Le surendettement : un fléau et une politique irresponsable
Le rapport de la cour des comptes publié mérite toute notre attention.
Il pointe les erreurs et les insuffisances de la gestion du surendettement par la Banque de France
Le rapport de la cour des comptes sur le traitement du surendettement par la Banque de France est sans appel :
" Manque de prévention du phénomène, dysfonctionnement des commissions chargées des dossiers des consommateurs, comportements irresponsables des établissements de crédit.. "
Des centaines de milliers de familles touchent le fond pendant que les maisons de crédits continuent à faire leur beurre sur le dos des naufragés de la vie.
Ce n’est pas acceptable !
Plus de 20 000 personnes déposent chaque mois un dossier de surendettement à la Banque de France...
De nombreuses familles continuent à se trouver dans des situations critiques, beaucoup d’entre elles hésitent à faire le pas et à s’adresser à la Banque de France...C’est ainsi que des familles passent du surendettement passif à un surendettement actif en faisant appel à des crédits révolving.
Ce fameux crédit revolving est présent dans 85% des dossiers.
Dans les permanences que les associations familiales assurent chaque semaine sur la région de Melun, il s’agit souvent de cinq à dix ou quinze crédits différents. J’ai même rencontré une famille complètement démunie ayant 70 000 € de dettes sans posséder ni voiture neuve, ni appartement, ni même un équipement ménager exceptionnel.
Les bénévoles qui assurent un accompagnement des familles et qui aident celles-ci à composer des dossiers de surendettement à la Banque de France sont souvent effarés devant la détresse des personnes reçues, détresse de personnes tombées dans les filets des marchands de rêves devenant des cauchemars !
Comment peut on en arriver jusque là ?
C’est un engrenage infernal, l’endettement arrive, puis le surendettement et la recherche de solutions comme ces offres de crédits alléchants de prime abord.
L’encadrement du crédit et la protection des familles ne sont que des leurres et la politique de Christine Lagarde, ministre de l’économie est implicitement mis en cause dans le rapport de la Cour des comptes.
La consultation del’ actuel Fichier des Incidents de Remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP) " n’est pas systématique " et en plus " le même établissement peut accorder plusieurs crédits à des personnes manifestement hors d’état de rembourser, le quatrième crédit, par exemple, servant à rembourser les trois premiers ".
Les magistrats pointent les failles du texte gouvernemental et notamment à propos de la fameuse obligation pour les maisons de crédits de consulter le FICP.
Cette consultation, quand elle est effective s’applique bien souvent au moment de l’octroi du crédit renouvelable, elle prend fin quand le consommateur puise plusieurs fois dans une réserve qui se renouvèle !
Il est nécessaire et indispensable que des mesures énergiques soient prises :
- L’interdiction du crédit revolving
- la déclaration d’insolvabilité de toutes dettes bancaires prises alors que les établissements ont pu constater que leurs clients étaient surendettés ;
- le relèvement des minimas sociaux au-dessus du seuil actuel de pauvreté ;
- le blocage du prix des loyers....
Ces mesures indispensables ne suffisent pas à enrayer le surendettement, elles doivent être accompagnées par une campagne d’information et de prévention. De nombreuses personnes, jeunes pour la plupart ne savent pas gérer un budget.
Jean-François Chalot
38 réactions à cet article
-
Vous avez raison de dénoncer ce fléau et l’irresponsabilité des politiques au pouvoir.
Ceci dit, c’est le propre du capitalisme à pousser les gens à consommer toujours plus. Le crédit revolving est l’un des moyens utilisé parmi d’autres.-
Ceci dit, c’est le propre du capitalisme à pousser les gens à consommer toujours plus.
... et à entretenir les salaires les plus bas par la même occasion..car comment voulez-vous prendre des crédits si vous avez les moyens,et êtes en auto-suffisance ? Hmm ? Pourraient pas vivre ces pauvres banquiers dans un monde pareil.. -
etr eux ils sont inrresponsables
les sangsuesqui creent la dette de la France payer par le citoyenC’est une Caste discrète de 500 cumulards. Des élus de la Nation ! Depuis une trentaine d’années, ils échappent à tout contrôle et font ce qu’ils veulent dans leurs fonctions. Ils ont pouvoir monarchique, ce sont des nobles d’Etat. Il s’agit de plus de 80% de nos parlementaires à diriger également un exécutif local alors que le cumul est interdit dans les autres pays riches et démocratiques. Ici, ils ont le pouvoir et l’argent. C’est une autre exception française. Qui sont-ils ? Environ 288 députés à l’Assemblée nationale, 128 sénateurs, 26 eurodéputés, 9 anciens Premiers ministres, 2 ex-Présidents de la République et une vingtaine d’ex-ministres et autres personnalités. La moitié des présidents de Conseils généraux et régionaux. La plupart de ces cumulards empoche chaque plus de 24 000 euros dont la moitié échappe à l’impôt sur le revenu. A ces émoluments s’ajoutent les autres avantages : voiture, logement, transports, téléphone… En tête du classement, nos deux anciens présidents de la République : 31 000 euros pour Jacques Chirac et 30 000 pour VGE.
