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Accueil du site > Tribune Libre > Le Scandale du Rivotril

Le Scandale du Rivotril

“L'état de crise permanent” que nous vivons depuis 2 ans, a jusqu’ici permis au pouvoir en place de continuer son rouleau compresseur sans permettre à quiconque de dresser un bilan. Nous avons détaillé beaucoup de points sur cette chaîne au fur et à mesure des remontées de données. Parmi tous les éléments utilisés depuis 2 ans pour entretenir la psychose, le scandale du Rivotril est unique en son genre. Il ne s’agit pas d’une arnaque de comptage comme nous avons pu le voir sur les tests ou la surdéclaration dans les hôpitaux, mais bien de personnes qui sont décédées parce qu’on leur a injectée cette substance, sous prétexte d’une suspicion d’infection au Covid-19. Il y a donc une vraie hausse artificielle de mortalité, qui a pu être déclarée très commodément “causée” par la maladie.

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lien vers la vidéo : https://youtu.be/E2I6Q9wyWf0

L’audition à l’assemblée nationale : le scandale aurait dû éclater en juillet 2020

Le mardi 7 juin 2020 à partir de 17 h a eu lieu un session extraordinaire de l’assemblée nationale qui a vu les auditions de Mme Astrid Petit, membre de la direction fédérale de la fédération Santé et action sociale de la Confédération générale du travail (CGT) ; M. Gilles Gadier, secrétaire fédéral de la fédération des personnels des services publics et des services de santé Force ouvrière (FO) ; M. Olivier Youinou, co-secrétaire du syndicat Solidaires, unitaires et démocratiques (SUD) santé sociaux solidaires de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Mme Clotilde Cornière, secrétaire nationale de la fédération santé sociaux de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) ; M. Maxime Sorin, conseiller technique pour l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) santé et sociaux public et privé. Le compte rendu est disponible sur internet. 

Le Rivotril est évoqué à partir de la déclaration de M. Olivier Youinou : 

“Je pense que des choix ont été faits, en particulier dans les EHPAD.

Outre la note ministérielle qui a été évoquée, il y a eu le décret n° 2020-360 du 28 mars 2020, « complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », dit décret rivotril. Dans le contexte de la crise liée au covid-19, on a jugé que des patients, essentiellement parce qu’ils étaient âgés, avaient une balance bénéfice-risque qui conduirait les réanimateurs à dire qu’ils auraient du mal à les sortir de la réanimation, mais cela reposait sur des données statistiques et non sur des données réelles, sur des études cliniques.

 

C’est particulièrement vrai au sujet de l’hospitalisation à domicile (HAD) – je pensais qu’Astrid Petit en parlerait. On a mis en place à l’Assistance publique des groupes d’intervention rapide (GIR). Vous imaginez, rien que sur le plan lexical, ce que cela peut vouloir dire – on n’est pas tellement dans le champ hospitalier. Les équipes hospitalières intervenaient dans les EHPAD pour mettre en place un protocole préétabli, faisant notamment appel au rivotril, pour des personnes âgées présentant une dépression respiratoire.”

M. Éric Ciotti,le rapporteur a ajouté : “C’est un protocole de fin de vie.”

M. Olivier Youinou a confirmé : “C’est ce qui a été appelé le « protocole palliatif covid ».”

On apprend à la lecture de ce texte que l’APHP a mis en place des groupes d’intervention rapide dont le but n’était pas de se déplacer pour soigner des patients en détresse, mais bien de leur injecter du Rivotril pour “accompagner” leur fin de vie. Pour mémoire, nous avons déjà montré dans 2 vidéos réalisées grâce aux rapports de l’ATIH, que finalement les hôpitaux français n’ont jamais été saturés en 2020, et plus particulièrement, les services de réanimation non plus. Il est donc pour le moins choquant que l’APHP décide aussi promptement de mettre des moyens humains pour accompagner les décès, plutôt que pour s’occuper des malades. 

Ces groupes d’intervention rapide ont été mis en place à la suite du fameux “décret Rivotril”. L’article 12-3 du chapitre 7 du Décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire qui décrète une dérogation au Code de la santé publique :

La spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention “ Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19

Le Rivotril est un médicament antiépileptique dont l’utilisation n’a habituellement rien à voir les infections respiratoires, ni l’accompagnement palliatif par sédation. Dans la notice du Vidal, il est mentionné comme contre-indications :

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :

Insuffisance respiratoire grave,

Syndrome d'apnée du sommeil,

Insuffisance hépatique grave,

Myasthénie.

Ainsi, la dérogation du décret ne propose pas l’utilisation d’un sédatif, mais d’un médicament déclenchant l’arrêt de la respiration du patient et donc son décès anticipé. Il s’agit donc d’un protocole de fin de vie sans demander l’avis du patient, et pour lequel il suffit que le patient soit soupçonné d’être atteint du SARS-COV-2, ce qui ouvre la voie à toutes les dérives possibles.

Il est donc nécessaire de savoir combien de personnes âgées ont “bénéficié” de cette mesure, ainsi que son impact sur les statistiques de mortalité.

L’accélération des décès en Ehpad

Le décret Rivotril a eu cours du 28 mars au 11 mai 2020. Cette période est précisément celle avec le plus fort nombre de décès quotidiens depuis la canicule de 2003. 

