La nouvelle pauvreté et les marchés sauvages...
La pauvreté s'intensifie en France. C'est une des conclusions de l'étude annuelle du Secours catholique sur la pauvreté....
"Depuis dix ans, la précarité s'est installée parmi les bénéficiaires du Secours catholique, les pauvres sont plus nombreux et dans une situation plus difficile qu'en 2001", souligne l'ONG dans son rapport annuel rendu public jeudi 8 novembre.Les femmes notamment sont de plus en plus touchées par la pauvreté.
Ainsi, à Paris et dans quelques grandes villes de Province, fleurissent des marchés sauvages : des pauvres essaient de vendre de menus objets glanés dans des poubelles, des vêtements, parfois même de la nourriture périmée, récupérée dans les supermarchés.... Les prix pratiqués étant dérisoires, ces marchands à la sauvette essaient de survivre, en vendant ces produits à des clients tout aussi pauvres qu'eux.
Ces marchés sauvages se sont multipliés à Paris : on en compte désormais 5 dans la capitale et ils se tiennent 4 jours par semaine.... Une économie parallèle est en train de se mettre en place dans cette période de crise où beaucoup de gens ont des difficultés à trouver du travail, à vivre décemment. Près des puces de Saint-Ouen, la mairie de Paris a ainsi légalisé 270 emplacements réservés aux plus démunis, qui viennent y vendre des objets de récupération.
On appelle ces vendeurs des biffins. Ce surnom vient d'un mot de vieux français désignant une étoffe et par la suite, des chiffonniers. Ces dernières années le phénomène a pris une ampleur inédite. Jusqu’à mille vendeurs à la sauvette arpentent chaque jour les abords de la porte Montmartre, à Paris.
Ces marchés parallèles sont vus d'un mauvais oeil par les habitants des quartiers où ils s'installent car ils génèrent souvent saleté, troubles, disputes entre les vendeurs à la sauvette, bagarres... Certains se plaignent d'une atteinte à la tranquillité des habitants.
On le voit, la crise a aggravé ce phénomène et la misère, dans ces marchés sauvages côtoie la misère : des pauvres viennent acheter à bas prix ce qui peut leur faire défaut, des objets de récupération, de la nourriture avariée ou tout au moins périmée : les vendeuses l'affirment elles mêmes : "Nous mangeons cette nourriture et nous sommes toujours vivantes !"
C'est le règne de la débrouille qui s'organise quand les gens ont des difficultés à boucler les fins de mois, c'est le retour de la misère noire qui pousse les uns à vendre, les autres à acheter sur ces marchés de la pauvreté et de l'exclusion.
Bien sûr, on ne peut interdire, en temps de crise, de telles pratiques qui permettent à certains de survivre mais on voit que la misère devient habituelle et ordinaire. On voit que les pauvres se multiplient, que la crise s'aggrave et qu'elle risque d'engendrer des révoltes légitimes quand certains sont exclus du circuit de consommation normal, qu'on les réduit à une économie de pauvreté, de misère.
Le chômage étant en train de prospérer, il est à craindre que les biffins se multiplient et que les tensions soient exacerbées entre les vendeurs et les habitants de ces quartiers.
Source : France 2, Journal de 20 h.
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68 réactions à cet article
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« marché sauvage »
« certains sont exclus du circuit de consommation normal »
C’est quoi le circuit de consommation normal, 20% de TVA, puis des bénefices pour les tauliers de la grande distribution qui annihilent toute production et distribution indépendante dans ce pays ?
Ces marchés sont normaux, il est normal que le citoyen puisse s’organiser pour survivre quand les monopolistes se sont emparés de l’econonmie-
Bonjour Jeff
vous avez raison quand vous dites que la TVA est trop élevée pour certains produits mais il n’empêche,ces marchés sont bien un circuit parallèle : on y trouve même de la nourriture périmée....que les plus pauvres sont réduits à consommer .... -
ailleurs ils mettent des antivols sur la viande...
la France ressemble de + en + à un pays du tiers monde avec ses marchés bigarrés
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@ Boris : « Les dates imprimées sur les emballages fixant une date au delà laquelle le produit est périmé sont toujours sur évaluées. »
Tout à fait d’accord avec vous. Une aberration ces dates : j’ai vendu du sel de l’Himalaya, vieux de plusieurs millions d’années, sur la boite il y avait une date de péremption à 3 ans !!!
@ l’auteur
Merci pour cet article qui confirme malheureusement mon impression. Vivant à l’étranger je rentre une fois l’an en France et chaque année je constate que la pauvreté est de plus en lus criante. Il y a effectivement une paupérisation flagrante du peuple français. Elle se voit même dans la petite ville de 12.000 habitants où j’habite (Oise), car maintenant on voit des jeunes qui mendient de la nourriture à la sortie du petit supermarché du coin... La misère est partout alors qu’avant c’était surtout dans les grandes villes.