Sur plus de 400 pages, l’enquête de Stéfanovitch donne le vertige. Si vous êtes maire d’une commune de plus de 3 500 habitants, vous pouvez toucher le pactole. Il suffit d’apprendre. Le comble c’est que les membres de la caste se considèrent au service des électeurs. Ils jouent à l’assistante sociale avec l’argent des contribuables. Et en réalité, ils ne sont même pas présents lors des débats à l’Assemblée ou au Sénat. Le sénateur Daniel Percheron par exemple, a pris la parole en public 5 fois seulement depuis 2003. Les champions de l’absentéisme sont les députés européens (14 apparatchiks et 12 cumulards). Ils peuvent empocher jusqu’à 28 000 euros pas mois pour… 6 jours de travail seulement.
Aujourd’hui, 81% des sénateurs et 85% des députés cumulent le mandat parlementaire avec le mandat local. 416 parlementaires, 12 eurodéputés et 24 ministres et secrétaires d’Etat sur 38 exercent aussi un mandat exécutif local. A commencer par François Fillon lui-même qui est président de la communauté des communes de Sablé-sur-Sarthe. A chaque élection, ces professionnels de la politique mettent tout en œuvre pour conserver leurs mandats et en gagner d’autres. Qui plus est, ces cumulards sont issus (à plus de 50%) de la fonction publique. L’auteur détaille les raisons de ces dérives. Bien entendu, il s’agit d’abord de l’appât du gain et du pouvoir. Mais plus importante est l’évolution des institutions dela République. Avec la décentralisation au début des années 1980, le pouvoir local pris de plus en plus d’importance. Le pactole s’est mis à grossir avec le temps. Maintenant, il s’agit de presque 2 millions de fonctionnaires locaux à gérer et de plus de 212 Mds d’euros par an. Ca donne envie ! Le nombre des communes est aussi un facteur qui incite à chercher un poste local : les 25 pays de l’Union européenne comptaient en 2004, 75 000 communes dont 36 682 en France, soit 47,5% du total pour 16% de la population.
Une autre raison de cette attirance est la communauté de communes.
-
Les magistrats pointent les failles du texte gouvernemental et notamment à propos de la fameuse obligation pour les maisons de crédits de consulter le FICP.
Il est malheureusement très difficile au surrendettés de faire valoir quoi que ce soit auprès des tribunaux , car ils n’ont pas les moyens de payer des avocats , alors que les organismes de crédits en revanche en paient à l’année pour faire valoir leurs droits auprès des tribunaux qui leur donnent raison quasi automatiquement en enfonçant encore plus les gens dans la détresse !-
"Il est malheureusement très difficile au surrendettés de faire valoir quoi que ce soit auprès des tribunaux , car ils n’ont pas les moyens de payer des avocats"
Absolument faux, un dossier d’AJ se monte en 2 mn, ça coute pas un rond, et très souvent c’est le consommateur qui a gain de cause, en cas de litige (sauf escroquerie évidemment). Il y a quelques années, j’ai gagné un procès contre une grande banque, que je ne citerais pas, 2000€ de DI pour un pb de découvert. Ca prend du temps, il font systématiquement appel, il suffit de ne pas être pressé. Ne jamais hésiter à mettre une affaire au tribunal, ça paraît être une monagne mais c’est en fait très simple.
-
Il est au contraire très facile de monter un dossier de surrendettement. Peut être même trop facile eût égard aux conséquences, car ni la Banque de France, ni le Juge d’exécution ne sont très regardant sur les justificatifs. Je confirme que l’avocat n’est pas obligatoire.
Un exemple : Vous pouvez facilement faire croire à une dette qui n’existe pas afin de gonfler l’endettement et donc faire croire à l’impossibilité de rembourser.
J’ai assisté à une matinée de ces jugements dans un tribunal, 10 minutes par cas et il n’y avait aucun créancier ni aucun avocat.
-
"Comment peut on en arriver jusque là ?
C’est un engrenage infernal, l’endettement arrive, puis le surendettement"
Mais ce n’est pas une tare d’en arriver là. Au contraire, pourquoi le défaut de paiement ne devrait être que le privilège des banques et/ou états, qui se feront renflouer par le contribuable ? Dans une crise systémique, avec un consommation basée sur du crédit, quel est le mal de jouer le même jeu que ces cinglés qui essayent encore de faire passer le surrendettement en mauvaise conscience ?
Plantez vos banques, il faut taper là où ça fait mal, trouvez-vous du boulot au noir, il faut tapez là où ça fait mal, ce système est un cancer généralisé, et il ne faut pas hésiter à en rajouter.
