Le sommet du G20 : Rien de nouveau sous le soleil
« Les montagnes vertes et l'eau pure avaient autant de valeur que l'or et l'argent. »
Xi Jinping, président de la République de Chine, sommet de Hanghzou 3 septembre 2016
Le sommet des pays du G20 s'est ouvert dimanche dernier à Hangzhou, Le Groupe des 20 (G20) comprend 19 pays et l'Union européenne (UE), qui représentent au total 85% de la richesse mondiale et deux tiers de la population du globe. Sa réunion annuelle a été centrée avant tout sur la coordination des politiques financières et économiques. D'autres problèmes ont été abordés : les crises géopolitiques et le changement climatique. Tout a commencé en 1999 dans la foulée de la crise financière asiatique. L'année précédente, des grands pays émergents comme la Chine, l'Inde et le Brésil, qui ne sont pas membres du G 20 se sont montrés au fil du temps de plus en plus critiques à l'égard du système économique mondial.
« Les chefs d'État ou de gouvernement y ont participé pour la première fois en 2008. Une longue liste de promesses est ressortie de ces réunions. L'an passé en Turquie, par exemple, les dirigeants ont pris 113 engagements allant de la réduction des subventions aux énergies fossiles à l'augmentation de l'aide aux réfugiés. C'est le plus important et prestigieux sommet international jamais organisé par Pékin, alors que le géant asiatique est le pays le plus peuplé de la planète et la deuxième économie mondiale. Le président Xi Jinping voit dans cette rencontre une opportunité majeure pour montrer au monde ainsi qu'à ses rivaux politiques que la Chine est sous sa direction un pays puissant(..). » (1)
Les tensions mondiales au sommet du G20
Le sommet a été l'occasion de rencontres mais aussi de discussions sur tous les sujets qui fâchent (Syrie, TIPP, TPP...), Nick Beams nous en parle : « Les mesures protectionnistes sont à la hausse et les tensions augmentent entre les grandes puissances.L'un des principaux sujets de conflit est la question de la prétendue surcapacité dans l'industrie sidérurgique, où les États-Unis, l'Europe et le Japon insistent pour affirmer qu'un excédent d'acier chinois inonde les marchés mondiaux, conduisant à des suppressions d'emplois et des fermetures d'entreprises, et demandent que des mesures soient prises pour en réduire la production. La position du gouvernement chinois, d'autre part, est que tout en acceptant des réductions d'entre 100 et 150 millions de tonnes, soit environ 13 pour cent de la capacité d'ici à 2020, le principal problème est la faible demande mondiale. La Chine et les États-Unis ont reconnu des « problèmes structurels », y compris la « capacité excédentaire dans certaines industries, exacerbée par une faible reprise économique mondiale et la demande réduite du marché. »(2)
Le chantage : Protectionnisme pour certains, limitation pour d'autres
Le protectionnisme est toujours de mise pour protéger indirectement la production nationale. Les pays industrialisés occidentaux ont été les premiers à défoncer les règles de l’OMC en érigeant des barrières. Quitte à ce que par la suite les plaintes soient réglées au niveau de l’arbitrage de ‘OMC qui sera, on l’aura compris sans suite. Il en est ainsi des méthodes américaines et japonaises qui érigent des réglementations drastiques interdisant d’une façon détournée l’entrée des marchandises « non grata »
Lors du Sommet justement, le président chinois avait attiré l'attention : « (...) Xi a ouvert le sommet avec un appel aux grandes puissances à résister aux pressions qui poussent à monter des barrières commerciales, il a incité à oeuvrer pour plus d'innovation afin de promouvoir la croissance économique et accroître la coopération pour 'améliorer la capacité de l'économie mondiale à résister aux risques'. Lors d'un discours à la veille du sommet, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a dit que les dirigeants du monde doivent repousser une vague de 'protectionnisme effréné'' que ce soit sous la forme du Brexit ou 'de la rhétorique protectionniste dans les campagnes électorales''. »(2)