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la grande distribution ment depuis 50 ans, elle a eu tous les moyens pour se développer et prospérer en France sous le prétexte de créer des emplois, il faut voir le genre d’emploi et les salaires pratiqués en France comparé à de nombreux pays européens, et puis encore le pieux mensonge de la taille critique cette fameuse théorie dont on nous a rebattu les oreilles pendant 30 ans, qui a finalement permis à des sociétés comme Carrefour pour ne pas le nommer de se déployer à ’étranger financé par le consommateur et les salariés français pour le gain de quelques uns les familles Badin -Defforey and co ! devenir une multinatinale pour le grand bonheur de quelques actionnaires, qui après avoir essoré les salariés Français vont essorer les salariés chinois et autres alors que le pays s’appauvrit car ce genre d’entreprise a assassiné légalement de nombreuses PME en les essorant tout celà dans le cadre merveilleux de l’économie de marché qui soit -disant s’auto régulent ! on est dans la grande mystification de ces grands groupes capitalistes qui sont des prédateurs et s’emparent de l’économie pour la détruire , le devoir de tout citoyen sera un jour de casser ces groupes !!!
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Bonjour julius
Merci pour ce commentaire qui dénonce le système de distribution et ses profits scandaleux...mais peut-on revenir en arrière ??? -
Que dire des primes de Noël et autres primes de rentrée ?
Ne sont-elles pas un moyen indirect de subventionner une fois de plus la grande distribution ?
En effet quand ces primes sont versées, ne voit-on pas une augmentation des ventes d’électroménagers, d’écrans plats et autres gadgets souvent inutiles ?
Je ne dis pas qu’il ne faut pas aider les plus démunis mais ne pourrait-on pas trouver un moyen de le faire sans en faire surtout profiter la grande distribution ? -
>sous le prétexte de créer des emplois
On compte plus les emplois « créés » (dans la grande distribution) que les emplois supprimés dans le petit commerce. Pas sûr que le bilan soit positif !
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Casser ces groupes oui et jugez les prédateurs , les condamner , saisir les biens en France, à l’étranger et limiter la taille de ces monstruosités.
Les juger pourquoi ?
Il s’agit tout simplement de comportements criminels de crimes contre personne et les entreprises. Laissez moi de côté les mauvais couplets de l’emploi et du développement économique on voit aujourd’hui le résultat. -
Toujours les mêmes commentaires minables : le pauvre qui va s’acheter un écran plat avec ses primes de Noël, et le chômeur qui est un fainéant. Mon pauvre vieux, je vous plaint !!!
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Au delà de l’état sordide auquel sont réduits certains individus, je me demande dans quelles mesures, ces marchés ne répondent pas à un besoin social de sortir de son univers pour rencontrer d’autres individus, fut ce limité à un marchandage pour quelques centimes d’euros.
On retrouve le même phénomène dans la prolifération des braderies et vides greniers qui renouvellent les foires et marchés d’antan où le plaisir de la rencontre était aussi important que la nécessité d’acheter ou de vendre.-
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La misère, ce sont les bisounours comme vous qui contribuent à l’entretenir et à la développer. Tous les miséreux, traîne savates de ce monde qui débarquent chaque jour à Paris par navettes de 9 personnes savent que, quand bien même l’économie de la France est à l’arrêt, elle reste plus généreuse et plus naïve que ses voisins. Mendier, se faire soigner gratuitement, c’est toujours mieux que de rester dans leur pays. Donc, cette misère n’est pas prêt de reculer, puisqu’on s’est déjà résigné au moins pour cinq ans.
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Bonjour Yohan
heureusement qu’il existe des organisations pour aider les pauvres:les restos du coeur, le secours catholique etc.Vous semblez le regretter !! -
Non, il en faut, mais là, les associations vont être dépassées par le flot de misère
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salut Calmos
La fille d’une amie bosse auprès des SDF. Elle commence à être marquée par le sentiment d’impuissance. Pour pouvoir durer dans ces métiers, il faut impérativement avoir des résultats visibles. Or, là, la misère explose et les moyens d’hier ne sont plus là, sans parler des associatifs qui lâchent. De plus en plus de jeunes en galère avec alcoolisation sévère et plus récemment des familles de Roms avec enfants en bas âge qui errent dans les rues de Paris.Le cloaque que décrivait Victor Hugo revient à grand pas, amplifié par l’incurie de l’europe à protéger ses frontières ? -
L’ usine à pauvreté est en marche :
Chez Bricorama , d’ une part certains concurrents peuvent ouvrir le dimanche .Lui n’ a pas le droit .Secundo les syndicats s’ y mettent :Une fois n’est pas coutume, un syndicat se retrouve dans le collimateur des salariés. Jeudi, quelque 300 employés de Bricorama se sont rassemblés devant le siège parisien de Force ouvrière pour réclamer l’abandon de l’action en justice intentée par la Confédération à l’encontre du groupe. Le syndicat souhaite notamment que Bricorama renonce à ouvrir ses magasins franciliens le dimanche.
