Le progressisme est de droite, le conservatisme de gauche
Le suicide de l'Occident a été diagnostiqué à maintes reprises déjà. La lecture nietzschéenne de notre civilisation en tant que « civilisation du nihilisme » tient toujours. Pourtant, l'accélération du déclin et l'absence de sursaut durable méritent d’être examinés sous un angle nouveau. Il ne s'agit pas d'expliquer comment une civilisation donnée peut s'engager sur la voie de l'autodestruction – démographique (baisse du taux de natalité), identitaire (multiculturalisme et immigration de masse), intellectuelle (relativisme) – mais, plus généralement, d'expliquer le processus pouvant conduire un groupe d’organismes suffisamment vaste pour former une civilisation ou une espèce à souhaiter sa propre disparition.
Le moteur de l'évolution idéologique et morale correspond à la lutte entre un principe de vie et un principe de mort. Si ce dernier vient à triompher, la mort – de l'organisme ou du groupe – s'ensuit rapidement. Ces deux principes entrent en conflit à trois niveaux : celui de la conscience évoluée (qu'elle que soit sa forme), celui de l'espèce humaine, et celui de chaque être humain. Au niveau de la conscience, le principe de mort se manifeste comme volonté de nier, d'altérer et de pacifier les lois « fascistes » de notre univers (évolution selon la sélection naturelle, nécessité de consommer de l'énergie ou de la matière, etc). Au niveau de notre espèce, cela peut prendre la forme d'une mauvaise conscience d'être au sommet de la chaîne alimentaire, jusqu'à l'antispéisme. Au niveau individuel, cela se manifeste par la haine de soi et le ressentiment envers les forts.
Ces principes concernent l’ensemble du monde vivant : chaque organisme se positionne quelque part entre ces deux extrêmes. Ils sont schématiquement incarnés par deux « partis » (recouvrant des groupes sociaux, des classes sociales ou des organisations politiques) qui s'affrontent à travers l'histoire – plus ou moins directement et consciemment. Le « parti de la mort » (ou les « prêcheurs de mort » selon l'expression de Nietzsche) correspond aux forces sociales œuvrant à l'avènement de l'égalitarisme, du relativisme et de l'amour des ennemis. Le « parti de la vie » correspond aux forces sociales qui visent le dépassement de soi, l'élitisme et l'esthétique.
En Occident, si le principe de mort gagne du terrain, c'est qu'un des attributs du « principe de vie » – la volonté de progrès – a commencé à être identifié – à tort – comme faisant partie du « principe de mort ». L’esprit aventureux, l’imagination, l’originalité, la soif de nouveauté et la volonté d’expérimenter sont autant d'attributs de la droite qui ont basculé à gauche.
La « parti de la mort », physiologiquement maladif, a grâce à ce basculement bénéficie d'un formidable transfert d'énergie – attirant la partie ambitieuse et diplômée de la jeunesse – au détriment du « parti de la vie », ossifié dans un conservatisme sénescent. Valorisant le progrès, les esprits aventureux sont attirés par les seuls partis qui proposent des programmes visionnaires et volontaristes. Aussi, la gauche bénéficie-t-elle du monopole de l'utopie – l'idéal d'un « homme nouveau » et d'une « société nouvelle ».
La maladie de l'Occident est plus maligne que ne le suggèrent la plupart des diagnostics. Chaque civilisation est traversée par le heurt de ces deux principes. En Occident, au moins jusqu’au triomphe du christianisme au quatrième siècle, la dualité progrès / conservation correspondait à la dualité vitalité / maladie. Le christianisme a toutefois tari la volonté de progrès (de dépassement de soi) des forts, et attisé la soif progressiste des faibles et des malades. Plus précisément, avec la christianisation des élites romaines, le parti de la vie s'est trouvé amputé d’une partie de sa force et placé dans la posture du défenseur d’un attribut du principe de mort – le désir de conservation. Inversement, le parti de la mort a arraché au principe de vie un attribut décisif : le désir de mouvement qui, dans sa bouche, sera rebaptisé « progressisme ». Un élan vers la mort, mais un élan tout de même.
À une époque où la volonté de dépassement était encore identifiée au « parti de la vie », la notion de progrès était radicalement différente de ce qu'elle allait devenir. Le dépassement de soi était alors compris comme un effort permanent, individuel et conscient, plutôt que comme un progrès inéluctable et transcatégoriel tel que conceptualisé par les Lumières. Là est la force de la gauche : elle a su donner une solide base théorique à la volonté de dépassement, en promettant le paradis terrestre aux souffreteux. Ce renforcement théorique s’est fait au prix d’une altération de l’idéal du progrès : par progrès, la gauche désigne les avancées scientifiques, technologiques et économiques – ce qui est heureux –, mais également l'affaiblissement constant du caractère – qualifié d' “adoucissement des mœurs”, de comportement “bienveillant”.
Ainsi, la maladie de l'Occident prend la forme d'une tragédie : non seulement le parti de la vie a-t-il perdu sa principale source de vitalité – la volonté de dépassement et de changer l'homme – mais il la considère désormais comme un principe hostile. L'Occident meurt parce que le parti de la vie, convaincu de lutter contre la décadence morale, mène la guerre à une des dimensions de la vie : la volonté de progrès. Inversement, le parti de la mort détient l'arme idéologique la plus efficace qui soit : la force du mouvement, du changement, de l'utopie.
Si la droite échoue à réintégrer sa dimension progressiste, elle ne sortira jamais de sa fonction de vulgaire retardateur de la révolution gauchiste perpétuelle.
Romain d'Aspremont, auteur de Penser l'Homme nouveau : pourquoi la droite perd la bataille des idées.
https://www.amazon.fr/Penser-lHomme-nouveau-Pourquoi-bataille/dp/1983070254/ref=asap_bc?ie=UTF8
66 réactions à cet article
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Un paradoxe est une opinion qui vit de ses charmes aux dépens de la vérité.
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@Séraphin Lampion
René de Obaldai
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le progressisme est de droite, ptdr
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@jocelyne
Au-delà d’un certain seuil critique, tout processus conçu pour être efficace et productif devient contre-productif, et ce qui a été mis en œuvre dans l’idée de générer du « progrès » ne génère en définitive que du « regrès ».
Lorsqu’elles atteignent un seuil critique et sont en situation de monopole, les grandes institutions des sociétés modernes deviennent des obstacles à leur propre fonctionnement : la médecine nuit à la santé en tuant la maladie au détriment de la santé du patient, le transport et la vitesse font perdre du temps, l’école abêtit, les communications deviennent si denses et si envahissantes que plus personne n’écoute ou ne se fait entendre, etc.