Apparemment, les pays occidentaux et le Japon ont mis le couteau sous la gorge : « (..) L'insistance pour que la Chine se plie à des exigences de réduction de sa production d'acier a été appuyée encore plus fortement par l'Union européenne. (...),Dans les discussions sur la rédaction du communiqué final, les États-Unis, l'Union européenne et le Japon ont exigé une référence à la surproduction d'acier, et les responsables de l'UE ont averti que si cela n'est pas fait, les efforts de la Chine pour obtenir « le statut d'économie de marché » dans l'Organisation mondiale du commerce (OMC) seraient affectés. Ce statut, sur lequel une décision sera prise vers la fin de l'année, est avidement recherché par Pékin, car il limite la capacité des autres pays à prendre des mesures par rapport à ses politiques commerciales. D'une manière qui rappelait parfaitement les jours de suzeraineté impérialiste sur les colonies, la proposition initiale était que le suivi de la question de l'acier serait mené par l'Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde). (...) proposition a été modifiée pour appeler à la création d'un « forum mondial sur la capacité excédentaire de l'acier, facilitée par l'Ocde » et d'en faire un rapport en 2017. »(2)
« Cependant conclut Nick Beams les risques de guerre deviennent de plus en plus apparents. Dans sa dernière visite en Asie en tant que président, Obama a prononcé une de ses déclarations les plus belliqueuses jusqu'ici contre la Chine. De manière significative, elle comprenait non seulement une référence aux conflits en mer de Chine méridionale, mais s'étendait à l'économie. « Là où nous les voyons violer les règles et les normes internationales, comme nous l'avons vu dans certains cas, en mer de Chine méridionale ou dans certains de leurs comportements en matière de politique économique, nous avons été très fermes. Et nous leur avons indiqué qu'il y aura des conséquences. »(2)
G20 : L'état du monde et de l' économie
Même appréciation de la part du quotidien Le Monde qui y ajoute le feuilleton Clinton-Trump : « Lors du rassemblement des ministres des Finances du G20 à Shanghaï, en février, la Chine faisait encore trembler le monde, avec une nouvelle chute de sa monnaie et de ses Bourses. Les inquiétudes sur la dépréciation du yuan et la croissance ont diminué, l'économie chinoise s'est stabilisée, et les turbulences immédiates liées au Brexit restent contenues. » Néanmoins, les dirigeants des pays, devront réfléchir aux solutions permettant d'enrayer la chute des échanges mondiaux. Leur croissance ne dépasse pas 3% par an, contre plus de 7% avant la crise. Entre le Brexit, la campagne du candidat républicain Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, l'opposition désormais affichée de la France et de l'Allemagne au traité de libre-échange avec les Etats-Unis, ou encore la crise migratoire, la mondialisation n'a pas bonne presse. (...) Le dossier du verdissement de l'économie devrait au moins bénéficier d'un élan supplémentaire. Le premier pollueur du monde, responsable de 24% des émissions de CO2, vient, en effet, de ratifier l'accord de Paris. » (3)
Une fausse bonne nouvelle la ratification de l’accord sur le climat
Fausse bonne nouvelle : les Etats-Unis se sont joints à la Chine pour ratifier l'accord de Paris ont annoncé les deux plus grandes économies mondiales aujourd'hui dans un communiqué commun à la veille de l'ouverture du sommet du G20 en Chine. La planète n’est pas pour autant sauvé et il y a loin de la coupe aux lèvres. Les promesses n’engagent disait le président Chirac que ceux qui croient. En l’occurrence les pays pauvres, qui ne peuvent pas faire autrement que de s’en remettre aux bons cœurs de puissants ..pour qu’ils tiennent leurs promesses et les aide dans cet hypothétique fonds à lutter contre les changements climatiques qu’ils ont eux-mêmes provoqués
Pour rappel, l'accord de Paris fixe pour objectif de contenir la hausse de la température moyenne de la planète « nettement en dessous de 2°C » par rapport aux niveaux pré-industriels et de s'efforcer de limiter cette augmentation à 1,5°C. Pour entrer en vigueur, il doit être ratifié par au moins 55 pays représentant 55% des émissions de gaz à effet de serre. Une fois ce double seuil franchi, le texte s'applique dans un délai de trente jours. Avant l'annonce de Pékin et Washington, 23 Etats ne représentant officiellement que 2% environ du total des émissions de GES avaient formellement ratifié l'accord de Paris, selon un décompte de l'Onu. La France l'a ratifié en juin. » (4)
Les deux principales économies du globe sont responsables, à elles deux, de 40% des émissions planétaires. « En tout, 175 pays ont signé déjà à Paris l'accord destiné à ralentir le réchauffement de la planète, négocié. Parmi les signataires, les États-Unis et la Chine, plus grands pollueurs du monde. Les pays signataires représentent plus de 93% des émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement, selon l'ONG World Ressources Institute.
