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Accueil du site > Tribune Libre > La peinture de la Renaissance pour les nuls...

La peinture de la Renaissance pour les nuls...

...comme moi ! Les différents styles, les époques, les divers courants, tout ceci est un peu obscur pour le quidam moyen. Je m'y suis intéressé de près, en néophyte, avec passion et persévérance avant d'en tirer cette synthèse qui, je l'espère, vous éclairera à votre tour. La première partie sera composée de phrases et la seconde de vidéos musicales (pour les paresseux, d'ordinaire en surnombre durant les mois d'été).

Rien n'eut été possible sans le mécénat. Un mécénat intéressé évidemment, l'étalage du luxe des princes et la propagande de l'Eglise, mais néanmoins vital à l'éclosion de tous ces chefs-d'oeuvre. Le mécénat des Médicis commença sous Cosme l'Ancien (1386 - 1464), le fondateur de la dynastie de Médicis, grand-père de Laurent le Magnifique. Il faut dire que Florence jouit d'une ère exceptionnellement calme et prospère. Il fit peindre les fresques du couvent San Marco par Fra Angelico. Collectionneur, il se fit conseiller par Donatello, qui devint son ami et qu'il encouragea dans ses recherches artistiques.

La Renaissance doit son nom plus à un renouvellement des thèmes abordés que de la révolution plastique. Elle opère un retour à l'Antique. Le Quattrocento naît à Florence.

I -  Botticelli et les autres peintres de la Première Renaissance à Florence (1420 - 1500)

En histoire de l'art, on appelle Première Renaissance la période du Quattrocento qui s'étend des années 1420 à 1500 et qui marque la rupture avec l'art de la Pré-Renaissance.

a ) Le paradoxe Botticelli  (1444 ou 1445 - 1510) : il annonce l'humanisme sur le plan plastique mais reste attaché au gothique en délaissant la perspective et le réalisme. Alors que, suivant l'innovation de Leonard de Vinci, les autres peintres choisissent les contours flous (technique dite du sfumato), Botticelli s'en tient au tracé nets, aux lignes claires, au dessin. La piste Botticelli qui privilégie l'imagination n'est pas suivie. C'est le réalisme, fondé sur les règles de l'architecture, de la perspective et des savants calculs, qui va l'emporter. Avec « La Naissance de Vénus » (1485). Botticelli représente une Vénus pudique, dont l'attitude évoque la Vierge. Il montre la déesse sous les traits de Simonetta Vespucci. La nudité choquera Savonarole. Quand ce dernier impose une théocratie à Florence, Botticelli, proche de ce prédicateur, porte lui-même quelques-uns de ses nus féminins au "bûcher des vanités". On ignore s'il le fit volontairement ou de manière un peu forcée. En tout cas, après avoir rencontré Savonarole, Botticelli ne peignit plus de nus féminins.

b ) Les autres peintres de cette période : Paolo Uccello (1397 - 1475) qui, tout au long de sa vie, fit des recherches sur la perspective une vraie passion allant parfois jusqu'à l'obsession. Piero della Francesca (v 1412 - 1492), qui, lui maîtrisa la perspective en tant que géomètre et mathématicien. Fra Angelico (1400 - 1455) Religieux dominicain ("fra" veut dire "frère"). En jouant sur les ombres et la lumière, il donna de la profondeur à ses tableaux ou du modelé à ses personnages, abandonnant ainsi les aplats de la peinture gothique. Masaccio (1401 - 1428), considéré comme le plus grand peintre de la Première Renaissance. Formé au contact des oeuvres de Donatello et de Brunelleschi (lequel était aussi architecte, ce qui est un plus pour comprendre les règles de la perspective). Filippo Lippi (1406 - 1469) ll fut le maître de Botticelli. Antonello de Messine (né vers 1430 – mort en 1479). Andrea Mantegna (1431 – 1506).

II - La triade de la Haute-Renaissance italienne (1500 - 1520)

La "Haute Renaissance" fait référence aux arts de la Rome papale, de Florence et de la République de Venise entre 1500 et 1520. Avec la peinture de la Renaissance, l'art occidental atteint son apogée.

a ) Léonard de Vinci le génie (1452 - 1519)

Aîné des peintres de la Haute-Renaissance, Leonard De Vinci franchit le pas décisif vers la Haute-Renaissance en abolissant l'équilibre entre la ligne et la couleur au profit de la modulation chromatique des contours. Léonard remplace de plus en plus la ligne de contour et de démarcation - c'est à dire le dessin - par la modulation chromatique ; les tranhsitions entre les figures et les objets se font fluides. Dans ses dernières oeuvres, Léonard franchira la frontière entre Haute-Renaissance et Renaissance tardive en mettant ses figures et ses objets comme derrière un voile en dissolvant les contours au profit de transitions chromatiques, technique que Vasari a appelée le "sfumato" (enfumé).

Raphaël et Michel-Ange suivent ses traces et créent des formes artistiques qui seront des modèles pour toute l'Europe.

b ) Raphaël, le serein
(1483 - 1520)

Raphaël fixe les canons de la beauté pour des siècles. Ses oeuvres reposent sur la mesure, la grâce, l'harmonie et visent la perfection. Avec lui, la peinture a trouvé son expression achevée. Son art a profondément influencé la peinture occidentale jusqu'au XIXe siècle. Son oeuvre est considérée comme l'incarnation la plus pure de tous les idéaux de la Renaissance. Il atteint et fixe une fois pour toutes l'apogée de la haute Renaissance dans les fresques de la chambre de la Signature (1509-1511).

c ) Michel Ange, l'inquiet (1475-1564)

L'oeuvre la plus difficile à classer dans les normes idéales de la Haute-Renaissance est bien celle de Michel-Ange. Il a une vision plus inquiète de la place de l'homme au centre de l'univers. Il réalise une peinture expressive des corps qui retraduit la souffrance et l'angoisse. Voi sa Pietà (1499), la « Vierge Marie douloureuse », tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix avant sa Mise au tombeau, sa Résurrection et son Ascension. Le Christ est représenté selon son âge et semble donc plus vieux que sa mère. Debout, la Vierge serait beaucoup plus grande que le Christ ! La manière personnelle l'emporte donc sur le souci de vérité.

III - Le triumvirat vénitien des peintres de la Renaissance tardive (ou "maniérisme") (1520 - 1580)

Le maniérisme, contrairement aux précédents mouvements artistiques, n'est plus circonscrit à la seule Italie. Ce mouvement est né en opposition aux conventions artistiques et à la perfection de la Haute Renaissance dans la représentation du corps humain et dans la maîtrise de l'art de la perspective (théorie d'Alberti). En réaction aussi au sac de Rome de 1527 qui ébranla l'idéal humaniste de la Renaissance. Le terme « maniérisme » vient de l'italien manierismo (de l'expression bella maniera), dans le sens de la touche caractéristique d'un peintre en opposition avec la règle d'imitation de la nature.

Giovanni Bellini (1425 - 1516) est considéré comme le précurseur de l'école vénitienne, dont l'œuvre marque la rupture définitive avec le style gothique. Il a formé toute une génération parmi laquelle comptèrent Giorgione (1477 - 1510), premier grand peintre vénitien du Cinquecento italien) et Titien, l'ainé du triumvirat de la Renaissance tardive.

a ) Titien, le pionnier (1488-1576)

Contrairement à la tradition florentine, Titien peint à grands traits. Ses oeuvres se construisent à partir de la couleur. Il libère aussi la peinture des contraintes de la ligne et de la forme où elle était emprisonnée depuis le Moyen Âge finissant, et cela pour donner tout pouvoir à la couleur. Titien ne se soucie ni du contour ni de la perspective. Il construit à partir de la couleur. La palette de Titien étaient constituée de peu de couleurs, il jouait sur les contrastes (exemple "Vénus au miroir" 1545). Il est particulièrement habile à faire ressortir les traits de caractère des personnages.

b ) Le Tintoret, peintre du désordre et des déséquilibres (1518 - 1594)

Élève de Titien, durant seulement quelques mois, il est réputé pour avoir dépassé son professeur dans la maîtrise des couleurs et des ombres, du rendu de la matière, s’inscrivant ainsi parmi les grands du style vénitien. Une comparaison de l’œuvre de Tintoretto "La Cène" (Ultima cena) avec l’œuvre de Léonard de Vinci qui porte le même nom permet de visualiser l’évolution des styles artistiques à la Renaissance. Le traitement par Léonard est très classique. Les disciples sont disposés autour du Christ dans une symétrie presque mathématique. Entre les mains de Tintoretto, le même événement devient dramatiquement torturé. C'est le principal représentant du maniérisme italien. Chez ce peintre règnent le désordre et le déséquilibre, la chute des corps (amaigris, déformés) qui traversent les tableaux de façon oblique. Les regards ici ignorent l'horizontale.

