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Accueil du site > Tribune Libre > La Terre, notre unique tunique, solidarité...

La Terre, notre unique tunique, solidarité...

Quelques notes sur ce sas aux visions, désespoir et aussi grand espoir, n'oublions jamais que nous ne sommes que des gardiens des autres espèces, rien de plus, rien de moins...

« Vivat le peuple des fleurs ! » les simple gens, ou son gaz de schiste qui dévaste et ruine nos terrier, pour un lapin, un renard, un canard où se poser. L’autre hémisphère, le cerveau « Adulte » lui est dans l'Exhibition ! Prohibition, scandale, tous vous avez peur de rester des petits, des minables, peur du sexe, du tabou, et le fléau de l’ignorance reste de donner de l’arrogance aux manipulateurs, faibles joueurs d’échec, la parité fait que ceux qui naquirent, tuyau mâle, ou femelle, s’ils manipulent les simple gens, laissent la faim crever le berceau des terres sans eau, sans Culture pour ce simple désir égoïste qui scie la le monde en deux hémisphère Nord, Sud, violoniste de talent de la partition orale de la dette, de la crise économique, défendeurs de cette instinct de puissance, jettent les clefs du savoir, tant et tant leur temps est de savoir, ego miroir, boule à facette, ils partagent ce « vouloir » cette volonté de dominer de la tête et des épaules le sujet apprit pas sur un banc de bus du buisson qui court, court, et prend des bûches sans Noël, par ceux qui ne négligent ni l’école, ni le diplôme de vanité céleste, un échange concret contre des bouts de papier qui font rêver au sortir de la carte bleu et s’émerveille même en âge vermeille afin d’être dans leurs têtes, pas un Hêtre, la conscience l'arbre à choix, oui, non, peut-être mais ce sentiment sans voix, d’être un géant afin d’entrer dans un livre d’Histoire, notre mémoire collective. Un monarque ou président, conscience spirituelle partagent la jouissance du pouvoir de voir quoi au juste, un cap sans compas ? Un marin ivre de liberté seraient vigilant à la veille de l’écran des crocs des loups abandonné au marché aux puces. Une foi sans raison cartésienne, n’ayez pas peur de ce cris que j’écris j’aime les faucons, la buse m’amuse, mais les super-héros médiatique fantastiques qui ornent le tube cathodique, rêve de passer leur sujet au stade animalier de la colonie de fourmi, je les déposent tous dans le même sac à main, ce sas aux visions nocturne, marabouts, monothéiste, uni-déiste font la sieste quand les abeilles se meurent, ou navires de Flandre, de bourbon, sauvent des recalé de la terre de la noyade, Saint-Bernard des mers. La cécité commune en outre de nous rendre aveugle, offre le pouvoir des urnes aux grandes gueules, ses clébards qui eux, festoient aux frais de la princesse, pendant que la majorité pauvre de la magnifique horloge cherche le soleil, d’autres esclaves du système « libérale » celui « capital » de la monnaie de la pièce, de théâtre, se tuent pour être conquistador, métropolitain la politesse de nos père oublier, un souvenir vague peu dodo sauvage, en ce ҲҲΙ siècle après la résurrection du fils divin que je devine ivre sur sa croix, sorcier brûlé ou magicien qui ne fait plus illusion, bouleau, arbre millénaire Une pyramide pas de pierre et de sable, mais une construction pensée et calculée pour conserver le royaume des songes et ses serfs, au détriment même de la vie, de celle qui nous porte, nous transporte et tournoie dans l’univers, la Terre ! L'unique tunique qui masque nos maux poussière, le paradis, l'Eden, celui de l'oiseau lune d'Aristote...

¶*¶ 

Heureusement, le temps d’une grande marée, des gens pouvaient s’abandonner aux douces joies de pêcher, de se promener, botte et cirés sur le dos de l’estran. La mer retirée, est toujours curieuse à saisir. Aujourd’hui, quand la mer nous délaisse, qu’elle s’éloigne laissant encore le corps de la plage vide qui ouvre ses veines, ses ruisseaux, ses cours d’eau, le sable, et sous ses rochers des tonnes de trésors restent à découvrir. Crevettes, Ormeaux, Crabes et Coquillages aux forment diverses et couleurs confuses, cause sel/défense…

Un peu de jeu, beaucoup de joie, juste présent, sans passé composé. Le ménage, et les petits soucis d’argent oubliés, sur la grève, plus de mondialisation et ses effets, pas d’automobile, ni d’avion, juste le temps qui passe en une marée, cadeau de la lune, du soleil, et de miss Terre. Un bord de mer bien simple à négocier, pour ne plus penser à l’amer sauvage de ses jours de sang, du carnage sur grand écran.

Aujourd’hui, l’Homme ne cherche plus l’étoile filante, mais à se servir de l’espace, comme jadis il colonisa des peuples, pour en faire des esclaves, alors sa nouvelle casquette est la quête de ses sœurs aux artères d’eau, de gaz, d’ oxygène. Le lourd tribu des noirs de peau, un passé qui s’enchaîne et leur laisse de la haine au fond du cœur. Une des raisons de l’Histoire, « un bien triste sort », dont il est temps de sortir, puisque les corbeaux ont cette couleur, et ne sont pas une menace. Oiseaux de mauvaise augure paraît-il ?

Mais pour qui ?

L’on parle toujours de la planète mère, ce Paradis qui s’épuise à vaincre une de ses plus belles créations. La nature est reine, et l’Homme peine à trouver des solutions, pour le SIDA, Ebola, les retraites, et la surpopulation de lieux trop riche à nos yeux.

