Les arbres de la planète disparaissent. Et moi, et moi, et nous ? Emoi.
Suite à la surexploitation des forêts dans les zones tropicales et équatoriales, suite au non renouvèlement de ces forêts, suite à l’apparition d’agents nocifs pour les arbres (ormes, arbres à encens, frênes…), la superficie forestière de la planète diminue.
Ajoutons à cela, la croissance exponentielle de l’humanité, les pratiques de cultures sur brûlis, les besoins en bois de chauffage, l’expansion des villes et les hommes ajoutent leur œuvre destructrice aux aléas climatiques (sécheresse dans certaines régions, surabondance d’eau dans d’autres parties).
Certes ! Dans certains pays, on a pris conscience de ce phénomène, que ce soit au Japon, en Allemagne, en Suède, en France où la surface actuelle de nos forêts est bien supérieure à ce qu’elle était sous Napoléons Ier. Mais cela ne semble pas supprimer les menaces qui pèsent sur les forêts de la planète et ce n’est guère le souci de la majorité des terriens.
Or, les arbres sont, avec les océans eux aussi mal en point, les poumons de notre satellite. Laisser faire leur disparition relève du suicide collectif. Le plus bel exemple étant l'extinction des habitants de l'île de Pâques. Notre planète, perdue dans notre galaxie, n'est jamais qu'une petite île bleue avec, embarquée à son bord, une espèce animale qui la saccage avec une constance de bête possédant le plus fort instinct de mort de toutes les espèces animales.
Une fois de plus, ce matin, François Morel, dans son billet du vendredi a attiré notre attention sur le problème avec son humour, son ironie, et sa tendresse.
A nous de jouer !
En commençant par limiter les envies de Vinci à bétonner le bocage et les forêts du côté de Notre Dame des Landes, par exemple.
14 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON