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Accueil du site > Tribune Libre > Le petit article anti-fasciste

Le petit article anti-fasciste

L’élection de Jair Bolsonaro a confirmé que le fascisme progresse dans le monde. Le président Macron a essayé de réhabiliter M. Pétain (serviteur du fascisme) quelques jours après les élections au Brésil, comme par hasard. L’Europe détient aussi ses poulains fascistes : Orban, Le Pen, Salvini, ou Kaczynski, entre autres. Les grands médias du capital ne parlent pas de fascisme, mais de « dégagisme » ou « montée du populisme » : les grands médias via la télévision, la radio ou les journaux sont des armes déconscientisation massives. Ces élections sont les continuités d’un processus qui est mené par la classe capitaliste : le capitalisme et le fascisme ne sont pas différents et sont liés comme le maître et son chien. Quelles sont alors les origines du fascisme ? Qu’est-ce que le Social-fascisme ?

 

1- Les bases idéologiques et philosophiques du fascisme

Le Social-fascisme est une porte d’entrée pour le fascisme : la classe ouvrière et les couches populaires sont les cibles. La précarité est la conséquence de l’accumulation des richesses par une minoritée exploiteuse : processus inévitable dans le mode de production capitaliste. En France, la précarité augmente et la colère populaire devient forte : les « gilets jaunes » sont une amorce. Un danger révolutionnaire progresse inévitablement et la dictature du capital va montrer ses griffes.

Le chien est enragé, il est baveux et il est prêt à en découdre. Le chien n’attaquera pas sans les ordres de son maître. Le chien enragé attends donc le signal de son maître, le bon moment grâce auquel il pourrait réaliser ses désirs les plus sombres. Le maître, comprenez la classe capitaliste, préparera, anticipera, analysera le moment « béni par les dieux » dans lequel il pourrait enlever la muselière. La dictature du capital attends simplement que les conditions objectives et subjectives soient réunies.

La philosophie matérialiste est une des principales cibles pour le fascisme : nous parlons de nos pensées, de nos idées et de la Raison que le fascisme voudrait contrôler.

Karl Marx n’était-il pas le continuateur génial de la philosophie matérialiste ? Si...

Lorsque « l’Homme civilisé » peut penser sans ses contraintes matérielles et morales, il peut alors comprendre les causes de la barbarie fasciste, mais aussi de sa politique intérieur et extérieur. La Raison et la Morale ne peuvent être confondus pour cette compréhension : la première est inhérente à l’Homme ( devant être développée) et la seconde est modulable avec une liaison constitutionnelle et changeante selon les séquences historiques.

Le fascisme voudrait s’accaparer la Raison et la Morale, les noyers dans des eaux mystiques, égoïstes, malsaines, déraisonnables et pervers. L’idéologie du fascisme est le racisme, l’asservissement et les guerres impérialistes. Le racisme signifie l’obscurantisme, c’est à dire la suppression des droits de la science, l’enfermement de la conscience, la philosophie devenant ainsi une science irrationnelle et vulgaire.

Les créateurs de la mythologie raciste ont utilisé le pangermanisme d’avant la guerre impérialiste de 1939-1945 : le pangermanisme et le racisme détiennent des bases communes. Pour les comprendre il faut rester fixer sur l’idéologie, mais aussi sur les bases matérielles. Il faut donc analyser les rapports économiques d’abord, ensuite les rapports sociaux et terminer par l’idéologie.

 

Le fascisme aurait une identité intemporelle, pure, puissante et d’essence métaphysique ! Bref…

Il s’appuiera sur des idées mystiques, irrationnelles et dans lesquelles des bases biologiques y seront intercalées. Le fascisme va fabuler, construire un mensonge biologique : ce mensonge biologique doit prendre le dessus sur la Raison.

 

La Raison qui est inhérente à l’Homme ne peut pas être effacée, car elle doit être développée au contraire. Le fascisme n’est pas un « biologisme », car cette biologie s’intercale dans la mythologie raciste du sang : il est un des rouages de ce mécanisme complexe, mais néfaste pour l’Humanité.

Rosenberg disait dans son livre « Le mythe du 20eme siècle » : « La lutte entre le sang et le monde environnant, entre le sang et le sang, représente le dernier phénomène que nous puissions atteindre derrière lequel il ne nous est pas donné de chercher et de faire des recherches ».