L’analyse des ventes de Rivotril en pharmacie dans sa forme injectable, disponibles sur la base Médic’AM, reflète l’ampleur de l’utilisation de ce produit (Figure 1).

Figure 1 : Base remboursable mensuelle de Rivotril injectable distribué en pharmacie

Ainsi, contrairement aux antibiotiques, dont la vente a chuté suite aux directives du gouvernement, les ventes de boîtes Rivotril dans sa forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril, relativement à la moyenne observée entre 2017 et 2019. Cette augmentation sur mars-avril représente 1700 boîtes du produit vendues en plus de l’habitude (Figure 2). 

Figure 2 : Nombre de boîtes de Rivotril injectable distribuées en pharmacie chaque mois

Précisons que chaque boîte contient 6 ampoules dont une à 2 sont utilisées par patient dans le cadre d’une fin de vie. Ces statistiques ne reflètent que partiellement l’utilisation de cette molécule, car elles ne prennent en compte que les doses distribuées par les pharmacies de ville, et donc pas celles en provenance directe de l’hôpital. Depuis le début de la crise Covid, soit entre mars 2020 et mars 2021, 8 200 boîtes supplémentaires à l’habitude qui ont été vendues, soit plus de 48 000 ampoules.

De la même manière, les ventes de Valium injectable, qui sert classiquement à accompagner la fin de vie, ont explosées en mars-avril 2020.

Au total 5 000 boîtes de plus ont été vendues sur la période. Comme le Rivotril, cette habitude a visiblement perduré dans le temps. Plus de 22 000 boîtes supplémentaires à l’habitude ont été distribuées par les pharmacies entre mars 2020 et mars 2021.

Pour tenter de mesurer l’impact de cette décision de privilégier la fin de vie plutôt que le soin, nous pouvons comparer l’évolution des décès quotidiens en Ehpads toutes causes confondues depuis les données de l’INSEE à celles déclarées comme “Covid-19” sur le portail data.gouv.fr (sur lequel on remarque que désormais les données des Ehpads ont été masquées pour la période avant l’été 2020, mais que l’on peut retrouver en utilisant les archives du web)

Cette comparaison des décès déclarés Covid-19 et des décès toutes causes dans les Ehpads présente ainsi des incohérences massives (Figure 3). Par exemple, autour du 31 mars, la quasi-totalité des décès des Ehpads sont enregistrés dans les statistiques Covid-19 alors que moins de la moitié des départements français connaissent une surmortalité et sont considérés touchés par cette pathologie.

Figure 3 : Nombre de décès quotidiens en établissement médicalisé en France

On constate que les remontées de décès Covid-19 arrivent massivement au moment de la promulgation du décret dérogatoire concernant le Rivotril. De plus, même après la fin de la période de surmortalité française à partir du 1er mai, des décès Covid-19 ont bien été enregistrés dans les Ehpads jusqu’à la fin de la validité du décret.

Il est évident qu’une intervention médicamenteuse ayant pour conséquence d’accélérer le décès de patients en fin de vie, a des répercussions sur les statistiques de décès. Dès lors, la “surmortalité” constatée sur courte période n’est pas le signe d’un plus grand nombre de décès à moyen terme, mais uniquement d’un regroupement artificiel de décès sur les mêmes dates.

Sur la période du 28 mars au 30 avril, la surmortalité en EHPAD comparativement à la moyenne 2017-2019 est d’environ 5100 personnes. Pendant cette période, 1700 boîtes de Rivotril ont été distribuées en plus de l’habitude. Chaque boîte contient 6 ampoules dont jusqu’à 2 sont utilisées pour “accompagner” un décès. Il y a donc potentiellement 3 décès par boîte, soit 5100 décès anticipés.

Si on considère que l’utilisation du Rivotril a accéléré le décès des personnes qui ont bénéficié de ce “traitement”, alors la totalité de la surmortalité en Ehpads sur cette période peut s’expliquer par l’utilisation du Rivotril en lieu et place des traitements habituels.

Le non soin à l’hôpital

Les hôpitaux ont commencé à remonter des décès Covid-19 à partir du 18 mars 2020 (Figure 4, courbe orange). On constate, en effet à partir de cette date, une augmentation du nombre de décès dans la mortalité générale de l’hôpital (courbe grise).

Figure 4 : Nombre de décès quotidiens à l'hôpital en France

Le nombre de décès enregistrés à l’hôpital entre novembre 2019 et février 2020 est en moyenne de 931 par jour. Ce nombre a bien été franchi quotidiennement à partir du 18 mars 2020, date à laquelle les hôpitaux ont commencé à remonter des décès liés à la Covid-19, et jusqu’au 18 avril 2020, avec un maximum à 1 345 le 31 mars 2020. Durant cette période entre le 18 mars 2020 et le 18 avril 2020, le nombre de décès à l’hôpital est passé en moyenne à 1 150 par jour. Cela représente donc 200 décès de plus par jour par rapport à l’habitude. Pendant cette période, le nombre de décès identifiés Covid-19 a été de 370 par jour en moyenne. Ainsi, le nombre de décès remontés déclarés Covid-19 est 2 fois plus élevé que l’augmentation du nombre de décès total constatée.

À partir du 18 mars, plus les hôpitaux remontent de décès liés à la Covid-19 et moins ils remontent de décès liés à d’autres pathologies. On voit nettement la courbe bleue baisser lorsque la courbe orange augmente et inversement.

