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Accueil du site > Tribune Libre > Les Maltraitances des Enfants : Interview de Brigitte Oriol

Les Maltraitances des Enfants : Interview de Brigitte Oriol

Brigitte Oriol dénonce dans ces interview les méfaits de l’éducation traditionnelle à l’obéissance, avec laquelle beaucoup d’entre nous ont été éduqués et qui continue à faire des ravages parmis les nouvelles générations.

"Nous manquons tragiquement d’informations sur les besoins émotionnels des enfants et nous en payons le prix fort par des représailles comportementales dramatiques à l’adolescence et futur adulte.

Nous avons tous appris de nos parents que les fessées, les punitions, les humiliations étaient "la façon" de nous traiter en tant qu’enfant. Sans nous poser de question, nous accueillons nos propres enfants de "cette même façon" dans l’aveuglement et l’ignorance totale.

Certains auditeurs entendront peut être dans ces émissions que nous avons été trompés par le plus gros des mensonges, que ces traitements nous ont rendus sourds, aveugles et muets, coupés de toute compassion pour des petits êtres que l’on doit justement protéger, sécuriser, respecter et aimer : Les Enfants.

Pour tous ceux qui auront un regard empathique sur les traitements qu’ils ont reçus jadis, sans plus les banaliser, les nier ou même en rire, alors ils oseront restituer la parole à cet enfant pour le réparer et ils n’auront plus envie de faire mal aux leurs.

Brigitte O."

 
Ces interviews radiophoniques sont issues du site d’Alice Miller ou elle sont librement accessibles et téléchargeables en MP3 (SANS DRM) : "Emissions Radio avec Brigitte Oriol".
 
Pour contacter Brigitte Oriol (qui répond aux courriers en Français du site d’Alice Miller) si vous voulez lui apporter une réaction ou un témoignage à ce sujet :
http://alice-miller.com/courrier_fr.php?lang=fr&nid=0
 
Remarque : Les vidéos ne sont pas dans l’ordre de diffusion à l’antenne.

Les Châtiments Corporels :
La Fessée :
L’émotion de l’enfant :
Les Caprices de l’Enfant :
La Colère de l’Enfant :
Les Sanctions de l’Enfant :
Se Libérer d’une Enfance Douloureuse :
Livre Alice Miller "Ta Vie Sauvée Enfin" :
 
 
Autres interview d’Alice Miller :
http://alice-miller.com/interviews_fr.php
 
 
 

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20 réactions à cet article    


  • roblin 25 décembre 2009 13:04

    Mais on ne peut pas résumer ces interview sans vider de son sens les propos.

    De plus, je connais pas mal de gens qui les ont écoutés jusqu’au bout (en tous cas, la version téléchargeable en MP3 du site d’Alice Miller), mais vous devriez plutot en écouter une complètement et revenir un autre jour écouter une autre, chaque interview ne fait qu’une dizaine de minutes.


    • roblin 25 décembre 2009 13:06

      Je rajouterais à ce que vous dites que ce n’est pas lent, mais que l’on prend son temps, qu’on prend le temps d ’écouter et de comprendre. On ne fait pas trop vite, on ne bacle pas le travail !


      • M.Junior Junior M 25 décembre 2009 15:26

        Faire un laïus sur la maltraitance sur un média qui essentiellement se lit, cela interroge pourquoi pas.
        Considérer la remarque d’un internaute comme un reproche et non conseil, cela se discute pourquoi
        Mais Dire comment il faut le lire pour bien le lire autant donner une claque sur les fesses pour faire passer le message.

        « Quand je fais le contraire de ce que je veux enseigner, le phénomène de rejet est proportionnel à mon intention de bien faire »

        De facto, je ne lirai pas les vidéos, j’ai déjà mon avis sur la question et quelqu’un d’aussi autoritaire ne m’incite pas à changer mon fusil d’épaule.

        Bonne année 2010


      • roblin 25 décembre 2009 16:28

        J’explique, tout simplement.

        Faire vite et ne pas prendre le temps d’écouter sur ce genre de sujet ne conduit simplement à rien.

        Si vous ne voulez et/ou ne pouvez pas prendre le temps, c’est dommage, mais on ne peut pas faire autrement.

        Et je ne vois pas vraiment en quoi ma remarque vous empêche d’écouter ces interview intéressantes.


      • Neris 25 décembre 2009 13:20

        J’aimerais bien savoir qui pratique encore « l’éducation à l’ancienne ».

        Parce que dans le monde où je vis, on traite les enfants comme des rois, on leur cède tout, on s’agenouille devant l’enfant, on fait ses quatre volontés, on ne dit jamais « non ».

