La progression du djihad en France

La progression du Djihad en France ou ailleurs….

Comment imposer une religion en limitant les actes de guerre ?

Le djihad en France est planifié depuis la fin de la guerre d’Algérie.

Le travail d’acceptation de l’Islam en France se produit sur le modèle de l’agriculture : débroussaillage de la terre, retournement des consciences et ensemencements des coeurs, puis arrosage réguliers et récolte progressive. L’Islam progresse par génération. Chaque génération a une tâche à produire pour la conquête finale.

La première génération est venue, invitée à coloniser de nouveaux territoires en faisant la prière sur la terre qui leur est donné ; à leur domicile, puis progressivement dans des lieux réservés à la communauté, puis en engageant des procédures légales pour que l’Islam soit reconnu comme une religion « comme les autres » et que des mosquées soient construites. Si cela n’est pas possible, les rues, les parcs, les champs sont potentiellement acceptables dans cette étape d’ensemencement.

Lorsque la première étape est achevée, la jeune communauté se greffe sur les valeurs phares du pays dans lequel elle vient s’intégrer : nos valeurs d’égalité, de fraternité et de liberté sont acceptées et mises en œuvre autant que possible dans la première génération née sur le sol grâce au regroupement familial et au respect des différences. Cette génération intermédiaire est considérée par les pays très orthodoxes comme des métis culturels et énergétiques aussi sont- ils libres de vivre comme ils souhaitent dans la mesure où leur rôle est de s’intégrer le mieux possible afin que l’Islam puisse « entrer » dans la culture locale et la modifier progressivement par influx interculturels - les échanges interculturels sont facilités et valorisés ; la Tolérance aux us et coutumes de la nation d’accueil et la soumission aux règles du pays permettent l’intégration de l’Islam et un métissage de la société progressivement colonisée, dans la Paix, par osmose énergétique.

La troisième génération se trouve dans une situation où elle est sacrifiée, tiraillée entre 2 mondes , 2 énergies : il y a une cassure entre les comportements et les valeurs de leurs parents et de leurs grands-parents. La logique biologique pousse la génération sans racines claires à la révolte contre l’autorité parentale, ce qui les ramène à leurs racines ancestrales représentées par leurs grands-parents et l’Islam ancestral, très orthodoxe. Cette troisième génération se réapproprie ses racines et revendique sa culture religieuse permettant une Réconciliation entre le pays et la culture d’origine des premiers colons. Ceux-ci ont été rejetés par la communauté islamique orthodoxe et reçoivent leur réintégration lorsque leurs enfants font des actes purs ce qui entraîne des actes de djihad. Lorsque le djihad commence dans le pays d’accueil, c’est l’annonce que la Véritable colonisation a commencé.

La quatrième génération nait dans le Conflit et l’Intolérance entre la communauté islamique et les communautés religieuses locales à cause du djihad. Le djihad a pour fonction de resserrer les liens de la communauté musulmane et la séparer des comportements culturels non- conformes à l’application des surates du Coran. C’est une Préparation à l’assimilation profonde de l’Islam dans le pays d’accueil. Deux comportements vont divisés la communauté nationale : ceux qui voudront intégrer les bons citoyens quelle que soit leur religion, et ceux qui voudront se défendre d’une invasion subtile et inéluctable. Le conflit et ses conséquences juridiques, sociales, etc… verra une radicalisation progressive et lente de la communauté musulmane qui veut conserver ses valeurs puisqu’elle se sent menacée et rejetée par la culture nationale plus ancienne. Les femmes sont alors sollicitées et incitées à créer des réseaux d’entraide et d’éducation pour musulmans afin d’éviter la contamination énergétique avec les non-musulmans. C’est à ce moment-là que de plus en plus de femmes se voilent pour se protéger des mauvaises ondes et rester dans les vibrations islamiques quoi qu’elles fassent dans leur journée. Les hommes, qui jusques là étaient soumis, se montrent plus protecteurs et défendent leurs femmes. Ils les protègent physiquement autant que de manière juridique et légale en poussant l’Etat à redéfinir les habitudes légales (vestimentaires ou alimentaires) et à prendre du terrain sur les us et coutumes traditionnels du pays d’accueil. A cette étape il n’y a plus autant de respect pour les personnes non musulmanes, la communauté est poussée à se sentir fière de sa culture et de sa religion, à laisser la honte et la culpabilité ressentie par les premiers colons rejetés de l’Umma. Le djihad est perçu alors par la communauté musulmane comme un moyen nécessaire à l’établissement de la Paix, une attitude temporaire permettant de faire naître un sentiment de cohésion au sein de la communauté et de la renforcer sur ses bases en faisant peur aux autres communautés laïques ou religieuses.

La Cinquième étape consiste à créer des quartiers où l’Islam modéré est admis comme mode de juridiction au niveau local : des représentants musulmans imposent des règles islamiques sans que la nation d’accueil puisse réellement s’y opposer, ce qui amène progressivement l’Islam a devenir une religion d’état, le processus prend plusieurs générations.