Alors, la droite peut bien devenir la gauche et inversement, c’est la question du sens qui est en jeu.
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Bonsoir, Romain
« Le progressisme est de droite, le conservatisme de gauche »
Je pencherais plutôt pour « La régression des droits du peuple est de droite, le progrès social de gauche ».
C’est plus juste et beaucoup moins caricatural, même si les notions de « droite » et de « gauche » n’ont plus gère de sens car elles traversent l’une et l’autre les différentes composantes de la société.
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@Cadoudal
Les autochtones, peuples et individus, ont le droit de ne pas subir d’assimilation forcée ou de destruction de leur culture.
Exact, c’est la raison pour laquelle il faudra organiser un referendum sur l’immigration, pour savoir ce que les Français souhaitent.
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Cela n’est possible qu’en retrouvant la souveraineté par la sortie de l’ UE. Tant que nous y resterons, ce sont les textes européens qui organisent l’immigration qui s’appliqueront.
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Et puis l’UE, tout comme l’ OTAN, sont allergiques grave au Droit International et à la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, sinon, depuis le temps, la question palestinienne aurait été résolue. -
@Fergus
« La régression des droits du peuple est de droite, le progrès social de gauche ».Dans les discours du dimanche.
Le lundi, ils ont tous voté les Traités européens, et une fois au pouvoir, ils appliquent tous les feuilles de route de Bruxelles, qu’ils s’appellent Sarkozy, Tsipras, Orban, Hollande, Merkel ou Macron. -
@Cadoudal
Vous en avez toujours après la Gauche, comme si la Droite, depuis Pompidou, faisait autre chose que la Gauche...
La Droite domine l’Europe depuis 25 ans au Parlement européen, je ne vois pas dans quels domaines elle s’est opposée à la mondialisation ?
L’immigration ne convient pas au patronat que défend la Droite... ?
Et vous avez vu des partis de Droite défendre la souveraineté et demander la sortie de l’ UE & de l’ OTAN ? Nada, wallou, rien du tout !
Votre article dit la même chose que moi, que les questions sociétales sont le seul domaine qui différencient la Gauche de la Droite.
Pour le reste, à part les discours, dans les faits, c’est pareil. -
@Fergus
« La régression des droits du peuple est de droite, le progrès social de gauche ».
Quel est la mesure la plus en accord avec le « progrès social ».
1 — Lorsqu’un chef d’entreprise dit : « Dorénavant, 50% des bénéfices seront versés aux salariés sous forme de prime ».
2 — Lorsque le directeur d’un hôpital dit : « Parce que se loger coûte cher, j’accorde une prime de 200 euro aux salaires inférieurs à 1500 euro net ».Moralité : la régression est partout, le progrès aussi et le malin se cache dans les détails
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Pauvres de nous, voilà ce qui arrive quand un intellectuel oublie de se servir du marxisme pour décoder la réalité du capitalisme.... Si c’est pour en arriver là que nous finançons Sciences po, il vaudrait mieux fermer les IEP...
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Les pays européens vivent depuis 70 ans sous la coupe des USA, de leurs banques, de leurs multinationales, de leurs lobbies et de leurs gouvernements pro guerre sans fin. Surtout depuis le 11 septembre 2001 !
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La Gauche et la Droite française sont les toutous dociles de Wall Street, du Pentagone et des néo cons américains. Les différences se jouent à la marge sur les questions sociétales, la Gauche étant plus poreuse aux zinzins des Démocrates US, que la Droite. Mais ça s’arrête là.
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Pour le reste, ils sont tous pro UE, pro OTAN, pro guerre sans fin, anti ONU, anti respect du droit international, anti Frexit, anti Brexit, anti russes, anti pays chiites.Et ils ont tous fricoté avec les islamistes.
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Mais tout a une fin, ils ont dominé le monde jusqu’en 2013, emmerdé et pillé le monde entier, quand la Russie, à la demande de Bachar, a sifflé la fin de la récréation, circulez, ya plus rien à voir ! Place à un monde multipolaire.
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Les pays victimes des méfaits des USA et des pays de l’ OTAN, se sont rassemblés pour constituer le pire ennemi de l’Occident : l’ Eurasie. Pour les pays occidentaux, c’est le début du déclin.
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"Le christianisme a toutefois tari la volonté de progrès (de dépassement de soi) des forts, et attisé la soif progressiste des faibles et des malades.«
La religion n’a jamais entravé la volonté des plus forts. Au contraire, elle a même servi de prétexte aux nobles pour aller piller des pays lointains, satisfaisant à la fois leur désir de puissance et envie de dépassement vu qu’ils recevaient la bénédiction de l’Eglise et de Dieu.
Le christianisme propose à la fois un modèle individuel de dépassement de l’individu et commun (bonté, charité, communauté, etc.).
»Progressisme« n’est qu’un mot bobo qui fait croire que les autres sont forcément obscurantistes. Qu’il n’existe qu’un seul point de vue et espoir, celui de ceux prônant cette idéologie que je qualifierais presque de nazie — les uns sont destinés à vivre tandis que les autres creusent leur tombe.
C’est un thème d’ailleurs très macroniste étant donné qu’un de leurs laquais a écrit un torchon à ce sujet, convaincu que déchirer furieusement la société jusqu’à l’éclatement était synonyme d’évolution (ou mais laquelle ?).
La gauche en tant que parti de progrès a certes été une vérité tant qu’on pouvait affirmer les droits de l’individu, arriver à une certaine forme d’égalité entre les différentes classes (en tout cas gommer plus ou moins les fractures).
Aujourd’hui, la gauche c’est plutôt la lassitude, la stagnation dans des idées répétitives, la corruption et l’idéologie de façade. Le dernier espoir qui aurait pu la faire rebondir n’a été qu’une bombe à retardement, Hollande.
A droite, le »progressisme« (’tain je déteste ce mot !) signifie »aventure aventuriste et libéraliste pour satisfaire son égo et sa soif de domination« . La notion-même de progrès se situe dans l’inversion du cours naturel des choses, à savoir la régression des droits de l’individu lambda au profit des »premiers de cordée".
Cette aventure n’est pas près de se terminer tant qu’il restera des choses à détruire et des électeurs à la fois cons et docile. Et sans opposition, la droite à de beaux jours devant elle c’est certain.