« FO a saisi le tribunal sans concertation préalable avec les employés », déplore Shahriar, salarié du magasin Bricorama de Boulogne.« Travailler le dimanche me rapporte entre 300 et 400 euros de plus par mois » ajoute-t-il. « Je travaille deux dimanche par mois, ce qui représente 200 euros. Je suis étudiante et travailler ce jour-là est le seul moyen pour moi de financer mes études », se plaint pour sa part Stéphanie, employée à Viry-Chatillon. « On a toujours été volontaires pour travailler, personne ne nous a forcé la main. On nous prive de notre libre-arbitre », déplore un employé de Bondy.
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Travailler le dimanche : quelle misère, quelle régression sociale !
Les régles d’ouverture du commerce font partie de la régulation du secteur, ce qui fait qu’une concurrence libre et non faussée ;) peut exister.
Et ouvrir un magasin le dimanche n’augmente pas le volume des ventes, il y a seulement transfert, d’une enseigne à une autre, ... pour quel bénéfice social ?La société a besoin de jours de convivialité, de jours où les fêtes de famille sont possibles, sans que l’un manque pour une connerie de néo libéralisme mal compris.
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Rotule ,
Vous avez faux , si les magasins ouvrent le dimanche ils y trouvent leurcompte ne croyez point que c ’est pour faire joli .Alors si vous préférez aller aux restaus du coeur plutôt que bosser le dimanchefaites comme bon vous semble . Mais ne comptez pas sur moi pour faire desdons pour des gens qui pensent comme vous . -
Oui, tout pour les bénéfices des commerces et plus rien pour les travailleurs.
Mais plus de dignité et humanité. Où est la cohésion familiale ?
Où est la cohésion sociale ?
Quelle décadence !Et si le Peuple se révolte,
Comment peut-on admettre encore à ce jour, la force publique payée par le peuple contre le peuple commandée par des politiques sensés représenter le peuple ?
Les politiques n’aiment pas les initiatives venant du Peuple !
Cherchez ceux de droite et ceux de gauche, la plus grande part sortant des mêmes écoles et administrations, et vous ne trouverez que des politiques qui gouvernent selon les circonstances les plus favorables pour eux, oubliant ce pourquoi ils sont élus et ceux qui les ont élus devenus leurs otages.
Il est facile de renoncer à tout parce qu’on ne peut pas réussir du premier coup mais faut-il continuer à renoncer à ses droits et à sa dignité, à se soumettre, à se donner des coups de pieds tout seul, à agir comme des pleutres, se plaindre et dire que c’est toujours la faute des autres ?
La solution contre les médias achetés est de faire voir à ces mêmes médias que le peuple est décidé à prendre les choses en main et qu’il a son projet : Le serment Citoyen Démocrate Libre et digne que voici.
Il n’y a pas meilleure arme pour attendre les politiques et leurs comparses, les banquiers, les multinationales et les entrepreneurs voyous !
Après seulement, vous pourrez en tirer les conséquences et améliorer les choses.
Assez de ces guignols qui veulent absolument nous gouverner sans le contrôle du peuple ET QUI NE FONT JAMAIS RIEN POUR LA DIGNITE DE L’HOMME !
Le SERMENT DE CITOYEN DEMOCRATE LIBRE ET DIGNE
Exprime les 10 volontés du peuple.
C’est le seul document venant du citoyen vers les politiques qui chaque jour réduisent la démocratie, la liberté et la dignité des citoyens, bien réfléchi, sans angélisme béat ni naïf et immédiatement applicable.
C’est le seul document avec lequel les politiques doivent compter ou se démettre ou être démis !
Le temps de s’indigner est passé :
REVOLTEZ –VOUS !
cliquez ou recopiez ce lien :
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C’est quoi la suite ? baisser les salaires , travailler 23/24 h, dormir dans l’entreprise ,porter une chaîne électronique autour du cou.....
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Suite :
De son côté, FO justifie son action par la volonté de faire respecter la loi et se défend d’avoir pris l’entreprise pour bouc émissaire. « Nous attaquons des enseignes qui font illégalement travailler les salariés le dimanche et qui dépendent d’un autre secteur d’activité », écrit le syndicat dans un communiqué, faisant reférence à des plaintes déposées contre Décathlon,Sephora et Autobacs.
En marge de cette manifestations, les négociations qui se déroulaient depuis mercredi entre la direction et le syndicat ont tourné jeudi soir en eau de boudin. FO, qui réclamait, outre la fermeture des magasins le dimanche, l’instauration d’un treizième mois n’a pas obtenu gain de cause. La direction s’est vue en retour refuser l’abandon des poursuites.
