Le jour de gloire de Jean-Luc Mélenchon (anticipation)
Le résultat était attendu par personne. Aujourd’hui 1er mai 2027 sonne la victoire de l’extrême gauche contre l’extrême droite avec 52,9% des voix. Qui aurait pu imaginer qu’à 77 ans, Jean Luc Mélenchon aurait pu devenir le prochain président de la République ?
Déjà, plusieurs voix se font sentir et un air de terreur plane sur la France. Plusieurs personnalités de droite et d’extrême droite et de la communauté juive parlent d’exil et se retrouvent comme à Londres durant l’occupation. Beaucoup ressentent l’insécurité de la transition politique où nul ne sait vers quoi va tendre la parole politique.
Le grand CFCM salut la victoire de Jean-Luc Mélenchon et demande déjà une plus grande place dans les affaires de l’Etat. Une pression politique se fait sentir dans diverses villes de France. Le lupemprolétariat cher au nouveau Président dévale dans les rues avec les anarcho-communistes. Certains semblent réclamer de la violence contre “la France profonde”, contre les “souchiens”, les “jabons-beurre” et la parole anti-française se libère un peu partout. Le wokisme qui, comme le nazisme, est né dans les universités règne maintenant en maître absolu du pays. Nous assistons à la fois à une révolution Française et un nazisme inversé car prétendument venu de la gauche.
La France est un vieux pays qui n’aurait, de toute façon, jamais accueilli un nazisme de droite. Le nazisme, c’est-à-dire le fascisme racial, ne peut s’exprimer que dans de jeunes nations, par exemple l’Allemagne, Israël, ou même l’Inde qui est indépendante que depuis 1948, même s’il s’agit d’un très vieux pays. Les Français, dans leur immense majorité, n’aspirent qu’à la paix. Ils payent leur impôt certes avec leur phobie administrative, mais ils y arrivent. Derrière cela, l’Etat, depuis les années Mitterrand, a favorisé l’armée de réserve du grand capital et a permis un biais anti-France de s’immiscer dans la société à partir des médias et d’SOS racisme. La Gauche “bien-pensante” payée par l’Etat profond américain, a contribué au maintien des français dans un carré politique limité. C’est la triste histoire du peuple français que d’aucuns comparent à ce qu’ont vécu les indiens d’Amérique.
Ce que nous vivons aujourd’hui est la fin de facto de l’influence du siècle des lumières en France dont Jean-Luc Mélenchon aurait dû être le plus ardent défenseur. Nous sommes revenus dans des temps reculés, les “heures les plus sombres de notre histoire”, infiniment plus sombre que dans les années 30 et devraient être comparées, si on sait être juste, aux grandes invasions du début du Moyen-Age.
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