La Roumanie, pays sous occupation militaire ?
Les USA et la France en 1ère ligne …
Voici un point fait par Valentin Vasilescu, et qui pourrait offrir un regard différent sur le « coup d’état » de décembre dernier avec la suppression de la présidentielle car l’arrivée d’un souverainiste, d’un chrétien orthodoxe pratiquant, d’un patriote pourrait déranger cette occupation militaire de la Roumanie par des troupes étrangères !
J’ai rajouté une information que je pense importante et qui concerne la présence de l’armée française. En effet depuis le début de ce mois et jusqu’au 1er avril notre armée procèdera à des manœuvres dans le département de Vaslui, limitrophe avec la république de Moldavie. Photo de l’accord en fin de cet article !
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J’ai regardé avec dégoût les journalistes de A3 CNN essayer de faire porter à Călin Georgescu la responsabilité des propos tenus par Shawn Ryan, ancien agent spécial de la CIA, lors de son interview avec le candidat à la présidence de la Roumanie : « La Troisième Guerre mondiale pourrait commencer en Roumanie. La Russie pourrait être attaquée depuis la base militaire de Mihail Kogălniceanu. »
Ces « gurnalistes » sont trop ignorants pour comprendre l’essence du problème soulevé par Shawn Ryan, et le peuple roumain n’a aucune idée qu’il est constamment désinformé, y compris par les autorités elles-mêmes. Les États-Unis et l’OTAN ne peuvent pas attaquer la Russie depuis la base militaire de Mihail Kogălniceanu. Le plan d’extension de cette base montre qu’à ce stade, son rôle est de faciliter le déploiement et le cantonnement de plus de 50 000 militaires de l’OTAN sur le territoire roumain (carte 1).
Cependant, si l’OTAN venait à attaquer la Russie depuis la Roumanie à l’avenir et que les Roumains étaient envoyés combattre les Russes, sachez que la responsabilité incomberait à Klaus Iohannis. Ces sept dernières années, il s’est efforcé de ramener autant de militaires de l’OTAN que possible en Roumanie. Lors du sommet de l’OTAN à Bruxelles en 2018, le président Klaus Iohannis a proposé d’héberger en Roumanie une capacité multinationale des forces terrestres de l’OTAN, comme une force d’intervention rapide dans la région de la mer Noire, proposition approuvée par le Conseil de l’Atlantique Nord en juillet 2019. Le Commandement du Corps Multinational Sud-Est de l’OTAN (MNC-SE) a été créé le 23 juillet 2020, devenant le second sur le flanc est après celui de Pologne. Ce commandement, dont le quartier général est à Sibiu, est composé d’officiers issus de plusieurs pays de l’OTAN.
Une partie des 10 000 militaires américains qui arriveront à la base Mihail Kogălniceanu ont pour mission d’organiser et d’assurer le déploiement et la construction des infrastructures nécessaires au cantonnement du Corps d’Armée MNC-SE (50 000 à 70 000 militaires) en Roumanie, au moins pour les deux prochaines années. Les autorités roumaines n’ont aucun contrôle sur ce Corps d’Armée, car il est directement subordonné au Commandement des Forces Alliées Interarmées de l’OTAN à Naples. Pour étoffer cette structure de commandement, le Corps d’Armée MNC-SE commence à intégrer des troupes, notamment un bataillon renforcé français qui deviendra une brigade de première ligne (4 000 militaires) d’ici mars. Les plans signés par Klaus Iohannis prévoient le déploiement en Roumanie, d’ici 2026, d’une division française complète sous les ordres du MNC-SE.
L’unité de soutien logistique américaine à la base de Mihail Kogălniceanu s’occupera du transport et de la création des infrastructures pour les soldats français. En parallèle, des entrepôts et hangars sont construits pour stocker à l’avance l’équipement, les munitions et le carburant nécessaires à une division blindée américaine supplémentaire (20 000 militaires). C’est le véritable objectif de l’extension de cette base militaire, proposée par Klaus Iohannis : préparer le terrain pour un déploiement rapide des forces américaines.