-
Pour aller dans ton sens John
Un article sur un phénomène interessant :
—>
…et leur dette aux banquiers
Fairfield, à 65 kilomètres de San Francisco (Californie), est l’un de ces lieux où les cadres californiens sont, depuis 2004, venus chercher qualité de vie et immobilier abordable. Dans cette ville nouvelle, ils se sont fait construire de belles maisons avec piscine, jardin et un garage pour trois véhicules. Beaucoup ont choisi de quitter leur appartement en ville pour acheter une de ces villas. Et pour financer ce rêve à 800 000 dollars (près de 600 000 euros), sûrs de faire, grâce à la hausse des prix de l’immobilier, une bonne affaire, ils ont emprunté sur 30 ans.Aujourd’hui, ces quartiers sont un désastre urbain, un désert. Les propriétaires insolvables ont déjà vu leur villa saisie ou sont menacés d’expropriation et les commerçants partent les uns après les autres. Pour les rares habitants qui restent, la situation est inextricable : leur villa ne vaut plus que 40 % ou 50 % du prix payé, ils n’ont pas commencé à rembourser le capital et n’entrevoient aucune perspective de revalorisation de leur bien. De plus en plus nombreux sont ceux qui « se tirent » – walk away, dit-on ici. Bien que solvables, ils cessent, en toute légalité, de rembourser leur emprunt. Que la banque se débrouille ! Le prêteur récupère la maison et les « propriétaires », eux, sont libérés de leur dette.
Des Fairfield, il y en a partout aux Etats-Unis. Au total, 11 millions de ménages, soit 23 % des emprunteurs immobiliers, sont actuellement under water (sous la ligne de flottaison), c’est-à-dire disposant d’un appartement dont la valeur est inférieure au montant emprunté. Cette proportion va jusqu’à 65 % en Californie, en Floride, au Nevada, en Arizona, dans le Michigan ou en Géorgie. Selon la société d’études immobilière First American CoreLogic, 2,2 millions de ménages ont vu la valeur de leur patrimoine chuter de plus de 50 % depuis l’achat.
En Californie, la pratique du short sale, c’est-à-dire la vente à perte, se répand : elle permet à un propriétaire de se libérer de sa dette en vendant à prix bradé, après accord de la banque. « A Los Angeles, 21 % des biens à vendre sont issus de saisies et 34 % sont en short sale, car les établissements bancaires ont compris l’intérêt de cette solution par rapport à la saisie », témoigne Alain Silverston, un agent immobilier français installé en Californie.
Il cite l’exemple des Donavan. Ils ont acquis, en 2008, une villa pour 590 000 dollars et la revendent 429 000 dollars, en partant vivre à quelques kilomètres de là, dans un logement loué 2 000 dollars, soit moins que les 3 800 dollars de leurs anciennes mensualités de remboursement. Une économie bienvenue car leurs revenus ont chuté, Mme Donovan ne travaillant plus qu’à mi-temps dans l’immobilier, son époux ne percevant plus les bonus et primes d’antan.
A peine le phénomène de walk away était-il apparu qu’Henry Paulson, le secrétaire au Trésor sous George Bush, traitait ses adeptes de « spéculateurs ». Président de l’Association des banquiers du crédit immobilier (Mortgage Bankers Association), John Courson leur a, lui, récemment lancé un appel : « Pensez au mauvais exemple que vous donnez à votre famille, à vos enfants et vos amis. » Et même Barack Obama leur a demandé de se montrer « responsables ».
Les Donavan trouvent-ils leur évasion immorale ? La question les amuse : ils sont bien contents d’avoir feinté leur banquier. La proportion des emprunteurs qui cessent volontairement de payer leur crédit atteindrait 3 %, mais une étude LA Times-Real Estate Economy Watch de décembre 2009 révèle que 10 % des sondés sont tentés par cette option. Et l’argument du comportement antisocial ou immoral ne tient pas, surtout venant des banquiers, puisqu’eux-mêmes s’adonnent à cette pratique lorsqu’ils y trouvent leur intérêt !
Dans le New York Times du 10 janvier, Roger Lowenstein, propriétaire du fonds d’investissement éthique Sequoia, donnait l’exemple de la banque d’affaires Morgan Stanley qui avait acquis cinq immeubles de bureaux de haut standing à San Francisco lorsque le marché était au plus haut, et qui a cessé de les payer depuis l’effondrement immobilier. « Personne, à Wall Street, ne l’accuse d’immoralité », note-t-il. Le promoteur Tishman Speyer et le fonds BlackRock ont annoncé, fin janvier, ne pas pouvoir payer les 16 millions de dollars d’intérêts d’un prêt contracté, en 2006, pour acquérir 11 232 appartements à Manhattan, pour 5,4 milliards de dollars, et qui n’en valent plus, désormais, que 1,8…
Si la stratégie du walk away se répand, elle ne peut qu’amplifier la chute des prix et le nombre de propriétaires under water. Selon la Mortgage Bankers Association, 4,38 % des emprunteurs américains étaient, au troisième trimestre 2009, en procédure de saisie et 9,9 % avaient des retards de paiement, soit un total de 15 % d’emprunteurs en difficultés.
