Le CAC accolé à l’arrêt des FESF
Depuis 10 jours maintenant, c'est la diarrhée financière. Les bourses descendent, et les marchés sont acculés. Une histoire de FESF ? Pas seulement, une histoire d'Ecu aussi (enfin d'Euro, je me comprends) ! Le doll
Faut-il botter l'Ecu... pardon, l'Euro
Lagarde, alors ministre de l'économie nous l'avait dit : "La crise est derrière nous". Super, on doit donc pouvoir s'asseoir dessus.
Bon, en fait ça serait plutôt presque fini parce vu la tronche des bourses des derniers jours... Ok. Ni une ni deux, l'Etat décide de remettre la main aux FESF histoire de faire remonter les cours. Et du coup c'est François Baroin, le nouveau ministre de l'économie, qui nous le dit, l'accord du 21 juillet est "historique". Hélas, comme on va le voir chez les grecs, les gesticulations étaient précoces. Moody's et comparses tirent la note vers le bas, et les grecs sont acculés.
Après avoir joui durant des années grâce à l'Ecu (rhaaa, zut, décidément : l'Euro !), de bourses bien remplies, nous risquons à présent d'avaler la grenouille. Il faudrait dévaluer... mais avec l'Ecu (ou l'Euro, je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu) ça ne va pas être possible je suppose...
L'infellation... pardon, l'inflation nous guette
Supposons que nous ayons botté l'Ecu (enfin le truc là) en touche pour revenir au franc Franc français histoire de dévaluer : il est clair que l'inflation serait juteuse et que nous risquerions l'éjection de l'Europe. Alors oui, le chemin serait long (et surement boueux) mais qu'il serait bon, d'être à nouveau libre de nos mouvements !
La main au panier... ou au porte-monnaie
A force de renflouer le fion... euh, le fond européen, même les états qui jouissaient d'une forte croissance vont finir par être dans la m... Car on ne peut pas se faire mettre... euh, se permettre de nous ruiner en payant nos relations avec les autres état européens. Bref, la mariée était belle, mais elle avait manifestement la tuyauterie pas très propre, et du coup, c'est toute l'économie mondiale qui a choppé la chtouille (de là à dire que tout le monde lui était passé dessus...).
Le dollar : dans le culte
Le culte du dollar a pris un bon coup dans l'aile lui aussi. A trop vouloir faire monter la sauce, elle a tourné : et paf les bourses ! Et oui le libéralisme ne peut fonctionner que si tout le monde joue le jeu. Et encore... Enfin, bref : c'est le bordel, et de là à y voir la main occulte d'une oligarchie financière cherchant à s'enrichir (encore plus) dans ce chaos, il n'y a qu'un pas. En attendant, c'est nous qui sommes dans le jus, et nous ne pourrons en sortir qu'à la force du poignet !
13 réactions à cet article
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Le problème c’est pas le film de l’Écu, mais la branlette financière.
Les bourses sont vide ?
La belle affaire, elle sont stérile !
Souvenez vous la dernière crise une seule banque n’a eut aucun problème : une banque islamique.
Bah oui, les loi islamique, quoi qu’on en pense, refusent de jouer sur la distanciation entre le réel et le virtuel, de se faire mousser artificiellement et inutilement, et ça marche.
L’excitation hors re-production est considéré comme futile, et quant elle retombe, bah rien ne se passe, puisque eux ne confondent pas branlette et reproduction.-
Finalement, le noeud de l’affaire, c’est cette manie des investisseurs de tirer à blanc, au risque de vider les bourses.
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Excellent harfang !
on est en plein marasme pornographique !
Voilà pourquoi sans doute, DSK nous manque tant !! (Du moins à certains !!)rire de leurs fantaisies, c’est déjà bien !!
merci !-
Personnellement, il ne me manque pas à moi...