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@McGurk
« La religion n’a jamais entravé la volonté des plus forts. »
Lorsqu’ils vivaient au milieu de leurs ouailles, les seigneurs chrétiens devaient au moins en apparence respecter un certain nombre de devoirs chrétiens, et ne pas agir en contradiction flagrante avec certains préceptes de l’Eglise. Celle-ci pouvait punir certains comportements du temps de sa force, et c’est bien un tribunal ecclésiastique qui a condamné Gilles de Rais à être pendu puis brulé.
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@Kapimo
Henry 8 a coupé la tête à un évêque et persécuté des milliers de prêtres catholiques, la France a déposé un pape pour en faire renommer un autre sur son propre territoire (Avignon), Charles le Quint a défoncé le Vatican et donné un destin funeste à bon nombre des prêtres — sans parler du pape qui a été emprisonné.
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@McGurk
Vos exemples concernent des luttes purement intestines aux pouvoir.
Je parlais de l’obligation vis-à-vis de la population qu’avaient les forts de respecter à minima certains préceptes chrétiens, ce qui les « entravait » s’ils étaient trop tentés par la tyrannie. Gille de Rais n’est qu’un exemple.
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Je suis assez d’accord avec le principal de votre texte concernant la nature du « progressisme » contemporain, même si par contre les notions de droite et gauche me semblent peu pertinentes (il n’y avait pas de « droite » ou « gauche » identifiable durant l’empire romain).
Le progrès a-t-il réellement existé depuis l’antiquité, hors avancées techniques ? Les désastres coloniaux, les massacres des guerres napoléoniennes et du vingtième siècle (communisme, guerres mondiales) n’étaient-ils pas déjà des régressions au nom du progressisme ?
Le « progressisme » actuel, c’est me semble-t-il le post modernisme, qui relativise tout, et qui fait passer pour du progrès la déconstruction des équilibres/compromis humains forcément anciens (les traditions, les rôles sociaux et familiaux etc..).
Ce progressisme est effectivement un principe de mort aux racines anciennes, qui de Platon (l’illusion & les symboles) à Macron (le « en même temps ») en passant par toutes les formes de gnoses (notamment le « Mort à la Raison » franc-maçon) insinue ou prétend que l’homme est un être trompé par sa raison. Et nous vivons en fait désormais dans le monde de la déraison, de la maladie mentale, voire de la perversion, ou le « pourquoi pas ? » devient la norme. Le dernier texte de Cerise reprend en partie ce constat (https://lesakerfrancophone.fr/apres-le-moment-unipolaire-apres-lincoherence-une-etude-de-collapsologie-cognitive). Avec l’affaiblissement des repères liés aux croyances traditionnelles, il nous est suggéré en permanence pourquoi pas « en meme temps » ?, pourquoi pas pisser les seins à l’air sur les autels ?, pourquoi pas etre multi-genre ?, pourquoi pas éborgner les gens ?, pourquoi pas la pédophilie ? etc etc...Pourquoi pas ?
Ils ont tué Dieu en brandissant la Raison progressiste, ils tuent désormais la Raison en fabricant de la confusion morbide par déconstruction systématique de tous les repères et tous les roles, et en en inventant de nouveaux forcément victimaires.
Et pour combattre ce puissant mouvement de déconstruction post-moderne par le parti de la mort, je pense qu’il faudra plus qu’un « progressisme » de remplacement : il faudra bâtir de nouvelles croyances. .
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@Kapimo
Vous dites : il faudra bâtir de nouvelles croyances
Je pense qu’il y aurait déjà un grand progrès si les chrétiens exigeaient de leurs églises que le christianisme en devienne vraiment un. -
@Pierre Régnier
Je suis d’accord avec vous sur le fait qu’une régénération complète de l’église catholique (qui deviendrait en fait autre chose, une nouvelle église) en revenant aux bases du christianisme mais adaptée aux apports non destructifs de la modernité permettrait d’offrir une « offre » spirituelle de nouveau crédible et susceptible de s’opposer aux mouvements de dégénérescence contemporains dits « progressistes ».
Le problème est d’une part que les chrétiens (le faible nombre restant) ne sont pas en position d’exiger quoi que ce soit de l’église, qui est une organisation pyramidale très hiérarchisée, et n’ont pas non plus la culture de la révolte.
D’autre part, il ne vous a pas échappé que le haut-clergé catholique est corrompu depuis des siècles et s’accommode globalement de la situation actuelle. Et cette corruption a atteint de tels niveaux (l’église est très affaiblie économiquement) que le Vatican a perdu ce qui lui restait d’indépendance : le pape actuel a été placé là suite à une « révolution de couleur ».
Mais c’est vrai que cela fait mal au cœur de voir toutes ces cathédrales qui sont des monuments spirituels (et accessoirement architecturaux, artistiques etc..) rester quasiment vides et inutilisés, dans une époque ou le spirituel est étouffé/détourné alors que son retour me parait éminemment nécessaire. -
" Valorisant le progrès, les esprits aventureux sont attirés par les seuls partis qui proposent des programmes visionnaires et volontaristes. Aussi, la gauche bénéficie-t-elle du monopole de l’utopie – l’idéal d’un « homme nouveau » et d’une « société nouvelle ».«
Les progressistes veulent l’avènement d’un monde nouveau globalisé, métissé et multiculturel, et cela passe par la fin de la suprématie de l’homme Blanc, oppresseur colonialiste des minorités ethniques, des musulmans, des arabes, des noirs, des femmes, des gays, des lesbiennes et autres transgenres. L’objectif est donc de déconstruire la civilisation occidentale : c’est-à-dire anéantir le christianisme, la famille, la hiérarchie, le patriarcat, la nation, l’armée, la police, l’élite culturelle, le mérite scolaire, l’architecture, la peinture, la littérature.
Des personnalités politiques maçonniques sont les porte-voix de cette idéologie, comme Mélenchon qui déclare que »la France n’a pas d’avenir sans les Arabes et les Berbères du Maghreb« , »les occidentaux, ça n’a pas de réalité« , méprise les »blancs catholiques« , se réjouit de l’éradication de la race blanche par le métissage, ne supporte plus de vivre avec des »blonds aux yeux bleus« , et méprise les habitants du pays de Caux en Normandie, qu’il traite d’ »alcooliques épouvantables« !»A la tête de la haute administration, on a principalement des hommes, blancs, qui ont fait l’ENA. On manque terriblement de diversité dans les parcours. Quand tout le monde a le même logiciel il n’y a plus d’intelligence collective."
