Le gouvernement Bayrou : la continuité dans la médiocrité politique
François Bayrou, récemment arrivé à la tête de l’État, vient de nommer son gouvernement, suscitant de vives réactions parmi les observateurs et les citoyens. Ce cabinet, loin d’incarner le renouveau attendu par une partie des Français, s’inscrit dans la continuité des politiques menées depuis des années, notamment sous les mandats de François Hollande et d’Emmanuel Macron. Une continuité illustrée de manière criante par la nomination controversée de Manuel Valls comme ministre, un choix qui ravive les critiques sur la déconnexion entre le pouvoir politique et les attentes du peuple.
Malgré les promesses d’un changement de cap, Bayrou semble avoir opté pour une ligne politique déjà éprouvée, et pour beaucoup, discréditée. La nomination de Manuel Valls, figure associée à une gestion autoritaire et souvent critiquée pour son mépris des débats démocratiques, est perçue comme un symbole de cette absence de renouvellement. Ce choix conforte l’idée que Bayrou s’inscrit dans la lignée des présidences précédentes, reproduisant les mêmes erreurs et suscitant la même frustration chez les électeurs.
Le gouvernement Bayrou perpétue une politique de mépris à l’égard des urnes et des aspirations des Français. Ces derniers, de plus en plus désabusés par les élites politiques, espéraient une rupture avec les pratiques habituelles. Or, avec cette équipe gouvernementale, la déception est palpable. Les attentes d’un changement profond dans les orientations économiques, sociales et environnementales semblent d’ores et déjà vaines.
Dans ce contexte, nombreux sont ceux qui estiment que le gouvernement Bayrou ne fera qu’aggraver la défiance envers les institutions. Si certains espéraient un souffle nouveau, le constat d’une continuité dans la médiocrité politique laisse peu de place à l’espoir. La question d’une motion de censure est déjà évoquée dans les rangs de l’opposition, qui voit dans ce gouvernement une prolongation des échecs passés. Mais cette perspective, bien que plausible, pourrait n’être qu’un nouvel épisode dans un cycle politique déconnecté des aspirations profondes du peuple.
François Bayrou avait l’opportunité de s’imposer comme l’homme du changement, mais ses choix gouvernementaux indiquent un alignement sur une trajectoire bien connue. La nomination de personnalités comme Manuel Valls illustre l’incapacité à écouter les signaux envoyés par les Français lors des scrutins. Ce gouvernement pourrait bien marquer un tournant, mais pas celui attendu : celui d’une désillusion durable et d’un rejet encore plus marqué de la classe politique.
Dans cette situation, l’espoir d’un renouveau démocratique semble encore repoussé. Une chose est sûre, la défiance envers le gouvernement Bayrou ne fait que commencer.
Mathieu ZAHER.
13 réactions à cet article
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Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre.
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« Dans cette situation, l’espoir d’un renouveau démocratique semble encore repoussé »
En même temps, espérer un renouveau en votant pour des gens qui ne veulent aucunement quitter l’UE, ça relève du pathologique
(sachant que quitter l’UE ne serait que le tout début d’un processus long)
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Je vous trouve très gentil de parler de médiocrité.
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Bonjour,
Pouvez-vous être plus précis sur « les attentes du peuple », « les aspirations des Français », « renouveau démocratique », et j’en passe ? Vous participez par là à l’enfumage général. On n’entend que ça depuis plus de 40 ans !Plus ça change, et plus c’est la même chose. Là est la nouveauté, c’est le triste constat de votre article..
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Il ne s’agit pas de médiocrité politique mais d’absence totale de politique sous la main du capital qui gouverne tout par des outils qu’il désigne et que les veaux élisent en se croyant en démocratie.
Une nullité comme bayrou qui n’a jamais rien rien eu à dire de sa vie l’illustre parfaitement avec sa tentative de recyclage de vieilleries de brocante dévalorisées.
Qu’ile aillent mourir !
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Bonjour,
C’est exactement ce que je pense.
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C’est un gouvernement d’extrême centre.
Sous-entendu, il n’y a qu’une seule politique (comme le « TINA » Thatcher), celle de l’ordo-libéralisme, transformé désormais en « turbo-libéralisme ».