Au sommet de l’OTAN au Pays de Galles en 2014, Traian Băsescu a proposé d’héberger sur le territoire roumain le Commandement Multinational de Division Sud-Est de l’OTAN. Cette division (MND-SE) a été créée en 2015 en restructurant la Division 1 d’Infanterie « Dacica », en transférant la brigade d’infanterie de Craiova à la MND-SE et en intégrant d’autres brigades des États membres de l’OTAN. Son quartier général est à Bucarest, dans l’ancien siège de la Division 1 d’Infanterie, et ses casernes servent désormais de dépôts pour l’équipement militaire et les munitions des brigades de l’OTAN. Les militaires nécessaires arrivent par voie aérienne depuis leurs pays d’origine. Cette division (MND-SE) est subordonnée au Corps d’Armée MNC-SE (schéma 2).
Klaus Iohannis s’est également engagé auprès de l’OTAN à mettre une autre division d’infanterie roumaine sous le commandement du MNC-SE. Avec ses quatre divisions, auxquelles s’ajouteront des unités de défense aérienne, de soutien aérien, de guerre cybernétique et électronique, le Corps d’Armée MNC-SE sera pleinement opérationnel d’ici 2027 et pourra être déployé en Moldavie, en Ukraine, en Russie, en Iran ou même en Corée du Nord.
En réalité, avant même l’adhésion de la Roumanie à l’OTAN, sous prétexte d’une mise en conformité avec l’alliance, les partis politiques euro-atlantiques ont ordonné la dissolution de 80 % des unités militaires roumaines (y compris les bases aériennes de Deveselu et Mihail Kogălniceanu) et l’éviction de leurs cadres les plus qualifiés. Aujourd’hui, ces anciennes casernes hébergent exclusivement des unités militaires étrangères (le bouclier antimissile américain à Deveselu, la base militaire américaine de Mihail Kogălniceanu, etc.). N’aurait-il pas été plus simple de moderniser notre propre armée ? Mais non, car ces officiers, sous-officiers et spécialistes étaient trop patriotes. L’armée roumaine a été réduite à des mercenaires mal préparés et mal équipés. Bravo aux leaders des partis politiques euro-atlantiques ! Continuez à voter pour eux, ils le méritent.
Voici le texte original :
Am urmărit cu greață cum fătucile de la A3 CNN încearcau să-i pună în responsabilitatea lui Călin Georgescu ceea ce Shawn Ryan, fost agent special CIA, a spus în interviul cu candidatul la președinția României : ”Al Treilea Război Mondial poate să înceapă din România. Rusia urmează să fie atacată de la baza militară de la Mihail Kogălniceanu ”.
Gurnaliste sunt prea proaste ca să înțeleagă esența problemei ridicate de Shawn Ryan iar poporul român habar n-are că este permanent dezinformat chiar de către autorități. SUA și NATO nu pot ataca Rusia de la baza militară de la Mihail Kogălniceanu, iar Planul de extindere al acesteia arată că pentru moment, rolul bazei de la MK este acela de facilita dislocarea și încartiruirea pe teritoriul României a peste 50.000 de militari NATO ( harta 1 ).
Dar dacă NATO va ataca în viitor Rusia de pe teritoriul României și românii vor fi trimiși să lupte cu rușii, trebuie să știți că responsabilitatea îi revine lui Klaus Iohannis, care s-a străduit din răsputeri în ultimii 7 ani să aducă căt mai mulți militari NATO în România. La Summitul NATO de la Bruxelles din 2018, președintele Klaus Iohannis s-a oferit să găzduiască în România o capabilitate multinațională a forțelor terestre NATO, ca Forță de intervenție rapidă în regiunea mării Negre și propunerea lui a fost aprobată de Consiliul Nord Atlantic în luna iulie 2019. Comandamentul Corpului Multinațional de Sud-Est al NATO ( MNC-SE ) a fost înființat la 23 iulie 2020, al doilea pe Flancul Estic, după cel din Polonia. Structura de comandă avînd cartierul general la Sibiu, a fost încadrată cu ofițeri din mai multe state NATO.
