La petite bourgeoisie immigrationniste contre la classe ouvrière française
Le clan des immigrationnistes
Le bloc immigrationniste Macron-Mélenchon-Medef aggravera-t-il la situation immigrationniste, ou le RN et ses alliés y mettront-ils un terme ou en réduiront-ils les flux ?
La Commission européenne réclame depuis des années l'arrivée des dizaines de millions de migrants soi-disant pour faire face à la décroissance démographique dans l'UE.
L'exemple japonais s'inscrivant en faux contre une telle assertion, il s agit d'un prétexte destiné à masquer la vraie raison qui consiste à neutraliser les classes ouvrières occidentales réfr actaires à la dérégulation générale voulue par la super classe financière des « très riches » (F. Hollande), détenteurs du système bancaire international : FED, FMI, BRI, etc., etc., c'est-à-dire du pouvoir économique.
La grande peur de la bourgeoisie française remonte à 1968 où elle a dû céder en matière de salaires et de droits du travail.
Elle délégua la maîtrise de sa contre-attaque au social démocrate F. Mitterrand qui s'employa à réduire l'influence des communistes jugés responsables (à juste titre) des déboires du patronat français, qui dut passer à la caisse et qui jura qu'on ne l'y reprendrait plus : « plus jamais ça ! ».
Pour ce faire Mitterrand a créé de toutes pièces et artificiellement une organisation antiraciste (SOS Racisme) au moment où le PCF exigeait l'arrêt de l'immigration, selon le vœu de la classe ouvrière française qui en subissait les dommages collatéraux, dans les cités notamment, et dans les usines où il s'employait à organiser ensemble, malgré les difficultés, Français et immigrés.
Objectif : effacer le PCF pour briser la résistance ouvrière
Dans le cours des années 80, une intense campagne idéologique visa à faire passer la classe ouvrière pour un bloc raciste, xénophobe, d'ivrognes amoureux des chiens de défense et adeptes de la violence qu'illustré la figure du beauf dans le film odieux de Boisset, « Dupont la joie », ou dans la série TV les « Deschiens ».
Marx l'avait déjà analysé
« Cet antagonisme [avec le prolétariat immigré] est le secret de l’impuissance de la classe ouvrière anglaise, en dépit de son organisation. C’est le secret grâce auquel la classe capitaliste maintient son pouvoir. Et cette classe en est parfaitement consciente » (Marx Engels correspondance, t. 10).
Démoralisé, le PCF dominé par sa fraction bourgeoise (dans un contexte de désindustrialisation et de tertiarisation de l'économie), refit le congrès de Tours (où le parti ouvrier se scinda entre révolutionnaires et réformistes) à l'envers progressivement, en abandonnant la lutte des classes et contre l'invasion migratoire. Se sentant lâchés, les ouvriers virent dans le FN le relais du PCF déserteur en matière d'immigration.
Ils ne virent plus que le FN pour exprimer leur protestation et leur colère de se voir rejeté dans la catégorie des racistes, néofascistes, homophobes et machistes, par la nouvelle petite bourgeoisie 2.0, qui troqua les revendications sociales contre les revendications sociétales et l'adoption par l'état bourgeois de l'idéologie américaine woke, LGBT, lutte des sexes, des races, etc.
La Gauche bourgeoise et la collaboration
Les nouveaux rapports sociaux furent l'aboutissement d'un projet socialiste théorisé par son Think Tank « Terra Nova » (2008) : abandonner la classe ouvrière française au profit de la défense des immigrés, c'est-à-dire du sous-prolétariat étranger, issu de sociétés patriarcales théocratiques et tribales pour l'essentiel. Les étrangers qualifiés, migrant quant à eux, principalement outre-Atlantique. cf. Bruno Etienne, « l'Islamisme radical ».
La classe ouvrière de France a fait connaître son mécontentement aux européennes, où elle s'est moins exprimée sur la question de l'UE que contre le pouvoir macronien.
Tous les sondages confirment sa position contre l'union de la bourgeoisie macronienne (représentant les intérêts du patronat) avec la petite bourgeoisie collaboratrice des grandes villes.
Cette petite bourgeoisie s'appuie sur le prolétariat largement islamisé issu de l'immigration (le groupe musulman votant à 70% pour Mélenchon) et sur le sous-prolétariat de même origine.
La soi-disant résistance contre un fascisme imaginaire, rameute la petite bourgeoisie social-démocrate créée par l'ex-socialiste Mélenchon, les anciens et nouveaux « socialistes » Faure et Glucksman ainsi que les écologistes.
La phraséologie socialiste du Front populaire, ainsi configuré, masque son ralliement à la société bourgeoise, car le point fort de sa propagande se résume en barrage à l'épouvantail fasciste. La CGT 2.0 n'avait-t-elle pas lancé sur les Gilets jaunes la même calomnie en compagnie de l'égérie du lumpen A. Traoré qui fait la pub d'un chausseur de luxe en chaussures à 3000€ la paire et l'éloge de la polygamie, « une expérience fabuleuse » ?
Un sous-prolétariat 2.0 issu de l'immigration instigateur de la terreur quotidienne
Il est raciste, créateur d'insécurité et d'émeutes ; il tient, occupe et contrôle une partie du territoire français. Il est constitué d'une partie de la jeunesse de banlieues des grandes villes, plus ou moins livrée à elle-même et qui a choisi l'argent facile et la violence pour l'obtenir.
Elle s'est montrée capable de se mettre mis au service de l'État pour briser, en exerçant une violence extrême, un mouvement populaire revendicatif de jeunes lycéens (blancs exclusivement, NB !) en lutte contre le CPE.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2005/03/31/lumpenproletariat_633784_3224.html
cf. Marx sur le lumpen prolétariat au service de Napoléon III (le 18 Brumaire…).
Le populisme contre l'immigration
De quoi le populisme est-il le nom ?
En France, le succès du populisme est dû à la neutralisation de l'ex-PCF représentant l'opposition à l'envahissement migratoire exigé par le patronat pour faire pression sur le salaire (P. Artus « Marx is back », La documentation française)
Le politicien bourgeois Mitterrand (adoubé par le patronat dit de gauche en 1981) qui s'était vanté de réduire l'influence du PCF en France, n'a fait que contribuer à la transformation de la classe ouvrière en mouvement populiste, qui n'eut plus d'autre possibilité que de porter sa voix sur le FN d'abord et au RN ensuite, pour exprimer sa colère d'être mise en concurrence avec le prolétariat étranger au travail, et martyrisé par le sous-prolétariat (majoritaire à 70% de la majorité des détenus), dans ses lieux de vie.
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i09012135/francis-bouygues-sur-les-immigres)
La classe ouvrière résistera-t-elle à l'invasion migratoire ?
L'issue du scrutin ne laisse pas d'incertitude quant à la majorité qui va s'en dégager et qui aura la mission de mettre un frein à l'excès de l'immigration effrénée et sauvage.
Mais on peut douter que le RN, vainqueur annoncé (indifférent à l'appel du PCF en 1981 réclamant l'arrêt de l'immigration), voudra ou saura résister aux pressions du patronat.
Par contre, il est certain que le très peu « populaire » Front Populaire de Mélenchon, l'apôtre de la « créolisation », marcherait main dans la main avec lui pour dissoudre totalement la classe ouvrière française dans les masses immigrées jusqu'à ce qu'elle passe dans le camp de la collaboration de classe et que s'éteigne, pour très longtemps, son autonomie politique,
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