c ) Véronèse, peintre "bling-bling" (1528-1588)

Véronèse aime représenter l'opulence en prenant prétexte des scènes de la bible. Un goût qui peut aller chez lui jusqu'à la provocation. Il est l'opposé de Tintoret, qui est le peintre austère, torturé, et de Corrège par le gigantisme de ses œuvres. Sorte de Raphaël du Nord de l'Italie, il est le dernier représentant de la Renaissance tardive. Le repas chez Levi (1573) lui vaudra une convocation devant le tribunal de l'Inquisition qui le jugea immoral. Il dut changer le titre d'origine qui désignait l'épisode biblique de la Cène. Véronèse s'en sort en revendiquant pour les peintres « les mêmes licences que pour les poètes et les fous ».

IV - Vidéos musicales des peintres de la Renaissance italienne

Et maintenant, contemplez les oeuvres de ces peintres sur des musiques d'époque !

Et voilà, vous ne bronzerez plus idiots !


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25 réactions à cet article    


  • Fergus Fergus 10 août 2012 09:37

    Bonjour, Paul.

    Bravo pour cette incursion didactique dans la peinture de la Renaissance italienne. Pour ma part, c’est Le Caravage que je préfère, pour sa modernité et l’expression crue de son art.

    Un petit regret concernant... la parité : tu n’as cité aucune femme peintre de cette époque. Certaines ont pourtant marqué l’histoire de la peinture, et l’on ne peut que regretter l’oubli dans lequel elles sont tombées, excepté Artemisia Gentileschi, remise à l’honneur depuis quelques années. A toutes fins utiles : Artemisia (février 2009) Artemisia Gentileschi, la colère et le génie (avril 2012) Sofonisba (juin 2009)  Injustement oubliée : Lavinia Fontana (février 2011).

    Cordialement.


    • Taverne Taverne 10 août 2012 10:13

      Bonjour Fergus,

      Quand j’écris un article, je n’ai pas le souci obsédant de la parité. Je ne cède pas aux diktats de la bien pensance actuelle (qui, placée dans une perspective historique, est absurde) . Les artistes que tu cites et auxquelles tu as consacré des articles ont du talent. A mon sens, elles n’ont pas rempli un rôle si important qui justifierait que je les intègre dans cette synthèse qui, comme toute synthèse, ne parle pas de tout. Par exemple, certains pourront juger trop court le paragraphe consacré à Léonard de Vinci.


    • Taverne Taverne 10 août 2012 10:59

      A propos du Caravage, je lui ai consacré un article à lui tout seul récemment. Le Caravage ne fait pas partie des peintres de la Renaissance au sens des historiens de l’art. Et comme je n’ai pas la compétence nécessaire pour les contredire...Comme je le dis d’entrée, je suis un « nul » mais un nul qui se soigne. smiley


    • Fergus Fergus 10 août 2012 17:55

      @ Taverne.

      Loin de moi l’idée de parler sérieusement de parité dans ce domaine, particulièrement lorsqu’il s’agit de mentionner les plus grands noms des différentes écoles d’un domaine artistique. Je voulais simplement souligner que, sans rivaliser avec les plus grands créateurs de la Renaissance, il est des femmes qui, en leur temps, ont réussi à imposer leur art dans une société très machiste, ce que le public sait peu. Mentionner l’existence d’au moins une de ces courageuses et opiniâtres pionnières eût permis de rendre hommage à toutes celles qui se sont battu contre les préjugés pour imposer leur peinture.

      Bonne fin d’après-midi.


    • Taverne Taverne 10 août 2012 18:03

      Fergus, c’est tout à ton honneur que de mettre en avant ces artistes femmes. De plus dans d’excellents articles. Un challenge sur un site comme Agoravox.


    • Christian Labrune Christian Labrune 10 août 2012 12:11

      à l’auteur

      C’est bien, vous faites oeuvre de pédagogue, et on ne peut rien comprendre à la peinture sans quelques repères historiques lesquels, malheureusement, ne suffisent pas.