Tout pour le système financier destructeur de l’industrie, des services publics, des États, des populations et rien pour le fonctionnement normal du pays.
Ce système est sponsorisé par BlackRock et l’UE qui dirigent effectivement le pays, en remplaçant le choix populaire par une imposition des normes et réformes par l’oligarchie (le dit système financier).
Rien à attendre de ces imposteurs. La démocratie est ainsi officiellement mise hors d’état de nuire : elle n’existe plus.
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Je ne suis pas d’accord avec vous ! Mais alors.....Pas du tout !
BEY-Roux, c’est pas LA CONTINUITé dans la médiocrité politique, c’est bien plus que cela !
C’est la REVITALISATION, en CONtinu de la MERDIOCATIE PIPOLITIQUE, dans le cadre, plus ou moins précis et résiduel, de ce qui reste en stock, dans le slip troué du donneur d’ordre.
L’essentiel, n’est pas BEY-Roux, ou, sa cohorte de bras cassés, exhumés de la caisse à palettes, servant de CONtenant à compost...Que ce soit, cette nouvelle couche BEArnaise, ou, tout comme la précédente, si BarNiAISE..... Naaaan !
L’essentiel est dans la démonstration éclatante, de la pauvreté du menu ( fretin) qui reste employable, et corvéable,au coute que coute, collé à la botte crottée, de celui qui joue les ombres chinoises, tellement il est fumeux, et inCONsistant !
Ces « appelés à disparaître », n’ont pas de « pitoyable, » que leur mémoire de poisson rouge. ( un tour de bocal hémicyclique, quelques paillettes calibre 49.3, et hop, se Bornent à échouer sur le sable, l’oeil morne, et pas frais)
Oubliant QUI leur donnait déjà à crouter, à tourner ainsi en rond .
Oubliant, qu’ils étaient déjà, de vieux croutons racis, et que venir se la ramollir encore et encore, à la bonne souplette indigeste, servie par le Marmiton Elyséen, pour que dure, et dure la purée...Ne feras jamais d’eux, des requins de la politique, comme ils se plaisent à s’imaginer, mais bien de simple mollusques bi-valves, agrippés au Pignot, solitaire, en si triste Etat, et bientôt emmené par la marée !
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D Trump revendique les territoires du Groenland, place une option sur le Canada et le Canal de Panama.
Les possessions françaises du Pacifiques représentent également un intérêt stratégique ds la rivalité US-Chine (cf opération Bobcat Bora Bora 1942)
M Valls est tout à fait capable de les vendre,
St Pierre et Miquelon et sa personne en prime.
Après Valencia pourquoi pas Washington ?
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@egos
Il peut revendiquer ce qu’il veut :"D Trump revendique les territoires du Groenland, place une option sur le Canada et le Canal de Panama."
ensuite il y a la réalité.... -
@egos
C’est sûr que foutre une « doublure de veste » usagée, par tant de retournements, et retournements, ne fait pas absolument pas, de la Valls-ise à mi temps, le choix le moins pire, pour la sauvegarde de ces territoires...
Allez, il suffit qu’Isa-rël, à qui il était « inféodé pour l’éternité » lui offre un Prie
Dieu dans un coin de synagogue ronde, pour qu’il vende illico presto, un territoire à ses généreux donateurs, avec plein de bonnes raisons de trahir.
Ce type, il est fortement conseillé, de l’équiper d’une balise GPS, et de garder un oeil, sur le traceur, et surtout éviter, de laisser tout couteau, trainer entre ses mains.
Ou, il vous rejoue sans fin, la trahison de Brutus.
On verras cela d’ici le 15 Mars, jour des ides de mars.....Quel « ami » il auras dézingué !
Mais il est fort probable, qu’il revienne sur terre, à chaque fois, avec la même tare !
Même son karma, en as eu ras le bol, de se faire flouer !
Mais voilà.....BEY-Roux, est là, on ressort les vieilles prothèses ! Les pires ! Les moins ajustées.....Mais....QUI RESTE T-IL D’AUTRE de moins cramé, au crématorium ? -
« l’espoir d’un renouveau démocratique semble encore repoussé ». Et, comme le dit un proverbe bulgare : « ce n’est pas avec de vieilles putes qu’on renouvelle un bordel ».
