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Accueil du site > Tribune Libre > Le coup (très) tordu de l’opération Merlin aurait dû rester (...)

Le coup (très) tordu de l’opération Merlin aurait dû rester secret...

... résultat c'est un pigeon qu'on envoie en prison, et pas les véritables coupables ! C'est le résumé d'une très obscure histoire d'espionnage que le magazine The Nation a offert récemment à ses lecteurs ; montrant à quel point travailler pour la CIA peut devenir infernal. (*) L'hydre dévore tout ce qu'elle touche, on le sait, et prend un main plaisir à rejeter ses fautes sur des comparses. C'est ce qui est arrivé avant hier à Jeffrey Sterling, officier de la CIA condamné à 42 mois de prison (3 ans et demi) pour... "révélation non autorisée d'information de défense nationale"... à la presse. S'y est mêlé, pour ne rien améliorer, une notion de racisme, bref un cocktail explosif révélant les méthodes infectes de l'agence, et la duplicité des dirigeants de l'époque, à savoir Condoleezza Rice, surtout. Retour sur ce surprenant secret d'Etat... divulgué. Au même moment, le général Petraeus était condamné à du sursis, alors qu'il avait divulgué des choses bien plus importantes à sa maîtresse : deux poids et deux mesures, selon qu'on dirige La Firme ou que l'on est qu'un simple employé, ont dit certains avocats... à juste raison....

L'affaire commence sous la présidence de Bill Clinton, inquiet de l'évolution de l'Iran, en particulier dans le domaine du nucléaire (déjà ?). Pour comprendre cela, il faut retourner en arrière de quelques années. Le Shah d'Iran, dans sa fièvre à vouloir accélérer son pays et le faire passer du Moyen-Age (ou presque) au XXe siècle (sans paliers de décompression !) avait orienté la recherche vers le nucléaire, alors présenté comme l'avenir de tout pays évolué. Les Etats-Unis y avaient participé avec le programme issu d'Eisenhower, connu comme « Atoms for Peace » qui livrait de petits réacteurs de recherche aux pays en voie de développement pour qu'ils se fassent la main sur les procédures nucléaires. Le premier exemplaire avait été mis en service en 1957, à Shippingport, le long de l'Ohio. L'engin fourni était un réacteur d'une puissance de 5 MW, pesait 153 tonnnes seulement, et avait été mis en marche en 1967, en fonctionnant à l'uranium hautement enrichi. L'engin a été supervisé par les ateliers de l'amiral Rickover, qui souhaitait en même temps réduire la taille des réacteurs nucléaires pour les insérer dans ses sous-marins. Le réacteur de Shippingport sera décommissionné en 1982 seulement.

Le Shah, enthousiaste, envisageait déjà de couvrir le pays de centrales nucléaires : 23 étaient prévues pour la fin du siècle ! La première crise pétrolière (en 1973) le renforce dans sa vision. Après une approche des techniciens français, il se rapproche des allemands de Thyssen Krupp qui bâtissent une nouvelle centrale à réacteur à eau pressurisée à partir de 1975. C'est celle de Bushehr (ou Bouchehr), encore présente aujourd'hui. Pour nourrir la bête, le président américain Ford signe un contrat d'usine de traitement de combustible usé des centrales, permettant d'en extraire du plutonium. Avec l'uranium enrichi, les iraniens obtiennent à peu de frais les moyens de fabriquer des bombes atomiques. Mais ils pouvaient déjà en obtenir grâce aux investissements faits en Europe avec s Eurodif, le consortium international fondé en 1973 par la France, la Belgique, l'Espagne et la Suède. Les français de la la Cogéma, en quête de marchés, fondent alors avec les iraniens la Sofidif (Société franco-iranienne pour l’enrichissement de l’uranium par diffusion gazeuse), qui débouche sur la production d'uranium enrichi (en photo le Sha en visite à Saclay, avec Giscard et Giraud). En échange, Le shah avait investi 1 milliard de dollars sous forme de prêt chez Eurodif. La révolution de Khomeiny stoppe net tous les contrats passés... mais les iraniens réclament leur milliard à la France et le combustible promis par les américains. Le réacteur de Bushehr, construit à 50% seulement, reste en attendant en rade. L'Iran appelle alors les russes pour le terminer : un contrat est conclu en 1995. Fin du premier épisode. Et pour ce qui est de fabriquer des bombes avec le combustible, l'iran fait appel à un autre spécialsite, le pakistanais Abdul Qadeer Khan... et ses amis suisses (les Tinner). Les spécialistes des centrifugeuses, qu'ils expédiaient par cargo :

