Le public c’est nous !
Le public fait partie du bien commun, que ce soit les services publics, les entreprises publiques, ou le domaine public. Les bénéfices que ces services et connaissances procurent sur le long terme sont conséquents. Ceux qui se veulent honnêtes ou ceux qui cherchent la vérité peuvent défendre ce bien commun.
Quand un politicien orateur chargé d’amadouer la population ne défend pas le bien commun, il utilise le manque de citoyenneté et d’honnêteté des administrés qu’il gère. Les orateurs ne font que donner ce qu’attendent les citoyens, afin de répondre dans l’immédiateté, parce qu’ils n’ont pas de pouvoir sur la monnaie. Ils acceptent la privatisation de la monnaie parce que ceux qui possèdent la monnaie nous corrompent tous, notamment par le libéralisme.
La création monétaire appartient aux banques privées, qui ne passaient leur temps qu’à créer de l’argent jusqu’à 2014. Maintenant c’est sauve qui peut. Au même titre que la crise des subprimes, les banques sont en train de compenser les produits dérivés. La monnaie virtuelle de la spéculation est en train de détruire l’économie physique. L’euro et le dollar n’ont plus de valeur physique.
Nos politiciens ont été formés pour nous piéger. Ils disent "Oui mais les lois", sauf qu’il n’y a plus de moyen pour gérer des lois souvent mal faites, parce qu’inutiles économiquement. On peut citer comme démagogiques l’ensemble des lois créés pour les lobbies de la pharmacie, de la médecine, de la guerre, de l’informatique, du blé, de la cigarette, etc. Beaucoup de ces lobbies étaient ou sont devenus privés. Seul l’armée peut sembler publique. Cependant cette armée est en état de démantèlement. Elle sert aussi la finance privée au lieu d’aider au développement et donc à la paix.
Beaucoup de ces politiciens sont corrompues par l’argent facile, car il n’y a jamais eu autant d’argent qu’en ce début d’année 2014. D’ailleurs beaucoup de pays ont été corrompus par nos euros, livres ou dollars privés, sans réelle valeur productive, juste une valeur sensitive.
Maintenant on essaye de détruire les pays avec leur fausse dette maintes fois payée. Ce n’est qu’une sensation de pouvoir financier que les pays payent de la part de la finance. Il va être difficile pour la finance de se réfugier en Chine. Mais elle est en train de corrompre les chinois avec les paradis fiscaux. La finance pourra aller en Russie pour utiliser le développement grandissant de la Russie, afin de s’accaparer leur argent croissant en valeur productive. Par contre la finance est nantie et devra se cacher. On appelle cela la gloire. C’est de lâcheté et de cupidité qu’il s’agit.
Il est facile d’inverser la tendance. Avec le Glass-Steagall on liquide l’argent sale. Avec la monnaie et le crédit productif publics on recrée les industries et les grands travaux. Les chômeurs n’attendent qu’à travailler. Nos chercheurs préfèrent trouver que chercher des budgets ou du travail. Les enfants préfèrent aussi montrer ce qu’ils font de mieux, plutôt que de passer leur temps à comprendre de la simplicité évidente ou de l’abstrait inutile.
- Mouvement pour le Glass-Steagall – Photo AR Mac Lin
Les municipalités pouvaient, sans argent public, créer des régies publics. Une entreprise de bâtiment public aurait permis d’empêcher la montée des prix de l’immobilier en partie. Il est cependant nécessaire de défendre le Glass-Steagall et la monnaie publique pour retrouver des banques productives, dépendantes d’une monnaie productive, finançant des projets productifs et scientifiques. C’est l’argent privé qui crée des riches propriétaires s’accaparant des immeubles entiers.
Avec des industries pharmaceutiques publiques, il n’y aurait pas de médicaments inutiles ou inefficaces. Le silicium organique serait par ailleurs connu des médecins. Ce médicament naturel nécessiterait juste de manger des orties, de la prêle, des oignons jaunes ou rouges, de l’ail, des peaux. Ainsi on se régénérerait. Avec une médecine et une pharmacie publiques il y aurait en plus de la prévention. Rien qu’un site public d’informations préventives, géré par des citoyens indépendants, permettrait d’organiser de la prévention.
Les métiers tendant vers l’individualisation devraient être publics. On peut citer les postes, la formation, la médecine, la politique et les voituriers qui s’enrichissent de plus en plus quand on individualise leurs concitoyens. Beaucoup de ces métiers passent par le privé. Le métier de politicien nécessite la présence de petits partis de citoyens scientifiques, philosophes, cherchant la vérité sur notre histoire. Solidarité et Progrès en fait partie.
http://www.solidariteetprogres.org/mobilisation-glass-steagall#voeu
http://www.appel-glass-steagall.fr
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