Ces procédés évolutifs ont été mis en place dans tous les pays que nous percevons aujourd’hui comme des nations islamiques extrémistes. Tous les pays musulmans ont eu de multiples communautés et religions avant de s’islamiser, tous ces pays ont connu - comme nous aujourd’hui -de longues années de résistance et d’insécurité, suivies d’années de paix et de pacification intercommunautaires pour permettre à l’Islam de s’enfoncer toujours un peu plus loin et mieux reprendre le pouvoir. Par exemple l’islamisation de l’Iran s’est poursuivie sur 1000 ans et elle est régulièrement remise en cause par des communautés devenues minoritaires au fil des assimilations.

L’Islam est une gangrène boulimique qui ne s’arrête jamais. Son mode de fonctionnement est politique autant que religieux. Si on peut tolérer des divergences de rituels et de croyances religieuses, il n’est pas possible de transiger avec nos valeurs politiques. Or, l’Islam compte sur le fait que toute valeur humaine évolue vers son contraire, tandis que les semences de l’Esprit continuent toujours à se fortifier en restant dans la même nature.

E n se mettant dans la fréquence vibratoire de l’Esprit de la Paix, il semble que les musulmans soient portés à progresser sans fin car qui veut arrêter la Paix, se place dans la vibration de la Guerre, or, celle-ci fait également partie du cercle d’expression de la Paix ; les opposés se rencontrent comme sur un ruban de Moebius.

2) Méthodologie pratique :

Comment sélectionner et former les futurs djihadistes ?

La communauté musulmane choisit parmi les jeunes « indésirables » : des personnes instables, des individus isolés, orphelins ou issus de familles considérées comme des traîtres à la communauté, des opposants aux traditions orthodoxes auxquels on présente une « chance de réhabilitation » par un retour aux « vraies valeurs de l’Islam ». L’éducation aux valeurs de l’Islam est sensé être une réhabilitation sociale et psychologique, mais c’est le point d’ancrage de la subversion.

Des valeurs morales et humanistes sont transmises à travers de petits exercices physiques, des contes, des techniques de relaxation proches de la sophrologie et des cours d’éducation morale. Si les individus deviennent dociles, ils sont laissés en dormance. Lorsque les individus sont révoltés et rejettent l’Islam ou l’autorité, ils sont sélectionnés pour un autre type d’éducation, incluant des techniques de combat, pour « évacuer les tensions et canaliser leur énergie », et on leur applique des méthodes d’hypnose pour les calmer « en profondeur ». Ces traitements utilisent au final leurs meilleurs souvenirs comme source d’ancrage d’un mot ou d’une phrase qui deviendra la clé du futur passage à l’acte pour le djihad. 

Qui procède à la mise en place du mot-clé ? Des personnes de haut rang dans la structure et la hiérarchie islamique. Ce sont des professeurs en psychologie, des imams et des techniciens en divers métiers de santé ou paramédical qui peuvent approcher les individus en toute intimité lors de groupes de prière et d’entraînement au jeun prolongé ou de cours du soir sur les aspects mystiques et ésotériques du Coran, par exemple. Les martyrs sont donc des individus qui sont violents et sont contraints de s’assagir et se purifier par l’Islam pour retrouver leur liberté ou bien, des gens curieux et fascinés par le pouvoir et les aspects ésotériques contenus dans les textes. Les premiers seront utilisés par les seconds. Le cercle d’enseignants s’autoalimente à chaque génération par cooptation. Les pays musulmans les plus anciens fournissant les enseignants qualifiés puis créant de nouveaux cercles d’enseignants dans les pays en voie d’islamisation.

Dans quel ordre activer les agents dormants ?

Chaque pays est une cible potentielle, mais il existe un Calendrier des conquêtes qui a été écrit par des médiums il y a des siècles. Ce calendrier est un papyrus roulé (ou une peau très fine et très ancienne) conservé dans un pays musulman respecté au plus haut niveau hiérarchique islamique.

Comment sont choisies les cibles ?

Lorsque vient le temps pour une nation d’être islamisée, la carte du pays et sa principale capitale sont soumises à une énergisation par le Sceau de l’Islam : ce sceau est une étoile ou un symbole islamique adapté à la structure énergétique du pays et à l’étape qu’il traverse. Ce sceau est ensuite superposé à la carte géographique du pays choisi, afin d’assouplir les structures psychologiques, politiques et juridiques de la nation en question, éradiquer les obstacles psychologiques et rendre vulnérable. Le centre du symbole est placé sur la capitale et chaque point important du symbole (dans une étoile à plusieurs branches, au point d’intersection des lignes) auront lieu des actes « d’éveil à la terreur » pour que la communauté musulmane se sente concernée par l’arrivée de la « vibration de la Vérité ». Il s’agit de casser les structures psychologiques et symboliques nationales par des actes d’agressions physiques conduits intentionnellement et préparés. Ces actes représentent une prise de pouvoir énergétique et psychologique fondamental pour que l’Islam soit stabilisé sur le territoire qu’il investit. 

L’échelle vibratoire du symbole et de la carte pour la nation Française est le HUIT. Ce sont les groupes de mystiques musulmans qui découvrent les signes et les font appliquer par les autres. Car dans l’Islam l’Humilité est la valeur qui est demandée à ceux qui sont placés dans la hiérarchie, or l’Humilité permet la vulnérabilité au maître, à l’Instructeur, au Guide dont tout grand décideur a besoin pour être encadré et prendre les décisions. 

L’Islam se conçoit en lui-même comme un évènement à venir, comme un éternel mouvement de soumission aux lois divines, ces lois étant représentées et gérées par des hommes baptisés par le sang versé des « impurs ». Les actes des martyrs sont perçus par la communauté musulmane comme des actes de Foi restaurant la dignité spirituelle.

3) Sommes-nous prêts à nous soumettre à leur Loi ? 

J’ai fréquenté de nombreux types d’établissements scolaires pour cause de mutations fréquentes et j’ai donc été scolarisée parfois dans des écoles à forte mixité sociale et culturelle. J’ai connu de jeunes adolescentes contraintes de se convertir à l’Islam radical sous l’égide de personnes venues de différents pays musulmans épousant par mariages forcés des veuves avec enfants afin d’être servis , aidés et pris en charge par notre système d’égalisation sociale puisque les femmes continuaient d’être déclarées « parent isolé avec des enfants » tandis que leurs époux -aux yeux de l’islam uniquement- étaient administrativement considérés comme des étudiants accueillis dans des universités françaises et islamiques. A plusieurs reprises j’ai pu recevoir les confidences et les émotions de ces femmes musulmanes soumises à la peur, à la culpabilité et à la honte d’être musulmanes et françaises, vivant constamment dans la confusion, sous la pression d’un partenaire influencé par des discours radicaux, voyant leur quartier changer sous la menace d’un islam entreprenant et insolent. C’est souvent un déchirement vécu dans l’intimité par ces femmes partagées entre deux cultures que tout oppose, ne sachant plus où trouver la paix et finissant par choisir la « paix du cœur » entraînant donc le port du voile, comme on porte le deuil de la liberté.

J’ai reçu ces confidences de jeunes musulmans -garçons et filles de mon âge- dans les années 1980-85, choqués et confus lorsque le prédicateur les invectivait à « revenir aux fondamentaux de l’Islam » pour structurer la communauté sur des bases saines tout en restant sur le sol français. A cette période, leurs parents étaient incités à faire le deuil du retour au pays et leur joie de vivre était ensevelie sous le sentiment de culpabilité et d’abandon dont ils étaient victimes car rejetés, impurs selon les codes de la pure orthodoxie. Dans les prêches il était déjà annoncé à ces jeunes ce qui vient d’arriver  : la mise à mort de la laïcité. 

Ce que j’écris provient du souvenir de leurs témoignages, enfoui dans ma mémoire et réveillé par les actes barbares de cette nuit auxquels j’assistais en direct. Le fil conducteur reliant ces mémoires à aujourd’hui vient aussi de mes recherches sur la Conscience et ses relations au psychisme collectif ; c’est-à-dire la matrice énergétique de la nation car c’est Elle qu’il faut défendre. 

Maintenant les jeunes musulmans ont accepté de se sacrifier pour une islamisation de la France et il sera difficile pour notre peuple très tolérant de résister aux influences mystiques de l’Islam, car elles sont comme le Miel pour l’âme de ceux qui sont habitués à la facilité et à l’indifférence par la culture de l’individualisme et des libertinages. L’islam n’est pas pris au sérieux par les intellectuels, il ne représente pas un danger pour les orgueilleux et les personnes trop confiantes dans l’Histoire de la France. Or l’Islam est une voie menant à la Foi aveugle, à la soumission et au contrôle des masses populaires par l'ignorance et l'application rigides de lois énergétiques.

L’Islam est contraire à la Fraternité et à la Liberté défendue par nos ancêtres, au droit au choix et à la Liberté de Conscience. Ce n’est pas une question de religion ou d’intolérance à d’autres cultures  : la lutte contre l’Islam représente la défense de notre Identité la plus pure : l’Intelligence de l’Amour menant à la liberté de conscience. Nous avons réussi autant que possible à établir une nation qui sait défendre les libertés individuelles tout en conservant une cohésion au niveau national, une empathie les uns pour les autres. Si nous ne prenons pas conscience du danger que représente la division, nous exploserons en tant que nation et qui pourra désormais se sentir Libre dans le monde sans notre rayonnement, sans notre confiance, sans notre stabilité morale ? N’oubliez pas ces mots historiques du Général de Gaulle : « Paris humiliée, Paris outragée mais Paris libérée ! » Cela ne s’adressait pas uniquement à la libération du nazisme en 1944 mais à toutes les fois où cette libération est nécessaire. Nous nous sommes considérés libres avant la tradition chrétienne et nous devons le rester, pour le Bien du Monde. Je souhaite que la Tolérance ne soit pas l’épée de notre mise à mort. Je souhaite que la Liberté continue d’exister, pour le bien de tous les peuples et que nous continuions d’en être les représentants. Lila