Les migrants ne repartent jamais après avoir fait la photo avec les ONG
Le débat sur les migrants est à son paroxysme. La manipulation des émotions, est arrivée a un point d’indécence rarement atteint.
Les ONG se donnent le beau rôle et les faveurs de la presse. Il faut dire que les photos sont belles.
Il faut dire aussi que les journalistes sont à 90% de gauche et ces gens préfèrent passer l’idéologie et l’humanisme avant le factuel.
Le factuel, c’est moins sexy à montrer. Montrer les logements des cités désertés par les occupants d’origine, c’est moins sexy à montrer.
Ils ont « sauvé des gens ». Comment pourriez-vous les accuser, eux qui montrent au monde entier qu’ils sont généreux, humanistes et humanitaires ?
Et attention, ne leur dites pas qu’ils sont irresponsables, vous seriez accusé de racisme, caricaturé et accusé de n’avoir aucune humanité. Eux se sont donné le monopole du cœur. Des bienfaiteurs qui aiment à se congratuler entre eux. Imaginez donc, sans eux les gens seraient mort en mer. Et puisqu’on vous dit que ce sont des « bénévoles ». Ils sont donc des intouchables.
Bien entendu, les avantages sont pour ces intellos bobos qui composent ces ONG, qui se couvrent de gloire en posture morale d’êtres des humanistes le temps des photos.
Les intellos bobos sont des fonctionnaires ou dilettants, qui occupent leur temps libre a rechercher une reconnaissance sociale dans l’humanitaire.
Mais les ONG d’intello bobos ne créent pas des emplois pour les migrants, les ONG ne construisent pas des logements ou n’éduquent pas à l’occidentale les nouveaux arrivants. C’est bien plus compliqué que d’affréter un bateau avec de l’argent de subventions ou de milliardaires idéologues comme Soros.
Ils sont là pour la photo, la posture et la reconnaissance sociale d’une utilité.
En fait ils laissent les migrants avec leurs problèmes se diriger dans les cités ouvrières et font déserter celles-ci de leurs habitants d’origine.
Ils créent des problèmes de cohabitation pour les autres, mais pour les autres, ils ne seront pas là.
Les ONG sont les adeptes forcenés du Whataboutisme. ( de l’anglais « what about » (« qu’en est il de »), pour détourner systématiquement la question.
A la question, « Qu’est ce qu’on fait des migrants une fois débarqué ? », ils n’ont pas la réponse et se réfugient derrière leur humanisme pour justifier tout. Ils sont totalement incapables de répondre clairement et directement à la question. Ils dirigent alors les conversations ailleurs. Le déni de la question est un principe.
La vérité c'est que le vrai humanisme est de dissuader les migrants a risquer leur vie pour traverser la méditerranée. L'inverse de leur démontrer qu'il y aura toujours des ONG qui se comportent en assurance tout risques gratuite pour les personnes qui espèrent un meilleur avenir en Europe.
L'exemple de l'Australie, confronté à un problème similaire a agi différemment. Les bateaux et les migrants sont refoulés tous dans 2 centres de détention offshore sur deux nations insulaires du Pacifique, Nauru et la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Le nombre de noyades a été considérablement réduit.
Géré dans les centres de détention, les fonctionnaires de l'immigration traitent les demandes de manière ordonnée hors du pays.
De l'autre les migrants ont compris qu'en plus de risquer la noyade, au bout ils se retrouvent dans un centre de détention.
En fait ce n’est pas le migrant ou la migration qui pose un problème, mais l’arrivée.
Les migrants quand ils arrivent ne repartent jamais. Et ça c’est le souci factuel perçu par nombre de nos concitoyens
L’arrivée modifie les conditions de vie et des conséquences pour les gens qui vivent dans le pays. Ce n’est pas anodin, et principalement pour les personnes qui déjà ont du mal à s’en sortir dans notre pays et qui en plus sont confronté à eux pour le logement, l’emploi ou la vie sociale.
La fouille des sacs, la peur de mettre une jupe, le hallal imposé, la peur de l’autre, le rapport à la religion et le rapport aux femmes, les changements vestimentaires, les femmes voilées sont des cumuls de conséquences visibles que perçoivent rarement positivement nos concitoyens.
La vue que l’assimilation ne fonctionne pas est la source première des inquiétudes.
Le travail est certainement l’un des meilleurs moyens, voir le seul à pouvoir intégrer les gens. Mais nous avons 11% de chômage, et le travail si vous n’êtes pas qualifié est rare. L’intégration par le travail est en panne.
Les faiseurs d’attentats sont quasi tous passés par nos prisons et souvent issus des secondes génération étrangère à de rares exceptions près. Le changement de génération, n’est plus un moyen d’intégration.
La justice n’a pas modifié les comportements ni l’idéologie des pires. L’intégration par la justice est en panne.
A la sortie de l’école les femmes voilées attendent leurs enfants. A l’école, le jour du Ramadan les classes de Créteil sont vides. L’école ne transforme pas à l’occidentale et les parents ne veulent pas de notre civilisation pour leurs enfants. L’intégration par l’école est en panne.
A la piscine de Lille, les femmes ne se mélangent et réclament des horaires décalés. Il n’y a plus de boucherie qui ne soit pas hallal à Evry.
L’offre de liberté de la société ne les séduit pas. L’intégration par la société est en panne.
Ceux qui se sont mis à l’occidentale sont parfois persécutés et subissent les reproches des leurs.
Quand après 10 ans des femmes s’habillent encore en bédouins du 7eme siècle, et n’ont pas appris la langue. Quand les discussions où le migrant de plus de 10 ans expose le fait qu’il ne se considère pas « Français »…..
Imposer à des gens, d’accueillir des migrants sans leur consentement est le problème…
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