Marlène Schiappa sur Twitter le 6 janvier 2019« Ne comptez plus sur moi pour défendre la moindre nomination d’homme à partir de maintenant »
Marlène Schiappa« L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume. aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. »
Jean-Paul Agon, PDG de l’Oréal, le 13 juillet 2007« A compétences égales, et bien désolée, on choisira la femme, ou on choisira la personne venant de autre chose que le mâle blanc, pour être claire. »
Anne Lauvergeon, PDG d’Areva, société détenue 95% par l’état, 18 octobre 2009On peut multiplier les exemples.
En s’affranchissant du conservatisme et de l’obéissance aux principes divins, les progressistes s’arrogent le droit de prendre la place de DIeu et modifier les règles de la nature pour le confort de l’homme, de s’éviter ainsi le travail de la terre, pour la détruire finalement complètement :
culture intensive sous serre, sols sous perfusion aux pesticides dont on a ôté toute trace de vie, nourriture transformée et contaminée (arômes artificiels, émulsifiants, colorants, édulcorants, épaississants, gélifiants, exhausteurs de goût, conservateurs, polyphosphates,...), pollution des nappes phréatiques, destruction des paysages naturels et des océans par la mise en place de parcs éoliens sous la bénédiction des écologistes (des millions de tonnes de béton injectés dans les sols et les fonds sous-marins détruisent des écosystèmes par milliers).La franc-maçonnerie a dynamité les valeurs de la civilisation européenne avec son idéologie mortifère des droits de l’homme, du multiculturalisme, du métissage, de l’avortement (220 000 avortements chaque année en France, un véritable génocide à l’échelle industrielle !), du mariage pour tous, de l’immigration de masse qui nous mène tout droit vers la guerre civile.
Tout ce que l’Église Catholique et la monarchie ont patiemment mis des siècles à construire, est ruiné par la république et sa religion maçonnique qui n’ont fait que piller et dilapider cet héritage millénaire à partir de 1789.-
@Jonas
Il faut cesser de rêvasser, on ne reviendra pas au 18e siècle et à la Monarchie.
Monseigneur Rey semble plus réaliste que vous. -
@Fifi Brind_acier « Il faut cesser de rêvasser, on ne reviendra pas au 18e siècle et à la Monarchie. »
La Monarchie a 13 siècles d’existence en France, la République, même pas 2 siècles.
La République est quasiment déjà morte, elle disparaîtra dans quelques décennies, voire dans quelques années. -
@Jonas
La Monarchie a 13 siècles d’existence en France, la République, même pas 2 siècles. La République est quasiment déjà morte, elle disparaîtra dans quelques décennies, voire dans quelques années.Rêve ! Les Français sont égalitaristes. S’ils ont fait la révolution, c’est qu’ils ne supportent pas l’inégalité des privilèges. La révolution est née de l’inégalité fiscale entre le tiers état qui payait seul les impôts, et la noblesse et le clergé, qui n’en payaient pas et puisaient dans les caisses.
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Chose que le Vatican a toujours favorisé, en étant constamment du côté du manche, du côté du pouvoir, des riches, quand elle ne soutient pas les dictatures !
C’est le choix historique qu’a fait le Vatican, en contradiction avec les Evangiles.
Mais cette contradiction ne semble pas vous sauter aux yeux.
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Vous pouvez toujours courir, si vous croyez que les Français vont supporter à nouveau la tyrannie d’une église catholique réactionnaire, qui soutient les riches et le capitalisme à bout de bras depuis qu’il existe ! -
@Fifi Brind_acier
S’ils ont fait la révolution, c’est qu’ils ne supportent pas l’inégalité des privilèges.
Les français ont pourtant il y a peu élu un banquier dont le programme favorisait les 0,1% les plus riches. La nature des français est de rêver d’un roi, mais d’un roi « bon » et « juste » (et la Vème république correspond à cette aspiration). Sinon, aucune révolution vraiment populaire (commune de Paris, gilets jaune) n’a jamais réussi : celles qui ont réussi (comme en 1789) étaient des révolutions contrôlées.Vous pouvez toujours courir, si vous croyez que les Français vont supporter à nouveau la tyrannie d’une église catholique réactionnaire, qui soutient les riches et le capitalisme à bout de bras depuis qu’il existe !
Je ne pense pas qu’un retour de l’église catholique associé à un roi soit à l’ordre du jour (même si comme vous le dites fréquemment, nul ne peut prévoir l’avenir). Il n’empêche : la tyrannie capitaliste, c’est à dire le régime bancaire, ce n’est absolument pas la royauté/l’église qui l’ont instauré. Ca a commencé en France par la révolution qui a interdit la constitution de syndicats, qui a libéralisé l’économie (notamment des matières premières de base), et qui a débouché sur la création de la banque de France en 1800.
Le régime bancaire, c’est le contrôle de l’émission monétaire par des intérêts particuliers, lesquels se retrouvent de facto en position de faciliter les guerres pour que lesdits état s’endettent et se soumettent, et en position de dicter leur conduites à l’ensemble des banques. En fait, le régime bancaire contrôle les flux et la quantité d’argent, et soumet par la même les états. La guerre sans fin à gros moyens a commencé avec les guerres napoléoniennes, financées par des intérêts privés qui disposaient d’un monopole d’émission de la monnaie : du temps des rois, les guerres s’arrêtaient faute de moyens sonnant et trébuchant. La création de la réserve fédérale en 1913 aux USA a permis la première et seconde guerre mondiale, que les banques européennes n’étaient pas en état de financer seules.
Pour faire simple, le régime bancaire a été instauré en Angleterre à la fin du 17eme siècle après la « révolution » anglaise, en France au début du 19eme siècle après la « révolution » française, aux USA à la fin du 18eme siècle après la « révolution » américaines et consolidée en 1913 par la création de la Fed par une loi contraire à la constitution américaine. A noter que la nationalisation des banques nationales en France et UK (annulée depuis en Angleterre) suite à la seconde guerre mondiale avait permis aux peuples de reprendre partiellement en main leur destin.
Le régime bancaire a été établi dans la zone UE au début du 21eme siècle (traité de Maastricht), ce qui a permis entre autres aux banquiers de destituer Berlusconi et violer la souveraineté Grecque, tout en imposant leurs politiques d’austérité destinées à presser le citron des peuples pour la caste financière.