Au bilan, la surmortalité hospitalière représentant le surnombre de décès à l’hôpital sur la période du 18 mars au 30 avril 2020 est de 7 170 personnes. Ce nombre est 2 fois plus petit que le nombre de décès attribués à la Covid-19 par l’hôpital sur cette période : 14 283. Il semble donc y avoir un sérieux problème de surévaluation statistique.

Du côté de la surévaluation statistique, le site géodes précise le changement de comptage opéré à partir du 31 mars 2020 : Jusqu’au 31/03, les instructions aux établissements de santé pour créer un dossier patient dans SI-VIC étaient un diagnostic de COVID-19 confirmé biologiquement.

Depuis le 31/03, les établissements de santé doivent saisir systématiquement dans SI-VIC les patients hospitalisés présentant un diagnostic de COVID-19 confirmé biologiquement OU une TDM thoracique évocatrice de diagnostic de COVID-19. Toutefois, un établissement peut créer un dossier patient sur une base de forte suspicion clinique ou d’une imagerie évocatrice, puis effacer ultérieurement le dossier si le test s’avère négatif.

On observe que le nombre de décès Covid-19 remontés par les hôpitaux dans la semaine du lundi 23 mars 2020 au dimanche 26 mars 2020 est de 282 en moyenne. Cette moyenne explose à partir de la semaine suivante pour passer à 469, puis 480, avant de commencer à redescendre avec l’arrivée des beaux jours. On ne peut pas écarter l’hypothèse que l’augmentation très forte visible fin mars vienne uniquement du changement de la stratégie de comptage où toute personne qui tousse est comptabilisée Covid-19.

Il reste cependant une surmortalité de 7000 personnes sur la période. Deux membres du Conseil Scientifique, Arnaud Fontanet et Simon Cauchemez ont publié un article dans Science utilisant les données hospitalières françaises et notamment le nombre de jours entre la prise en charge du patient et son décès. Les courbes les plus intéressantes ont été supprimées de l’article principal, mais sont toujours disponibles dans les données complémentaires. A la page 16 est détaillé le nombre de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant de décéder (Figure 5).

Figure 5 : Délai entre l'entrée à l'hôpital et le décès

Ainsi, 17 % des patients décèdent le jour même de leur arrivée à l’hôpital. On observe d’ailleurs une très forte différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2, illustrant qu’une grosse partie des arrivées n’est plus “sauvable”. Ces 17 % de patients arrivés trop tard parmi les 17 000 de l’étude représentent 2800 personnes. Si on considère qu’un décès dans les 3 premiers jours d'hospitalisation révèle la prise en charge de ces personnes “non sauvables”, le total de décès concerné est alors de 6 000. Pour mémoire, nous avions vu que la surmortalité à l’hôpital sur cette période est de 7000 personnes. Ainsi, la quasi-totalité de la surmortalité hospitalière s’explique par ces décès précoces.

Or, l’hôpital a également appliqué la directive “Rivotril” et a donc administré ce produit de manière importante pour accélérer le décès des patients suspectés de Covid-19. Cependant, il est impossible aujourd’hui de savoir combien de patients ont “bénéficié” du “traitement au Rivotril” sur cette période puisque les statistiques hospitalières ne sont pas diffusées.

Il serait très intéressant pourtant d’ouvrir une enquête pour savoir combien de médecins ont utilisé ce protocole et combien de fois

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

Nous avons vu en début de présentation que l’APHP (les hôpitaux de Paris) ont mis en place des Groupes d’Intervention Rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’ïle-de-France. Or la fameuse “surmortalité” de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en île-de-France.

Pour s’en rendre compte, nous pouvons mettre à la même échelle les décès dans tous les départements français (nous avons centré par la moyenne et réduit au quartile les données des décès depuis 2018, chaque point représente le nombre de quartiles d’écarts par rapport à la moyenne).

Nous avons matérialisé en jaune les périodes de confinement français.

 

On observe bien des pics de décès impressionnants dans les 8 départements d’île-de-France sur la période de mars-avril 2020. Les pics sur cette période sont tous compris entre 5 et 9 fois le premier quartile de décès.

 

Ces pics de décès de mars-avril n’existent quasiment nulle part ailleurs. Par exemple, il n’y en a pas eu du tout en Bretagne.

Ni même dans aucun des 12 départements de Nouvelle-Aquitaine.

 

Ni dans aucun des 13 départements d’Occitanie.

En Auvergne Rhône-Alpes, seul le département du Rhône, dépendant des hôpitaux de la métropole lyonnaise, est concerné.

Au total, en dehors des 8 départements franciliens, seuls 5 départements présentent au moins une journée dont l’écart à la moyenne est au moins supérieur à 4 quartiles (Rhône, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Moselle et le Nord). Il est donc urgent de libérer les données de délivrance de Rivotril par les hôpitaux pour vérifier à quel point ces hausses de mortalité ne sont pas uniquement du fait de la stratégie choisie. Chacun comprendra que quand on ne soigne pas les gens, ils survivent moins bien, mais pire, quand on les euthanasie, ils ont tendance à mourir.

 

Nous avons remarqué que la vente de Rivotril n’est jamais redescendue à son niveau normal (Figure 2). De fait, un décret du 31 mai 2020 a repris à l’identique les dispositions du décret du 23 mars 2020, suivi encore par un décret du 16 octobre 2020. Entre mars 2020 et mars 2021, 8200 boîtes supplémentaires à l’habitude qui ont été vendues par les pharmacies, soit plus de 48 000 ampoules. Elles représentent 24 000 décès anticipés, tout cela sans prendre en compte le nombre de doses délivrées directement par les hôpitaux.