Près de 38 millions d’euros de dommages et intérêts
Le 6 janvier 2012, le tribunal de commerce de Pontoise saisi en référé par la Confédération FO a interdit à Bricorama l’ouverture dominicale de certains de ses 32 magasins franciliens. Dans la foulée, le groupe a interjeté appel de l’ordonnance et poursuivi l’ouverture de ces points de vente. Six mois plus tard, le tribunal de grande instance de Pontoise a condamné l’entreprise à des dommages et intérêts d’environ 20 millions d’euros (30.000 euros par dimanche ouvert et par magasin). Le 14 septembre, le juge d’exécution des peines, reconnaissant que ces astreintes pouvaient mettre en péril les finances du groupe, a reporté sine die leur versement au syndicat. Le 30 octobre, la cour d’appel de Versailles a confirmé le jugement du TC de Pontoise. Le montant exact de l’amende (qui pourrait s’élevé aujourd’hui à 38 millions d’euros) sera fixé le 17 décembre par le juge d’application des peines, alors que le groupe projette de se pourvoir en cassation.
Si Bricorama serait finalement astreint à ce paiement il fermerait quelques magasins .
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aux connards qui mettent - 5 à un article de journal je leur mets
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500 emplois menacés ?
Bricorama, dont la dette s’élève déjà à près de 140 millions d’euros, a prévenu que le versement des 38 millions d’euros de dommages et intérêts à FO mettrait ses finances en péril. Cela représente en effet plus de deux fois les bénéfices du distibuteur. Le PDG du groupe, Jean-Claude Bourrelier, affirme que la fermeture dominicale entraînerait la disparition immédiate de trois magasins, soit 117 emplois. Quelque 500 postes seraient menacés sur le long terme, soit 20% des effectifs français. L’entreprise a par ailleurs ajouté qu’elle serait dans l’incapacité de verser primes et intéressements à ses salariés pour l’exercice 2012.
« Tous ouverts, ou tous fermés », martèle le groupe
La loi Maillé voté en 2009 instaure la création de zones appelées « PUCE » (pour : périmètres urbains d’usage de consommation exceptionnelle, ndlr) sur lesquelles les commerces de détail sont autorisés à ouvrir le dimanche. Il existe aujourd’hui une trentaine de ces zones, généralement situées en périphérie des grandes agglomérations. « En dépit de demandes répétées pour être intégré à ces périmètres, Bricorama s’est systématiquement vu refuser l’attribution des dérogations nécessaires par la préfecture, contrairement à ses concurrents directs Ikéa, Leroy Merlin et Conforama », déplore un directeur de magasin.
Parallèlement à son pourvoi en cassation, Bricorama, qui dénonce « une situation de concurrence déloyale », a prévenu qu’il entamerait, après tentatives de négociation, des procédures pour que ses concurrents directs ouverts le dimanche soit contraints de fermer. Le feuilleton est loin d’être terminé.
Fastoche la fabrique à pauvres non ?
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Exact rocla !
la victoire de ceux qui réglementent à tout va !La victoire de ceux qui créent la distorsion de concurrence planqués derrière leurs bureaux.Ça ne fait pas les gros titres mais c’est assez caricatural et dramatique§Des centaines d’emploi à cause d’un syndicat stupide et jusque boutiste sur une incongruité.Pire 38 millions d’Euros, c’est plus que les possibilités de trésorerie de l’entreprise. C’est a dire qu’on va la tuer et qu’il y a fort a parier que cette chaîne disparaisse à jamais.Des syndicats qui au nom de leur idéologie privilégient la destruction d’entreprise. Vu le montant débile du préjudice, le CA de l’entreprise et la conjoncture, faut pas être grand devin pour prévoir qu’il rejoigne les 65000 faillites annuelles de notre pays.Le problème, avec des affaires comme ça, les nouveaux entrepreneurs ne se précipitent pas pour les remplacer.Le patron de Bricorame est un ancien représentant de Black et Decker. Il est parti d’un magasin sur fond empruntés en région parisienne et en a fait un groupe important. C’est un type qui assure des emplois, des impots, de la richesse pour le pays qui est traîné dans la boue par des syndicats pourris et politisés détruisent tout au nom d’une lutte des classe désuète, idéologique et stupide. -
@ Spartacus
les patrons ? des salauds ! -
Article de l’ Express du 09/11
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A force de le dire, c’est arrivé comme une vague de grande ampleurla misère n’est plus un phénomène marginal« J’ai pas mauvaise conscience
Ça m’empêche pas d’dormir
Mais pour tout dire, ça gâche un peu le goût d’mes plaisirs
C’est pas vraiment ma faute si y’en a qui ont faim
Mais ça le deviendrait, si on n’y change rienJ’ai pas de solution pour te changer la vie
Mais si je peux t’aider quelques heures, allons-y
Y a bien d’autres misères, trop pour un inventaire
Mais ça se passe ici, ici et aujourd’hui »Coluche 1986DU BONHEUR A LA CHUTEY’en a qui disent que les Français
Vivent d’amour et de vin frais
Et que toutes les filles d’ici
Habitent au Casino d’Paris.
Y’en a qui pensent que le champagne
Sort des gargouilles de Notre-Dame
Et qu’entre deux Alka-Seltzers,
On s’balade la culotte en l’air.
A les entendre on croirait bien
Qu’on est pinté tous les matins.
Mais voilà : j’habite en France
Et la France c’est pas du tout c’qu’on dit.