Donc non, la révolution n’a pas affranchi le peuple français de son asservissement au capitalisme, c’est tout le contraire. -
@Fifi Brind_acier "Chose que le Vatican a toujours favorisé, en étant constamment du côté du manche, du côté du pouvoir, des riches, quand elle ne soutient pas les dictatures ! «
L’Église catholique apostolique et romaine est le ciment de la civilisation européenne, elle est à l’origine de ses valeurs morales et spirituelles.
Les catholiques avaient la charge des hôpitaux, des malades, des pauvre.
L’Église a unifié pendant des siècles les différents clans et tribus qui se combattaient (pictes, bretons, normands, alamans, saxons, germains, burgonds, etc...).
Les papes ont plusieurs siècles d’avance sur toutes les autres civilisations, l’Église romaine a par exemple interdit l’esclavage sur le sol européen dès le VIIème siècle, sous peine d’excommunication.L’état français a été construit intégralement pendant plusieurs siècles par des rois et reines très chrétiens catholiques (Clovis, Charles Martel, Pépin le Bref, Charlemagne, Aliénor d’Aquitaine, Philippe Auguste, Blanche de Castille, Saint Louis, Philippe le Bel, Charles VII, Louis XI, Louis XIII, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI...), en rassemblant patiemment et méticuleusement les provinces, les régions et en luttant contre les hérésies destructrices de l’unité de l’Église (catharisme, protestantisme, invasions islamiques, etc...).
Il n’y a pas en France un village sans son Église au centre de la commune.
Toutes les institutions françaises, hôpitaux, associations caritatives, écoles, tribunaux, parlement, cour des comptes, poste, banques, cathédrales,... que vous connaissez aujourd’hui ont été pensés, structurés et édifiés sous la France catholique.
Les universités qui se construisent sur toute l’Europe occidentale, sont à la charge de théologiens, prêtres, chanoines, abbés, soeurs, ordres catholiques bénédictins, cisterciens, franciscains, dominicains,... dans la hiérarchie du Pape de Rome.
C’est l’unité catholique de l’Europe qui permet par exemple à un Nicolas Copernic d’étudier dans l’université de Cracovie dans le royaume de Pologne, puis dans celles de Bologne, Rome, Padoue, Ferrare en Italie.
Pourquoi croyez-vous qu’il y ait une croix catholique au sommet de l’université de la Sorbonne, et sur le dôme du Panthéon ?
Pourquoi le plus vieil hôpital de Paris s’appelle Hôtel-Dieu ?La gastronomie raffinée que vous dégustez (vins d’abbayes, bières, liqueurs, miel, jambons, fromages...), ont été dans la grande majorité des cas bonifiés par des moines.
La littérature chrétienne, le »Paradis perdu« de Milton, »Polyeucte« de Corneille, »Esther« , »Athala" de Racine, Bossuet, etc... la musique sacrée de Palestrina, Hildegarde Von Bingen, Bach, Mozart, Vivaldi, Gounod, Schubert, etc... entre autres forment les piliers de la culture européenne.
La république et sa religion maçonnique n’ont fait que piller et dilapider cet héritage millénaire à partir de 1789.Le calendrier de tous les pays européens est basé sur la naissance du Christ.
Chaque jour, on fête un saint de l’Église catholique.
Le dimanche est jour de repos pour tous, jour du Seigneur.
Toutes les Églises font sonner leur cloches chaque heure qui passe.
Les fêtes traditionnelles sont de tradition chrétienne (Noël, Pâques, Ascension, Assomption, Épiphanie, Toussaint, Carême, Pentecôte,...).
Noël est fêtée depuis 15 siècles.
Avant que le terrorisme islamique n’interdise toute représentation du Christ sur la voie publique, des crèches géantes étaient organisées à Noël, et ça ne gênait personne. -
@Jonas
Le Vatican a surtout organisé 2000 ans de crimes de toutes sortes.
C’est le revers de la médaille que vous décrivez. -
@Fifi Brind_acier
Ce n’est pas en reprenant le discours de la franc-maçonnerie qui détient nombre de pouvoirs en France et qui porte une très grande responsabilité dans la situation actuelle de délitement de la France qu’il sera possible de rassembler les français de tous bords.
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Je ne pense pas que ces « concepts » soient encore une bonne grille d’analyse.
Les sociétés vont devoir devenir émancipatrice, Le clivage né, au moins au temps des cités états et certainement bien avant, d’une minorité qui dirige le vie d’une majorité (pour faire vite) ne produit plus rien, ou que de la misère. Les sociétés mercantiles ont vécu leur règne elle ne porte plus l’avenir.
On doit retrouver aussi le sens de la responsabilité et de l’implication. Si le « progressisme » c’est l’état providence, non merci...
Le temps de la conquête vit certainement ses derniers temps, tout est connus (en surface) tout est possédé par un peuple ou par quelqu’un, il y a du monde partout et ça ne va pas ralentir de si tôt.
Nous allons devoir définir de nouveaux rapports un jour ou l’autre, teintés de bienveillance et d’intelligence, ça ferait pas de mal.
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@Sparker
Si le « progressisme » c’est l’état providence, non merci...L’État providence, c’est le modèle social français, honni par le Médef !
Vous êtes sûr de votre formulation ? -
@Fifi Brind_acier
Oui, je crois être sur mais avec une lecture personnelle certainement et sociologique.
Je ne porte pas la vison du médef, évidemment, mais je ne porte pas non plus la « facilité » qui recouvre souvent la définition de l’état « providence » qui peut être autant démobilisateur. Etre esclave de la facilité n’est pas non plus à souhaiter, enfin tel que je le vois.
Surtout ça ne remet pas en question les rapports de force actuels et obsolètes, ça reste une réponse « bourgeoise » parcimonieuse aux mauvais traitements infligés aux populations laborieuses sans en changer les principes.
L’état doit faire respecter le cadre collectif défini par tous, ni plus ni moins c’est la « fonction publique ». Bien sur que la première des choses et l’accès à des conditions de vie de qualité et protectrice, ça ne devrait même pas être un débat, mais ce n’est pas une fin en soi pour une société.
L’acteur/moteur/décideur de la société c’est l’humain pas le système qui veut définir ce qui est bon et s’engouffre dans des visions idéologiques pour y arriver.
Bon... c’est à brûle pourpoint je ne suis pas sur d’être très clair
Pour ma part le « bonheur » ne consiste pas à créer ou permettre les « zones de confort » que chacun entend pour lui. Le « bonheur » consiste plus en une participation, investissement personnel, réalisation concrète constructive, une expression libre créative, une réponse dynamique au silence sur notre présence sur ce « caillou » perdu dans l’univers quasi insondable. Hors cas pathologique, le « système » devrait être tendu vers cette offre là à mon sens.