Le second épisode commence sous Clinton, donc. Les américains se réveillent tout à coup : où sont donc passés les "bleus" des plans que l'on a laissés aux iraniens", questionne ici The Gardian, résumant parfaitement l'épineux problème. Une affaire d'espionnage et de coup tordu qui a foiré. Car le hic, c'est que ce ne sont pas les plans d'une centrale nucléaire, mais ceux d'une bombe, ou plus exactement ceux d'un tableau de commandes de très haute tension pour activer l'explosion d'une bombe, qu'un employé de la CIA a emporté pour le présenter à un ingénieur russe en contact étroit avec les iraniens (en photo la toute première bombe A à Alamogordo en 1945, surnommée "The Gadget"). "Pour être précis, il portait des dessins techniques pour un bloc TBA 480 à haute tension, autrement connu comme un "set de tir", pour une arme nucléaire de conception russe. Il tenait dans ses mains les connaissances nécessaires pour créer une implosion parfaite qui pourrait déclencher une réaction en chaîne nucléaire à l'intérieur d'un petit noyau sphérique. C'était l'un des plus grands secrets de l'ingénierie dans le monde, fournissant la solution à l'un d'une poignée de problèmes qui séparait des puissances nucléaires comme les Etats-Unis et la Russie en provenance de pays voyous comme l'Iran qui étaient désespérément à rejoindre le club nucléaire, dont les efforts étaient insuffisants" écrit The Gardian. On sait que les tubes krytrons déclencheurs des charges à la nanoseconde près comprimant le noyau central de la première bombe A resteront secrets pendant des années. Le cas le plus connu de vol de krytons demeure celui de Richard Kelly Smyth, qui a aidé Arnon Milchan poursubtiliser 800 krytrons au profit d'israël. Au sein du groupe, il y avait Benjamin Netanyahou qui travaillait alors pour Heli Trading Company (appelé aussi Milchan Limited), à la tête du réseau qui se fournissait chez Milco.

Notre homme était alors... à Vienne, et se promenait donc avec ses plans en poche. C'était un ingénieur d'origine russe, ayant travaillé à Los Alamos. Et il avait été envoyé là-bas pour un congrès atomique, en mission... par la CIA !!! "Le russe était un ingénieur nucléaire à la solde de la CIA, qui avait été contacté pour devenir un citoyen américain et avait été financé à hauteur de 5000 dollars par mois. Cela ressemblait à de l'argent facile, avec quelques ficelles attachées" peut-on lire. Que faisait-il là avait de quoi surprendre : "jusqu'ici, la CIA le plaçait sur la ligne de front d'un plan qui semblait être en totale contradiction avec les intérêts des États-Unis, et on avait passé beaucoup à persuader par l'agent de la CIA pour le convaincre de passer par ce qui semblait être une opération tordue". Pour être tordu, c'était tordu en effet. Et ça s'appelait l'Operation Merlin. L'idée était de refiler aux iraniens... de faux plans de bombe atomique, pour qu'ils la fassent... et la ratent (en photo une B-53 américaine, dernier monstre des années 60 retiré en 2011).

"Sur le papier, Merlin devait retarder le développement du programme nucléaire de Téhéran en envoyant des experts en armement de l'Iran sur la mauvaise voie technique .La CIA avait estimé qu'une fois que les Iraniens auraient les plans et les auraient étudiés ils croiraient que la conception était utilisable et pourraient donc commencer à construire une bombe atomique sur la base des conceptions erronées. Et Téhéran obtiendrait une grande surprise quand ses scientifiques essaieraient de faire exploser leur nouvelle bombe. Au lieu d'un champignon atomique, les scientifiques iraniens assisteraient à l'explosion d'un pétard décevant. Le programme nucléaire iranien subirait un revers humiliant, et l'objectif de Téhéran de devenir une puissance nucléaire serait retardé de plusieurs années. Dans l'intervalle, la CIA, en regardant la réaction de l'Iran à ses plans, aurait gagné une mine d'informations sur l'état du programme d'armes de l'Iran, qui était secret." On ne pouvait faire plus tordu en effet. Mais aussi plus risqué, car pour être un tant soit peu crédible, il fallait révéler une partie de plans... les vrais plans. En photo, les préparatifs en haut de la tour à Alamogordo.