Pour rappel, l'accord de Paris engage ses signataires à limiter la hausse de température « bien en deçà de 2°C » et à « poursuivre leurs efforts » pour limiter cette hausse à 1,5°C. Cet objectif très ambitieux demandera une volonté soutenue et des centaines de milliards de dollars pour assurer la transition vers des énergies propres. Côté américain, l'accord a été négocié de telle façon que le président Barack Obama n'aura pas besoin de l'aval du Congrès contrôlé par les républicains, hostiles au texte.
Nous ne devons pas être naïfs ! Les 2°C sont un coup parti. Ils sont programmés pour arriver. On ne peut pas continuer à asphixier la Terre avec près de 40 milliards de tonnes de CO2 dont un parti va stationner pendant 120 dans l’athmosphère créant ce fameux effet de serre. dont souffre en priorité ceux qui n'ont pas les moyens de lutter contre les convulsions climatiques
G20 : le pouvoir discret de la Chine
Ce Sommet a montré une fois de plus la puissance de la Chine. La force tranquille fait que sans tapage et d’une façon soft, la Chine montre sa puissance . « Si l’on prend comme étalon, le PIB nominal, lit-on sur la publication suivante calculé selon les taux de change officiels, alors les Etats-Unis continuent de largement devancer la Chine. Selon les chiffres du FMI, le PIB américain sera à la fin de 2014 de 17 416 milliards de dollars quand celui de la Chine sera de 10 355 milliards. (…) La productivité du travail de la Chine, mesurée avec la production par travailleur, a augmenté de 6,6% en glissement annuel en 2015, (…) La productivité du travail a atteint 76978 yuans (11842 dollars) par personne l’année dernière, en hausse de 4733 yuans par rapport à 2014, marquant la cinquième augmentation annuelle consécutive, a déclaré le Bureau d’Etat des statistiques (BES). Fin 2015, la population active totale de la Chine avait atteint 774,51 millions. La Chine a créé 13,12 millions de nouveaux emplois pour les habitants urbains en 2015 » (5)
En fait ce scoop était dans l’air déjà en 2014, des indicaterus montraient que la Chine était la première économie : « Depuis des années lit-on dans une contribution d’Anne Eveno parue sur le journal Le Monde l’affaire était entendue. Après être devenue en 2013 la première puissance commerciale du monde avec un volume d’échanges supérieur à celui des Etats-Unis, la Chine était programmée pour devenir la première puissance économique mondiale. D’après les estimations du Fonds monétaire international (FMI) publiées le 7 octobre, l’empire du Milieu deviendra en 2014 la première puissance économique mondiale, devant les Etats-Unis. Mesuré en termes de « parité de pouvoir d’achat » (PPA), ce qui permet de mieux prendre en compte ce que permettent d’acheter localement les devises de chaque pays, le produit intérieur brut (PIB) chinois devrait frôler les 17 400 milliards de dollars (13 562 milliards d’euros) d’ici à décembre, contre 17 170 milliards de dollars pour le PIB américain » (6).