LE MONDE | 08.02.10 | 15h03 • Mis à jour le 08.02.10 | 16h14
New York CorrespondantSylvain Cypel avec Isabelle Rey-Lefebvre
Le prêt « sans recours », une particularité américaineDans plus de la moitié des Etats américains, les prêts hypothécaires sont, moyennant une surprime de 0,5 % à 0,7 %, « sans recours », c’est-à-dire non adossés aux revenus des emprunteurs. Impossible donc, pour les organismes de crédit, d’obtenir la saisie des comptes personnels pour recouvrer leur dû. Dans un récent rapport remis au ministère au logement américain, l’économiste Susan Woodward va jusqu’à se féliciter du fait que peu d’emprunteurs connaissent cette disposition. Sinon, explique-t-elle, ils seraient beaucoup plus nombreux à laisser leur appartement en plan pour chercher plus avantageux ailleurs… Le seul risque encouru par ces « déserteurs du crédit » est que leur défaillance les poursuive et les empêche d’obtenir un crédit ailleurs, et durant quelques années. En France, le prêt sans recours est juridiquement possible mais pas pratiqué, les banquiers accordant leur crédit en fonction de la solvabilité du client plus que de la valeur du bien financé.
-
Merci pour le lien.
Le système bancaire, dans sa forme actuelle, est un fléau, une gangrène qui aura été à l’origine de la chute de l’occident, les grecs le font savoir à leur façon, il viennent de faire sauter la JP Morgan
Il faut d’ores et déjà réfléchir à des solutions pour contourner ces gangsters, aux Etats-Unis déjà 17 millions de personnes se débrouillent pour s’en passer, ces enflures bouffent notre blé en ayant créés de pompes à fric privées, hors du contrôle des états, les banques centrales, qui les renflouent à volonté.
-
De toute façon vouloir augmenter les taxes et impôts sur une population qui n’est plus en mesure de les payer ne mènera pas bien loin..... en 2009 les recettes fiscales sont en diminutions un peu partout ne faisant qu’accentuer les déficits publics. Les plans d’austérités ne feront que précipiter la ruine du système moins de revenus = moins de consommations = plus de chômage = moins de taxes, le serpent se mord la queue, la spirale infernale est enclenchée et rien ne pourra empêcher la chute finale avec de telles politiques.
-
john
tu as enlever les mots de mon c lavier 5/5 .... biennous à côté de ces pourris !!!!!nous sommes des angesmais attention les pourris ont bp de léche culdes minable des lâches qui veulent arriver comme eux ( les pourris)à+ -
« trouvez-vous du boulot au noir ». Je ne vois pas vraiment le rapport avec la banque.
Ce qui est sûr par contre c’est que tu plantes le système solidaire d’assurance maladie... et que si il se passe quelque chose... tu te plantes toi-même.
Pour information, toutes les banques ne pratiquent pas le crédit avec intérêt. cf. finance islamique.
-
un gamin de 5 ans aurait la même réflexionon n’est- pas dans ma merde avec des mecs comme ça.MERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEDES MORTS VIVANTS DES CONSSSSSSSSSSSSSSSSSSSC’EST PAS ETONNANT QUE LES AUTRES FROFITENT TRAQUILLELMENTMERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEDES NULS .................... -
ETAT.... ETAT.... merde FAUT !!! ARRETEZ d’*etre des des mis sur tutelle !!
...ETAT C’EST LE PEUPLE c’est vous ....... !!!!! pas euxc’est les résponsablesEUX c’est les dirigents de l’ETAT PAYER et Employer par vous des bandits voleurs !!!il ne represente pas l’ETAT DE cette manièrec’est L XIV QUI AVAIT DIT L ’ ETAT c’est moi....merde ça c’est fini !!le jour ou vous serez capable de faire la difference !! que l’ETAT c’est vousalors vous aurez fait un grand pas dans l’humanitépauvre peuple qui ne peut ce passer de cette tutelle de merdePrenez votre détinée "en mains et vous serez des homme libres des vraispour le moment vous etes des soumis des sefs des ésclaves PEUREUXqui nourrit votre seigneur feodale vous etes ses sujetsSEULE UNE ORGANISATION EQUITABLE ET JUSTE PEUT ETRE DIGNE DES HOMMESgimo -
Tout à fait John !
la culpabilité doit changer de camp.
-
" le même établissement peut accorder plusieurs crédits à des personnes manifestement hors d’état de rembourser, le quatrième crédit, par exemple, servant à rembourser les trois premiers".
Ben c’est logique, les trois premiers appartiennent à l’établissement de crédit lui même. Le pauvre commence à les rembourser ils sont dans le bilan. Au bout d’un moment ca couaque. Alors on file un quatrième crédit qui rembourse les trois premiers (et qui les sort du bilan). On titrisera ce quatrième crédit avec quelques autres de meilleurs qualité et hop, l’opération aura rapporté un beau bénéfice.