Mais rien ne s'était passé comme prévu. L'ingénieur russe contacté, de très haut niveau, assurèment, avait rejeté les plans à la première lecture, dans la chambe d'hôtel prévu pour le rendez-vous : "ce n'est pas bon", "quelque chose cloche"  avait-il sobrement dit, d'emblée. Pour l'envoyé de la CIA, le contact russe ne devait pas avoir de telles connaissances. Il n'était même pas censé devoir ouvrir l'enveloppe destiné aux iraniens. Mais c'était raté, complètement raté. L'envoyé de la CIA, dépité, eut alors recours à un autre procédé : il alla déposer l'enveloppe refermée dans la boîte aux lettres d'un obscur bâtiment de Vienne, où siégait une entreprise iranienne servant de couverture à la délégation venue à Vienne. Dans la journée, la CIA apprendrait qu'un officiel iranien avait brusquement rejoint Téhéran : l'enveloppe devait être déjà dans ses bagages. Et peut-être même les plnas avaient-il déjà été lus. Cela semblait avoir finalement marché, malgré l'échec du contact russe... (sauriez-vous reconnaître au dessus à droite ce jeune inspecteur du KGB ?)

Le hic, c'est que cette enveloppe, juridiquement, pouvait être vue aux Etats-Unis comme un cadeau fait à un ennemi. Le sujet, surtout, celui de la construction d'une bombe atomique, était bien entendu tabou. L'administratiion l'enterra donc très profond au fond de ses armoires, comme elle avait su le faire pour les documents sur l'assassinat de Kennedy ou celui de Martin Luther King. L'Opération Merlin, énorme fiasco de la CIA ne devait jamais être révélée au grand public... les iraniens auraient pu détecter les défauts des plans et fabriquer une bombe fonctionelle, avec les "bleus" perdus !!!

Jamais, ou presque. En 2006, un journalliste du New-York Times, deux fois prix Pulitzer, James Risen, sort le livre "State of War"... il y décrit la faillite complète du projet Merlin. Tollé générall, et Risen se trouve sommé de révéler ses sources, ce qu'il refuse de faire. Poursuivi par le clan Bush en 2008 pour cette révélation sulfureuse, il le sera à nouveau en 2011 par Eric Holder de l'administration Obama. Interdit de toucher aux lourds secrets de la CIA, aux Etats-Unis !!! Son téléphone est écouté, et la chaîne ultra-droitière Fox News (le BFMTV de là-bas) le présente sans ménagement comme un... traître à la patrie. Au final, Holder, après une campagne des journalistes amis de Risen, abandonne ses poursuites. Mais l'enquête téléphonique a révélé des noms, et parmi ceux-ci celui d'un dénommé Sterling. Ou plus exactement, un journaliste de Fox, sans foi ni loi, James Rosen, à lâché le nom à l'antenne : comment l'a-t-il appris, voilà tout le mystère des liens entre la CIA, la Justice US et l'extrême droite représentée dans les médias par Fox-News... le BFM américain. L'homme avait visité à plusieurs reprises les serveurs du State Department, comme le révèle une enqûête de mai 2013, ce qui avait provoqué une réaction du département de la justice menée par Holder qui avait ouvert une enquête sous le titre controversé de "criminal co-conspirator". Rosen avait en particulier harcelé Stephen Jin-Woo Kim, un ancien expert en armement du State Department pour lui soutirer les vers du nez. La liberté d'expression étant sacro-sainte, dans ce cas ce fut plus Holder que Rosen qui fut accusé par la presse d'avoir failli. Restait le cas de Sterling...