Sous la plume d’un éditorialiste de Market Watch. Sous le titre, nous lisons « C’est officiel, les Etats-Unis sont numéro 2 », Brett Arends pointe « un tremblement de terregéopolitique » dans le fait que les Etats-Unis ne soient plus la plus forte puissance économique du monde, position qu’ils détenaient depuis 1872 après avoir détrôné le Royaume-Uni. (…) Pour Philippe Waechter, directeur de la recherche économique chez Natixis Asset management, « cela montre que l’économie américaine comme celle des pays développés ne sont plus à des tailles qui leur permettent de faire la pluie et le beau temps. et qu’il leur faut compter avec la Chine ». A l’Europe de voir comment ne pas être exclue dans ce nouvel équilibre où dominent les Etats-Unis et la Chine, conclut Philippe Waechter » (6).
Une autre certitude la marche à pas mesurés vers le développement de la Chine. « Plusieurs analystes parlent d'un moment pivot dans l'histoire des relations internationales. La Chine a beau être la deuxième économie de la planète, elle joue un rôle plutôt effacé sur la scène internationale. Une situation que compte corriger le président Xi Jinping le plus rapidement possible. Il a entrepris de grandes réformes qui ont permis d'augmenter la présence de Pékin dans les missions de paix des Nations unies. Le gouvernement communiste a aussi créé ses propres organisations internationales pour faire contrepoids à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international. Il a entre autres mis sur pied la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures, (...) En plus de promouvoir l'innovation, un nouveau secteur dans lequel la Chine veut se démarquer. » (7)
Un nouveau discours sur l'innovation dans la capitale de l’innovation
Ce n'est pas pour rien que le Sommet se tient dans la capitale du savoir technologique une sorte de megasilicon valley On peut être reconnaissant au président chinois d'avoir le premier lancé d’une façon concrète une nouvelle idée, celle de l'innovation au service du développement durable : « Les innovations ont plus de poids dans la croissance économique sous la présidence chinoise du G20, Ces réalisations technologiques obtenues grâce aux innovations peuvent abaisser les émissions de dioxyde de carbone, aidant ainsi à réaliser les cibles environnementales. En quelque sorte, les innovations pour les pays en voie de développement signifient le transfert des technologies des pays développés vers eux Ceci, plus le développement des nouvelles technologies, peut aider les pays à atteindre une situation gagnant-gagnant, non seulement dans le développement durable, mais également dans la croissance économique mondiale. » (7)
Le procès en sorcellerie réccurent de la Chine
Malgré tout ces effrots, pour contribuer à un monde apaisé pour tout le monde, la Chine ne trouve pas grâce aux yeux de l'Empire et de ses vassaux. C'est un fait que les Occidentaux voient le mal partout. Quand le président chinois déclare qu'il y a de la place pour tout le monde on ne le croit pas. Pis encore, on s'inquiète de ces valeurs :
« Ce discours minutieusement préparé visait à prouver au reste de la planète que la Chine comprend les préoccupations internationales, croit John Kirton. « Tout le monde a acquiescé lors de son discours, explique-t-il. C'était très habile de sa part. Xi a montré qu'il pouvait être un grand communicateur. Le problème est que le jour suivant, l'environnement avait disparu des écrans radars et il n'était question que d'économie. » C'est ce que l'on appelle « le pouvoir discret » (soft power), explique Helene Emorine du groupe de recherche sur le G20. La crainte, selon elle, est qu'en plus de ses visées économiques, la Chine pourrait aussi imposer ses valeurs au reste de la planète. Censure, droits de la personne, il y a aussi l'enjeu du respect des règles internationales. Pékin les rejette lorsqu'elles ne lui conviennent pas. C'est ce qui est arrivé dans le dossier de la mer de Chine méridionale. La Cour permanente d'arbitrage de La Haye a jugé que le pays ne possédait aucun droit historique dans la région. Le gouvernement communiste a simplement ignoré la décision. Les chefs d'État doivent être extrêmement vigilants, soutient le professeur Kirton. Il faut surveiller la Chine plus attentivement que par le passé, mais il faut aussi être intelligent. La Chine n'est plus le pays que l'on a connu lors de la Guerre froide. » Xu Jinping lui, dit simplement qu'il veut occuper la place qui lui revient. Personne ne sait cependant ce qu'il a exactement en tête. »(8)
Que peut-on en conclure ?