Pour le reste l’article présente un bel exemple de mesures bolchéviques. Le crédit revolving rend service à certains. Si il est utilisé de façon intelligente, il peut servir à dépanner.
La seule solution c’est d’enseigner aux gens à l’école à gérer leur argent et à ne pas être irresponsable...
-
Le crédir révolving est un piège pour les pauvres...Venez voir tpoutes ces familles prises dans les tenailles. Ce n’est pas être bolchévik que de dire non à cette arnaque !
pour d’autres commentaires à propos de la cour des comptes-
pauvre , c’est ça le noeud du problème , les riches n’ont pas besoin de crédit révolving pour réussir à bouffer ! le pouvoir d’achat a été sournoisement grignotté depuis 30 ans , beaucoup de français sont raides le 15 du mois !
-
Arrêter, arrêter de surconsommer. Arrêter le massacre et le gaspillage
Et limiter sa consommation aux strictes disponibilités de votre protefeuille et satisfaire vos besoins vitaux, pas plus.C’est une folie d’envoyer son véhicule veix de 3-4 ans pour encaisser une prime à la casse, et s’endetter encore pour un véhicule neuf avec plein de coûteuses et inutiles options qui en majorent la facture d’au moins 10% à 15%
Pas besoin d’un portable avec options coûteuses, ni d’un appareil tv avec écran liquide ou LCDS mural. Des appareils électro ménagers robustes et optimaux, qui ne sont pas forcément changeables toutes les années. Il faut s’informer chez les associations de consommateurs qui font un excellent travail. Pas besoin de changer votre pc portable tous les six mois. Ni d’une connexion Internet à quelques dizaines de gigas, ni d’inutiles et coûteux gadgets ipod et autres pour ecouter de la musique, ou d’Internet sur votre téléphone portable.
Des centaines de milliers, des millions de véhicules d’occasions, des petits engins de travaux publics ayant servi pour la construction d’un seul ensemble d’habitation, encore tous neuf achetés en Europe pour rien, continuent à rouler sur les routes maghrébines et africaines pendant quelques années. Les consommateurs européens auraient-ils un QI inférieur à ces astucieux africains ? .
ET limiter l’endettement aux seuls besoins de nourriture,si par malheur cela arrive. Poser la question aux immigrés et leur demander comment ils font pour vivre : pour manger, pour se loger, pour se couvrir, se chauffer, se faire transporter, voyager, pour pas cher : vous en tirerez d’excellents enseignements. Et surtout ne pas demander conseil à votre banquier dont le travail consiste à vous soutirer un max.
A revenu égal, et à nombre de calories égal, dans la même ville en Europe, le panier de la ménagère afro maghrébine 30 à 40% moins cher que la ménagère occidentale. Ne pas hésiter à sacrifier un ticket de bus ou de métro pour se rendre à un marché pas cher et y faire ses appros alimentaires pour la semaine, avec une facture considérablement réduite.
Lire attentivement vos factures, et surveiller vos factures d’eau, de téléphone, d’énergie et contrôler et réduire cette consommation, des centaines d’euros à économiser par année.En bref, consommer intelligent, et apprendre à ne pas se faire arnaquer à tout bout de champ : un simple attitude de méfiance permanente, de tous les instants.
Et Dieu sait que je n’aime pas donner de conseils, j’essaye simplement d’informer.-
Lagarde ministre d’exécution de Sarkozy a refusé l’interdiction des crédits revolving (de revolvert sur la tempe) sous les cyniques prétextes que cela nuirait aux ventes par correspondance et occasionnerait du chômage.
Conclusion, les pauvres dont beaucoup de chômeurs, qui ne s’endettent pas, sont responsables de la faillite des entreprises de vente par correspondance et du chômage.
Quant à ceux qui s’endettent, ils sont indispensables à la bonne marche des affaires.
Elle n’a même pas évoqué l’éventualité d’une limitation du taux d’usure à 3 fois le taux inter bancaire (prêt entre banques), ce qui serait la moindre des choses. Actuellement le taux d’usure est d’environ 20% et celui interbancaire d’environ 1%.-
les crédits révolving sont un poison autorisé par les politiques. une personne que je connais devais 7500 euros elle rembourse 50 euros par mois depuis trois ans, le juge l’a astreint à rembourser 8500 euros. ces crédits révolving ne devrait pas être de plus de trois pour cent au dessus de l’inflation. aujourd’hui ils sont au environ de 20% avec une inflation proche de zéro. mais ça va vraiment dans le sens d’appauvrir les populations, c’est même pour cela que les politiques ont opté pour une relance par l’investissement de cette manière les grosse entreprises s’enrichiront. la relance par la consomation aurait permis à des milliers de petits patrons de s’en sortir, car 25 milliards donnés aux nécéssiteux auraient pu générer des centaines de milliards de PIB en France. je te donne 10 euros en échange d’un service, c’est dix euros sont donnés au boulanger qui paye son apprenti etc et tout ça pour des millions de personnes. ça va changer c’est clair, car internet permet aux hommes et femmes de comprendre le monde dans lequel nous vivons. quant à cette famille moi je ne paierez pas si ces crédits ont été fait en dépit du bon sens les enfants doivent demander aux assurances de prouver qu’elles ont bien verifier que les personnes étaient crédibles, présentation de photocopie de relevé bancaire en leur possession, pour au moins vérifier si cette famille n’avait pas été sous tutelle ou interdite à la banque de france.
