Le manifeste “DEMOCRACIA REAL YA ! NO SOMOS MERCANCIA EN LAS MANOS DE LOS POLITICOS Y DE LOS BANQUEROS ” en français : nous ne sommes pas une marchandise entre les mains des politiques et des banquiers, décrit parfaitement une situation où regne une politique cauteleuse à l’échelle européenne mais egalement planetaire où le dégout des populations envers une vision de l’humanité où les servants des financiers cherchent à nous imposer l’austérité au nom de leurs mensonges.
Les peuples sur Terre en ont assez de vivre sous le joug de ce totalitarisme financier, détruisant l’environnement, l’éducation et absolument tous ce qui est digne et à un peu de valeur, au nom de quoi devrions accepter leurs visions de la société nées dans des cercles d’esprits malades qui se prennent pour les élites du monde alors qu’ils sont à l’origine de la paupérisation des 3 quarts de l’humanité « ? »
Ce discours, "ses élites" ne veulent pas en entendre parler, car pour eux, seul cet réalité est possible dans laquelle vit la majorité de l’humanité qui se paupérise, et où des bébés meurent de faim et de soif. Ce monde n'est pas le fruit du hasard, mais le produit d’esprits complètement détraqués et nous avons notre part de responsabilité dans cet enfer en acceptant l'installation de ses systemes iniques.
Alors quand des hommes comme l’écrivain Sampedro qui a vécu la période franquiste nous dit avec certitude : “Un autre monde est possible”, et je dis, non, un autre monde n’est pas possible, il est certain ! Ce qui est sûr, c’est le changement. Jusqu’à quel point ? Cela dépendra de ce que nous ferons.
Les sous-titres sont disponibles en cliquant sur “CC”, en anglais et en béta pour les autres langues.
Dans une vidéo, relatant l’entretien accordé à Movimiento Visual de José Luis Sampedro, écrivain espagnol et économiste de 94 ans, alterne avec les paroles de gens de la rue en parfaite harmonie, ce dernier connu le succès avec son roman Le sourire étrusque, voir le billet dans Le Monde Diplomatique. Comme lui, disons qu’il est possible de vivre selon d’autres alternatives.
« Il existe d’autres formes de développement : développement de la personnalité, de son être intérieur. Être chaque fois meilleur, humain, plus positif, et non pas conditionné par la productivité.
Bien sûr qu’il existe des alternatives. Ne vous inquiétez pas, quand le système aura coulé, et il coule – ce que nous vivons actuellement est la barbarie que provoque son effondrement – autre chose viendra. La vie ne s’arrête jamais. Ou les banquiers pensent-ils qu’ils sont immortels ? »
Ainsi dans ce manifeste le constat est édifiant, la soif de pouvoir et son accumulation entre les mains de quelques-uns créent inégalités, crispations et injustices, ce qui mène à la violence, que nous refusons. Le modèle économique en vigueur, obsolète et antinaturel, coince le système social dans une spirale, qui se consomme par elle-même, enrichissant une minorité -le reste tombant dans la pauvreté. Jusqu’au malaise.
La volonté et le but du système sont l’accumulation d’argent, tout en la plaçant au-dessus de l’efficience et le bien-être de la société ; gaspillant nos ressources, détruisant la planète, générant du chômage et des consommateurs malheureux.
Les dernières années ont vu des attaques de la part de ce triumvirat qu’est la coalition politico policière et financière, contre les peuples via la mise en place d’institution profondément anti démocratique commele FMi, la BCE des prédateurs comme les autres organismes censés être nos représentant mais qui au final votent des lois détruisant les médecines alternatives, imposant les ogms, prônant l’austérité et sabrant tous ce qui de loin où de près ressemblent à un progrès réel.
Comme le dit dans son ouvrage aux éditions de L’Herne, Jean Ziegler : « Il y a eu trois totalitarismes : le totalitarisme stalinien, nazi et maintenant c’est Tina (2).
La formule "There Is No Alternative" exprime l’objectif du Fmi, et d’autres pseudos organisations « indispensables », dont le but est de faire croire qu’il ne peut y avoir d’autres réalités, d’autre mode de vies plus équitable et où la prospérité n’est pas un vain mot pour l’ensemble de l’humanité.
D’ailleurs L’eG8 qui s’était déroulé à Paris, est une expression de ce désir des politiques et leurs maitres de mettre au pas le net. C’est ainsi que la Quadrature (organisation de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet) qualifie le eG8 : "est un écran de fumée derrière lequel se cache une inquiétante alliance de gouvernements cherchant à contrôler Internet et de quelques entreprises qui tirent profit des restrictions aux libertés en ligne ".
Le Web étant l’espace où les citoyens disent "There Are Alternatives" comme l'a montré ce début de printemps Arabe, la révolution 2.0 est une réalité en marche...
A Barecq. Qu’est ce que vous voulez commenter. Une des beaute et des faiblesse de la democratie est qu’elle laisse s’exprimer meme les ennemis de la liberté tant qu’ils ne passent pas aux actes, et même dans une certaine mesure quand ils le font. On reconnait sans mal l’inspiration de ce genre de texte http://www.aime-et-sers.com/les-25-poind-du-nsdap.pdf. C’est d’ailleurs en souvenir de cette période que la « rue » est interdite pendant les élections. Non content de tenir des discours fachisant, les indignes espagnols en ont aussi les pratiques. Nos démocraties sont assez solide pour se permettre un peu de begnign neglect vis a vis de ces totalitaires au petit pied qui font semblant de se prendre pour le peuple. Par ailleurs, il sont trop groupusculaires pour être vraiment inquiétant, et le peuple, par sa participation massive aux élections leur a déjà apporte la réponse cinglante et démocratique qu’ils méritent.