Jeffrey Sterling (ici à droite) était effectivement un agent de la CIA. Le plus jeune d'une fratrie de 6 enfants élévés par une mère isolée, il avait seul grimpé les échelons pour devenir inspecteur du FBI. Un des rares agents noirs. Il l'avait quitté en 2000, après avoir clamé qu'il y régnait un racisme bien ordinaire. Il pensait être débarrassé du lourd fardeau d'avoir été un des "coachs" de l'ingénieur russe envoyé à Vienne. Mais en 2006, juste après la sortie du livre de Risen, des agents de la CIA envahissent sa maison et lui prennent ordinateur et téléphone portable. Ils savent que Risen et lui ont échangé par téléphone à plusieurs reprises, en 2003, notamment, même si jamais le sujet du projet secret de la CIA n'avait été évoqué. Mais rien ne se passe pour autant : ce n'est qu'en décembre 2010 qu'il se retrouve inculpé (sous un autre président donc !) et il est arrêté en janvier 2011. Lâché de partout, Sterling avait donc attendu 12 ans son procès pour avoir révélé des secrets à la presse. Le procureur avait requis 20 ans, il vient tout juste d'écoper de 42 mois. A son procès, on avait assisté à une belle farce, raconté par The Nation : "un casting de vingt-trois témoins de la CIA venus jouer leurs rôles de « sécurité nationale » comme agents de vertu patriotique. Et Condoleezza Rice, qui a fait un tour de piste dramatique (la presse est venue ce jour-là). Riz a témoigné de la grande importance de l'Opération Merlin, expliquant qu'elle soigneusement collée aux points de discussion prévus par elle et la CIA lorsque, comme conseiller à la sécurité nationale du président George W. Bush, elle a organisé une réunion avec le reporter du Times, Risen, et le chef du bureau de Washington Jill Abramson, une intervention de la Maison Blanche qui a réussi à empêcher le scoop sur le journal (et loin du public, jusqu'à ce que le livre de Risen sorte plus de deux ans et demi plus tard). La réunion a eu lieu à la fin d'avril 2003, quelques semaines seulement après l'invasion de l'Irak." 

Lors de ce procès grotesque, où un seul individu avait été condamné, un des responsables de la CIA avait pourtant déclaré que plus de 90 personnes au sein du gouvernement étaient au courant de la mission secrète en Iran. Il est vrai que de révéler un tel fiasco, alors qu'on est alors en train de chercher si Saddam Hussein en avait, des bombes nucléaires aurait fait tâche sur le beau tailleur de Condoleezza... Le cas Sterling, pitoyable, montre sutout que Barack Obama est entièrement soumis aux diktats de la CIA et d'une extrême droite qui lui dicte sa politique et le tient pieds et poings liés. Le "gouvernement fantôme" décrit en 1964 par Ross et Wise existe toujours... Aux USA, il y en aura donc toujours pour chanter avec Vince Vance and The Valiants...

Pour Condoleezza, rassurez-vous, tout va bien : pendant que Sterling se morfondra en prison, elle continuera à parfaire son style au piano mais aussi au golf, ou d'aller arpenter les tapis rouges des People, voire de supporter son équipe favorite de footballl américain (les Cleveland Browns) avant de postuler en 2016 à un siège au Sénat, pour la Californie. De tous les prétendants c'est elle qui a la meilleure image de marque, paraît-il. Aux Etats-Unis, on peut avoir fait les pires bêtises, comme envahir l'Irak ou tenter de refiler des plans à moitié pourris de bombe nucléaire à l'Iran et continuer à avoir la cote. Remarquez, G.W.Bush avait bien été élu... de peu, avec quelques zones sombres dans son élection, il est vrai... ne leur demandez pas s'ils éprouvent des remords à voir Sterling à l'ombre. Cela fait longtemps qu'ils ont oublié le sens de ce mot.

texte à l'origine :

http://www.thenation.com/article/207017/cia-officer-jeffrey-sterling-sentenced-prison-latest-blow-governments-war-journalism

(*) profitez-en pour regarder à nouveau "Les trois jours du Condor" de Sydney Pollack. Réalisé en 1975, il demeure sacrément prémonitoire avec comme fond de l'histoire l'invasion prévue de pays à réserves pétrolières. Autre symbole fort ; dans le film, le siège de la CIA est... dans l'une des deux tours jumelles du Wold Trade Center... je l'avais oubliée, celle-là...


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13 réactions à cet article    


  • soi même 12 juin 2015 11:38

    Dixit ;" .. résultat c’est un pigeon qu’on envoie en prison, et pas le véritable coupable ! C’est le résumé d’une très obscure histoire d’espionnage que le magazine Agoravox Fr a offert récemment à ses lecteurs ; montrant à quel point travailler pour la CIA peut devenir infernal. (*) L’hydre dévore tout ce qu’elle touche, on le sait, et prend un main plaisir à rejeter ses fautes sur des comparses."
    Entre d’Edward Snowden et morice, oh morice , l’un risque toujours sa peau l’autre nous tape sur le système .
    Chercher l’Erreur ......