Si les Français se plaignent parfois,
C’est pas d’la gueule de bois.
C’est en France qu’il y a Paris
Mais la France c’est aussi un pays
Où y a quand même pas cinquante millions d’abrutis.Sardou 1970-
Bonjour noodles
merci de ces rappels, le texte de Coluche en particulier qui date déjà ! de 1986 !La situation n’a fait que s’aggraver et avec le chômage qui s’amplifie...le phénomène va s’amplifier :de plus en plus de femmes seules avec enfants sont touchées par la pauvreté.... -
ces marchés sont une des conséquences d’un système politique : le libéralisme.
les différentes organisations humanitaires font du bon boulot face au rouleau compresseur.
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ca ressemble a un vide grenier
ca existait deja avant
les puces de clichyil y a pas de magasins DLC courtes dans paris ?
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« La pauvreté s’intensifie en France » des chiffres, des statistiques ?
Où juste l’effet perroquet à la Française ??
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Un rapport annuel du secours catholique....c’est écrit dans l’article.....
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Les biffins ne sont qu’une partie de la débrouillardise. Autour de moi, les échanges de biens et de services se font en billets.Si quelqu’un cherche les 10 ou 20 milliards qui ont été retirés des banques, il lui faudra chercher dans « la France d’en bas ».« heureusement, il existe des organisations pour aider les pauvres »Oui et non ! Plus elles sont actives, plus l’état et les dirigeants se déchargent. Resto du coeur, croix rouge mais aussi téléthon et bientôt grippethon, fracturethon, épidemiethon etc...L’allègement des charges pour les entreprises(rapport Gallois) va provoquer l’alourdissement de ces organisations.La nouvelle pauvreté n’a rien de nouveau. Dans les années 80 elle existait déjà. Les « biffins » ne vendaient pas, ils allaient aux resto du coeur. Donc, ça ne se voyait pas.Moins d’aides, moins de salaires, moins de cotisations.Pour le moment, ça tient la route. Mais, la compétitivité ? le coût du travail ? Dans deux ans, les responsables privés vont revenir pleurer. S’il vous plaît, on ne s’en sort pas. Vous ne pourriez pas nous refaire un choc de compétitivité Galloisien ?-
La nouvelle pauvreté n’a rien de nouveau mais elle s’accroît dangereusement....Les femmes sont encore plus fragiles et fragilisées quand elles vivent dans la rue....
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Le krach économique ou l’hyperinflation mondiale, qui provient du fait que les économies sont inter-dépendantes comme pour la bourse, posent le problème des droits des citoyens en situation de krach, comme pour le logement.
En France, après le 15 novembre, il est interdit d’expulser pendant la trève hivernal.
Information sur le droit au logement
http://www.easydroit.fr/droit-immobilier/location/expulsion-locataire.htmIl y a de nombreux sites qui informent sur les droits juridiques imprimables pour les citoyens, ce qui peut être utile après un krach économique.
Comme des baisses d’activités, commerciales, industrielles,ect...feront surface, et que le chômage explosera. Des droits concernant la circulation de l’alimentation et de l’eau seront nécéssaires pour la cohésion sociale.
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MERCI pour tous ces liens Cassiopée
en même temps tout cela n’est pas très rassurant.... -
Qu’une économie parallèle se mette en place, cela me semble évident lorsque l’emploi se raréfie chaque jour un peu plus, que les postes loyers, electricité (chauffage compris), eau ponctionnent une grande partie du budget des familles, que le poste alimentation devient chaque jour un peu plus riquiqui...et les fruits et légumes un luxe..
M’enfin je ne sais pas comment ca se passe pour ces marchés de biffins, mais lorsqu’on fait les puces dans ma région non seulement on paye un emplacement (et ce n’est pas donné) mais en plus les identités sont relevées (on doit présenter ses papiers d’identité), le registre part à la prefecture....
ce que je me demande c’est : combien de temps l’état va mettre pour s’apercevoir que quelques pauvres rsastes/chomeurs/sdf améliorent leur ordinaire sans passer par la case revenus à déclarer auprès des administrations..
Ce matin, entendu à la radio... candia va fermer 3 de ses 8 sites... dont 1 dans la sarthe qui faisait vivre 190 salariés , la concurrence européenne parait il...
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Lude-72-.-Candia-ferme-son-site-180-emplois-menaces_6346-2130864_actu.Htm
Est ce que ces futurs chomeurs vont pouvoir se « reclasser » ou bien finiront ils sur ces marchés de la misère à vendre trois patates et les draps de la grand mère qui dorment au grenier pour pouvoir payer leur essence, leurs assurances, leur mutuelle, leurs taxes d’habitation-télé, foncière, sur le revenu, leur crédits maison ou voiture, se chauffer et se nourrir ?-
pour les vides greniers, ils ont deja essaye
tu es cense en faire 2 maxi
mais ca rapporte du fric a la commune
et quand la bouffe est vendue par le comite des fetes, ca permet d’autres projets
donc, on fermes
et souvent, c’est que du cash -
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De toute façon, le déclin est en marche et Hollandreou ne fait que précipiter le processus. Les pauvres en masse dans la rue ne sont que le premier signe visible ?.Le recul du social va se faire plus discret, gôche oblige, mais les plans sociaux, les licenciements, les files qui enflent à pôle emploi, c’est plus dur à cacher et on va en entendre parler tous les mois. Les français raisonnent comme les grecs, pas comme des hollandais ou des allemands. Les sacrifices, ils n’en veulent pas, ils sont toujours dans la négation de la crise et ils perdent leur temps à chercher des coupables. Et nous, on a un gouvernement qui marche à la godille, un coup, il taxe, un coup, il exonère, pas sérieux tout ça....