        On traite, on négocie avec les enfants, on ne leur impose jamais rien, ni règles, ni choses à faire. L’enfant ne veut pas faire, il ne fait pas, on ne se pose pas de question, c’est l’enfant qui décide. L’enfant veut une chose, on lui donne la chose même si le budget du mois doit y passer (après, on va faire des bons alimentaires au CCAS).

        On supplie les autres de faire la même chose sinon l’enfant se roule par terre et hurle.
        L’enfant vous fait honte dans un magasin c’est que vous avez refusé quelque chose et vous devez dire « oui » pour qu’il se calme (enfin, du moins l’espérer).

        Dans le monde où je vis, les parents ont des enfants de trois ans qui réclament des quad à essence pour Noël et les parents s’exécutent.

        Dans le monde où je vis, les enfants font ce qu’ils veulent et à 13 ans imposent leur loi à leurs parents dépassés qui ne rêvent que de les refiler à une famille d’accueil.

        Dans le monde où je vis, les enfants qui ont 17 ans ont le souci de la propriété individuelle (la leur) mais aucun concernant le bien collectif que l’on peut casser comme on veut. Il y a encore peu, « je paie donc je fais ce que je veux » était de mise, aujourd’hui, c’est « je fais ce que je veux, je ne paie rien et t’as rien à dire ».

        Qui donc élève encore ses enfants « à l’ancienne » ?


        • lambertine 25 décembre 2009 13:33

          Ben, j’aimerais bien savoir où vous vivez. Parce que les gosses tels que vous les décrivez, je les remarque surtout dans les commentaires des internautes. Pas dans la vraie vie.


        • roblin 25 décembre 2009 13:40

          @Neris

          Je crois que vous ne parlez en fait que d’une petite partie des faits, bien sûr il existe des enfants comme vous le dites, mais c’est une minorité.

          Vous devriez consulter la partie courrier du site d’alice miller (http://alice-miller.com/courrier_fr.php) qui existe en trois langues et qui reçoit des courriers du monde entier d’enfants maltraités et d’adultes qui souffrent encore des dizaines d’années après de cette éducation à l’ancienne mais qui est paradoxalement toujours actuelle.


        • Neris 25 décembre 2009 14:17

          Ce sont tout simplement les enfants de mes collègues, les enfants de mon quartier, et les adolescents et jeunes adultes auxquels notre association a affaire tous les jours.

          Croyez-moi, ça existe dans la vraie vie et pas seulement dans les commentaires des internautes.

          Y’en a qui auraient bien besoin des services de Super Nanny.


        • Neris 25 décembre 2009 14:20

          La minorité, elle augmente de jour en jour. Et c’est pire d’année en année quand ça grandit.


        • sissy972 25 décembre 2009 17:39

          Bonjour Neris,
          Que des parents aient besoin d’une super nanny pour éduquer leurs enfants de 2 ans et plus, c’est une honte. C’est le seul mot correct que j’ai trouvé immédiatement.
          Mes enfants ont été éduqués non pas à l’ancienne, mais comme des enfants devaient être éduqués. Ils ont rarement gouté du martinet car il suffisait de les regarder ou de hausser le ton pour qu’ils comprennent.
          Ils n’ont jamais eu de vêtements à la dernière mode, ils ne se sont jamais roulés par terre pour réclamer quoi que ce soit. Et pourtant, ils ont été des enfants comblés, ils n’ont manqué de rien au fil de leur vie.
          Mon fils aîné qui a 30 ans se fait vertement remettre en place lorsqu’il essaie de jouer de son autorité, tout comme ma fille de 28 ans et le petit frère de 25.
          Comment pourraient-ils éduquer leurs propres enfants s’ils n’avaient pas eux-mêmes reçu cette éducation en héritage. Mes enfants me respectent car je les respecte en retour.
          Ils m’aiment car moi aussi je les aime.
          Il n’y a pas de mystère secret pour éduquer son enfant.
          Les parents doivent jouer leurs rôles de parents et non pas celui de bourreaux tyranniques ou pire en ce moment celui de démissionnaires pour avoir la paix.


        • Loan 25 décembre 2009 14:11

          Une de mes amies souffre encore du comportement de son institurice qui la haïssait parce qu’elle était, ce que l’on nommait à l’époque (dans les années 50), une enfant « naturelle ». Privée de récré, pendant des mois, contrainte de se placer sous le bureau de son bourreau qui balançait ses escarpins pointus vers son visage dans l’espoir de la blesser « par inadvertance », elle n’osait rien dire de peur de ne pas être crue.

          Une jeune fille de 20 ans de ma connaissance a beaucoup souffert de paroles méchantes de certains enseignants un peu dépassés par cette surdouée qui les dérangeaient. Alors oui, davantage d’écoute et d’empathie sont nécessaires. Mais qui prend la peine d’écouter ?