Une des grandes névrose qui de dessine est le vide existentiel que peuvent ressentir un nombre croissant d’humains, enfin pour ceux qui ne crèvent pas la dalles. -
@Sparker
Etre esclave de la facilité n’est pas non plus à souhaiter, enfin tel que je le vois.
Je comprends bien la quête spirituelle qui vous anime, mais je ne suis pas d’accord avec le jugement que vous portez sur le modèle social français, qui s’appuie sur la solidarité.
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Le mot « facilité » n’est pas celui qui me vient à l’esprit, car cette solidarité coûte cher à tous et à chacun. Il exige des contrôles, afin que tous ceux qui doivent payer payent, et que ceux qui trichent ne puissent pas continuer.
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Car la France est un pays latin, et les Français sont souvent plus proches des Napolitains que des pays nordiques protestants, où chacun se sent responsable. C’est peut-être à cela que vous faites allusion ? En France, il faut faire des contrôles. Comme disait de Gaulle, « si l’Etat ne s’en mêle pas, ça merdoie. »
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Les Américains, qui détestent payer des impôts pour les autres, trouvent génial « chacun pour sa pomme », ils font des dons par charité aux associations, et le résultat, c’est une catastrophe sociale de grande ampleur.
Donc je préfère de loin le système solidaire français. -
@Fifi Brind_acier
La facilité que j’évoque est celle de se déresponsabiliser qui est néfaste d’abord pour l’individu.
Se responsabiliser c’est devoir donner du sens à ce que l’on fait ou pas.
L’état bourgeois qui pourvoi un système qui nous fait payer ce que l’on fabrique et produit, ramassant la plus-value au passage, qui de plus nous fourni un prêt à penser qui l’arrange évidemment en le crédibilisant, nous coupe de ce que nous sommes et de la manière dont nous devrions gérer nos affaires.
Si on joue le jeu, ça facilite, on ferme les yeux sur pas mal de choses et ça roule...Il faut qu’on remouille la chemise et dans mon esprit c’est pour plus de solidarités et de liens certes mais pour une société ouverte, inclusive, émancipatrice et sérieuse.
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nono le simplet 25 novembre 2019 03:46c’est à cause ( ou grâce à) d’articles comme celui là qu’Agoravox est classé comme un site d’extrême droite ...
boulevard voltaire y a ses entrées, fdesouche aussi ...
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nono le simplet 25 novembre 2019 07:35@alexis42
toujours dans la démesure alexis ...
tu classes Le Monde et Libé à gauche ... ça me fait rire ainsi que pemile ... mais de là à nous faire dire qu’ils sont plus à droite que le Figaro il y a un immense fossé que tu n’hésites pas à nous faire franchir avec la mesure dont tu es coutumier ... -
@nono le simplet
qu’Agoravox est classé comme un site d’extrême droite ...
La faute à qui ? Si les 30 Partis de Gauche et d’Extrême Gauche s’unissaient et se bougeaient les fesses pour défendre la souveraineté, la laïcité et l’intérêt général, nous n’en serions pas là ...
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Le FN a très bien compris le vide provoqué par les divisions de la Gauche, il joue sur du velours et défend les revendications ! Mitterrand a pris le risque de pousser le FN dans les médias pour diviser la Droite, et qu’il serve d’épouvantail à moineaux à chaque élection.
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Voilà que l’épouvantail a maintenant un programme de Gauche et joue au syndicat.... Brillant stratagème, merci Mitterrand ! Et les pompiers pyromanes qui viennent couiner, après avoir profité pendant 40 ans de l’épouvantail lors des élections. La Gauche n’a honte de rien, c’est même à ça qu’on la reconnaît. -
nono le simplet 25 novembre 2019 08:00@Fifi Brind_acier
La faute à qui ?tiens une autre cocasserie ... un groupe de militants upr qui m’explique que c’est la faute à la gauche si AVX est classé comme un site d’extrême droite ...
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nono le simplet 25 novembre 2019 08:04@nono le simplet
remarque, j’avais oublié qu’à l’upr on considérait que les démocrates américains sont de gauche ... -
@nono le simplet
Vos copains classent Agoravox à l’extrême droite parce que l’extrême droite peut s’y exprimer. Mais la gauche s’y exprime également : la gauche serait-elle aussi d’extrême droite pour vos copains ?
De toute façon, on se contrefous de ce que pensent vos copains..
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nono le simplet 25 novembre 2019 08:13@Attila
Vos copains classent Agoravox à l’extrême droite« mes copains » ? non, non, pas « mes copains » ... un peu tout le monde ... et présent depuis 2 ans je remarque cette dérive, tant dans les articles que dans les commentaires ... et je ne parle même pas du complotisme ...
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@nono le simplet
Le Figaro est un journal de Droite, avec des valeurs de Droite.
Les autres sont le haut parleur des néo cons américains, c’est à dire de la Gauche Démocrate et de tous les crincrins des campus américains.
Là encore, ce sont les questions sociétales qui les départagent.
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Par exemple, France culture explique que " si les statues grecques sont blanches, c’est parce que l’Occident est irrémédiablement raciste, intolérant et rétrograde.«
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Quant aux questions internationales, ou qui touchent à des sujets politiquement sensibles, ils disent tous la même chose, ils ont tous le même sponsor.
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Par exemple, dans l’émission C’ dans l’air, les »experts agréés« sont tous pro OTAN, pro UE, anti Trump, anti Russes, anti Brexit, anti Frexit.
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Ce qui est la ligne politique des Démocrates américains et de la partie de »l’état profond" qui est anti Trump. Et c’est pareil, dans tous les médias. -
@nono le simplet
j’avais oublié qu’à l’upr on considérait que les démocrates américains sont de gauche ...C’est ainsi qu’ils se définissent eux-mêmes. C’est aussi ce que nous fait croire la Gauche française depuis Mitterrand, qui est européiste jusqu’au trognon, et qui ferait mieux de se dire de Droite, les choses seraient plus claires.
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@nono le simplet
et je ne parle même pas du complotisme ...
Et c’est quoi être complotiste ? Si c’est informer des mensonges des dirigeants et du dessous des cartes que l’on cache aux citoyens, ce n’est pas du complot, de faire oeuvre de salubrité publique... -
@Fifi Brind_acier
’’Si les 30 Partis de Gauche et d’Extrême Gauche s’unissaient et se bougeaient les fesses pour défendre la souveraineté, la laïcité et l’intérêt général, nous n’en serions pas là ...’’
