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Les échos de la dernière guerre

Les communications sont-elles en train de naviguer vers un futur amer ?

L’ère des communications a totalement renversé l’image que la guerre illustre, en tant que moyen de communication. Le bruit de la Seconde Guerre mondiale a cessé vers 1945. La société a, depuis, considérablement innové le monde des communications. Les communications destructives ne prônent plus autant les revendications par la guerre. Toutefois, il s’est formé sur le web tout un réseau de terroristes informatiques. Ce fascinant monde des communications est en croissante évolution. Puisque les technologies de l’information innovent de jour en jour, elles offrent, du même coup, une diversité étonnante de services aux consommateurs. L’omniprésence des communications, dans la sphère publique et privée, témoigne de l’immense pouvoir d’influence que détient ce domaine d’activité, dans la société. Les communications des cinquante dernières années ont permis de résoudre plusieurs contraintes, notamment d’espace et de temps quant à la diffusion d’une communication. Les répercussions de la mondialisation doivent beaucoup à l’avancement des technologies de communications.

 

« DU PLUS COMMUN AU PLUS COMPLEXE »

 

 

Ce qu’il s’est construit depuis la dernière guerre mondiale

 

D’abord, il est impératif de comprendre ce qu’englobe le terme de communication. L’action de communiquer s’effectue différemment d’une espèce à l’autre, d’un âge à l’autre, d’une région à l’autre... L’histoire des communications est marquée par des outils, des techniques et des méthodes changeantes. Cela se réfère, donc, aux technologies des communications. Après les techniques de communications comme le téléphone, les journaux ou la télévision, ont vu le jour des technologies de communications des plus complexes. Le perfectionnement des technologies offre maintenant la possibilité aux médias de base de diffuser via une gamme de moyens des plus concurrentiels. L’utilisation de satellites, de la fibre optique également, sert de plus en plus dans cette grandissante innovation technique en matière de communication.

Les communications peuvent s’illustrer sous forme de publicité. Il n’est pas rare non plus que la communication politique utilise, elle aussi, les bénéfiques technologiques. En fait, le message politique ou le spot publicitaire, est un produit véhiculé par la propagande. Sans quoi, les communications n’ont pas l’effet escompté par son créateur et ne peuvent ainsi, persuader son public.

 

 

 

Une population intéressée : synonyme de nécessité ?

 

Le besoin civil de communiquer, étant lui-même reconnu par le droit de l’homme d’exprimer son opinion, justifie l’intérêt de tous envers les moyens de communications d’aujourd’hui. Toutefois, cette culture médiatique s’accompagne d’une culture académique fondée sur le savoir. L’intégration de nouvelles techniques, par exemple, l’utilisation du réseau internet dans de nombreuses communications, peut s’avérer économique à qui sait entretenir et opérer un ordinateur. D’autres se voient imposer l’apprentissage de nouvelles techniques de diffusion, pour l’exercice de leurs fonctions, par exemple. Les journalistes se disent exténués et ils affirmaient, dans un reportage à Télé-Québec, qu’ils doivent limiter la profondeur de leurs recherches pour être en mesure de livrer leurs messages dans les formats et le délai prescrit. Les sites internet, associés aux grands diffuseurs d’information, demandent aux rédacteurs temps et connaissances informatiques, qui tendent à progresser de plus en plus rapidement.

 

« DE L’ACCESSIBILITÉ À L’OPPORTUNITÉ »

 

 

Du pourvoyeur au consommateur

 

La société Radio Canada, honorée particulièrement après 1950, atteint une folle vitesse de croisière qui plonge le Canada dans une course contre le temps. La naissance d’internet repose sur un ingénieux projet militaire qui accueille maintenant nombre de surfers sur ses réseaux. De la télévision, à la télé-réalité, en passant par les blogs, il s’est enregistré de multiples communications. Si bien que depuis 1984, le nombre d’ordinateurs sur le réseau est passé de quelques milliers à plusieurs millions d’internautes. Dans cet ordre d’idée, l’espace, voire l’accès aux plaques tournantes de la technologie des communications s’est aussi développé. Ainsi, le gouvernement américain, par la création de ARPA (1957), enchaîne une série de projets informatiques tel que l’aboutissement de APRANET se séparant, en 1984, civilement sous le terme d’INTERNET et militairement sous celui de MILNAT, grâce au conseil de recherche pour la défense (DRD).

La première expérience de communication par satellite, il y a près de cinquante ans, utilisait la Lune comme réflecteur. Puis, en 1970, une première mondiale enregistrait la première communication air-air grâce à l’utilisation des satellites. Un satellite important, nommée Hermes, permet en 1978, la première radiodiffusion directe à domicile. Cette diffusion, qui utilisait le satellite technologique Hermes, a livré sur les écrans, une partie de hockey de la Coupe Stanley. Dans la même année, de nombreuses études, qui visent l’avancement des techniques de communications, s’ensuivent. Ainsi, les chercheurs sont désormais préoccupés par les contraintes d’espaces et de réception des satellites.

