « complot » qui, comme chacun le sait, désigne un concept imaginaire qui ne saurait recouvrir aucune réalité…
« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. » (Napoléon Bonaparte)
" Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est à savoir si le Gouvernement Mondial sera instauré par l'adhésion, ou par la conquête. " (James Paul Warburg (1896-1969), membre du Council on Foreign Relations, le 7 février 1950, devant le Sénat des États-Unis).
"Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté envers les traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux." (George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l'Organisation Mondiale de la Santé)
"Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique regroupant le capitalisme et le communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. [...] Est-ce que j'entends par là une conspiration ? Oui, en effet. Je suis convaincu qu'il y a un tel complot, d'envergure internationale, planifié depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique." (Lawrence Patton McDonald congressiste américain tué dans l'attaque d'un vol de la Korean Airlines en 1983, dans un message public diffusé en 1976)
Les lucifériens veulent un pouvoir global, sans exception de race, de nation, de langue ou de religion : La langue commune, ils l’ont choisie, c’est l’anglais. Par ailleurs, l’obsession écologiste est leur meilleur cheval de Troie, mais nous y reviendrons. Pour ce qui est des nations, ils travaillent activement à leur destruction en les soumettant progressivement à des directives ou des lois dites internationales, concoctées dans l’anonymat discret de leurs bureaux délocalisés. Ils instaurent constamment de nouveaux organismes internationaux à tout sujet, et encouragent les initiatives privées allant dans ce sens, créées sous le nom générique d’ONG. Des organismes prétendument bienfaisants comme l’ONU ou l’OMS défendent parfois des thèses abominables en matière de mœurs ou de santé, sans compter, depuis quelques années, l’islamisme qui s’efforce avec quelque succès d’injecter son venin totalitaire dans ces organismes pourtant d’origine libertaire. Le fait que les buts affichés de ces organisations soient le plus souvent louables en apparence ne les rend pas moins suspectes de soumission au satanisme : Ce qui n’est pas louable, c’est leur intention de contrainte morale planétaire au nom de causes qu’elles jugent indiscutables et qui, bien souvent, ne le sont absolument pas.
Maintenant, tous ces organismes globalistes constamment affairés à la convergence des nations vers une façon unique – donc totalitaire - de considérer l’existence, se heurtent à des frontières encore solides, qui freinent la fluidité de circulation de leurs idées et des biens matériels, fluidité qu’ils veulent promouvoir.
En ce qui concerne les frontières politiques, ils s’emploient à les vider de leur force en y jetant par millions des clandestins qui pénètrent illégalement sur des territoires où leur présence n’est pas désirée, mais que les gouvernements n’osent plus combattre : De 1945 à 1985, c'est-à-dire jusqu’à l’avènement de Mikhaïl Gorbatchev, tout individu qui voulait s’enfuir du paradis communiste était abattu comme un chien sans que personne y trouve à redire, mais aujourd’hui, les immigrés illégaux occupent le Panthéon en « exigeant » leur régularisation ! Ce sont donc les gouvernements qui sont considérés hors-la-loi, et les hors-la-loi qui se sentent fondés à leur dicter la loi !
Il faut saluer dans ce retournement des valeurs « l’excellent travail » d’ébullition batracienne réalisé depuis une cinquantaine d’années par l’ONU et ses ONG associées.
3. La monnaie locale, vestige dérangeant de l’héritage des nations
Mais ils veulent plus. Il restera encore des frontières de fait tant que la monnaie ne sera pas unifiée. Ecraser les monnaies existantes est le meilleur moyen de briser l’Etat moderne, comme l’avait compris un célèbre et sinistre personnage :
« Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie » (Lénine)
Il faut donc installer une monnaie mondiale unique et immatérielle, qui fera disparaître peu à peu les encombrantes monnaies nationales et qui réduira à peu de chose la puissance des Etats. L’Euro n’a été qu’un prélude à ce mouvement, et il disparaîtra lui aussi dans la translation qui se prépare.
Cette monnaie dématérialisée fournira aux autorités qui en détiennent la clé un levier redoutable sur l’individu : Toute sa fortune sera aux mains d’un système informatique qui peut lui être interdit du jour au lendemain, pour peu qu’il déplaise aux tenants de ce système : pas de billets sous le matelas, pas même la possibilité d’emprunter de l’argent à un ami si le sien lui a été confisqué : la moindre dépense est soumise à l’agrément du système. L’argent est désormais collé à l’identité de chacun, il n’est plus un bien librement transmissible en dehors du système informatique qui lui est dédié, mais devient un paramètre quasi-biométrique attaché à l’individu… et dont on peut le dépouiller en un éclair.