Le racisme n’est pas du « biologisme », mais une approche réactionnaire du capital dont le fascisme représente sa dictature. Le fascisme et son obscurantisme raciste voudraient effacer de la mémoire des Hommes toutes ces périodes de l’histoire dans lesquelles se sont développées la conscience et les lumières : les ténèbres doivent remplacer les lumières. Ce délire grossier de la « pureté des races » cache en réalité la subordination de la classe ouvrière, des couches populaires à la classe capitaliste : le monopole Allemand Ford ( le constructeur de voitures) ne versait-il pas tous les bénéfices de ses ventes de voitures en Allemagne au parti Nazi ? Si…

Maurice Thorez avait abordé la question du racisme en posant cette question : « qu’est-ce que la Nation ? » ; parce que le racisme, axe central du fascisme est présenté par certaines personnes comme un « nationalisme exaspéré ». Hitler avait utilisé le » sentiment national exaspéré » des Allemands. Ce sentiment prenait source dans « l’humiliation » de la nation Allemande via le traité de Versailles : Hitler avait baptisé son mouvement « national-socialisme ».

 

2- le fascisme et la nation

Maurice Thorez disait que si le racisme se présente comme « national-socialiste », il est « aussi anti-national » et « anti-socialiste ». Le fascisme veut donner à l’idée de nation son contenu biologique : la race se substituerait donc à la nation. Dans son livre épouvantable, Hitler, en parlant de l’état, disait : « son but réside dans la conservation et le développement d’une communauté d’êtres vivants de même espèces physiquement et mentalement » et que « L’état qui ne correspond pas à cette fin sont des ratages, voire des avortons ».

Rosenberg rajoutait : « le vieux nationalisme est mort en même temps que la vieille église Judéo-Orientale-Syrienne, le vieux socialisme ». le fascisme ne veut donc pas des peuples libres et des nations garanties de libertés. Il ne veut pas trouver en face de lui une classe ouvrière et des couches populaires, des peuples héroïques comme le peuple Espagnol par exemple.

Maurice Thorez avait rétorqué en disant, je cite : « nous savons bien comment la nation Française s’est constituée à travers les siècles de vingts races qui se sont fondues dans cet immense creuset que fut et que reste notre pays, avec son sol, avec ses richesses naturelles, avec son climat privilégié, avec sa situation unique, avec ses conditions générales qui ont disposé, dès les plus lointaines époques, les habitants de notre pays et ceux qu’il accueillait à l’amour du travail, au sens de la mesure, à l’esprit de méthode et de clarté, aux qualités qui sont celles des Français, aux défauts qui sont aussi les nôtres, à tout ce qui constitue, - langue, mentalité, outre la communauté de territoire et de vie économique- le caractère de la nation Française ».

Maurice Thorez rajoutait : « Nous sommes une nation non pas « malgré »la fusion des races, mais « à cause » de cette fusion ». Maurice Thorez continuait en disant : « notre conscience est nationale non parce qu’elle est l’instinct d’une race, mais parce qu’elle est la conscience d’une nation dont l,histoire diffère essentiellement de la zoologie. Oui, vingt races dont la souche prépondérante autrefois en telle ou telle province, telle ou telle ville, nous permet de saisir, si je puis dire, les nuances du type national dans son heureuse diversité, nous révèle encore les traits distinctifs du Flamand et du Provençal, du Breton et de l’Alsacien, de tous ces membres de la grande famille Française, de tous ces fils de la République une et indivisible ».

Maurice Thorez ne met pas l’accent sur la classe ouvrière, le prolétariat, les couches populaires, mais ces déclarations sont des vérités issues d’une approche progressiste : le fascisme est une force réactionnaire.

Le fascisme est donc le chien de garde que la dictature du capital envoi lorsqu’il existe un danger révolutionnaire. Les forces fascistes en Allemagne, en Italie avaient été envoyées pour abattre deux ennemies féroces pour le capital à l’époque : l’URSS à l’Est (les Bolchéviks) et les Spartakistes en Allemagne. L’URSS avait été la première expérience de construction du socialisme et le prolétariat au pouvoir en URSS avait aidée au développement des idées révolutionnaires en Allemagne : Liebknecht et Luxemburg faisaient trembler l’impérialisme mondial.