 

Il est visible que les hausses de mortalité ont lieu dans des endroits très précis, et aux moments où sont délivrés en grand nombre des produits servant à euthanasier des patients. Il est donc plus qu’urgent d’ouvrir une enquête, en exigeant l’accès aux données des médicaments injectés à tous les patients, hospitalisés, en Ehpad ou à domicile depuis 2020. Il est nécessaire d’interroger le petit nombre de praticiens qui semble faire une forte utilisation du Rivotril. Cette substance n’a jamais été un médicament distribué à grande échelle pour soigner des gens, mais il a bien été utilisé pour mettre un terme à la vie de patients sans leur consentement, dans des endroits très précis, et sous prétexte sanitaire. C’est un des plus gros scandales que nous vivons depuis 2 ans. A la fois ces gens n’ont jamais demandé à être euthanasiés de la sorte, loin de leur proche, mais en plus ces morts ont servi à entretenir la panique en gonflant artificiellement la mortalité de 2020. Quand il n’y a pas assez de morts pour justifier la psychose, on trouve des serviteurs zélés pour y remédier.


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77 réactions à cet article    


  • Adèle Coupechoux 11 mai 2022 13:33

    Tout ceci donne le vertige. Merci pour ce rapport fouillé.

    Une véritable gabegie et pas seulement avec le Rivotril pour en plus « euthanasier », la vaccination elle aussi de masse imposée brutalement a elle aussi rapporté à ses vendeurs comme les test d’ailleurs :

    https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-le-cout-faramineux-des-vaccins-pour-la-secu-en-2021-1415280

    " La campagne de vaccination contre la Covid-19 aura coûté presque tout autant que les tests de dépistage à la Sécurité sociale, soit près de 6 milliards d’euros en 2021.«  »Quant aux tests, s’ils auront coûté 6,2 milliards d’euros en 2021, leur prise en charge par la Sécurité sociale devrait diminuer l’année prochaine, puisqu’à partir du 15 octobre, seuls les tests sur prescription médicale seront remboursés par l’Assurance maladie. Le montant des tests PCR et antigéniques pris en charge pour les personnes malades et cas contacts est estimé, dans le budget de la Sécu pour 2022, à 1,6 milliard d’euros.

    « 

     » L’année prochaine, près de 5 milliards d’euros seront consacrés à la poursuite de la campagne de vaccination et à la lutte contre l’épidémie via la stratégie “tester, alerter, protéger”. Dont 3,3 milliards d’euros pour la prise en charge par l’Assurance maladie de la campagne de vaccination et des achats de vaccins. "


    • Clocel Clocel 11 mai 2022 13:55

      Allons ! Allons ! Faut pas distraire le chaland, le sujet c’est l’Ukraine où ces salauds de russes... 

      Les médias, quelle belle lessiveuse, t’as un slip tout merdeux éligible au pressing, don’t worry man, Babylone va lui refaire une santé !


      • Ecométa Ecométa 11 mai 2022 14:15

        Entre le décret d’interdiction de prescrire, avec l’explosion du nombre de décès à domicile en 2020, et le décret concernant le Rivotril ; tout ceci fait que le gouvernement de l’époque à des morts sur la conscience... encore faudrait-il qu’il ait eu de la conscience !

        En ce début de 2022, en regardant les stats de l’INSEE sur les décès, j’ai constaté que pour la tranche d’âge des 0 à 24 ans, du 1 er janvier au 14 mars 2022, il y avait une augmentation des décès de + 14.38 %

        Chiffres relevé à l’Insee en ce début mai 2022. 

        01/01/2022 au 14/03/2022 : 1.225 décès.

        01/01/2021 au 14/03/2021 : 1.071 décès

        Soit une différence de     : 154 décès

        % de 154 / 1.071 = 14.38 % c’est tout de même énorme : non ?

        Ceci pourrait-il être vérifié SVP.


        • leypanou 11 mai 2022 14:56

          @Ecométa
          l’excès de mortalité pour les 18-49 ans est plus pertinent à mon avis car pour la tranche d’âge 0-24 ans, beaucoup ne sont pas piqués.
          Une lecture ici dans ce sens.
          On peut aussi affiner pour les pilotes, les médecins, les sportifs (footballeurs, joueurs de tennis, etc) pas nécessairement morts mais avec des problèmes de santé.
          Cette lecture pour commencer.


        • Ecométa Ecométa 11 mai 2022 20:24

          @leypanou

          C’est faux ils se sont fait piquer bien plus que ce que vous pensez !

          datavaccin-covid.améli.fr 

          de 0-11 ans +3%  
          de 12-17 ans + de 80%
          de 18-24 ans + de 95 %

          Toute tranche d’âge confondue la tranche 18-24 ans est la plus vaccinée en France.


        • bestof32 bestof32 12 mai 2022 20:47

          @Ecométa
          Bonjour, pouvez-vous mettre vos sources en ligne svp (lien par exemple) pour les fainéants comme moi qui ne croient que ce qu’ils voient ? merci.