Traduction : si toute la gauche votait pour l’UPR.
C’est affligeant de voir un diviseur du peuple dire ça. Le clivage Pro-UE anti-UE n’est qu’un clivage supplémentaire parmi tant d’autres, savamment entretenus par les parasites politiques de tous poils qui courent après les prébendes largement dispensées par un pouvoir qui ne règne qu’en divisant le peuple.
Il n’y a qu’à voir comment vous traitez les intellectuels de gauche pour comprendre où vous êtes. -
nono le simplet 25 novembre 2019 08:36@JL
Il n’y a qu’à voir comment vous traitez les intellectuels de gauche pour comprendre où vous êtes.bien vu
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@JL
Le clivage Pro-UE anti-UE n’est qu’un clivage supplémentaire parmi tant d’autres,
Justement, ce n’est pas un clivage parmi d’autres.
C’est le clivage essentiel entre les larbins du capitalisme mondialisé et ceux qui veulent vivre dans un pays indépendant et souverain.Pour défendre l’intérêt général, et redonner à la démocratie son sens premier : les Français doivent décider des lois qui doivent s’appliquer en France.
Et pas des lois décidées par Commissaires de pays étrangers élus par personne, en fonction de Traités qui vont à l’encontre des intérêts du pays et de ses habitants.
Pourquoi êtes-vous favorable à un Etat palestinien indépendant et souverain ?
Ce n’est pas bien d’être colonisé ? C’est vachement bien, non ? -
@nono le simplet
Et oui c’est terrible il y a des opinions différentes des vôtres qui s’expriment sur ce site, je comprends votre souffrance de grand démocrate, quelle horrible dérive ! -
@Fifi Brind_acier
Si les 30 Partis de Gauche et d’Extrême Gauche s’unissaient et se bougeaient les fesses pour défendre la souveraineté, la laïcité et l’intérêt général, nous n’en serions pas là ...: si vous précisez derrière l’UPR, ce serait encore plus compréhensible pour nono.
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@nono le simplet
Il n’y a qu’à voir comment vous traitez les intellectuels de gauche pour comprendre où vous êtes.Je les traite de bras cassés, qui vivent hors sol, comme si la France était un pays indépendant et souverain. Yaka fokon. Ils se fatiguent pour rien, ce qu’on doit faire est écrit dans les Traités européens, comme le Pacte de stabilité et de croissance, qui ne provoque ni stabilité, ni croissance...
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La conséquence des Traités, « c’est qu’il n’y a plus de politiques intérieures nationales, mais uniquement des politiques européennes ».
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S’ils veulent faire une autre politique, ce qui est tout à fait louable, il faut sortir de l’UE et de l’euro, ce qu’aucun ne propose. Il ne suffit pas d’avoir des idées géniales ou un programme génial, encore faut-il qu’ils soient réalisables, et dans l’UE, ils ne le sont pas.
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C’est ce qu’explique ce fonctionnaire européen, qui, en 3 minutes, démonte la stratégie de vos super intellectuels de Gauche. -
@leypanou
si vous précisez derrière l’UPR, ce serait encore plus compréhensible pour nono.L’UPR n’était pas inéluctable ! Si la Gauche, la Droite ou le Centre avaient eut le courage de défendre la souveraineté et un programme satisfaisant pour la majorité des Français, il est fort probable qu’Asselineau n’aurait pas eu besoin de créer l’ UPR !!
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C’est bien parce qu’ils sont tous européistes jusqu’au trognon, et vassalisés jusqu’à la moelle par l’ OTAN, qu’Asselineau a décidé que ça suffisait, qu’il fallait aider les Français à sortir de la propagande euro-atlantiste, les informer sur le dessous des cartes, et les aider à sortir du piège européen.Asselineau a bien d’autres centres d’intérêts dans la vie, c’est un passionné de voyages, en particulier un passionné du Japon, et des cultures asiatiques.
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@Cadoudal « On trouve même des défenseurs de Boris sur Le Monde, tout fout le camp...lol... »
Toujours caché sous son futon ton vaillant pote Boris ?
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@eau-pression
Le travail de l’UPR, c’est d’imaginer la vie en commun sans la représentativité
Pas compris.Vous parlez de quoi ? Des modifications de la Constitution ou du Référendum d’Initiative Populaire qui ne vous convient pas ?? -
@cettegrenouilleci
C’est ta perception, je la respecte, mais je n’ai jamais attaqué les électeurs ou les syndiqués, sinon pour dire qu’ils se font manipuler par les médias, et qu’ils devraient lire les programmes avant d’aller voter.Quand je parle des « intellectuels » de Gauche, ils savent très bien que je parle de Lordon, Sapir, Piketty, ou François Boulo, et pas des électeurs.
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@nono le simplet. Avant que Le Monde ne devienne Li mMonde, voici quarante ans ou plus, je m’étais alerté quand je l’ai vu coqueriquer qu’il jumelait avec Aftenposten, quotidien conservateur de Norvège.
En 1968, Aftenposten relayait en rédactionnels la campagne électorale de Høyre, det største borgelige parti, très pro-NATO, par exemple.
Traduction : Droite, le plus grand parti bourgeois.
Mais bon, chaque jour Aftenposten donnait une bande des pinottes, où seul Snoopy résistait à Lucy. En version traduite de l’anglais. -
@nono le simplet
« c’est à cause ( ou grâce à) d’articles comme celui là qu’Agoravox est classé comme un site d’extrême droite … »
Par qui ? par la « gauche » ?
Sinon, votre phrase dit que les article publiés sur cette ligne très droitière définissent l’identité du site : est-ce parce que les (beaucoup plus nombreux) articles défendant une autre ligne sont très mauvais ?En ce qui me concerne, je ne le crois pas, ce site n’a pas de « ligne » éditoriale politique, il permet à tous de s’exprimer, et c’est ce qui fait sa richesse.
Votre phrase est inquiétante, dans la droite ligne du post-modernisme : « ne donne pas la parole à l’autre, c’est un oppresseur ». Et pire « si tu donnes la parole à l’oppresseur, alors tu es toi aussi un oppresseur ». Le goulag n’est pas très loin...