Alors, des moyens sont mis en branle afin de contrer les réflexions secondaires sur les gratte-ciel et échapper aux autres contraintes dues à la structure des villes urbaines.

 

 

Recommandations et formalités

 

La présente recherche traite du passé des communications, en ne survolant que l’équivalent d’un demi-siècle, avant ce jour. Les informations précédentes se limitent à l’histoire des communications au Canada. Dans cette perspective, les résultats de la recherche ont mené à la découverte de limites en matière de communication. Bien que l’évolution de ces dernières soit remarquable, il s’avère que le chaos risque tout de même de venir compromettre tout le potentiel de l’avancement technologique. En conséquence, l’idée que les communications tendent au contraire de l’apparence, à disparaître est crédible. Bien que celles-ci envahissent de plus en plus le marché, elles n’en obtiennent que davantage de visibilité. Cela dit, l’avancement des communications, par son rythme d’évolution trop rapide, s’engage sur une voie dangereuse ; elle risque en effet de perdre son public. Le grand public n’étant nullement encadré dans ce trafic communicationnel, il est de plus en plus exclus du monde des communications, souvent par choix. La société canadienne, réputée pour son mode de vie pressé, dispose d’une population qui n’a peu ou pas de temps à consacrer pour l’apprentissage de ces nouveaux outils de communication. D’autant plus que le temps nécessaire à l’individu moyen pour comprendre et maîtriser les nouvelles technologies n’est pas proportionnel aux taux de rapidité auquel les outils deviennent désuets, dépassés. Cela représente pour l’initié, une perte de temps qui le décourage, d’où vient l’idée que les communications s’autodétruisent.

 

Plus concrètement, les résultats d’une recherche, présentées à même le site de statistique Canada, démontrent la pertinence de l’hypothèse véhiculée au paragraphe précédent. Effectivement, la possibilité que la société perdre le contact avec ses citoyens est une réalité que subit actuellement l’État. Le développement des communications est maintenant synonyme d’une puissante activité économique. Ce secteur permet au Canada de se démarquer des autres pays du G7, à plusieurs niveaux. Par l’arrivée de tous ces puzzles nommés gadgets, tous ces incalculables périphériques qui ont été et sont encore vendus légalement, de par les licences distribuées par le gouvernement ; le pire reste à craindre. C’est là, une image d’autorisations à l’infini, qu’en témoignent les millions de générations d’ordinateurs fabriqués en moins de dix ans ! Il est vrai que le gouvernement intervient peu, afin de favoriser la concurrence dans ce secteur. Toutefois, il va sans dire que le gouvernement opère à des actes, en apparence, non réfléchis. Du moins, les résultats de la recherche amène à y croire.

 

En résumé, la recherche consultée sur le site de statistique Canada a soulevé des lacunes quant à l’application des nouvelles techniques de communications. Les résultats dénoncent le format instable des rapports gouvernementaux. Ces rapports diffusent des données qui sont difficilement interprétables, compte tenu du fait que le gouvernement ne dispose pas de standard de présentation. En ce sens, la présentation, visuelle notamment, tient de procédures différentes d’un rapport à l’autre. Le lecteur de ces documents doit, à chaque fois, démystifier comment lire les résultats ; cela demande du temps et de la concentration de sa part. L’application rigoureuse de standards universels mériterait une mise au point vigoureuse, sans quoi, les communications deviendront des vraies énigmes ! La présentation visuelle des rapports : un langage gestuel à considérer !

 


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3 réactions à cet article    


  • adeline 24 janvier 2008 17:34

    Bonsoir curieux qu’il n’y ait pas de débat ? votre article est très interessant merci à vous


    • Djanel 25 janvier 2008 02:24

      Non ce n’est étrange qu’il n’y ait personne sur ce fil. C’est la politique qui attire l’attention du public en ce moment de pré-campagne électorale.


    • Jason Jason 26 janvier 2008 14:07

      Article intéressant à propos duquel je me permettrais de placer quelques lieux communs.

      La croissance exponentielle du nombre de messages de toute nature transforme l’univers de l’information en une immense chambre d’échos confus dotée d’un niveau de bruit de fond qui érode le sens de l’information pertinente et utile. Résultat : beaucoup de bruit (non-significant/relevant level) noyant le sens de l’information. Cela a pour effet de produire un sens aigü de l’urgence de la part du récepteur et de lui retirer une partie du temps nécessaire à la prise de décision réfléchie. Très utile pour le Marketing "splash" et le "buy now".

      Si internet permet de comparer utilement les prix, il ne permet toujours pas, en aval, du côté du consommateur, de faire valoir son expérience individuelle. La loi l’interdit sous peine de poursuites. Internet fonctionne souvent à sens unique pour des sites qui "crachent" leur info, mis sont inaccessisbles au public.

      Par ailleurs internet véhicule toutes sortes d’infos très utiles, accessibles 24h/24, et directement chez soi. Mais il reste, malgré les efforts dont peut témoigner ce site, très en dessous de ce qu’il pourrait être en termes d’expression du consommateur ou du citoyen.

      La technologie devance, une fois de plus, la culture.

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