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Les critiques sont globalement, et parfois de façon précise, appropriées.Mais je m’étonne que personne ne mette en cause notre responsabilité collective. Pourtant parmi ces détracteurs un grand nombre n’hésite pas à dire à d’autres peuples ( ou sociétés ) qu’ils n’ont que ce qu’ils méritent puisqu’ils ont voté pour leurs dirigeants.Comme nous ....Et je m’étonne une seconde fois avec désarroi en lisant ici et là les critiques féroces envers un Gvnt qui n’a encore rien fait.Donc ces contempteurs-là jugent les intentions, ou les déclarations d’intention, mais pas les actes ; comme font certains magistrats, plutôt gauchistes, qui entravent la liberté de dire, de diffuser, d’agir.Mon troisième étonnement est teinté de détresse d’esprit parce que je lis des commentaires qui expriment une véritable réjouissance anticipée de l’échec du Gvnt. Donc d’un nouvel échec pour la France.Et ces gens se prétendent « patriotes » ? Mon œil !N’étant pas un fan de Bayrou ni des autres ( mais j’apprécie très positivement B. Retailleau ), je me sens libre de toute contrainte idéologique pour le défendre dans une certaine mesure ; ou au moins pour ne pas l’accabler avant le début des prestations.
Comme beaucoup de gens, je me réjouirais d’une démission forcée du Foutriquet après une nouvelle censure réussie.
Mais ça ne ferait que satisfaire une envie, un caprice, presqu’un instinct de survie.Et ce serait un nouveau désastre pour ma France.
Une élection présidentielle se prépare longtemps à l’avance. Il faut des parrainages, de l’argent, des équipes formées, des salles louées, etc....
Et un programme !Or, la précipitation qui suivrait la démission de Macron ne permettrait pas une préparation efficace ni une campagne permettant à chaque parti et à chaque candidat de présenter ses intentions.
Bien que les sondages soient en faveur du RN, il n’est pas sûr que MLP serait élue. Ou alors elle le serait très mal. Ou bien elle n’obtiendrait pas de majorité parlementaire à l’élection suivante. Ou bien le C. Constitutionnel, mené par le Pourri Socialeux Fabius, décrèterait l’impossibilité de dissoudre l’A.N. et d’élire de nouveaux députés.
En outre le programme socialisant du RN accroitrait nos difficultés au lieu de les résoudre.Il n’est pas non plus exclu qu’un malheur majeur, une véritable catastrophe ( comme une guerre ) s’abatte sur nous par l’élection du sidi Mélenchonovski.
Je n’exclus pas ce danger parce que je ne suis plus sûr de rien dans ce pays qui est devenu fou.
L’avènement de ce traitre plongerait la France dans l’abime. Le véritable néo-fascisme incarné et mené par cet individu transformerait mon pays en un abominable modèle du tiers-monde.Alors, critiquer Bayrou et tous les autres, pourquoi pas ... Même si j’en avais le pouvoir je n’interdirais pas les reproches, même mensongers et diffamatoires.
C’est bel et bien chez nous, en France, en Europe, en Occident, qu’on a le droit de critiquer les Gvnts sans encourir l’embastillement. On peut même écrire des livres, réaliser des films, organiser des manifs et mentir effrontément ( « la Police tue » .... mais pas les islamiques inspirés par le Coran, qu’on se le dise ! ) pour montrer au peuple à quel point nous sommes mauvais, méchants, exploiteurs, bellicistes, criminogènes ....que nous n’avons fait qu’apporter du malheur et de la désolation...
Ça ne se passe pas comme ça en Russie, ni en Chine, ni dans les pays où règne la RAPT.Moi aussi je veux profiter de cette liberté d’expression et dire que je souhaite que le Gvnt réussisse à stabiliser la France, à redonner confiance à nos créanciers et aux investisseurs nationaux et étrangers.
Et je voudrais que ce Gvnt parvienne à élaborer une stratégie pour reconstruire Mayotte et expulser ceux qui n’ont rien à y faire, avant d’envisager la séparation avec la France métropolitaine. Car nous avons l’obligation légale, institutionnelle et MORALE d’être solidaire et de reconstruire.Et, en saluant ironiquement les camarades islamo-trotskocos, je veux leur dire que je souhaite ardemment leur groupusculation.
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