Au-delà de la réussite de l’organisation de ce sommet pour la première fois par un pays en dehors des pays occidentaux, rien de nouveau sous le soleil ! On se félicitera, des progrès accomplis. Lesquels ? Personne ne parle des vrais problèmes celle de la dette publique mondiale. Le FMI a calculé que le ratio dette publique/PIB - l'orthodoxie dit qu'il ne faut pas dépasser 60% - La dette publique mondiale s'élève à près de 55 000 milliards de dollars à la fin 2014. En 2005, elle était seulement de 26.000 milliards. En une décennie, elle a plus que doublé. Avec les dettes privées, la dette atteint 100.000 milliards de dollars pour un PIB de 74.000 milliards...
Les annonces du G20 sont-elles à la hauteur des ambitions affichées par les dirigeants des principales économies de la planète ? Ouvrent-elles la voie à une moralisation de la finance et d'un nouvel ordre économique ?. Ce que l'on ne dit pas c'est que les 2°C limite à ne pas dépasser sont déjà dépassés et rien n'est fait pour aider les pays vulnérables à combattre les effets désastreux des changements climatiques causés par les pays industrialisés. Personne ne parle du fonds de soutien prévu à Paris. A côté de l'horloge démoniaque de la dette mondiale, il est une autre horloge celle de l'inéluctabilité des changements climatiques. L'horloge de la fin du monde ou The Domsday Clock (l'horloge de l'Apocalypse) qui utilise l'analogie du décompte vers minuit pour dénoncer le danger qui pèse sur l'Humanité du fait des menaces nucléaire, écologique. Elle indique depuis 2007 minuit moins cinq (23:55).
« Le G20 restera vain. On le sait. On y parlera morale... Bref, on opérera un « déplacement » comme on dit en psychologie : le déplacement consiste en un mécanisme dans lequel une émotion, une peur « comme peur que quelque chose arrive et vous précipite dans le déclin », sont déplacées de leur objet initial sur un objet substitutif acceptable. Cet objet substitutif, ce fantasme collectif, peut-être la « moralisation » de la finance, construire un indice du « bonheur »(sic), L'important est que ce déplacement aveugle la conscience : et met au pas toute critique radicale... il s'agit de sauver le capitalisme, ce brave soldat. (...)La crise n'est pas née de la dernière pluie. Elle est l'enfant incestueux de la révolution conservatrice des années 1980, les années fric, les années de la dérégulation, ou tout ce qui est humain ou bien marchand utile est considéré comme un coût... Ou l'être-ensemble devient une scorie, un résidu négligeable, car non calculable ».(9) Tout est dit. Ainsi va le monde.
1. http://elitepresse.com/actualites/cinq-cles-pour-comprendre-le-sommet-du-g20-a-hangzhou/
2. Nick Beams http://www.mondialisation.ca/les-tensions-mondiales-accrues-emergent-au-sommet-du-g20/5544314
4. Les Etats-unis ratifient l'accord de Paris sur le climat Lefigaro.fr avec Reuters 3 09 2016
5. http://spartacus1918.canalblog.com/
7. http://french.xinhuanet.com/2016-08/12/c_135587680.htm
9.G20 : Du « déplacement » comme dispositif. Agoravox samedi 26 septembre 2009
Article de référence : http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/249408-rien-de-nouveau-sous-le-soleil.html
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique enp-edu.dz
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