Ce
livre s’adresse à tous.
Aux
salariés pour qu’enfin ils puissent faire ce dont ils ont vraiment envie, sans
ne plus avoir cette sensation qu’ils ne peuvent faire autrement (il n’y a qu’a
regarder les têtes de ces millions de personne dans le métro et le RER.)
Faire,
Être. s’enrichir auprès des autres, d’autres cultures. Il ne s’agit pas de posséder
plus, d’accumuler énormément, juste d’avoir ce dont a besoin pour vivre ce dont
à envie, sans se limiter.
L’objectif
est de pouvoir enfin être en accord avec soi-même, son être.
Il
s’agit d’être efficace et performant dans ce qu’on entreprend sans se prendre
la tête.
Contrairement
à ce que vous pensez, les kilos ne reviennent pas. Car c’est un autre style de
vie, à contre courant de ce qu’on essaye de nous faire penser. A contre courant
de l’esclavagisme moderne. Et ça c’est difficile de l’accepter au début.
Pour
les autres (rentiers, patrons, actionnaires, etc. mais pourquoi les mettre dans
le même panier ?) : cela amène plus de réflexion sur comment mener à bien son
entreprise.
Aux
patrons : de se dire que le management par l’absence n’est pas si terrible car
il donne une liberté et surtout une réelle créativité à ses employées. La
productivité sera encore plus efficace et performant qu’auparavant. Il est
temps d’arrêter de penser que parce qu’on brasse du vent de 9H à 18/19H
que c’est utile et productif.
Comme
le dit si bien Tim : "Avez vous déjà mangé le même plat tous les jours à
chaque repas pendant plusieurs semaines ? Moi, je n’en suis pas capable".
Pour le travail c’est pareil... et moi aussi, j’aime varier mes repas.
De
plus, cela s’adresse à Jacques Roux ;), il est question aussi de notre consommation
avec cette remarque :"Lorsque nous mangeons un plat, nous ne prenons pas
le temps de le déguster, pour être à l’écoute de notre corps et entendre le
signal de satiété. Si on a assez mangé, même si il reste de la nourriture, on
pose la fourchette, et on arrête."
Car
en effet je vous rejoins sur ce point, c’est la surconsommation que notre
société a. Nous surconsommons, même nos heures de travail.
Les
patrons y retrouveront leur compte en partageant le fruit du travail de tout le
monde...
Pour
les actionnaires, il s’agit justement d’utiliser à point nommé les ressources
obtenues par le travail des autres. Ne pas surconsommer et redistribuer
ces valeurs pour promouvoir la créativité et l’aspiration par le haut de
l’entreprise. Ils y seront gagnants.car les capitaux qu’ils ont mis à
disposition pour financer l’entreprise (car un actionnaire c’est avant tout ça)
fructifieront à juste titre.
Dans
tout cela, c’est une remise en question de soi. Que veut-on Faire et Être réellement
? Si on ne s’est jamais poser la question avec sincérité, où que l’on a oublié de
se la poser depuis longtemps, cette lecture est un excellent support.
Lorsque
vous faites un de ses premiers exercices, vous vous rendrez compte que vous passez
à côté de votre essentiel. Que vous pensez par les autres et non pour vous-même.
Ceci est vraiment dans la lignée des remises en
question actuelle de notre société. Tous, nous savons qu’il n’est plus possible
de vivre comme nous le faisons actuellement.
Alors il est temps de s’arrêter. De se poser. Et de se poser
ces questions essentielles. Pour qu’on puisse se redéfinir et redéfinir
ensemble la société que l’on souhaite.
Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Nous avons
beaucoup de chose à redéfinir pour que notre société soit plus juste,
fraternelle, solidaire, égalitaire.