Hitler et le parti nazi avaient été financés par les monopoles ( Hugo Boss, Ford et d’autres...) Allemands et donc par la bourgeoisie Allemande. Le livre épouvantable Mein Kampf avait été appuyé (de son écriture à son édition), politiquement et financièrement, par les monopoles, la bourgeoisie Allemande, car elles voyaient dans ce parti funeste le chien de garde qu’elle enverrait pour briser les révolutionnaires socialistes.

Dans ce livre démoniaque Hitler disait : « nous devons voir dans le Bolchevisme Russe la tentative des juifs au vingtième siècle, pour conquérir la domination mondiale. La lutte contre la Bolchevisation mondiale juive exige une attitude nette vis-à-vis de la Russie Soviétique. On ne peut pas chasser le diable par Belzébuth ».

Les grands représentants du capital, des monopoles en Europe (France et Angleterre) n’avaient-ils pas ouverts la voie vers l’Est au fascistes via les accords de Munich et détruisant au passage la souveraineté de la nation Tchécoslovaque ? Si…

 

3- Le développement actuel du fascisme en France

Le mode de production capitaliste est conditionné par l’exploitation de la classe ouvrière et populaire par la classe bourgeoise, l’oligarchie financière, les banquiers. Le prolétaire détient uniquement sa force de travaille qu’il vends aux capitalistes pour vivre et faire vire sa famille. Le prolétaire a été enchaîné par la classe. Le classe capitaliste achète la force de travail des prolétaires qui est créatrice de plus-value (c’est à dire du profit capitaliste) dans les différents procès de productions. Le prolétaire est un esclave salarié et pendant que le prolétaire travail le capitaliste peut jouer au golf, s’acheter des voitures de luxes, des bijoux : des marchandises inaccessibles au prolétariat.

La classe capitaliste a créé un « monde à son image » et à noyer l’humanité dans les « eaux glacés du calcul égoïste » : elle s’est crée un paradis terrestre. Les capitaux s’accroissent, ils s’accumulent, ils se concentrent, mais dans le même temps la misère flambe : une réalité inévitable dans le mode de production capitaliste. La classe capitaliste a besoin de faire toujours plus d’argent et elle doit donc s’approprier toutes les richesses qui ont été crées.

 

Ce processus d’appropriation passe par des destructions sociales :

-Gel des salaires

-Exonérations des cotisations patronales

-dettes artificielles ( trou de la sécu, etc)

-baisse des retraites

-Augmentation de la CSG

-Destructions les acquis sociaux et privatisations de la force de travaille qui produira du profit plutôt qu’un service public (les acquis sociaux étant des acquis de lutte par la classe ouvrière).

-Baisse des allocations chômages

-couverture juridiques, médiatiques, morales des monopoles qui ne paient pas d’impôt et exportent leurs richesses dans des paradis fiscaux.

-Augmentations des cadences dans les procès de productions.

-Hausse des prix des aliments, des carburants, etc...

 

La dictature du capital consolide donc sa position de classe, car elle voudrait embellir son paradis terrestres ; ce qui n’est pas sans risque, car cela va attiser la colère des exploités, des forçats de « la France d’en bas ». La dictature du capital lancera donc son chien de garde, le fascisme, qui se chargera de la besogne : le Social- fascisme devient donc la « porte d’entrée » du fascisme. La particularité du social- fascisme est qu’il se présentera comme une force « anticapitaliste », « antilibéral », « antisystème ». Il va rallier à lui un maximum d’individus issus de la classe ouvrière et populaire et affaiblir ainsi le danger révolutionnaire : le Rassemblement National ou Debout La France n’ont-il pas de beaux discours charmants pour les travailleurs ? Malheureusement, si…

C’est comme le maître et son chien : le maître envoi son chien qui se présente devant un individus, un danger. Le chien remue la queue, il couine, il bouge ses oreilles et il fait le beau. L’individu, le danger se laisse charmer par ce chien très mignon. L’individu, le danger a été hypnotisé et c’est alors que le chien montre les crocs, il grogne, il est menaçant : il commence à montrer ses véritables intentions. Le chien mort l’individu, le danger et il le ramène ensuite à son maître très content de son chien : le social-fascisme va donc essayer de charmer les Français. Le maître peut alors continuer a consolider sa position de classe et à développer, à conserver son paradis terrestre.