          • eau-du-robinet eau-du-robinet 11 mai 2022 15:28

            USA Témoignage du procureur Thomas Renz devant le Sénat - L’heure des comptes approche à grands pas
            .
            Espérons que ce soit pareil en France !!! Il est grand temps de faire le ménage et de mettre un terme à cette corruption mafieuse !


            • nono le simplet 11 mai 2022 15:42

              Il y a donc une vraie hausse artificielle de mortalité, qui a pu être déclarée très commodément “causée” par la maladie.

              lol ... une hausse artificielle de la mortalité ? des faux morts quoi ...

              partout en France sauf en Corse où il y a de faux vivants, ce qui compense ...


              • GoldoBlack 12 mai 2022 19:40

                @voxa
                Vos commentaires sont de plus en plus intéressants...


              • I.A. 11 mai 2022 16:06

                Beau travail.

                Très forte augmentation des ventes de Rivotril et de Valium, associée à une baisse drastique des ventes d’antibiotiques macrolides, en mars-avril 2020, avec continuation dans le temps (mars 2021)...

                C’est-à-dire des milliers de morts attribués au Covid, des milliers de mensonges, des milliers de crimes...

                Et seulement une poignée de médecins, une poignée de scientifiques, pour le dénoncer...

                • Parce qu’il faut couvrir les confrères ayant commis la plus grossière erreur de tous les temps (confinements + refus de soins précoces),
                • Parce qu’il ne faut pas « se tirer dans les pattes » les uns des autres,
                • Parce que dénoncer maintenant ne sert plus à rien...

                Du coup le « maintenant » a duré 2 ans et fait de plus en plus de morts, ceci dans toutes les tranches d’âge...

                Parmi les complices silencieux qui ne voulaient pas savoir, ils sont très nombreux à être croyants/pratiquants, savez-vous ?

                Quand je pense qu’ils s’imaginent être parvenu à conserver leur crédibilité... !

                Pour cacher ces crimes, journalistes, politiques et médecins vont désormais produire de l’émotion forte chaque jour, quitte à désintégrer définitivement nos sociétés occidentales, quitte à provoquer une guerre nucléaire : comme Néron, ils ne mourront pas sans entraîner le monde avec eux.

                C’est ça, les cons.


                • Captain Marlo Captain Marlo 11 mai 2022 19:32

                  @I.A.
                  Et seulement une poignée de médecins, une poignée de scientifiques, pour le dénoncer...

                  Et ce sont ceux qui soignent les malades que les pharmaciens doivent dénoncer.

                  Les prescriptions d’Ivermectine etc envers le COVID doivent être dénoncées par les pharmacies


                • Captain Marlo Captain Marlo 11 mai 2022 19:29

                  Merci pour ce travail !

                  Puisque vous nagez dans les statistiques comme un poisson dans l’eau, pourriez vous poursuivre le travail de ce blogueur au sujet du chômage ? Il a arrêté ses analyses des chiffres de la DARES en 2018. Merci d’avance !


                  • Décoder l'éco Décoder l’éco 12 mai 2022 08:22

                    @Captain Marlo
                    Merci à vous !
                    J’ai fait une vidéo explicative sur les chiffres du chômage il y a longtemps : https://youtu.be/Wz2VB2EEMM4
                    C’est une arnaque de plus à la définition. Personne ne connaît réellement le concept de « chômage » et donc tout le monde dit de la merde sur les chiffres.
                    Le 2e effet c’est la balade dans les catégories de chômeurs de pôle emploi histoire de noyer le poisson comme il faut.


                  • Captain Marlo Captain Marlo 12 mai 2022 08:35

                    @Décoder l’éco
                    Merci pour votre vidéo.
                    Une question : quels critères utilise la DARES ?


                  • Décoder l'éco Décoder l’éco 12 mai 2022 17:59

                    @Captain Marlo
                    La DARES ne parle quasiment jamais des chômeurs, mais uniquement des demandeurs d’emplois (donc inscrits à Pôle emploi) selon leur catégorie.


                  • Decouz 11 mai 2022 19:44

                    Le rivotril était utilisé pour certains troubles neurologiques, comme l’épilepsie, mais les rhumatologues le prescrivaient aussi comme anti douleur, pour ma part je m’en servais pour dormir en cas d’insomnie, j’avais constaté l’effet après une prescription par une tendinite. Mais comme il avait un détournement et que certains s’en servaient comme d’une drogue, qu’il y avait des addictions, la prescription est devenue plus difficile (ordonnance spéciale non renouvelable).

                    Si certains malades sont morts faute de soins du fait du Covid, ce n’est pas le rivotril qui en est la cause.

                    A la place du rivotril on aurait pu prescrire n’importe quel autre médicament calmant benzo, opiacé, cannabis, et ces autres produits n’auraient pas plus pu être la cause de la mort.


                    • Décoder l'éco Décoder l’éco 11 mai 2022 21:10

                      @Decouz
                      Les benzo s’ils sont utilisés en cas de détresse respiratoire empêchent le patient de respirer.
                      C’est un peu chiant comme effet indésirable.
                      Derrière vous accusez la détresse respiratoire je suppose...


                    • bubu123 11 mai 2022 21:45

                      @Décoder l’éco

                      voila qu’il est plus médecin que les médecins maintenant smiley


                    • Le bébé de Macon Le bébé de Macon 11 mai 2022 21:51

                      @bubu123
                      N’oubliez pas que tous les travaux de l’auteur sont souvent validés par la communauté. C’est vraiment pas le genre de gars à chercher dans son coin.
                      Il est soutenu ici et... ben en fait ici.


