Le « toast d’Alger » du candidat Macron
Alger est décidément une pierre d’achoppement dans l’histoire de France. Outre les millions de chrétiens qui y furent emmenés en esclavage par les barbares musulmans des siècles classiques, elle est le théâtre des paroles funestes, tel le fameux « Toast d’Alger » où, en 1890, le cardinal Lavigerie, sur demande de Rampolla, secrétaire crypto-maçon du pape Léon XIII, tua dans l’œuf la dernière chance royaliste de la droite française en proclamant la nécessité d’un ralliement à la république : La bonne volonté conciliante des catholiques suite à l’appel d’Alger ne fut récompensée que d’une persécution accrue de l’Eglise par la république maçonnique, aboutissant à la fameuse loi de 1905 qui acheva de dépouiller l’Eglise de France de ce qu’il lui restait de puissance.
Nous voici maintenant en février 2017. Les puissances d’argent ont décidé que Macron serait le prochain président de la République Française. Or, tout indique que Fillon ne peut manquer d’être élu, car il navigue en tête des intentions de vote. Marine le Pen sera au second tour, et s’il est clair que l’insignifiant Hamon ne représente plus aucun danger d’y être, il reste le tonitruant Mélenchon, placé lui aussi en embuscade pour ce second tour : l’Etat-major du petit Emmanuel est en effervescence, car la situation est la suivante :
1° : Il est certain que Marine le Pen sera présente au second tour.
2° : Il est certain que son adversaire au second tour sera élu Président de la République.
3° : Dans l’état actuel des choses (début février 2017) il y a donc 3 prétendants à l’Elysée : Fillon, Mélenchon, Macron. Macron est le moins bien placé.
4° : Pour se débarrasser de Fillon, on actionne la Justice, qui va ruiner sa réputation. Il reste Mélenchon. Et là, que faire ? Il y a bien sa fille, qu’il a fait embaucher par un conseil général, mais ce n’est pas un vrai scandale, il pourra toujours faire valoir que ça n’a rien d’illégal. Alors que faire ?
C’est là qu’intervient le trait machiavélique du jeune Macron, dont nous pouvons conjecturer ici le raisonnement :
Puisque Mélenchon est devant moi, il faut se demander pourquoi : Par ses positions islamo-gauchistes, il capte les voix des musulmans de France, qu’il partage avec Hamon, mais Hamon ne pèse plus grand chose. Or, même si beaucoup de musulmans refusent de voter par mépris de la République, dont la loi n’est pas celle d’Allah, beaucoup également votent par peur de voir fermer les frontières ou tarir les généreuses allocations de toute sorte. Les musulmans représentent déjà près de 20% de la population. Si 1/3 d’entre eux votent, cela fait 6% du scrutin. Or, sur ces 6%, pour l’instant, 4 reviennent à Mélenchon, et 2 à Hamon. Et Mélenchon est 3 points devant moi : j’ai 16 et il a 19. Si je lui prends les 3/4 de son vote musulman, le rapport s’inverse : J’ai 19 et il a 16. Et Hamon n’a que 7% : grâce aux nombreuses publications de sondages, on peut faire clairement comprendre qu’Hamon est cuit, alors ses 2 points islamiques viendront voter utile en se reportant sur moi si je me fais le porte-étendard de l’islam : il pourrait donc redescendre à 5, et moi je monterai alors à 21 : J'irai même encore au-delà au fur et à mesure que Fillon dégringolera car je suis vu à droite de Mélenchon. Dans ce cas, je suis président, car peu importe si Marine est devant moi au premier tour, de toute façon elle ne passera pas au second.
Il faut donc que je fasse un gros coup islamolatrique pour piquer leurs voix islamiques à Mélenchon et Hamon, car Mélenchon reste un danger que je dois absolument écarter. Alors voilà : je vais aller à Alger et déclarer publiquement que la colonisation fut un crime contre l’humanité. Avec ça, je suis sûr de passer devant Mélenchon, et une fois Fillon dégommé par la justice, me voilà président !
Un de ses conseilllers lui demande alors avec inquiétude si cela ne risque pas au contraire de faire gonfler le vote en faveur de Marine le Pen ? Aucun problème, répond Macron, la non-élection de Marine est une certitude absolue, il n’y a rien à craindre de ce côté : quand bien même elle monterait à 30% au premier tour, elle n’atteindra jamais 45% au second. Son adversaire est élu d’avance.
Un autre de ses conseillers lui fait remarquer que c’est peut-être un peu trop rabaisser la France, et aussi encourager la haine anti-française qui est justement un sport national en Algérie. Il lui répond que la France, ce n’est plus qu’un mot. Aujourd’hui, c’est l’Europe qui compte, et dans une génération, le gouvernement mondial. La France, c’est le passé, pense-t-il.
Or, ce coup politique de Macron en février 2017, ce nouveau « toast d’Alger », même s’il a produit l’effet attendu, est une méprisable trahison de l’Histoire de France et, plus encore, une insulte à l’intelligence et à la justice. Réélire ce misérable bateleur en 2022 serait le comble d’une méprisable autoflagellation.
Car, en effet, s’il y a bien une ville où cette déclaration ne pouvait être faite, c’est Alger : Ce n’est pas la France qui doit des excuses à l’Algérie, c’est l’Algérie qui doit des excuses à la France. En 1830, Alger a été envahie parce qu’elle était le centre d’esclavage le plus inhumain jamais connu : Outre les 1,5 millions de musulmans qui en peuplaient la région (devenus 9 millions en 1962 : Un génocide selon l’inénarrable Erdogan !), elle comptait 300 000 esclaves chrétiens dont la prise d’Alger a mis fin au calvaire que leur imposait la barbarie islamique. Pendant plus de mille ans, les musulmans ont considéré l’Europe comme un vivier d’esclaves, au point de finir par fonder, sous l’autorité des Turcs, un grand centre d’esclavage attirant tout le monde musulman : Le port d’Alger. Par la piraterie en Méditerranée et par des razzias incessantes sur les côtes d’Italie, de France ou d’Espagne, et même de Grande-Bretagne, les algérois alimentaient leur marché aux esclaves, où venaient s’approvisionner en force de travail et en proies sexuelles tous les petits caïds du monde musulman.
Les esclaves blancs subissaient toute sorte de sévices, à commencer par les femmes qui étaient vendues comme objets sexuels. Quant aux hommes, ils étaient assignés aux travaux pénibles, vivaient dans des conditions misérables et subissaient violences, tortures et mutilations. Et tout cela grâce au port d’Alger dont les navires barbares partaient à l’assaut des villages côtiers d'Europe méridionale ou des vaisseaux chrétiens traversant la Méditerranée à leurs risques et périls.
Ce qu’a fait Macron à Alger en février 2017 est donc une véritable forfaiture, une insigne trahison de l’Histoire, une insulte aux martyrs français de l’esclavage islamique, et s’appuie sur l’ignorance qui a été répandue sur ce peuple comme une malédiction depuis mai 68 : Ce peuple ignore son histoire et se laisse donc berner par les clichés mensongers de la propagande islamo-gauchiste. Il est temps d’en sortir. Il faut pousser notre peuple à se cultiver à nouveau, loin de toute littérature futile et pernicieuse, en lui faisant redécouvrir l’histoire, la philosophie et la spiritualité.
Quand notre niveau culturel aura été relevé, c’est en vain que s’égosilleront jusqu’à perdre haleine les bateleurs islamo-gauchistes qui, à l’heure actuelle, sapent tranquillement et patiemment les fondations de notre civilisation.
Michel Brasparts
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