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niveau 1 (alerte) Impôt, taxe d’habitation, énergies qui augmentent, plans sociaux en augmentation, chômage qui ne baisse plus depuis plus d’un an, les gens commencent à surveiller leur porte monnaieniveau 2 : (alerte orange) les prix de la nourriture qui prennent 5% chaque mois, 30% de vos amis ont perdu leur boulot, les associations caritatives sont de plus en plus visibles dans les rues, la rue grondeniveau 3 : (alerte rouge) Un commerce sur deux a fermé le rideau, les jeunes partent à l’étranger en masse, les salaires des fonctionnaires baissent de 25%, les retraites de 30%, des enfants disent qu’ils ont faim, la rue est silencieuse, résignée, les sans papier ont déserté la France.-
oui mais faut surtout pas travailler le dimanche ... vaut mieux crever de faim.
Quelle bande de nazes !-
si tu creves de faim juste avec le dimanche, autant buter le patron
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Foufouille au QI 130 , t’ as buté ton intelligence .
Oxygène tes neurones , ouvre les portes et fenêtres et laisse entrerde l’ air frais . -
travailler une journee ne permet pas de manger, dans le monde reel
ton histoire de dimanche a donc rien a voir
ou tu regrettes l’esclavages -
oui oui , l’ esclavage , c’ est ça , oui je me souviens maintenant ,
c ’était sympa le temps là ou on pouvait acheter des êtres humainsdans les contrées lointaines .T’ as oublié d’ ouvrir le vasistas ... -
plus les gens travaillent, plus la valeur du travail, sa rémunération baisse,
question d’offre et de demande -
Allez faire un tour sur les sites dédiés à la bourse.
Je les observe depuis longtemps et je peux vous dire que :Même les marchés pataugent dans la semoule.Comme ils font la pluie et le beau temps, on doit s’attendre à un clash.La Grèce est aux aboies et l’Espagne fait sa mauvaise tête.Le crédit agricole perd 5 points etc.Si vous avez de l’argent à la banque, 5% réel, le reste virtuel, pensez à le récuperer.On risque de devenir biffin plus tôt que prévu.-
Porte de Montreuil personne ne paie son emplacement sur lcette place quand la police arrive sans conviction aucune tout le monde se tire mollement avec son caddie pour revenir quand elle est passé....porte de montreuil
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niveau 4 le type qui pompe sur le bateau fait greve et le scaphandrier suffoque
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Au files des décennies, nous sommes devenus de moins en moins autonomes, les gestes élémentaires de la vie ont été relégués à des « professionnels » (sous prétexte de normes, de qualité, etc..), chacun a une « tâche » ou pas... qui nourrit le système économique.
Il vaut mieux être pauvre à la campagne que d’être pauvre en ville, si on sait encore ce que c’est que de cultiver des fruits et légumes...-
Bonjour cosmic
merci pour ce commentaire:tout cela est exact....mais de plus en plus les gens vivent en ville.... -
FANTASMEUn souhait dans ma tête qui aurait la dimension d’un grand rêve :des membres du gouvernement en bleu de chauffe et manches retrousséeset sur le terrain...et surtout une toute petite équipe...déjà il y en a qui veulent partir paraît-il...ce serait le moment pour faire des compressions de personnel (c’est à la mode partout : voyez les employeurs) !Mais du boulot, de l’énergie, c’est le moment de bousculer les pots de fleursfanées de Toussaint placées sur le tombeau de l’Europe des fondateurs...Fondée sur une vision étroite, l’Europe est restée étriquée. On se sent mal à l’aisedans ces effets trop petits...les chaussures font mal et on n’avance pas !bon WEnoodles-
Bonjour noodles
oui l’Europe est à la peine....il paraît qu’on vit dans un système capitaliste et qu’on a du mal à y échapper..... -
PEINéS OU REVOLTéS ?Bien le bonjour rosemar,il ne me semble pas nous appartenir de soulager toutes les misères de nos concitoyens ! Qu’on se sente écrasé ou non par un sentiment coupable, c’est l’évidence, tout seuls on n’y pourrait rien. Le pays déclare forfait devant l’ampleur du désastre social.Cependant il y a un champ dans lequel on peut être tout autant révolté que peiné c’est celui des « travailleurs pauvres » (le terme a été créé par les professionnels de l’économie). Avec un ou même deux salaires on ne peut ni se loger ni vivre. Et personne n’intervient. Les gens qui s’accrochent, acceptent quasiment tout d’une société indigne, TRAVAILLENT acceptent tous les boulots, contribuent ainsi à l’effort de cotisation collectif, et en échange(pardonnez-moi) RECOIVENT UN BEAU COUP DE PIED DANS LE CULAlors, Monsieur Hollande, qu’est-ce que vous dites de ça ?On vous attend encore !n-
Ce type de marché est certainement plus décent : http://ecomiam.com/
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bonjour
le mot biffin est également employé pour désigner un fantassin ,et l’infanterie est appelée la
biffe ! pourquoi ?