                    • bubu123 12 mai 2022 02:19

                      @Le bébé de Macon

                      tout ce que mérite son torchon c’est une plainte


                    • Captain Marlo Captain Marlo 12 mai 2022 07:30

                      @bubu123
                      tout ce que mérite son torchon c’est une plainte

                      Les dépôts de plainte, c’est dans l’autre sens !
                      Au cours d’un récent entretien diffusé en ligne, le professeur Christian Perronne a mis en avant ce qu’il qualifie de « signaux d’alarme ». Il explique avoir échangé il y a peu avec un pilote de ligne, et ajoute que « 600 pilotes de ligne navigants ont porté plainte » pour « mise en danger de la vie d’autrui ».




                    • Legestr glaz Legestr glaz 12 mai 2022 14:57

                      @bubu123

                      Des arguments en béton armé ! Vraiment solides !

                      Vous vous ridiculisez devant la force d’un tel article qui ne s’appuie « que » sur des chiffres officiels !

                      C’est vraiment ballot pour vous non ? 


                    • bubu123 12 mai 2022 15:11

                      @Legestr glaz

                      je me ridiculise devant un torchon qui traite les médecins d’assassins ?
                      L’auteur ne comprend même pas ce que veut dire soins palliatifs, tout ce qu’il mérite c’est une plainte au cul pour ses accusations mensongères


                    • Legestr glaz Legestr glaz 12 mai 2022 19:37

                      @bubu123

                      Et l’explosion des ventes du Rivotril c’est pour les chiens ?

                      Et la baisse soudaine de la prescription d’antibiotiques c’est pour les chiens ?

                      A vrai dire, tout ceci ne vous dérange pas. Vous parlez d’un article « torchon » mais alors, quels qualificatif retenir pour les médias de masse ?

                      Juste, pour votre gouverne : "Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole.

                      https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

                      Je salue bien bas votre subjectivité.


                    • pipiou2 12 mai 2022 21:25

                      @bubu123

                      Boh, avec le Vidal et quelques videos Youtube n’importe qui peut faire de la médecine et dénoncer les scandales aujourd’hui, c’est ça qu’est chouette.


                    • bubu123 13 mai 2022 02:34

                      @Legestr glaz

                      Et l’explosion des ventes du Rivotril c’est pour les chiens ?

                      Mais vous le fait exprès non ? qu’est ce que vous ne comprenez pas dans soins palliatifs ? Personne n’a utilisé de Rivotril pour faire mourir les gens, par contre on a donné du Rivotril a des gens mourants, vous comprenez la différence ?


                      concernant les antibiotiques nous avons déjà eux cette conversation et vous ne voulez pas comprendre ce que disent les médecins, c’est bien dommage mais les professionnels c’est eux aux dernières nouvelles et pas vous


                    • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 2022 21:43

                      @bubu123

                      Ce que je ne comprends pas ? Pour une suspicion de « covid » on vous fourgue du Rivotril ? Sans blague ?

                      Et comment se fait-il qu’il y ait tant de personnes concernées, soudainement, par des soins « palliatifs » ? Vous le faites exprès ou c’est génétique chez vous bubu123 ? 

                      Sans antibiotiques, les infections respiratoires sont souvent mortelles chez les personnes affaiblies (comme les personnes âgées). Et, bien évidemment, « c’est moi » qui ne veut pas comprendre. Savez vous « comment » les médecins soignent les « pneumonies » bubu123 ? Du doliprane ou des antibiotiques ?

                      Vraiment vous frisez le ridicule bubu123 !


                    • bubu123 14 mai 2022 02:46

                      @Legestr glaz

                      Ce que je ne comprends pas ? Pour une suspicion de « covid » on vous fourgue du Rivotril ? Sans blague ?

                      on vous parle de soins palliatifs, faut brancher son cerveau à un moment ...

                    • @bubu123
                      En parlant de brancher son cerveau, il est interessant parfois de le brancher chez nos voisins on y apprend des choses fort interessantes ^^

                      Cf

                      Interrogé, jeudi 13 mai 2021, sur la campagne de vaccination qui tourne au ralenti en Algérie, le professeur Abderrahmane Benbouzid révèle que Pfizer a posé des conditions pour la livraison des doses de vaccin :

                      « En novembre [2020], nous avons convenu [un accord] avec Pfizer, mais il nous a mis dans une situation que nous ne pouvions pas accepter dans la mesure où il nous a demandé d’acheter un certain nombre de vaccins, de payer en avance et d’exonérer totalement Pfizer de toutes poursuites dans le cas où le vaccin aurait des travers.

                      Nous ne l’avons pas accepté, nous ne l’acceptons toujours pas. »

                      ....

                      C’est la première fois qu’un responsable algérien donne des précisions sur l’absence en Algérie de ce vaccin produit par ce laboratoire américain.

                      Contacté par Jeune Afrique, Pfizer France indique qu’elle n’est pas concernée par les propos du ministre algérien."