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nono le simplet 25 novembre 2019 17:25@Kapimo
En ce qui me concerne, je ne le crois pas, ce site n’a pas de « ligne » éditoriale politique, il permet à tous de s’exprimer, et c’est ce qui fait sa richesse.décidément ... je ne parle pas de mon opinion ... si je pensais le contraire, je serais parti depuis longtemps ... mais les adeptes de l’extrême droite s’y expriment quand même beaucoup avec des propos racistes, xénophobes souvent choquants qui ne sont pas supprimés ... cette liberté d’expression là, qui, en passant est contraire à loi autant qu’à la charte, a quelque chose qui peut inciter le premier passant venu à faire cette conclusion ...
je ne suis pas choqué quand on me traite de con, ça me fait même rire mais quand je lis « sale bougnoule » ou pas mal d’autres expressions du même genre, là je le suis ... cela dit je ne signale pas ces écrits mais je me demande si j’ai raison de les laisser se banaliser ... -
@Cadoudal
Encore la référence bidon à Hafsa Askar, qui n’existe que sur les sites néo-nazi...lol...Ça fait des dizaines de fois que vous la radotez.
Bien sûr, la citation originale n’existe nulle part. C’est de la pure infox.
Au lieu de répéter toujours les mêmes conneries de façon obsessionnelle, allez donc soutenir vos copains qui sont en train d’être jugés après s’être faits passer pour des policiers.
Ils risquent 6 mois de prison...lol...
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nono le simplet 25 novembre 2019 17:47@Cadoudal
bon alors ... au lieu de raconter des conneries comme le dit desintox, tu les a lu ces livres sur les chouans ? -
@eau-pression
l’UPR n’est pas vraiment un parti. Si c’est bien vrai, je vous encourage à insister la dessus.Oui, bien sûr, l’ UPR n’est pas un Parti politique, pas plus que le CNR n’était un Parti politique ! C’est un rassemblement provisoire, destiné à être dissout, une fois sa mission réalisée. Ensuite chacun reprendra ses billes et voguera où il voudra.
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Il s’agit de rassembler tous ceux qui sont favorables à l’indépendance et à la souveraineté de la France, quelles que soient leurs opinions politiques par ailleurs.
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Pour adhérer à l’ UPR, il faut être d’accord avec sa Charte fondatrice, et payer 30 euros par an, ou moins, selon les revenus. -
@nono le simplet
mais les adeptes de l’extrême droite s’y expriment quand même beaucoup avec des propos racistes, xénophobes souvent choquants qui ne sont pas supprimés ..Vous avez raison, mais s’ils ne s’expriment pas ici, on les retrouve ailleurs dans les médias, et pas qu’un peu !
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Il me semble que la responsabilité en revient à Macron, qui a décidé que le FN était son adversaire préféré (Mélenchon en sait quelque chose), qu’il ne fait pas grand chose pour neutraliser les salafistes et les problèmes en banlieues, et qu’il profite des débats diviseurs du FN pour faire passer ses réformes.
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Zemmour, condamné à plusieurs reprises, tient le crachoir tous les soirs sur CNews, sans le CSA ne moufte, il a sa chronique quotidienne dans le Figaro, et peut-être ailleurs, sans que personne n’y trouve rien à redire. Il y a bien des décisions, ou des non décisions, en haut lieu, pour que les choses se passent ainsi. -
Le titre : Le progressisme est de droite
La conclusion : Si la droite échoue à réintégrer sa dimension progressiste.
Vos théories sont niées par les faits ?
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@pemile
« Vos théories sont niées par les faits ? »Et sans doute le propos nais par le fond...
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Encore faudrait-il s’entendre sur le terme « civilisation », qu’on pourrait entre autres définir comme étant une dynamique en expansion.
La civilisation européenne, disons gréco-latine, a cessé d’exister dans les tranchées de Verdun, de là débute sa véritabie disparition.
Au profit de la civilisation anglo-saxonne adoptée par facilité, veulerie, naîveté ou intérêt bien compris.
Au mieux ne reste de la civilisation européenne qu’une culture, bientôt une sous-culture hypnotisée par le mercantilisme.-
@pasglop
Encore faudrait-il s’entendre sur le terme « civilisation »
Et aussi « identité » que certains emploient comme synonyme de « civilisation ».
Ils se gardent bien d’en donner une définition, ou alors si on les titille, ils finissent par dire que « l’identité et la civilisation » de la France, « c’était avant 1789 ».
« Depuis, la République a tout perverti, et l’ islam va l’achever ! »Mais il faut poser la question à chacun, c’est pas certain qu’ils aient tous les mêmes définitions...
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...Les progressistes inventent des idées, les conservateurs les refusent puis les défendent 1 siècle plus tard...
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Inepte du début à la fin. L’auteur part sur des prémisses qui ne sont pas démontrés, et finit par une inversion du sens des mots. Aucun intérêt.
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Au contraire, l’affaiblissement de la droite, discréditée par la grande crise de 29 et le nazisme, a permis de réels progrès.
Ensuite, les gens ont oublié, et la droite est revenue.
Depuis, tout va mal.
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Monsieur d’Aspremont bonjour,
La gauche comme la droite sont des carcans dans lesquel l’argent veut nous enfermer pour nous rendre plus esclaves encore.
Macron n’est ni de gauche ni de droite, il est la marionette que l’argent a mis au pouvoir pour spolier les français de leur liberté, de leur égalité, de leur fraternité. Le reste de son gouvernement n’est que l’outil pour facilité la répression.
La collusion de la soit disant droite et de l’extrême droite est le moyen qui facilite la violence pour mieux détruire la démocracie.
La mise en place de théocracies qui prônent soit disant la paix ou la guerre, pour mieux nous imposer les intégrismes terroristes et déstabiliser les démocracies d’Europe.
Tant que les citoyens ne reprennent pas le pouvoir à l’argent et à ceux qui le détiennent, l’esclavage sera la loi.
Combien de travailleurs se sont suicidés sur les dix dernières années grâce au capital ?
La kahuzakisation de la politique, la gohnisation de l’économie tuent.
Merci au politiciens irresponsables jouissant de l’immunité pour leurs exactions.
Le progrès n’est ni de gauche ni de droite, il n’est pas oeuvre des tchandalas, il n’est que le fruit des créatifs, des surhommes, des vrais aristocrates comme dirait Nietszche.
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L’idée générale est reprise du moustachu au strabisme convergent illustré en début de l’article : le christianisme aurait « tari la volonté de progrès » qui existait auparavant en sciant les ailes aux forts et en donnant l’espoir aux faibles. Bon, eh bien la civilisation occidentale aurait alors du être la plus retardataire, la moins inventive et entreprenante de toute la planète.
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