      J’en profite pour signaler que l’Eva prima pandora de Jean Cousin, qu’on ne pouvait plus voir depuis au moins quatre ans (en restauration) a enfin retrouvé sa place, au Louvre, au milieu des peintures de l’Ecole de Fontainebleau. Contrairement à beaucoup de restaurations très contestable -celle en particulier de la Saint-Anne du Vinci-, la restauration du tableau de Cousin est parfaite : c’était un peu sale et enfumé, c’est plus clair, mais l’harmonie d’ensemble n’est en rien compromise.


      • Taverne Taverne 10 août 2012 18:06

        Je suis content que l’Eva prima pandora de Jean Cousin ait retrouvé sa place après une absence aussi longue...bizarre !
        - Moi j’ai dit bizarre ?
        - Je vous assure que vous avez dit bizarre cher Cousin.


      • Guy BELLOY Guy BELLOY 10 août 2012 19:53

        "pour les nuls comme moi

        Effectivement faire un copié collé est toujours facile et ne vous grandit pas. Par contre ce qui vous rapetisse est de venir déféquer sur ma page sans même avoir l’élégance de repondre à mon commentaire. Ce qui est contraire au débat d’idées pour lequel ce site a éte conçu. Au plaisir de ne plus entendre parler de vous.
        N.B. Vous devriez changer de verres correcteurs...


        • Taverne Taverne 10 août 2012 23:40

          Vous dites « sans même avoir l’élégance de repondre à mon commentaire. »

          Il est vrai qu’en matière d’élégance, vous avez l’air d’un maître.


          • Guy BELLOY Guy BELLOY 12 août 2012 11:38

            Taverne, vous êtes un plagiaire. Vous vous appropriez les oeuvres d’autrui puisque vous n’avez pas même l’honnêteté de citer vos sources laissant croire que vous faites oeuvre personnelle. Votre « étude » est composée de copié-collés entiers. 

            Rien n’eut été probable sans le mécénat. Un mécénat intéressé évidemment, l’étalage du luxe des princes et la propagande de l’Eglise, mais néanmoins critical à l’éclosion de tous ces chefs-d’oeuvre. Le mécénat des Médicis commença sous Cosme l’Ancien (1386 – 1464), le fondateur de la dynastie de Médicis, grand-père de Laurent le Magnifique. Il faut apocalyptic que Florence jouit d’une ère exceptionnellement calme et prospère. Il fit peindre les fresques du couvent San Marco standard Fra Angelico. Collectionneur, il se fit conseiller standard Donatello, qui devint son ami et qu’il encouragea dans ses recherches artistiques.
            http://blog.comartiz.com/tag/simonetta-vespucci/

            Et tout le reste est de la même veine...

            Pas de quoi être fier. Faut-il en rire ou en pleurer.
            Le masque est tombé,
            Je préfère m’esclaffer...


             smiley  smiley  smiley


            • Taverne Taverne 12 août 2012 12:04

              Effectivement, on a copié mon article mais en ajoutant au beau milieu des mots intrus comme « critical » et « apocalyptic ». Ce qui rend le texte absurde. Rien ne vaut l’original sur Agoravox.

              Avant de l’ouvrir, vous devriez vérifier qui plagie qui !

              A mon tour de m’esclaffer ! :_))


            • Taverne Taverne 12 août 2012 12:16

              Je lis aussi cette perle « il annonce l’humanisme sur le devise plastique ». Quelqu’un peut-il m’expliquer ce que signifie cette phrase !!! Je n’ai rien contre le fait qu’on me copie mais qu’au moins on copie correctement. « Le paradoxe Botticelli » est mon idée ainsi que tous les qualificatifs que j’ai mis aux artistes pour les singulariser : « Raphaël l’inquiet », « Véronèse, peintre bling bling »etc. Pour parvenir à synthétiser ainsi des idées, il faut tout de même avoir approfondi l’étude des oeuvres il me semble. Cela ne s’improvise pas. J’ai aussi eu cette idée de présentation en triptyque : 3 parties : le trio de la Haute Renaissance, le « triumvirat » de la renaissance tardive. J’ai trouvé que cette règle de trois s’approchait de la Sainte-Trinité et constituait un excellent moyen mnémotechnique pour le lecteur. J’ai aussi pris l’initiative d’expurger tout ce qui est « pré-renaissance » car « pré » n’est pas "renaissance. Et ainsi de suite, il ne s’agit là que de quelques exemples marquants.