 

En France, le danger révolutionnaire a été entraperçu par la classe capitaliste aux travers de différentes luttes :

-Les luttes contres la casse de la Sécurité sociale

-contre l’allongement de la retraite

-contre les licenciements

-contre la casse du service public

-contre la précarisation

-contre le CPE

-Les émeutes de 2005

-contre la loi travail

-La grève générale à la Guadeloupe

-Les gilets Jaune avec blocage sur l’Île de la Réunion

 

Dominique De Villepin avait déclaré le 19 avril 2009, sur Europe 1, dans l’émission « le grand rendez-vous » : « qu’il existait un risque révolutionnaire en France ».

Les principes universels des grandes Révolutions Françaises de 1789, 1830 , 1848, 1871 et 1968 font-il peurs à la classe capitaliste Française ? Certainement…

 

Une autre certitude est que la bourgeoisie nationale conserve l’avantage (contradiction entre le capital et le travail) sur la classe ouvrière et populaire grâce à deux éléments :

- L’affaiblissement de la conscience de classe 

-L’appareil répressif de l’état qui se renforce

 

Le premier point a été confirmé par l’incapacité des dirigeants révolutionnaires de créer un parti, de conscientiser et d’organiser la classe exploitée. Tous les partis politiques actuellement sont à composition sociale bourgeoise ou petite-bourgeoise au meilleur des cas. Les trois grands partis du capital sont le PS (il a encore des ressources grâce aux capitaux) , LR, LREM. Ces trois grands partis du capital détiennent leurs satellites ( une opposition loyale) : PCF, EELV, etc. Les partis comme DLF ou RN sont clairement identifiés comme Sociaux-fascistes et ils attendent de « montrer les crocs » lorsque les conditions seront réunies. LO ou NPA à l’extrême gauche sont figés dans le passé, mais aussi dans les dénonciations sans apporter des solutions : ils sont Trotskystes et ne sont pas crédibles auprès de la classe ouvrière et des couches populaires.

 

Concernant l’appareil répressif de l’état on a des exemples concrets :

-La loi sur la sécurité quotidienne

-LOPSSI 1 et 2

-Entraînement des forces armées à la guerre de guérilla avec la création d’un centre de formation dédié, le « CENZUB », à Sissone, dans l’Aisne, en 2006

-Fusion des services de renseignements au sein de la DCRI, alliant « ennemis intérieurs et extérieurs »

 

Le nationalisme, le racisme et l’antisémitisme sont actuellement diffusés à travers les grands médias du capital. Ces discours sociaux-fascistes ont été réactivés par la création d’un ministère de l’immigration et de l’identité nationale à l’époque Sarkozy. Ces discours visent à protéger la classe capitaliste en divisant les travailleurs sur la base de leurs nationalités ; la classe capitaliste transfère ainsi la responsabilité des difficultés sociales sur les travailleurs immigrés : alors que la cause réelle se situe dans l’exploitation capitaliste elle-même. La classe capitaliste, en France, dévie ainsi la colère populaire en créant des divisions entre les travailleurs.

Le Social-fascisme à un rôle supplétif pour l’instant, car il n’est pas arrivé au stade du fascisme : la violence du fascisme reste donc limité. Lorsque les conditions seront réunies, qu’ils auront un soutien politique et financier les désastres Humains seront gigantesques : le fascisme possède une dynamique génocidaire intrinsèque. Le Social-fascisme utilise des « passerelles idéologiques » pour l’instant, afin de répandre leurs messages de haines et orientant une partie de la population vers le fascisme.

Ces « passerelles idéologiques » sont des brèches pour rallier à lui une partie de la classe ouvrière, des couches populaires, du peuple. Il s’appuie aussi sur des discours conspirationnistes ou des « théories du complot ». Ils détournent ainsi l’attention de la population du véritable problème qui est le mode de production capitaliste. Ce Social-fascisme s’articule donc autour des discours anti-capitalistes et anti-libéral : et il peut compter sur les « rouges bruns » pour relayer leurs messages. Ce Social-fascisme ou amorce du fascisme a été rendu possible par la faiblesse des vrais révolutionnaires qui sont restés divisés et refusent l’unité.