                      Ben voyons smiley smiley smiley


                    • @Ouam (Paria statutaire non vacciné)
                      C’est bien parfois d’aller fouiller dans les historiques d’infos qui ne sont pas passées ici smiley smiley


                    • @bubu123

                      @Décoder l’éco

                      voila qu’il est plus médecin que les médecins maintenant 

                       

                      Justement il est bien la le probleme puisque vous en causez ,
                      les medecins à cette époque n’avaient pas (et c’est une premiere) la liberté de prescrire, et bizarrement un medicament qui pourtant est testé et validé dans le monde entier et ce sur des mmiliards d’individus et surtout le plus important avec le RECUL AD-HOC est devenu le plus dangeureux du monde
                      suite à une étude totalement bidonnée de Lanset qui de plus s’en est meme excusée, c’est dire l’ampleur de la gigantesque arnaque, et la prise d’otage et manipulation qui à eu lieu dans ce pays, c’est un scandale sanitaire et une captations de nos libertés fondamentales ou l’autre tetard à pris come modele la Chine et sa démocratie (arghh)
                       
                      Meme la bas (en Chine) au passage ca « chie » en ce moment et meme l’Oms à condamné ce genres de pratiques catastrophiques et....
                      pour que l’Oms condamne surtout la Chine, ben il en faut bcp, bcp...


                    • bubu123 14 mai 2022 19:53

                      @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

                      est testé et validé dans le monde entier et ce sur des mmiliards d’individus


                      Pas contre le covid non


                    • Decouz 11 mai 2022 19:59

                      La recherche doit porter sur la possibilité qui existait ou non de soigner les gens, se focaliser sur le produit utilisé ensuite pour éviter des douleurs ne fait que brouiller la situation.



                        • Décoder l'éco Décoder l’éco 12 mai 2022 08:26

                          @bubu123
                          Je suppose que vous n’avez pas lu ce communiqué.
                          Le monsieur dit : « ce n’est pas de l’euthanasie puisque c’est interdit ». Parfait. Les raisonnements circulaire ça permet de ne pas se faire trop de nœuds au cerveau. 
                          Ensuite : « les patients en détresse respiratoire, il faut leur administrer pour qu’ils se calment. » D’ailleurs une fois mort, ils sont très calmes en effet.


                        • bubu123 12 mai 2022 15:12

                          @Décoder l’éco

                          si si je l’ai lu et la différence avec vous visiblement c’est que moi je le comprend !


                        • Jonas Jonas 12 mai 2022 02:13

                          Le documentaire « Hold-up » de Pierre Barnérias sorti le 11 novembre 2020, censuré par tous les mass-média car considéré comme « complotiste », évoquait l’euthanasie par Rivotril.

                          Dr Joëlle de Monredon  : « Avec le Rivotril™ associé à de la morphine, c’est le décès assuré par totale dépression respiratoire »


                          • zygzornifle zygzornifle 12 mai 2022 07:34

                            Cette situation est très bonne pour certains, il y en a qui vont assoir leur pouvoir et d’autres se remplir les poches voire les deux .....




                                • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 mai 2022 09:23

                                  @L’auteur,

                                    Mon épouse prend le soir, trois goutes de rivotril pour bien dormir.

                                    Est-ce grave docteur ?


                                  • Decouz 12 mai 2022 09:46

                                    Voici ce qu’écrit le « Centre National des Soins Palliatifs et de la fin de vie » sur ce médicament et son utilisation, habituelle et dans le cadre du Covid :

                                    https://www.parlons-fin-de-vie.fr/polemique-sur-lutilisation-du-rivotril-verification-et-explication/

                                    "La limitation d’accès en réanimation a fait l’objet de nombreux débats dès la première vague de Covid-19. Pourtant, c’est un sujet qui préexiste à l’épidémie.

                                    Les soignants en EHPAD s’interrogeaient déjà – hors contexte Covid-19 – sur le rapport bénéfice/risque de transférer des personnes âgées en réanimation et à l’hôpital de manière plus globale. En effet, les personnes âgées en EHPAD présentent le plus souvent de multiples pathologies responsables d’une perte d’autonomie. L’interrogation est toujours : « un passage en réanimation ou en service hospitalier va-t-il apporter un bénéfice sur le long terme ou a-t-il plus de risque de dégrader sa qualité de vie ? ».

                                    Dans les formes graves de la Covid-19, il s’agit en plus d’une réanimation extrêmement lourde : le questionnement est donc d’autant plus pertinent. S’interroger sur l’accès, ce n’est pas refuser a priori cet accès.

                                    Faciliter l’accès au rivotril n’est pas synonyme de perte de chance pour les personnes âgées, bien au contraire. Il s’agit de leur assurer le droit à une prise en charge palliative, c’est-à-dire à une fin de vie apaisée et sans souffrance. Dans la prescription de ce produit, comme pour le midazolam, l’intention n’est jamais de provoquer ou d’accélérer le décès."


                                    • Eric F Eric F 12 mai 2022 10:17

                                      Le scandale, c’est instrumentalisation de drames pour des motifs polémiques.

                                      Pendant le pic épidémique du printemps 2020, il y a eu afflux de cas graves de Covid (la souche initiale a été la plus létale), les réanimations (les vraies, pas les soins intensifs) étaient réellement sursaturées, et les traitements utilisés du fait des connaissances de l’époque consistaient en une oxygénation, dont pour les cas extrême une intubation invasive sous sédation de plusieurs semaines.