              J’ai évidemment repris des bouts de phrases et d’expression employés par des experts de l’art dans des livres surtout et un peu sur internet. Pourquoi modifier des formules quand elles sont parfaites ? Pourquoi prendre le risque, en modifiant une phrase, de trahir le sens ? Mais je n’ai pas plagié, j’ai fait une synthèse et pioché ici et là ce qui me paraissait le mieux exprimé et qui retrait dans la structure de ma démonstration. J’ai souvent reformulé pour que ce soit plus facile à comprendre ou pour d’autre raisons.


            • Taverne Taverne 12 août 2012 12:19

              Et pourquoi ne dites-vous rien de ces vidéos que j’ai réalisées ? J’ai étudié toute la musique de l’époque pour illustrer les tableaux avec des musiques du même siècle. Un effort que personne ne fait sur YouTube. Mais à quoi bon tenter de convaincre une personne qui a décidé d’être de mauvaise foi ?


            • Taverne Taverne 12 août 2012 12:59

              à Valdor : c’est bien moins laborieux que votre tentative de critique qui n’atteint pas sa cible. Et qui n’est pas étayée : en effet, trouvez-moi sur Youtube des vidéos de tableaux de la Renaissance avec de la musique bien appropriée, ensuite on en reparlera. Pour ce qui est de l’écriture de cet article : on ne se fatigue pas quand on aime.


            • Taverne Taverne 12 août 2012 13:19

              En tous cas, vous, vous ne risquez de vous fatiguer. Vous émettez des critiques gratuites et ne prenez jamais la peine de les démontrer. Bonne sieste !


            • Taverne Taverne 12 août 2012 13:34

              OK. Amusant. smiley


            • Guy BELLOY Guy BELLOY 12 août 2012 12:22

              Vous avez surtout aussi repiqué des phrases entières de Wipikédia.
               » en jouant sur les ombres et la lumière pour ... ses tableaux ou du modelé à ses personnages, abandonnant ainsi les aplats de la ....

              Mais bon,on ne vous en veut pas. On se contente de rire, ce qui est, avouez-le, bien innocent. 

               smiley 


              • Taverne Taverne 12 août 2012 12:42

                Nooooon ? C’est diiiingue ! Un internaute qui reprend des passages de Wikipedia ? Du jamais vu ! « Hou la la, je vais le dire à la maîtresse ». Pourquoi ne critiquez-vous pas plutôt ces sites qui recopient des articles d’Agoravox en mettant de mots bizarres partout ? C’est là l’oeuvre d’un robot. Rien à voir avec l’effort d’un rédacteur qui a pris le temps de bien connaître un sujet et de rédiger au mieux un article et d’accommoder à son goût personnel. Pourquoi ne dites-vous pas que Wikipedia lui-même copie des sources, puisque c’est le cas ?

                Franchement, vous deviez mettre un terme à cette polémique, vous vous rendez ridicule.


              • Taverne Taverne 12 août 2012 12:54

                "En jouant sur les ombres et la lumière, il donna de la profondeur à ses tableaux ou du modelé à ses personnages, abandonnant ainsi les aplats de la peinture gothique.« 

                J’aurais pu reformuler, par exemple, de la manière suivante :

                 »Préfigurant l’art du clair-obscur comme procédé de mise en perspective, il pratiqua aussi un modelé des corps, ces deux méthodes lui permettant de rompre avec l’art gothique qui présentait cette caractéristique de produire des oeuvres planes, sans aucun effet de perspective ni de respect des dimensions". Et, vous, comment le diriez-vous ?


              • Guy BELLOY Guy BELLOY 12 août 2012 13:04

                 « Hou la la, je vais le dire à la maîtresse ».

                Effectivement, cette polémique tombe dans le ridicule. Bonne journée...


              • Taverne Taverne 12 août 2012 13:21

                Bonne journée aussi. Et je rends hommage à votre esprit si fin et plein d’humour.


              • Taverne Taverne 12 août 2012 14:47

                On dit « lourdeur », pas « lourditude ». Preuve que le « lourd » n’est pas celui qu’on dit...


              • francesca2 francesca2 12 août 2012 14:49

                Taverne, c’était de l’humouritude. 


              • Taverne Taverne 12 août 2012 15:11

                Bonjour Simonetta ! smiley


              • francesca2 francesca2 12 août 2012 15:20

                Buongiorno poeta smiley

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