Les chercheurs, ont tout cherché. Dans leur coin, ils ont tout trouvé. Sur certaines chaînes de télévision, des documentaires vous expliquent tout du caractère de bête jamais vu, comme les hyènes et l’éléphant, et les extra-luciole de l'abysse Océan. Dès la sortie du berceau, l’on devient trop « intelligent » l’on connaît tout sur tout, reste plus qu’à voir, à voyager, mais pas à la vitesse d’un train TGV. Ulysse et ses compagnons n’étaient plus que des histoires d’enfants… Et le Chevalier Solitaire planait.

¶*¶

La science unanime sur l’infini sans faim savait maintenant que le rêve de conquête d’étoiles était vain, trop de distance et si peu de temps. Le fou presqu'Ēpervier que je suis habitait cet endroit, ce couloir de poussières, y promenant, nonchalant, sa conscience dans les bois, les plaines, les vallées, et parfois joyeux valais , avançant le regard fier vers cette montagne de questions et puis redevenait petit, juste un peu et totalement perdu dans l’Océan de ses pensées. Depuis que la civilisation perpétuer par la naissance de règles, des lois ampoules fixées au plafond, son araignée personnelle oubliant qu’un simple décret devient foi et habitude, une complexité qui s’amoncelaient tel des noisettes d’écureuil gloutons en une indigestion de paperasse qui demandait d’élever des colonies d’experts en Economie, en droit, pour comprendre ses propres règles et un éviter la puissance des mains sales, ceux qui dominent, très généreux et donne la nausée administrative à rendre un ministre faux bique. Ne pas perdre le devoir de devenir « Responsable » comme le divin conserver le goût du jeu, converser, et espoir de paumer le « je » une fois de plus détruit par l’Ego ! Stopà la sur-dimension, cessez de marcher, et agenouillez-vous, là laissez vous surprendre à écouter la mouette réputée rieuse, et dans son temps libre, chanteuse et pie style Arsène lupin. Oh qu’il est lointain ce temps qui divise, celui sans devise, où Cro-Magnon fut chasseur/cueilleur avant tel une libellule se poser pour se reposer et composer l'Art moderne ! D’ailleurs les chefs inventant un vent souvent de menaces, demandaient au savant de faire exploser le champignon atomique, amanite phallocrate quitte a y sombrer et faire couler le plateau qui nous porte, le sol, sans la clef ! Une telle musique funèbre faisant surface procure une sincère frayeur en profondeur… Ne sommes nous pas tous sur le même bateau, un tout nu, plein de plastique à la dérive salutaire ? Allo ! La lune à l’abandon, juste un drapeau, ce que nous portons en guise d’identité au plus profond de notre personne, un drap d’estime de soi, une peau, et cette question dans l’aventure de la vie, devint une peur, cette création purement diabolique et symbolique une simple question de sabotage de ce que dans une vie, nantis, pauvres, rouge, vert, jaune, avec ou sans handicap, même sous scaphandre, sauf sous l’eau de la torture, nous les êtres vivants répertoriés dans cette cuvette, bleu, partageons ce simple fait, cette coutume, jolie costume de Respirer ! Ne soyons pas de soie mais parfaitement imparfait, conservons l'opposé de Panurge, ni brebis galeuse, ni mouton rasé, acceptons nous et nos différences, c'est rigolo, et si le soir devient étrange pensez vos plaies Nature et l'objectif commun de la météorite mérite d'être salué sauf que notre race l'Humanité individualiste, et Nationaliste au coeur de l'information un camembert de lumière circule en chapeau égoïste, pas un lac des cygnes, à l'horizon, dansons, avec raison et l'écran de la mémoire doit être un coup de ballet dans mon appartement et aussi sur Terre, inventez vos souhaits ne les consumez pas !


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6 réactions à cet article    


  • Le p’tit Charles 19 janvier 2015 13:20
    La Terre, notre unique tunique, solidarité... ?...La terre n’est qu’un immense cimetière..rien d’autre... !

    • jeffjoubert jeffjoubert 19 janvier 2015 13:27

      ah bon vous êtes un mort/vivant, bienvenue, le premier que je rencontre, moi je suis celui aux paupières closes et j’espère que de nos maux, des arbustes aux fleurs éclosent !



      • jeffjoubert jeffjoubert 20 janvier 2015 09:56

        Bravo combien d’années pour le déduire


        • La Plume de Maat 21 janvier 2015 01:43

          Ton texte poético-tcharbé résonne pour moi en arcanes chamaniques dans le silence bienvenu retrouvé de la nuit. Mais évidemment, putain, lecteurs et commenteurs, on n’a que la Terre ( et l’Amour ? le Rire ? La Curiosité de l’Enfant sans jugement, c’est-à dire tout le formatage qu’on appelle « éducation » )... Si chacun avait la chance de faire un pti tour de l’espace et voir d’en haut cette Terre, qui supporte nos maux, nos guerres, nos peines de coeur, nos amours, nos bombes atomiques, nos racismes et nos intégrismes, pour ce qu’elle est, aussi fragile qu’un grain de poussière qui virevolte dans le noir intersidéral, juste éclairé par le rai de lumière d’une porte entrebaîllée, on se rendrait compte de combien on est futile, égoïste, laid la majorité du temps, mais ô combien aussi divin et beau quand on commence à regarder vraiment l’Autre, les étoiles et les busards et s’interroger, émerveillé, sur ce que nous faisons tous ici...


          • jeffjoubert jeffjoubert 21 janvier 2015 04:06

            merci, le message passe poético-tcharbé est une belle expression pour un fou A.O.P qui demande qu’à respirer, et allumer son regard d’enfant découvrir 

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