je suppose qu’autrefois leurs uniformes n’étaient pas au top ,si quelqu’un pouvait m’éclairer !quand a la pauvreté,et au cout de la vie : il y a pas loin de chez moi une supérette importante
qui a été visitée pour la énième fois jeudi soir
ce coup ci ,les mecs ont fait un trou dans le toit ! pas cons les gars,il y a des alarmes sur les portes !!!-
bif existe : je l’ai rencontré(e) !
amicalementnoodles--------------------------------------------------------------------------------------bif /Nom commun / féminin
- (Militaire) Infanterie.
- Il ne sait pas plus que moi s’il est à présent dans l’arme du train ou dans la bif, ni quel sera son rôle. — (Claude Rosalès, Journal d’un rappelé d’Algérie : mai-novembre 1956, 200 jours entre Alger et Djelfa, Éditions L’Harmattan, 2008)
- Le lexique militaire contient les mots renvoyant au jargon des soldats : un corps de garde, faire la guerre dans la bif, godasses, prendre du galon, sergent-chef, avoir des sardines de sous-off, officiers, lieutenant, éclat d’obus, sergent-major. — (Maurice Abiteboul, Jean-Luc Bouisson, La parole, le silence et le cri au théâtre, n°11, Association de recherches internationales sur les arts du spectacle (ARIAS), 2001)
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- (Militaire) Infanterie.
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Le lien n’est pas encore bien compris entre pauvreté et surproduction de bien et de service au rabais !
L’idée que l’on a de plus commun pour crée de l’emploi et la consommation qui crée la richesse.
Et bien tous cela est en réalité faux, car on ne tiens pas compte que cette création de bien passe par une production mécanisé et que l’homme n’est plus que le supplétif de la machine, en disant cela il est évident que ce n’est pas complet !
C’est pas complet !
C’est oblige que ce n’est pas complet, tant que l’on à pas compris que le travail des machines, accroît la production et réduit la main-d’œuvre, en réduisant le coup financier de production et en augmentant le volume produit, qui fait que l’on a un produit de masse peut chère !
Mais un produit peut chère, est justement ce que j’ai besoin !
Bien sur, il est attrayant ce prix, et en même temps quand je l’acheté, est que je favorise le pleins emploi ?
Si je favorise le maintiens de l’emploi !
Ah, oui et comment tu le favorise !
Justement en achetant ce produit , je le maintient la main d’œuvres, Ah oui en est tu si sur !
En tout cas ce que tu peux être sur, c’est que tu vas renforcer sa production et en même temps la modernisation de sa production est que tu sais ce que cela veux dire !
Oui bien sur, les salariés auront plus de travail et ils gageront plus d’argent !
En es tu si sur, ne penses tu pas que cela va pousser à acquérir une machine plus perforante, et se passé un peut des salaries ! Car dans leur logique il sont aussi des frais à amortir !
Bien sur et moi je n’es pas le moyen d’en acheter un autre !
Pourquoi, t’as un salaire de misère !
C’est des capitalistes, des exploiteurs, ils pensent à leurs gueules !
En es tu sur !
A oui, j’en suis sur, je fais même des heures supplémentaires, ils non aucune reconnaissance, ils me payes des clopinettes et en plus les prélèvements social on exploser !
Bien sur cette réalité ta raison, et en même temps tu ne vois tu pas dans quel piégés, ils sont tombés !
Quoi dans quel piège, ils pensent à leurs gueules !
En effet, c’est le cas pour certains, n’est par pour d’autres, qui gagne pas plus que toi !
Tu es un capitaliste toi !
Moi, sûrement pas, c’est ta pas comprit, le piégé de la production mécanisé, elle se révèle très en réalité très cher, elle demande un capital important, une production de masse, une production la moins cher possible, un rendement qui dégage un plus valus importante, cela entraînement une réduction de la masse salariale, une augmentation du prix du stockages, pour gagné quoi à la fin !
Te toute façon ton discourt et celui d’un capitaliste, tu défens leurs rapines !
En es tu sur que c’est une rapine !
Si c’est de la rapine, il me pense à se remplir les poches sur notre dos !