    • Pyrathome Pyrathome 12 juin 2015 14:48

       Le cas Sterling, pitoyable, montre sutout que Barack Obama est entièrement soumis aux diktats de la CIA et d’une extrême droite qui lui dicte sa politique et le tient pieds et poings liés.
      .
      Tout est résumé ici.....Comme l’avait déclaré Einsenhower, mais aussi Kennedy ( avant de se faire dessouder..) comme l’avait avoué aussi Bill Clinton...
      C’est une réalité irréfutable !!
      Un bon billet ici :
       http://www.globalresearch.ca/cia-mission-destroy-the-whistleblower-and-perfume-the-stench-of-operation-merlin/5429477
      .
      Mais qui pilote la CIA et autres agences ???


      • soi même 12 juin 2015 15:02

        @Pyrathome, il est intéressant de savoir pourquoi ses discourts d’Einsenhower, mais aussi Kennedy on si peut agit sur le Monde ?
        Le secret est peut être d’une autre nature que simplement, une explication de causalité .... ?


      • Pyrathome Pyrathome 12 juin 2015 15:11

        @soi même
        une explication de causalité .... ?
        .Jean Valjean va pas être content, c’est la fote à causette....


      • colere48 colere48 12 juin 2015 14:55

        Mais que ce passe-t-il ? 2 articles passionnants en 2 jours !
        C’est l’effet « kisscoll » de l’auteur, ou effet « whaouuuuu » !

        En tout cas bravo monsieur Maurice de dénoncer les turpitudes de « l’hydre »


        • jako jako 17 juin 2015 19:48

          @colere48
          oui mais dommage que les meilleurs sur menard soient en train d’être refusés...


        • morice morice 18 juin 2015 16:16

          ah intéressant : et ça donnait quoi comme score..


          et comment savez-vous que ça a été refusé, hugh ????

        • morice morice 12 juin 2015 15:52

          veuillez cesser votre tropisme ici à propos de mes textes : vous êtes rédacteur, et votre harcèlement continuel ici est d’autant plus préjudiciable à la réputation du site, qui laisserait avec des gens comme sou de vrais voyous venir importuner ceux avec qui ils partagent l’affiche.



          Il m’étonnerait beaucoup que cette même modération ne vous ait pas demandé de vous calmer : or visiblement, votre HAINE et votre HARGNE à venir détruire ce que je peux écrire, quel qu’en soit lle sujet a depuis longtemps pris le pas sur la raison, chez vous.

          Dans d’autres sites, vous auriez été banni depuis longtems, car un rédacteur a aussi des devoirs envers le site qui l’héberge, en particulier de ne pas chercher à lui nuire en s’en prenant tous les jours à quelqu’un qu’il a pris en grippe, pour avoir été moqué une fois. C’est votre EGO démesuré qui vous guide ici, et depuis plusieurs années maintenant, ça commence à bien faire, ce comportement de troll boutonneux venant pinailler sur des détails ridicules, comme cette fois ci avec votre vue basse incapable de discerner la taille d’éléments agrandis sur des photos : de votre connerie journalière, ici, il y en a MARRE, Alex. MARRE.

          • soi même 13 juin 2015 14:08

            @morice ?
            , veuillez cesser votre tropisme ici à propos de mes textes : Il serait temps mono la seringue, d’aller chez le teinturier 
             !


          • morice morice 12 juin 2015 18:36

            accessoirement Grand Maitre du Grand Orient de France,


            c’est quoi cette allusion à la con ? les juifs aussi, je parie ? Ça n’a rien à faire là.

            • Phoébée 12 juin 2015 21:41

              @bernard

              Nous savons tous que François est un fils à papa qui fait dans la démagogie la plus tarte.... quoi d’autres ?


            • morice morice 14 juin 2015 11:07

              Visionne le documentaire que tu ne connaissais pas au lieu de me gonfler


              ah ah ah : et qui dit que je ne l’avais pas déjà vu ??

              vous seulement.


            • morice morice 14 juin 2015 19:33

              dehors le troll, dehors !

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