          • Neris 25 décembre 2009 14:36

            J’ai affaire aux deux extrêmes.

            Je suis la cible de la malveillance sournoise d’un collègue (65 ans) qui ressasse encore son enfance misérable auprès d’une mère perverse narcissique. Il est devenu à son tour aussi pervers qu’elle et passe son temps à pourrir la vie des autres et à détruire ceux qu’il jalouse et qu’il se désigne à lui-même comme ennemi.

            J’ai une collègue brimée par ses parents qui est persuadée d’être une merde, et une ancienne collègue qui n’a jamais pu avancer dans la vie coincée sous l’autorité d’un père abusif.

            Je suis le témoin des effets « enfant-rois » sur les enfants de mes collègues, collègues qui cèdent tout mais ne savent pas pour autant écouter leurs enfants. Ils cèdent, donnent tout sans se poser de questions.

            Et mon travail m’amène à accueillir des jeunes qui se foutent de tout, cassent tout, et des parents qui sortent inlassablement le chéquier et qui supplient de remplacer le scooter cassé ou volé (nous louons des scooters) et qui ne comprennent pas qu’on puisse dire « non ».

            Les deux cas donnent des gens instables, incapables de s’assumer adulte, voire de véritables monstres.


          • roblin 25 décembre 2009 16:56

            Je pense que ceux qui n’écoutent pas les interview ont en réalité peur de remettre en question leurs parents parce qu’ils ne le pouvaient pas durant leur enfance sans risque des punitions, ce qui n’est plus le cas maintenant.

            La longueur des interview n’est qu’un prétexte.


            • roblin 25 décembre 2009 18:23

              Si vous êtes trop paresseux pour écouter les propos de quelqu’un en entier, ce n’est pas à moi de vous en faire un résumé.

              Il y a des gens qui écoutent cela en entier et que ça intéresse d’écouter en entier, j’ai justement profité de la liberté offerte sur agoravox pour publier un article qui contrairement aux médias classique n’est pas un simple résumé superficielle de ce qui s’est passé.

              Lorsque vous lisez un livre, vous lisez seulement la 4ème de couverture ?


            • roblin 25 décembre 2009 20:17

              On ne m’avait encore jamais sorti ça, que j’étais mauvais psy parce que mauvais vendeur, je ne pense pas qu’un psy doivent faire du commerce ! Et qui vous dit que je suis psy ? Je ne l’ai jamais prétendu en tous cas.

              Je ne suis pas agressif, mais en colère et j’essaie de dire les choses clairement, sans minimiser ou essayer de ne pas choquer.

              Le problème avec ce sujet, est que dès qu’on l’évoque on touche au résistances et aux défenses de chacuns, plus ou moins fortes suivant ce que l’on a subis dans l’enfance.

              Et si vous préférez lire, aller sur le site d’Alice Miller et achetez ces livres !


            • bluebeer bluebeer 25 décembre 2009 20:42

              Bonjour bourre-pif, bonjour l’auteur.

              Désolé, je n’ai pas regardé les vidéos. Juste la flemme aujourd’hui, c’est Noël... Demain peut-être. Je suis psy, travaille en hôpital, notamment dans le domaine de la neuropsychologie. Mais pas seulement.

              Je voudrais juste faire quelques remarques.

              La psychologie en tant que science regroupe plusieurs disciplines distinctes obéissant à des protocoles de recherche scientifique expérimentale (hypothèse-expériences-résultats-épreuve d’hypothèse). La psychologie développementale est plus particulièrement consacrée à l’enfant et étudie (« mesure ») des phénomènes comme l’attachement et la soumission à l’autorité. Tout est possible, donc.

              La psychologie sociale, la psychologie cognitive ou la psychologie de l’apprentissage sont d’excellents exemples de disciplines démontrant qu’on peut faire de la psychologie scientifique ans passer par le cerveau. Néanmoins, et notamment parce que c’est aussi mon domaine, je peux attester des énormes progrès réalisés en la matière au cours des deux dernières décennies, surtout en raison des progrès réalisés au niveau des techniques d’imagerie dynamique de l’activité cérébrale (en particulier le PET Scan, qui permet de visualiser les circuits impliqués dans certains traitements de la pensée). La fusion de la psychologie et des neurosciences est en train de se faire, mais il n’est nul besoin d’attendre son accomplissement pour aborder le sujet de l’éducation.