Nos mondialistes se sont aperçus qu’il n’est pas possible de demander aux gouvernements de faire disparaitre leurs monnaies nationales au profit du dollar, car il émane d’un seul pays et ne peut ainsi faire dépendre de lui toutes les nations, même si toutes utilisent actuellement, mais en partie seulement, la monnaie américaine.
Ils sont donc arrivés à la conclusion que l’initiative qui mènera à la monnaie mondiale doit être d’origine privée, et reposer sur les transactions numériques, dont le poids dans l’économie mondiale est déjà prépondérant.
Les tenants du Nouvel Ordre Mondial ont donc informé Facebook : « Puisque tu as deux milliards d’abonnés, c’est toi qui vas te charger d’initier la monnaie universelle ». Facebook a alors pu déclarer à la presse qu’il va créer une monnaie informatique universelle, en sachant pertinemment que les gouvernements protesteraient par principe, pour sauver les apparences, mais laisseraient au final passer ce missile destructeur de tout l’échafaudage sociétal patiemment reconstruit après le grand arasement de la révolution industrielle au XIXe siècle.
4. Libra et ses symboles
Le nom choisi, « Libra », est à lui seul tout un poème : il faut d’abord noter qu’en anglais, « Libra » signifie « Balance » en tant que signe astrologique. Or, la balance, prise comme symbole, représente la justice rendue équitablement. Elle est l’attribut de la déesse grecque Thémis, appelée aussi Fortune en latin. Thémis siège auprès de Zeus, qu’elle assiste par sa science réputée supérieure à celle des autres dieux. Mère des saisons, elle symbolise l’ordre universel.
Elle est aussi la mère de Prométhée, ce qui est très intéressant, car celui-ci s’est révolté contre Zeus en livrant aux hommes le feu sacré qu’il avait volé sur l’Olympe, et il a été puni en se trouvant éternellement enchaîné sur un mont du Caucase et condamné à ce qu’un aigle lui dévore le foie chaque jour, son foie se reformant chaque nuit. Prométhée est le pendant grec du Serpent de la Genèse qui, au jardin d’Eden, a séduit la première femme en l’incitant à goûter au fruit défendu par Dieu ; son nom antique est tout simplement Satan :
« On le jeta donc, l’énorme Dragon, l’antique Serpent, le Diable ou le Satan, comme on l’appelle, le séducteur du monde entier, on le jeta sur la terre et ses anges furent jetés avec lui » (Apocalypse, XII, 9)
Prométhée, tout comme Satan, donne à l’homme la liberté de braver les interdits imposés par la puissance divine, il est le symbole de la révolte, de la désobéissance et de l’orgueil : comment ne pas voir, du reste, la parenté sémantique entre « libra » et l’adaptation du français « liberté » en « liberty » dans la culture américaine. Ainsi, « Libra » prétend libérer les hommes de la monnaie d’Etat, présentée comme versatile et contraignante, tout en déclarant paradoxalement s’appuyer sur la moyenne des principales devises officielles.
5. Le « livre blanc » d’un service philanthropique… mais payant
Après ces considérations d’ordre spirituel, venons-en aux détails pratiques. Le livre blanc publié sur le site libra.org fourmille de propos grandiloquents commençant généralement par « nous sommes convaincus que… ». Ainsi, la section 4 commence très fort :
« Nous sommes convaincus que le monde a besoin d’une devise numérique mondiale qui combine les attributs des meilleures devises du monde : elle doit être stable, soumise à une inflation faible, acceptée partout dans le monde et fongible. La devise Libra est conçue pour répondre à tous ces besoins, dans le but d’ouvrir le système monétaire à davantage de personnes dans le monde. » (Libra, livre blanc, section 04)
De quoi se mêlent ces gens ? Qui leur a demandé de gouverner le monde ? Qui leur permet, au demeurant, de créer une monnaie privée ? A ce stade, on croit rêver, car la monnaie est la première prérogative d’un Etat : La force de l’Etat est premièrement dans la monnaie, car c’est elle qui coordonne l’activité économique d’une nation.
Toutes les crypto-monnaies sont fondamentalement illégales et, si on les laisse se développer, mèneront les nations à la ruine : Les infrastructures s’effondreront, les corps de l’Etat se réduiront comme peau de chagrin, les services publics disparaitront, processus déjà bien entamé en ce qui concerne la France, et qui a provoqué le récent malaise des gilets jaunes. A terme, la puissance des Etats sera devenue inférieure à celle des plus grands organismes privés, qui pourront alors leur dicter leurs lois.
Il faut donc bien avoir conscience que la démarche « Libra » est illégale et subversive avant toute chose. Et lorsque « Libra » aura capté la majorité des transactions financières, c’en sera fini de notre modèle social : Comment l’Etat pourra-t-il assurer la sécurité de ses citoyens lorsque ses revenus se réduiront de moitié ? Comment pourra-t-il continuer à financer la police, la justice, l’instruction, la sécurité sociale, les hôpitaux, les routes, etc… ?
De plus, Libra a l’audace de se présenter comme une entreprise philanthropique, et nous sommes là véritablement au cœur d’une hypocrisie sans nom : L’apparence bonhomme et bienveillante de l’escroc qui vient vous dépouiller. En effet, on s’aperçoit que Libra ne sera pas gratuit mais juste « moins cher ». Curieuse philanthropie, qui rappelle celle de Judas, qui fustigeait la pécheresse ayant versé un parfum hors de prix sur les pieds de Jésus, mais qui, tenant la bourse du groupe des disciples, en détournait une partie pour son seul profit (cf. Bible, Evangile selon saint Jean, XII,3-6).
Observons la section 4 du livre blanc de Libra :
« Les intérêts perçus sur les actifs de la réserve serviront à couvrir les coûts du système, à garantir des frais de transaction minimes, à verser des dividendes aux investisseurs qui ont fourni des capitaux pour lancer l’écosystème et à soutenir sa croissance et son adoption sur le long terme. » (Libra, livre blanc, section 04)
« Frais de transaction minimes » : vous serez donc taxés d’un petit quelque chose à chaque transaction. Et à combien s’élèveront ces « frais minimes » ? Soyez certains qu’ils seront aussi élevés que possible, comme le sont actuellement les frais prélevés sur les commerçants à chaque transaction opérée par carte bancaire, sauf que cette fois, nous serons dans un contexte « peer-to-peer », car il s’agit de permettre tous les échanges, y compris entre particuliers, par conséquent le prélèvement concernera le débiteur et/ou le bénéficiaire de la transaction. Si l’on part du principe qu’un consommateur dépense chaque jour en moyenne environ 50 euros (15 pour les uns, 300 pour d’autres…) en taxes, factures, impôts et achats divers, sur une population de 2 milliards d’adhérents que compte capter Libra, cela représenterait un chiffre d’affaires quotidien de 100 milliards d’Euros, soit un bénéfice d’un milliard d’euros par jour pour le consortium Libra s’il parvient à imposer 1% de commission sur chaque transaction ! C’est ce que Facebook considère être une œuvre de bienfaisance. Mais dans cette œuvre-là, le bienfaiteur et le bénéficiaire sont une seule et même entité : On n’est jamais si bien servi que par soi-même…
6. Déclaration de guerre aux Etats
D’une insolence sans limite, Libra déclare tout d’abord la guerre à la forme classique du gouvernement national :
« Nous sommes convaincus que la confiance du public pour des formes de gouvernance décentralisées va graduellement se renforcer. » (Libra, livre blanc, section 01)
Entre les lignes, on voit que Libra dit aux gouvernements : « Le peuple en a assez de votre autorité, laissez-moi m’occuper des affaires sérieuses ». Facebook se permet donc de parler au nom des peuples, qui ne lui ont pourtant rien demandé.
Partant donc de cette assurance de légitimité autoproclamée supra-gouvernementale, Libra fait fi des règles de déplacement d’argent entre nations :
« La Libra est toutefois une crypto-monnaie à part entière, et elle bénéficie de ce fait de plusieurs propriétés intéressantes liées à ces nouvelles devises numériques : la faculté de pouvoir envoyer de l’argent rapidement, la sécurité offerte par la cryptographie et la liberté de transférer facilement des fonds d’un pays à un autre » (Libra, livre blanc, section 04)
De quel droit Facebook et ses amis se permettent-ils de décréter que chacun est libre de transférer facilement des fonds d’un pays à l’autre ? Ainsi, au lieu de payer une taxe d’Etat en échange du droit de procéder à ce transfert, vous paierez une taxe à un organisme privé : N’attendez pas que cette taxe produise en retour des routes pour vous transporter ou des hôpitaux pour vous soigner, car elle ne produira rien d’autre que des profits privés dont vous ne devez attendre aucun retour, contrairement à vos impôts.
7. Se tapir en embuscade dans la jungle bancaire
Lorsque Libra sera parvenue à capter des centaines de milliards, elle deviendra la première banque mondiale, et pourra alors dicter sa loi à toutes les banques privées qui peuplent la planète et qui ne pourront plus se passer des échanges avec ce système tentaculaire. Libra pourra alors les vassaliser en leur imposant un pourcentage sur leurs propres transactions, au prétexte qu’elle se chargera de les faire circuler dans son système universel. Elle pourra alors racheter petit à petit ces banques, jusqu’à ce qu’elles ne représentent plus qu’une activité marginale, que Libra maintiendra en service pendant quelques années pour ne pas être accusée d’avoir établi un monopole. Puis, après cet ultime répit, Libra les étouffera gentiment en les rachetant à bas prix avant de mettre fin à leurs activités.
8. Apocalypse, Chapitre XIII, verset 17
Mais avant de procéder à cette vassalisation progressive du système bancaire actuel, Libra s’attachera d’abord à faire disparaître la monnaie fiduciaire (billets de banque et pièces de monnaie). C’est même sa vocation première, celle pour laquelle elle obtiendra finalement l’autorisation d’émettre sa monnaie privée, car les Etats du Nouvel Ordre Mondial ont pour obsession de contrôler la moindre transaction :
Tout est mis en œuvre pour faire disparaître l’argent liquide, nous en avons déjà parlé dans un article passé, décrivant cet étau à deux mâchoires qui comprime la monnaie fiduciaire jusqu’à l’étouffer : Par le haut, on étouffe les billets en plafonnant l’autorisation de paiement en espèces à un montant de plus en plus bas (actuellement, 1000 Euros seulement !), et par le bas, on étouffe les pièces en incitant à faire usage des moyens de paiement électroniques pour des sommes de plus en plus dérisoires, ce qui était auparavant impossible.
Ainsi, Facebook et ses amis disent en substance aux puissances du N.O.M : « Nous savons que vous voulez faire disparaître l’argent liquide : laissez-nous émettre notre monnaie privée universelle, c’est le moyen le plus rapide d’y parvenir ». Dans ce marché de dupes, les Etats cèderont en croyant faire une bonne affaire, ne voyant pas qu’ils se dépouilleront du même coup de la source principale de leur autorité.
La disparition des espèces, qui sera présentée de façon mensongère comme une libération, deviendra alors si contraignante qu’elle posera des problèmes de sécurité et de circulation tels que le marquage biologique des individus sera imposé comme une incontournable obligation : Ainsi, au terme de savantes manœuvres, le verset 17 du chapitre 13 sera réalisé, comme prophétisé il y a bientôt deux mille ans.
9. Conclusion : que doit faire la France ?
En premier lieu, les individus conscients du cours des choses doivent s’abstenir d’user de toute crypto-monnaie et militer contre cette tentative d’établissement d’un totalitarisme rampant, d’autant plus redoutable qu’il échappe à tout contrôle démocratique puisqu’il ne relève que d’intérêts privés. Il faut comprendre que le projet de Facebook est fondamentalement illégal et politiquement scandaleux. Et s’il est scandaleux, c’est parce qu’il mènera les Etats à la ruine, c’est une certitude mécanique.
Il faut comprendre qu’une attitude écologique responsable est à l’opposé d’une vision mondialiste de l’économie : Ceux qui clament sans cesse « La planète ! La planète ! » sont en réalité les fossoyeurs de la cause qu’ils croient défendre, ils sont les crétins utiles des princes du Nouvel Ordre Mondial : Autant l’on doit avoir une vision globale en ce qui concerne la dimension spirituelle de l’homme, autant la dimension économique et politique doit être localisée le plus possible : Il est malsain de transporter des milliers de tonnes de blé d’Argentine ou des Etats-Unis vers l’Europe, pour revendre par ailleurs d’autres milliers de tonnes à la Russie ou à la Chine, voilà ce qui est écologiquement irresponsable. La première cause de pollution, c’est le transport, et avant tout la frénésie des transports internationaux. Si l’on veut réellement suivre une approche écologique des échanges humains, le commerce international doit se limiter à ce que les nations ne peuvent produire localement, et non pas ouvrir les frontières à tous les produits sur tous les marchés. Cette mondialisation, outre qu’elle produit une pollution létale, mène droit au totalitarisme universel facilité par la technologie avancée, le seul que l’on ne pourra fuir.
Le combat peut être mené par la France si le gouvernement aime encore un peu ce pays, ce dont on peut malheureusement douter. Si la France interdit l’usage de toute crypto-monnaie en pénalisant les banques qui en autoriseraient la transition sur les comptes de leurs clients, et si elle pénalise durement toute personne faisant usage de ces moyens de paiements illicites et pernicieux, elle redeviendra le rempart du salut des nations face aux menées infernales, « L’Israël de la Nouvelle Alliance » ainsi que la qualifièrent plusieurs papes médiévaux.
Mais il y a lieu d’être pessimiste, hélas, car en considérant le niveau anémique de conscience de notre classe politico-médiatique, on se doute que l’appel à l’esprit a fort peu de chance d’être entendu de ceux dont l’ouïe est depuis longtemps assourdie par le chant strident des sirènes sataniques.
Pierre Mellifont
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