-
Bon article l’auteur
un gouvernement responsable devrait appliquer ce que vous préconisez !
mais ce gouvernement dont le 1er d’entre - eux n’est qu’au service de la finance qui pressure , étouffe , et aspire les revenus des pauvres jusqu’aux derniers centimes à l’image de l’action « pièces jaunes » perpétrée par la marquise de la Corrèze .
Mais tout est fait pour consommer et jeter , avoir toujours plus sans réfléchir ; la pub , partout dans les médias , les panneaux aux carrefours , à l’entrée des bourgades .
Nous , cela fait longtemps que l’on ne se fait plus prendre à ce « miroir aux alouettes »
que dire contre ce fléau , sinon qu’à l’école les profs devraient apprendre à gérer son budget , maitriser ses envies ; à mon avis l’éducation civique devrait rendre le futur consommateur plus vigilant .
Mais est-ce que l’éducation nationale ou privée est là pour éclairer les jeunes consciences ? puis de toutes façons c’est le système en entier qui est à revoir !
Les gens « responsables » devraient prouver leur bonne conscience en ne légitimant plus les politiques et représentants publics du maire au président , en ayant la possibilité de démettre ces « autorités » irresponsables .
Cordialement .
RA .-
Terran 19 février 2010 15:40Pour illustrer l’article en voilà un autre qui prend plus de hauteur.
*********************************
Brèves /
La livre britannique prend le chemin des ruines d’Athènes19 février 2010 - 15:0119 février 2010 (Nouvelle Solidarité) – Une caricature dans Les Echos résume assez bien la situation actuelle. On y voit les colonnes brisées d’un temple grec en ruine, avec un panneau indiquant qu’il s’agit de… la Banque d’Angleterre. Lorsqu’un passant commente : « Ca fait ruines de l’Acropole », un banquier britannique, chapeau melon vissé sur la tête répond : « Yes, on s’en est inspiré ! Comme Byron ! ».
Définitivement, il n’y a pas que le chroniquer du Daily Telegraphe Ambrose Evan-Pritchard pour redouter que la crise de la zone euro, ne puisse par ricochet, en passant par l’Espagne, mettre à terre l’édifice de l’Empire britannique.
Ainsi, au lendemain du sommet de Bruxelles sur la crise de la zone euro, Sarkozy aurait, d’après Le Canard Enchaîné et dans un rare moment de lucidité, lâché ses réflexions. « Le problème grec n’est pas encore réglé. La situation de l’Espagne et du Portugal est inquiétante et celle des finances de l’Italie préoccupante. Il ne faudrait pas que tout s’effondre, parce que la crise de 29, ce serait de la rigolade à côté (…) Cette affaire est grave car elle révèle la volonté des banquiers et des spéculateurs anglo-saxons de se payer la zone euro. Des libéraux qui ne supportent pas la volonté des Européens de mieux réguler les marchés financiers. (…)La situation économique de la Grèce ne justifie pas à elle seule l’ampleur de la spéculation. S’il y a une monnaie qui aurait dû être attaquée, c’est la livre sterling, or l’économie de la Grande-Bretagne va mal, comme ses finances publiques ».En effet, le gouvernement britannique, confronté à un déficit budgétaire de 4,3 milliards de livres, contre un surplus de 5,3 milliards de livres il y a encore un an, a dû, pour la première fois depuis 1993, procéder à des emprunts en janvier, mois d’ordinaire riche en termes de recettes fiscales. Les rentrées d’impôts se sont tassées de 7,8% à 50,5 milliards. Comme conséquence, les taux sur les obligations d’Etat (les gilts) se sont immédiatement envolés de 17 points de base en une semaine, pour atteindre 4,10% en fin de journée hier (comparé à 4,05% pour l’Italie et 4,02% pour l’Espagne). Rappelons que depuis mai 2009, l’agence de notation Standard Poor’s avait émis une « perspective négative » sur la santé des finances publiques britanniques signifiant que Londres avait une chance sur trois de perdre sa note de crédit AAA, la meilleure possible.
Aujourd’hui, l’heure arrive de retirer le bouchon de la baignoire. L’acronyme PIIGS (Portugal, Ireland, Italy, Greece et Spain) désignant les pays du « Club Med », se retrouve de plus en plus remplacé par l’acronyme STUPID (Spain, Turkey, United Kingdom, Portugal, Italy et Dubaï) qui ne comprend plus la Grèce.