O parte din cei 10.000 de militari americani care vor veni la baza militară de la Mihail Kogălniceanu au rolul de a organiza și asigura dislocarea, construirea de facilități pentru încartiruirea Corpului de Armată MNC-SE (50-70.000 de militari) pe teritoriul României. Cel puțin, în următorii 2 ani. Asupra Corpului de Armată MNC-SE autoritățile din România nu au niciun control pentru că el este subordonat direct Comandamentului Forțelor Aliate Întrunite al NATO, de la Napoli. Pentru ca structura de comandă să nu rămînă cheală, Corpul de Armată MNC-SE a început să subordoeze și trupe. Mai întîi un batalion întărit francez care pînă în martie va deveni brigadă de primă linie ( 4.000 de militari ). Planurile semnate de Klaus Iohannis prevăd ca o întreagă divizie franceză să fie dislocată în România, pînă în 2026 pentru a intra în subordinea Corpului de Armată MNC-SE.
Unitatea de suport logistic americană de la baza Mihail Kogălniceanu se va ocupa transportul și crearea spațiilor de cazare pentru militarii francezi. La baza militară de la Mihail Kogălniceanu se construiesc remize și depozite pentru stocarea din timp a tehnicii de luptă, munițiilor și carburantului pentru încă o divizie blindată americană ( 20.000 militari ). Aceasta fiind adevăratul scop al extinderii bazei militare, propus de Klaus Iohannis. Atunci când primesc ordin, militarii americani se îmbracă pe avioanele de transport, aterizează la MK și-și iau în primire tehnica de luptă.
La Summitul NATO din Țara Galilor din 2014, Traian Băsescu s-a oferit ca pe teritoriul României să fie găzduit Comandamentul Multinațional de Divizie Sud-Est al NATO. Divizia Sud-Est ( MND-SE ) a fost creată în 2015 prin desființarea Diviziei 1 Infanterie ”Dacica”, transferatea brigăzii de infanterie de la Craiova către MND-SE și integrarea altor brigăzi ale statelor membre NATO. Sediul comandamentului se află în București în fostul sediu al Diviziei 1 Infanterie. Iar cazarmele Diviziei 1 sunt folosite ca depozite pentru tehnica de luptă și muniția brigăzilor din țările NATO din compunerea Diviziei Sud-Est al NATO. Militarii care o deservesc, urmînd să sosească din țările lor, pe calea aerului. Divizia Sud-Est ( MND-SE ) este subordonată Corpului de Armată MNC-SE ( schema 2 ).
La rîndul său, Klaus Iohannis s-a angajat în fața NATO, ca România să mai treacă în subordinea Corpului de Armată MNC-SE, încă o divizie de infanterie a armatei române. Cu cele 4 divizii, la care se vor alătura alte unități de apărare AA, sprijin aerian, cibernetic și război electronic, Corpul de Armată MNC-SE devine gata de luptă și poate fi dislocat în R.Moldova, Ucraina, Rusia sau Iran, Coreea de Nord ( de ce nu ? ). Totul pînă la finalul lui 2027.
Practic, chiar înainte de intrarea României în NATO, sub pretextul compatibilizării cu alianța, partidele politice euro-atlantiste au ordonat armatei române să-și desființeze 80 % din unitățile militare ( de exemplu bazele aeriene de la Deveselu și Mihail Kogălniceanu ) și să renunțe la cele mai profesioniste cadre. Pentru ca acum, să vedem că fostele cazărmi ale armatei române găzduiesc exclusiv unități militare străine ( scutul antibalistic american de la Deveselu, baza militară americană de la Mihail Kogălniceanu, etc ). Nu era mai simplu ca armata noastră să fi fost dotată cu tehnică de luptă modernă ? Nu pentru că acei ofițeri, subofițeri și maiștrii militari erau prea pătrunși de patriotism, iar armata română trebuia să fie constituită doar din mercenari slab pregătiți și înarmați. Mari patrioți liderii partidelor politice euro-atlantiste ! Continuați să-i votați că merită
Source du texte de « VV », en accès libre : https://www.facebook.com/vasilescuv1 15 janvier 2025
Les photos jointes représentent :
-le plan de la base de Kogalcineanu et les effectifs militaires (source "VV")
-l'accord de présence de l'armée française
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