 

4- Conséquences 

Le chien de garde va montrer ses crocs très bientôt ! Il veut mordre les Français et cela sous les yeux bienveillants de son maître : nous serons alors dans le fascisme. l’erreur à ne pas commettre serait d’établir des points de différenciations entre le nationalisme, le capitalisme, le fascisme. C’est un changement de forme simplement, des degrés différents d’un même processus ayant pour cause le mode de production capitaliste. Des discours différents, mais l’essence reste la même. Les véritables révolutionnaires, en France, sont noyés dans un égocentrisme incohérent, l’opportunisme, les querelles futiles, stupides et ils sont divisés en petites sectes qui ne représentent que leurs ombre : il est l’heure de se réveiller !

Vive la révolution socialiste ! A bas le fascisme ! A bas le capital !

 


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9 réactions à cet article    


  • Fergus Fergus 29 novembre 2018 11:41

    Bonjour, Jimmy

    « Le président Macron a essayé de réhabiliter M. Pétain »

    C’est faux ! On peut penser ce que l’on veut de Macron — et personnellement j’en pense beaucoup de mal —, mais cela n’autorise pas à écrire de tels bobards !


    • Francis, agnotologue JL 29 novembre 2018 13:26

      @Fergus
       
       on peut bien dire que Macron a essayé de racheter Pétain, non ?


    • Albert123 29 novembre 2018 15:47

      @JL

       « on peut bien dire que Macron a essayé de racheter Pétain, non ? »

      la seule chose qui est sur c’est que l’équipe de conseillers de Macron ne comprend absolument rien au peuple français.

      les gauchistes qui passent leur temps à traiter les autres de fachos non plus.

      Les français ont par contre bien compris que Macron et la gauche avaient tous les 2 bien des points communs, la haine du peuple français et de la nation française entre autre.


    • Fergus Fergus 30 novembre 2018 09:57

      Bonjour, Albert123

      Désolé, mais je trouve ce commentaire désopilant ! Et pour cause : Macron applique une pure politique de droite, très peu différente de ce qu’auraient fait Fillon ou Juppé à sa place !!!


    • kalachnikov kalachnikov 30 novembre 2018 10:07

      @ Fergus

      Transfiguration du réel. Ils se sont tous soumis au Marché libre, heil ! = il n’y a pas et plus de Gauche. Le sociétal n’est pas le social, il font passer le progressisme, le sexe, drogue sans rock n’ roll, pour la gauche.
      Macron n’applique pas une politique de droite, il applique la politique de l’Ue qui est la seule possible, liberté absolue du Marché, et qui est obligatoire. Exactement comme ces prédécesseurs et comme le feront ses éventuels successeurs. Soumission absolue au dieu Marché, aucune latitude sinon ’léchez-vous le cul, c’est bien maintenant’ et ’n’oubliez pas de vous inscrire sur les listes d’attente des salles de shoot ou d’euthanasie’.

      ’L’Europe, ce sera la prospérité’.


    • Albert123 30 novembre 2018 10:19

      @Fergus

      « Désolé, mais je trouve ce commentaire désopilant ! »

      alors que le prisme déformé qui dessert vos perceptions m’attristent.


    • Jean Aimar Jean Aimar 29 novembre 2018 19:35

      Oh, mon Dieux ! Votre Maurice Thorez est mort avant de se rendre compte à quel point il se trompait. Et l’autre Marx aussi. Comment peut-on encore croire dans ces idées qui ont échouées partout dans le monde ? Avez-vous vu des chinois, des cubains, des roumains heureux, à part les parvenus du système ? Savez-vous à quel point ces peuples ont souffert ? 


      • Jonas Jonas 29 novembre 2018 23:33

        "Maurice Thorez rajoutait : « Nous sommes une nation non pas « malgré »la fusion des races, mais « à cause » de cette fusion »

        L’idéologie internationaliste communiste de Maurice Thorez montre ses limites sous les coups de boutoirs de la mondialisation, de l’immigration et de l’islamisation de masse.

        Le multiculturalisme, le communautarisme multi-ethnique sur un même territoire engendrent inévitablement des conflits raciaux et identitaires sur le long terme (voir USA, Brésil, Suède entre autres), conduisant à la destruction des nations par la guerre civile.

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Auteur de l'article

Jimmy Dalleedoo

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