« Depuis le début de la crise grecque, la demande d’information des investisseurs sur les fondamentaux de la dette d’Etat britannique et sur la livre est constante », explique un analyste de la banque Schroders. Il faut dire que des investisseurs, et non des moindres, viennent de lâcher la meute contre la livre.
« Vendez toutes les livres que vous avez : c’est terminé » affirmait tout simplement Jim Rogers, un des cofondateurs du Quantum Fund avec George Soros (avec lequel il s’est disputé depuis). Pour sa part, Bill Gross, le responsable des investissements du fonds de pension californien PIMCO, un des plus grands investisseurs du monde dans les dettes d’Etat, recommande d’éviter le Royaume-Uni, « ses bons du Trésor reposant sur un lit de nitroglycérine ». Ambiance.
Comme le disait Lyndon LaRouche récemment : une fois que les Britanniques auront lâché leur empire, leur Commonwealth et leur malthusianisme fascisant, on pourrait s’asseoir avec le peuple anglais à la même table et envisager sérieusement de reconstruire le monde.
**********************************
Il y a quand même de l’espoir dans tout cela ! Notez le !
-
SALUT TERRAN
ATTENTION IL Y A BP DE CONNARS sur cette planètemais on arrivera -
Terran 19 février 2010 18:46Je dirais qu’il y a beaucoup de cons, tout court...
Parce que ils en sont encore à disserter sur le bien fondé du sur-endettement.
Alors que c’est pas ça le sujet.Le vrai sujet de fond, c’est la création monétariste, c’est ça le vrai problème.
Qu’on supprime aux banques et aux intérêts privés le droit qu’ils se sont auto-proclamés de créer l’argent à partir de rien, et là tout changera.
Mais les vrais cons risquent de ne jamais comprendre l’arnaque séculaire.
Ils dénient ou enfument selon le coté duquel ils se trouvent. -
Plusieurs problèmes :1/ Les taux qui augmentent.2/ Les pratiquent des organismes de crédits.3/ La crédulité des souscripteurs.1/ Le gros problème des crédits révolving est leur taux jusqu’à 20 % ! C’est ahurissant ! Ces taux ne devraient pas être autoriser tout simplement. Les taux augmentent au fur et à mesure que les réserves sont utilisées.2/ Une fois que vous êtes dans les filets de ces organismes, ils ne vous lâches plus. Tous les mois ils vous envoient des courriers de félicitations ou d’excellents payeurs ou encore vous disent que vous disposez de telles sommes, parfois dérisoires, à votre disposition, de façon à ce que vous utilisiez la totalité des sommes. Une fois fait on vous propose des augmentations de réserves. N’ayant plus de disponible, vous acceptez. Et ainsi de suite, jusqu’à épuisement de la nouvelle réserve. Ainsi les taux de crédits augmentent et arrive le jour où vous ne remboursez plus que des intérêts et cela à vie !3/ Arrive le jour où la part des intérêts mensuels remboursés est plus importante que le remboursement effectif à reconstituer la réserve. Et ce jour là ... les gens enfin ouvrent leurs méninges, ... trop tard !-
Désolée j’ai pas mis mon article au bon endroit.
-
La faute en est principalement imputable aux monétaristes qui nous disaient, Alan Greenspan en tête, qu’il fallait vivre sur le crédit et que dépenser même à crédit était bon pour l’économie. Aujourd’hui, plus personne ne croit à cette solution. Il faut que les États vivent et qu’ils soient des redistributeurs de richesses. Voilà la conclusion de tous les beaux discours de ces monétaristes qui ont fait la pluie et le beau temps pendant 30 ans.
Pierre Boisjoli
le conseiller divin
le seigneur des seigneurs
le roi des rois
le prince de la paix-
Sans vouloir reprendre l’auteur, je pense qu’il serait plus approprié de parler de « politique responsable ». En effet , le surendettement est clairement défini quand a la catégorie de personnes qu’il touche et son ampleur, et pour tout gouvernement qui se respecte la décision devrait être immédiate, je dirai même que nous n’aurions jamais du en arriver à une telle situation ( des centaines de milliers de foyer touchés). Il est certain que le crime profite à quelqu’un, et le gouvernement actuel, par son inaction volontaire, est le complice direct du système bancaire qui exploite ce système juteux par le moyen d’un taux d’usure ignoble, maintenant ces pauvres gens dans une situation de quasi servitude (la notion d’esclavage n’est pas très loin).
-
Une remarque
Beaucoup de personnes super endettées sont en situation d’illettrisme. Depuis une bonne quinzaine d’années, « le module crédit » a disparu des formations pour ces personnes ainsi que « le module droit du travail ». Un pur hasard.
-
A propos de cette remarque pertinente : le CDAFAL 77 et l’AFL ’(association familiale laïque) ont décidé de mettre en place une information formation adaptée et lisible : nous la présenton dans le cadre des cours de lutte contre l’illettrisme. le 15 mars
-
@ Chalot
Heureusement que des citoyens s’engagent dans des associations aux buts altruistes.