Et bien , ils sont plus tôt passé la corde au cou dans cette affaire, car il non pas réalisé dans quel gouffre ils se sont embarqués, car ce qui se passe, c’est qu’ils me peuvent plus vendre ce qui produise pour la simple raison que pour produire, il on produit aussi la pauvreté qui se traduit par la monté des charges incompressibles qui rognent sur la redistribution des salaires !
Je ne fais pas avoir, tu sais très bien les salaires mirobolant qui se font !
Oui, ce que nous dit pas en réalité ce n’est que minorité, et certain on bien compris qu’ils se faisait avoir dans cette histoire, et la tentation de se protéger les poussent à devenir carnassier, à noté que c’est souvent pas un patron, ce son en réalité des salaries de hautes volées !
Des salaries de hautes volées ?
Oui, des salaries de hautes volées, d’après toi un PDG c’est quoi, c’est un simple général qui à des comptes à rendre au conseille d’ administration et comme il est aussi sur un siège éjectable, il s’assure ses arriérés !
Tu cautionnes un point de vue de voleur !
Non, je cautionne rien, t’en que l’on n’est pas dans la peau des différents acteurs de cette situation, non seulement on ne comprend rien et en même temps on se prive de trouvé une solution !
Et quel est la solution alors !
La solution est que nous devons aller vers la rétribution du travail, arrête de gaspillé notre argent dans une surconsommation, et mettre en place une répartition plus juste des salaires en fonction non pas de nos capacités productives de plus valus, mais bien en fonction de nos besoins vitaux !
A je vois t’es un stalinien !
Non, je ne suis pas un Stalinien !, car je sais que tous où tard c’est cela que l’on va aboutir, et croit moi, ils vaux mieux que cela devienne une évidences de développé une économie solidaire par l’urgence de la situation, que d’attendre que cela s’impose part l’extérieur !
que que tu veux dire par l’extérieur,
C’’est que cela nous soient imposé sans notre participation active !
Cela à toujours été le cas !
C’est pourquoi, il est préférable que l’on sache de quoi il retourne, et le fait dire la vérité à plus d’effet, car il tous en profondeur tous les hommes de bonnes volontés, et évite des révolutions inutiles !
C’est le principe de la métamorphose qui est à privilégié, et quand on en est déterminé par ses forces, les forces immoral ne peuvent que reculer, car plus personnes leurs donnent un crédit !,
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Aspect banal de la question Nous en verrons d’autres
À l’aube de notre ère, la planète était peuplée d’environ 250 millions d’êtres humains. Au début du second millénaire elle en compte 7 milliards, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde. Le progrès a ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu’il n’y avait d’hommes de toutes conditions sur terre au début de son entreprise. Et la population augmente, de nos jours, quotidiennement, de 220 à 250 000 individus.
Quelles réflexion, un tel constat peut-il susciter chez le commun des mortels ?
Pour le savoir, lisez « La pyramide sociale - Monstrueux défi » (versions pdf & papier)
http://www.thebookedition.com/la-pyramide-sociale---monstrueux-defi-claudec-p-84411.html
Une analyse de la pyramide sociale, mettant en évidence des aspects de la condition humaine allant bien au-delà des questions soulevées par la libre-pensée comme par la pensée philosophique, politique, économique, scientifique, sociale, religieuse ... ; défiant le pragmatisme, le romantisme, la superstition, la foi, la compassion, les certitudes des uns comme des autres.
De la richesse à l’exclusion sociale aujourd’hui et à la barbarie demain, par la démographie.
Une vision aussi libre que décoiffante de fondamentaux trop souvent négligés.
Voir aussi le blog « abominable pyramide sociale »
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votre aspect de la question est bien de s’ interroger voulons nous partagez, où vous voulons nous juste que préservé notre confort en acceptant que la majorité n’est pas accès et vive dans la misère !
Une question, que pensez vous de cette information, la moité de la la production alimentaire mondial file directement à la poubelle ?
Ne trouvez pas qu’en réalité l’utilisation de la démographie est utiliser dans le seul but de nous renforcer dans notre égoïsme, et de se fait rendre inopérant toutes initiatives qui se veux solidaire ? -
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Du point de vue des organisateurs de la pénurie, il n’y a rien à attendre si ce n’est une aggravation des conditions de vie, exception faite des élites. Du point de vue des dépouillés de plus en plus nombreux, (et au rang desquels se joignent des strates de population qui encore 10 ans en arrière n’imaginaient pas un jour glisser sur la pente du paupérisme : par exemple les cadres moyens ou licenciés, jeunes fonctionnaires, voire des fonctionnaires tout court... désolé d’avoir oublié d’autres victimes dans ce catalogue), il y a le business de la débrouille. Mais là où les assassins économiques se réjouissent, c’est qu’avec le système D (marché parallèle ou non), c’est toujours demain pouvoir vendre les produits manufacturés aux plus pauvres recycleurs (même périmés, avariés, soldés). Conséquence : de toute manière même à l’extrême, leur enrichissement est assuré. Ya pas de solutions, on s’enfonce inexorablement... et personne ne repartira d’où il est venu, parce que chez eux, c’est pire encore que chez nous !
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