              Pour revenir à l’objet de l’article, je voudrais seulement me cantonner aux observations suivantes. Un système éducatif efficace doit s’efforcer de respecter l’enfant et lui donner un rôle dans le processus d’apprentissage qui lui est imposé. Une stratégie qui consiste uniquement à dresser l’enfant aux règles et aux normes, par la coercition, confronte ce dernier à une alternative simple : se soumettre ou se rebeller. La soumission ouvre la voie au conformisme et au suivisme ; les adultes tendent à trouver leur place dans la société, mais rarement l’épanouissement personnel car bridé par la menace de règles confuses et obscures, auxquelles il « faut » obéir. La rébellion ouvre quant à elle les voies aux excès, et même s’il s’agit généralement d’une phase transitoire, elle peut suffire à faire chuter ou marginaliser durablement une personnalité, à la cristalliser dans une attitude de guérilla sans fin et sans but. Pour paraphraser un aphorisme dont j’ai oublié l’auteur : « il est facile de savoir comment votent les français : une moitié vote comme son père, l’autre moitié vote contre son père ».

              Un jeune enfant attend trois choses au moins de ses parents, trois choses vitales. Une protection, une légitimité et un décodage des événements extérieurs.

              Pour ce qui est de la protection, ses parents doivent être forts, savoir ce qu’ils veulent. Si les parents se laissent marcher sur la tête, s’ils sont incapables de mettre au pas leur propre progéniture, il y a peu de chance qu’ils puissent résister aux menaces autrement plus dangereuses en provenance de l’extérieur. D’où les provocations répétées des enfants qui testent leurs limites. C’est aussi une manière de se rassurer sur leur dispositif de protection. Un protecteur fort est nettement plus sécurisant qu’un protecteur faible.

              Mais c’est surtout la légitimité qui est vitale. Si nos parents ne nous aiment pas, si ils ne sont pas près à nous traiter avec bienveillance, qui le fera à leur place, et quelle est notre place dans tout ceci ? Les blessures créées par les carences affectives constituent 90% de la consultation psy. Les patients doutent de leur place : on ne les a pas rassuré au bon moment, Ils se sont sentis contraints de se révolter contre la main qui les protégeait et les nourrissait. C’est un point crucial, un enfant doit avoir sa place, ça fonde sa légitimité en ce bas monde. « Pardonnes moi si je t’ai donné l’impression que tu devais mériter mon affection » disait fort justement le papa de Chicken Little. Mais comme dit plus haut, ça n’exonère pas de la discipline.

              Pour ce qui est du décodage des événements extérieurs, le rôle des adultes est incontournable. A six ans, on sera cosmonaute. A onze ans footballeur. A seize, informaticien. A vint et un … Les adultes expliquent le monde aux enfants. De leur assurance, de leur cohérence, de l’ajustement de leur attitudes à leurs dires, dépendra beaucoup la confiance du jeune adulte en son futur, en lui même. S’il voit ses parents surmonter les difficultés de la vie et maintenir le cap, il saura que c’est possible, et l’intégrera à sa vision du monde. Encore faut-il, évidemment, que ses parents soient présents. Et qu’ils soient adultes.

              On respectera toujours un parent aimant et juste, même s’il est sévère ou colérique. On méprisera toujours un peu un parent doux mais faible et inconsistant. On aura toujours la nostalgie d’un parent absent. De la nostalgie et du ressentiment, de la colère. Et on obtiendra toujours plus de quelqu’un en le traitant avec respect, pour ce qu’il est, et non pour ce qu’on voudrait qu’il soit. Particulièrement un enfant, qui dépend des adultes, qui ne saurait s’en passer et a besoin de leur faire confiance.


            • roblin 26 décembre 2009 16:05

              C’est tout de même stupéfiant un psy qui a la flemme de s’informer sur les causes et les conséquences de ce qu’il cotoie tous les jours.


            • Neris 26 décembre 2009 16:29

              Bourre-pif,

              Le truc du vote est sorti sous la forme : voter comme son mari ou contre son mari !

              Lorsque les femmes ont enfin obtenu le droit de vote.

              Il s’agit simplement de la dénonciation de l’aliénation patriarcale (le père/mari chef de famille ayant tout pouvoir).


            • roblin 25 décembre 2009 17:54

              C’est curieux mais je me demande pourquoi mes articles ne sont jamais repris sur yahoo actualités, sauf un seul il y a longtemps...


              • Jimmy 25 décembre 2009 19:46

                souvent les gens défendent la maltraitance des enfants parce qu’ils ont eux-même maltraité les leurs, ou bien ils prennent la défense de leurs parents parce qu’ils ont eux-même été maltraités, ce sujet par ailleurs énerve beaucoup les habitués d’agoravox dont la moyenne d’âge est assez agée, j’ai en effet remarqué que les vieux, bien que ce sujet selon moi ne les concerne en rien, ne rêvent concernant l’éducation des enfants que d’autorité et de chatiments, si vous les lancez, ils sont intarissables, et puis ils gâtent leurs petits enfants, allez comprendre

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