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slipenL’air 6 août 2011 13:20hibou (à 37.5°)
Le big problème dans tout les coups fourrés ce sont
toujours les mêmes qui trinquent le plus : les pauvres
les femmes les vieux et les cumulards
femmes handicapé seule pauvres et veille.et la nouvelle génération de gardien de parking
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J’ai parfois tendance à bouillir aussi face à un excès de bêtise humaine...
Mais je vais pondérer : les riches aussi trinquent. Au champagne. -
Selon l’Italie, la BCE achètera des obligations italiennes lundi.La situation de l’Italie dans la crise de la dette dervrait trouver une accalmie lundi. La Banque centrale européenne (BCE) est d’accord pour commencer à acheter des obligations d’Etat italiennes à partir de ce jour. Elle le fera en échange de l’engagement du gouvernement italien à accélérer la réduction des déficits, a annoncé un ministre italien.« Tout le monde craint que nos obligations ne deviennent des bouts de papier sans valeur mais avec le retour à l’équilibre budgétaire un an plus tôt (que prévu), la BCE a garanti qu’à partir de lundi elle achèterait nos obligations », a déclaré aux journalistes le ministre des réformes institutionnelles Umberto Bossi.Interrogée dans la nuit, l’institution monétaire de Francfort a refusé de confirmer cette déclaration.« La BCE refuse de commenter », a indiqué une porte-parole.Le plus fort, c’est Jean-Claude « Canadair » Trichet ?Ou alors c’est Ben « Helicopter » Bernanke ?On va voir qui est le plus fort.-
BCE... c’est pour : Brigade des Clowns Européens ou pour Bande de Canailles Enrichies ?
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La bourse « temple du système capitaliste » permet en toute légalité la spéculation et la vente de promesses à court terme. Maintenant les entreprises ne vont plus en bourse pour lever des fonds, mais pour se faire dévaliser. En fermant la bourse, nous mettrions les spéculateurs à la porte ! Lire :
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Couper les bourses ? Vous n’y songez pas voyons !
Bon, en fait cette stérilisation du libéralisme ne serait sans doute pas une mauvaise chose, mais qui parmi nos beaux chefs d’état osera lancer cette castration financière ? -
Un autre Georges : http://youtu.be/n7OV-0REgzc
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Berlin pense que l’économie italienne est trop grosse pour être sauvée par le Fonds européen de stabilité financière.Le gouvernement allemand craint que l’économie italienne soit trop grosse pour être sauvée par le Fonds européen de stabilité financière, selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel daté du dimanche 7 août.Selon cet article, dont les détails ont été diffusés avant la publication, le gouvernement allemand doute de plus en plus que les 440 milliards d’euros (625 milliards de dollars) du Fonds européen de stabilité financière (FESF) soient capables de financer un plan de sauvetage de l’Italie.L’hebdomadaire Der Spiegel affirme que le gouvernement allemand insiste sur le fait que l’Italie doit résoudre ses problèmes d’endettement elle-même, et que le FESF est destiné uniquement à sauver les petits pays au sein de la zone euro.Ces dernières semaines, sur les marchés boursiers et obligataires, l’Italie a été violemment attaquée par les investisseurs internationaux inquiets de sa dette publique élevée, de sa croissance anémique, ainsi que des signes de tensions au sein de la coalition de centre-droite du Premier ministre Silvio Berlusconi.Contacté par l’AFP, un porte-parole du ministère allemand des Finances a répété une déclaration de jeudi 4 août, selon laquelle « la réouverture du débat sur la taille du FESF ne semble pas une solution appropriée pour calmer les marchés. »Cette déclaration a été rendue publique après que le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a appelé à une réévaluation du FESF.La FESF a déjà été utilisé pour renflouer l’Irlande et le Portugal, et il sera de nouveau utilisé dans le second plan de sauvetage grec que l’Union Européenne tente de finaliser après l’accord du sommet d’urgence le 21 juillet.En Janvier 2013, un nouveau Mécanisme Européen de Stabilité, doté de 750 milliards d’euros, prendra le relais du FESF.(Dépêche AFP)-
Mouaih....
MES FESF : mon cul oui !
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