                                      Les personnes très âgées à qui du Rivotril a été administré étaient en situation de détresse respiratoire extrême, et n’auraient pas été en état de supporter le traitement de cheval que constituait l’intubation respiratoire de longue durée sous sédation (dont le taux de mortalité était élevé -env 40%-). L’usage du Rivotril était effectivement palliatif du fait de pénurie du midazolam, d’où le déchirement tout à fait compréhensible de nombreux soignants, faute de soins curatifs efficaces à ce stade de la maladie.


                                      • Décoder l'éco Décoder l’éco 12 mai 2022 18:13

                                        @Eric F
                                        Le scandale, c’est instrumentalisation de drames pour des motifs polémiques.
                                        Entièrement d’accord. Le refus de soin a été instrumentalisé par le pouvoir pour ensuite accuser le méchant virus de saturer les hôpitaux (ce qui n’a pas été le cas) et de faire que quelques vieux qui toussaient ont eu un état qui a dégénéré. Tout cela pour le motif de créer la panique et de faire croire aux gens qu’il fallait les protéger « quoi qu’il en coûte » (enfin surtout leur propre pognon).

                                        Pendant le pic épidémique du printemps 2020, il y a eu afflux de cas graves de Covid (la souche initiale a été la plus létale),
                                        Voilà l’instrumentalisation. Non, il n’y a pas eu de « pic épidémique ». Il y a eu des abandons et donc des morts.

                                        les réanimations (les vraies, pas les soins intensifs) étaient réellement sursaturées,
                                        Complètement faux : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/la-face-cachee-des-reanimations-en-237738

                                        et les traitements utilisés du fait des connaissances de l’époque consistaient en une oxygénation, dont pour les cas extrême une intubation invasive sous sédation de plusieurs semaines.
                                        Et les italiens avaient déjà fait la même bêtise et prévenu que c’était une connerie. Cette méthode a juste tué des gens. Ce sont surtout les parisiens qui l’ont mis en place. On apprécie le résultat.

                                        Les personnes très âgées à qui du Rivotril a été administré étaient en situation de détresse respiratoire extrême, et n’auraient pas été en état de supporter le traitement de cheval que constituait l’intubation respiratoire de longue durée sous sédation (dont le taux de mortalité était élevé -env 40%-).
                                        Abandonnés par leur médecin, pas d’antibiotique délivrés précocement ni d’autres médicaments habituels, ils étaient plus mal que d’habitude, certes. Il ne fallait pas les intuber, je n’en ai pas le moindre doute.

                                        L’usage du Rivotril était effectivement palliatif du fait de pénurie du midazolam, d’où le déchirement tout à fait compréhensible de nombreux soignants, faute de soins curatifs efficaces à ce stade de la maladie.
                                        La pénurie de midazolam vient du fait que les cabinets de conseil ont dit à tous les pays occidentaux de placer tous leurs vieux en soins palliatifs au lieu de les soigner. Les canadiens, anglais et américains ont donc vidé tout le stock de midazolam. Si le midazolam avait été utilisé à la place du Rivotril, j’aurai également vu une grosse bosse (comme le Valium) et le scandale aurait été identique.

                                        Il n’y a eu que quelques vieux malades au regard de la taille de notre population, exactement les mêmes que d’habitude aux mêmes dates, sauf qu’on ne leur a pas donné d’antibiotiques, mais du doliprane « paske cé un virus ».
                                        Ces vieux, qui allaient certainement pour la plupart mourir, ont été terminés aux mêmes dates à l’aide de ce produit. C’est la raison pour laquelle nous voyons une bosse de mortalité, puis un creux de mortalité.
                                        Le méchant virus n’a rien à voir avec ce phénomène. C’est bien la stratégie qui a créé ces statistiques.


                                      • bubu123 12 mai 2022 19:16

                                        @Décoder l’éco

                                        les réanimations (les vraies, pas les soins intensifs) étaient réellement sursaturées,

                                        Complètement faux : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/la-face-cachee-des-reanimations-en-237738

                                        dit-il en mettant en avant un de ses torchon, votre article sur les réa est une honte, vous ne comprenez rien du fonctionnement d’une réa ni du métier de réanimateur.
                                        Comme vous ne comprenez rien des soins palliatifs.
                                        Vous êtes au mieux complètement incompétent sur ces sujets et devriez vous abstenir de jouer les spécialistes, au pire un désinformateur qui sait très bien ce qu’il fait...

                                      • mac 12 mai 2022 22:37

                                        @bubu123
                                        Il a peut-être une formation assez similaire à tous ces administratifs qui ont pris le pouvoir dans les hôpitaux, de ce fait, il a probablement autant le droit de s’exprimer qu’eux...


                                      • pipiou2 13 mai 2022 01:09

                                        @Décoder l’éco
                                        « Non, il n’y a pas eu de « pic épidémique » »  !!!

                                        Faut vraiment pas avoir honte pour proférer de telles inepties !


                                      • bubu123 13 mai 2022 02:29

                                        @mac

                                        mais quel rapport sérieux ? c’est la foire aux guignols ?


                                      • La mise à mort organisée ..

                                        Comme dirait mon ami bûcheron, Gérard Mentvussa est encore élu et en fonction ...

                                        Cazeneuve « tête de mooooooooooor »....

                                        Celles et ceux qui se sont fourvoyés dans cette dance macabre devraient être au minimum tondu ...sur la place publique .

                                        Le service public de radio France a surfé avec allégresse , tout à l’image des Veil , Erner, et autres Salamé ,,Demorand ,,Bensaïd ,,Gesbert,,,,,

                                         

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