Ils doivent se substituer aux services publics en voie de disparition sous les coups des élus des Français agissant à l’encontre des intérêts de leurs électeurs.
Rappelons que toutes les décisions prises pour détruire notre organisation sociale ont été prises à l’unanimité par les chefs d’états et de gouvernements.
-
Je connais personnellement de nombreux couples très bien éduqués et loin d’être analphabètes qui ont succombé aux sirènes de l’argent facile disponible de suite. Mais comme l’on évoqué d’autres intervenants ces pratiques relèvent plus du piège fatal que des facilités de crédit.
Vive la finance islamique en attendant un Glass Steagal Act pour ce qui est de limiter ces pratiques a un niveau plus global !!
-
La crise ? Quelle crise ? Vous avez vu une crise quelque part vous ?
En aucun cas la crise si elle existe n’atteint ceux qui ont un emploi au dessus du smic. C’est à peine si ils se privent d’une place de cinéma !Les français sont riches en majorité, ils ont juste des oursins dans les poches c’est bien connu. Il y a un ralentissement de la consommation ? Par prudence seulement. Le français est prudent et il épargne. Le français ne sait faire que se plaindre. Hors celui qui se plaint n’est pas celui qui en souffre. Ceux qui en souffrent vous ne les entendrez jamais se plaindre, car ils n’ont pas la parole, on leur donne pas la parole à moins qu’il se réunissent comme lors d’un licenciement massif.La crise fait vendre des mots posés sur du papier. La crise génère du chiffre pour tout ceux qui savent s’en servir. La crise fait parler, fait jasé tout ceux qui en ont peur mais qui ne la vivent pas au quotidien.La crise est un prétexte pour s’en mettre encore plus dans les poches en licencient !Que savez vous de la réalité de la crise et du besoin où elle plonge irrévocablement les particuliers smicares ?Elle n’a de réalité que pour ceux qui avaient peu et qui aujourd’hui ont moins, voire moins que rien. Ceux qui se demandent comment ils vont bien pouvoir payer leur facture edf ? Car c’est avoir l’électricité ou manger ? Comment pensez-vous que ces gens ont vécu l’augmentation de salaire du PDG d’EDF ? Je vais vous le dire : AVEC ACCABLEMENT !La réalité est que nous vivons dans un monde capitaliste où ceux qui sont riches le deviennent encore plus grâce à la crise « MERCI LA CRISE » et plonge dans le désespoir tout les autres « CRISE DE MERDE » !Et merci CRÉDIT REVOLVING ! qui entraînent les gens encore plus bas, mais qui parfois servent à payer avec de gros intérêts ces saletés de factures. Parce qu’ils sont acculés par le temps et les relances (voir le harcèlement par téléphone d’edf ! plusieurs fois par jour ! ) et que les services sociaux sont dans l’incapacité de les aider concrètement.-
Saviez vous que votre banque touche un petit bonus lorsque vous prenez une carte de crédit dans un autre organisme, carte magasin ou autre...
Tout ce petit monde se gavent comme les assureurs qui s’entendent sur votre dos en cas d’accident...
Madame Lagarde, comme un bon mouton du système des mondialistes, n’a fait que faire mine de lutter contre le surendettement, comme Obama qui renvoie des hommes en Afghanistan en parlant de retrait !!
Comment arrêter d’endetter les ménages moyens et les idiots utiles puisque cela fait vivre le système français, on endette même l’état pour filer de l’argent aux plus démunis pas pour leur bien mais pour qu’ils consomment...
Vous êtes sommés de consommer c’est cela le système des mondialistes et tout tourne autour de cela... le nombre de dossier de surendettement a été multiplié par trois depuis peu, la CRIIIIISE a bon dos, vous pouvez toujours prendre cinq ou six cartes de crédits en divers endroits sans aucun controle !!
Quand on est au pouvoir et responsable, il faut faire autre chose que de la communication démago, l’état sarkozyen ne vient il pas encore de donner le mauvais exemple en réempruntant 35 milliards tout en concédant des allègements douteux aux plus grandes entreprises de notre charmant pays aux allures de république bananière !!
-
sute à des propositions, j’ai repris l’article
et avec une collègue nous l’avons compléter
http://www.re3.freesurf.fr/surendettement.html-
Pas trop le temps de rentrer dans les débats...
Ce qui est certain, c’est que certaines pratiques mériteraient d’être mieux encadrées.En attendant, le surendettement touche des personnes, en chair et en os, et avec un coeur ! Lesquelles connaissent une détresse difficile à dépasser !
Un forum a té récemment créé pour leur venir en aide : forum entraide surendettement
-
C’est une initiative qui est à saluer
Les permanences sont importantes car souvent les personnes souhaitent une réponse individuelle dans le cadre d’un entretien privé.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON