La théorie du K.O
1°) La mécanique du K.O
Ils ont privilégié l’ascension d’énergumènes wokistes et racialistes dans les sphères décisionnelles pour qu’ils imposent par leurs idées intégristes, le temps des tribus et la tyrannie des minorités afin de semer le chaos républicain, la division communautaire et la discorde sociale. Les résultats sont catastrophiques ; effondrement du savoir, déculturation des peuples, négation de l’histoire, falsification des faits, abêtissement quasi général. Du haut de l’état jusqu’à la parole publique, médiatique, ils ont gangréné tous les rouages républicains et démocratiques afin de détruire le concept même de nation, de culture, de nature. Guidés par leurs désirs, atteints d’une irréversible cécité mentale, ils habillent leur ignorance et drapent leurs folies sous le manteau vertueux de la tolérance. Résultat sous nos yeux, une majorité continue à croire en leurs délires. À force de repentance, d’autoflagellation, d’aveuglement face aux agressions et aux invasions baptisées pudiquement émigrations, la France finira par être la colonie de ses anciennes colonies. Islamo-gauchiste un mariage contre nature, à terme il ne restera que l’Islam, car du libertaire et de l’intolérance religieuse c’est cette dernière qui triomphera. Pendant ce temps, des valises remplies par les lobbys marchands circulent dans les couloirs du parlement européen, changent de mains, créent et scellent les lois qui feront des peuples des apatrides à leur nation. La France orange mécanique est à l’œuvre et en pleine expansion sauf les idiots en doute. Sentiment d’insécurité d’après un ministre de la Justice qu’il bafoue, il faudrait demander à la famille des victimes ce qu’ils en pensent de ce sentiment. Délitement de l’école, la justice, la santé, la sécurité ; solde et vente à la découpe des industries, des trésors nationaux. Tout cela appuyé et relayé par une puissance médiatique sans commune mesure. Quant à leur pseudo-impartialité ou neutralité, elle a la même odeur que l’impartialité ou neutralité suisse qui acceptait les lingots du 3em Reich, même quand il restait une molaire dedans. Ils sont complices par lâcheté, intérêt ou conviction de ce système de domination par la falsification des faits et la manipulation des esprits. Journalistes formatés qui avec leurs cartes de prêche rampent devant leurs maîtres et remuent la queue devant leurs gamelles. La vérité n’enrichit personne et c’est toujours à travers le mensonge que l’on peut honorer ses multiples crédits.
2°) Le maître d’œuvre
Soyons clairs sur le constat, le système capitaliste, c’est-à-dire du profit et de l’enrichissement individuel sans limites a pourri notre écosystème et continue allégrement de le pourrir et, on voudrait nous faire croire que c’est ce même système qui va régler le problème. Depuis quand la cause serait le remède à ses néfastes effets ? Nous sommes passés du don pour le prestige au prêt pour l’intérêt. De De Gaulle héros de la résistance nous sommes passés à Pompidou ancien directeur de la banque Rothschild, et ainsi le sort en fut scellé. Depuis le pays n’est plus gouverné pour servir la nation, mais géré pour se servir de la nation. Politiquement parlant, gauche et droite ont trahi le peuple et ont fait allégeance aux officines bancaires, du moins à leurs propriétaires. Démocratie fantoche, car si le pouvoir actuel se réclamant du peuple, celui-ci ne fait que subir ce qu’on lui impose. Finalement, cette république qu’elle soit libérale ou socialiste, sa vision et son horizon se limite au marché. Imposant un régime libéral sécuritaire faisant semblant de résoudre les problèmes qu’il a lui-même créés et qu’il continue d’aggraver. Les banques sont devenues progressivement propriétaires de tout, sans jamais rien produire et avec pour mise de fonds une monnaie virtuelle, une écriture sur un clavier d’ordinateur. Prédatrices, elles prennent, endettent et confisquent, mais n’assurent ni production, ni savoir, ni sécurité. Gouvernance soi-disant moderne où la banque gère des masses de millions de salariés consommateurs en échange d’un droit de vote bidon d’une alternance gauche droite parfaitement illusoire où une assemblée de professionnels de la politique tenue en respect par l’argent joue devant le peuple une farce démocratique. À savoir, la force du système capitaliste repose dans son absence de conviction morale. Quelle que soit la politique, l’idéologie, la philosophie, la religion, il s’adapte, il est interchangeable, car sa seule conviction c’est le profit. Il subventionne les associations pour mieux contrôler les besoins ; sur l’échiquier du monde, il vend des armes aux blancs comme aux noirs, se fout du roi comme de la reine, car avec son outil monétaire il est Dieu sur terre. Il est maître de tout ! Son horizon, la destruction des nations et du suffrage universel, au profit d’un gouvernement mondial contrôlé par une assemblée d’experts non élus. La messe est dite.
3°) L’illusion de solutions
Y a-t-il des solutions ? Certains croient en une alternative communiste. Mais de quel communisme parlent-ils ? Celui de la terreur prolétarienne menée par des psychopathes égocentriques le plus souvent grabataires ? Cela n’a jamais été le communisme, mais plutôt une dictature monarchique et sanguinaire imposée par des malades mentaux couverts de médailles et décorés comme des sapins de Noël. Le véritable communiste humanitaire du partage suivant ses mérites, de l’égalitarisme et de l’équité est une chimère qui n’est pas dans la nature profonde de l’homme, premier prédateur de la création. Il veut posséder et dominer. D’autres se tournent vers un Dieu, mais quel Dieu ? Celui qui est infiniment bon, mais assez sadique pour créer un enfer ? Celui qui offre mille vierges à ceux qui assassinent en son nom ? Celui qui réclame dévotion sans raison ? Celui qui envoie son fils à la mort pour servir son orgueil ou celui qui élit et choisit soi-disant un peuple au détriment des autres ? Qu’ils me disent ce qu’ils entendent par Dieu et je leur dirai si j’y crois…
Conclusion, face à ce terrible constat, le cauchemar de notre effroyable responsabilité devant notre abyssale inefficacité nous confine souvent à la neutralité d’une confortable lâcheté. Les nostalgiques parleront de la fin d’une époque, les pessimistes vous parleront de la fin d’un monde, les réalistes de la perte de l’humanité.
Hemingway a écrit un jour : « Le monde est un endroit merveilleux et il faut tout faire pour le sauver… » Je suis d’accord avec la deuxième partie de la citation bien que je reste persuadé que s’il existe une solution, celle-ci ne sera pas humaine.
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