Les secrets de la pathologie
La pathologie, une science, liée à la physiologie et à l'anatomie, ayant pour objet l'étude et la connaissance des maladies, leurs causes, mécanismes et symptômes, est une spécialité médicale qui n’intéresse pas beaucoup la techno-médecine contemporaine, raison pour laquelle l’allocation des moyens à des fins de recherche de la part de l’industrie pharmaceutique est proportionnelle à la rentabilité financière.
Ce n’est donc pas une surprise qu’en dépit de l’émergence d’un agent pathogène supposément inconnu à ce jour, on rechigne à examiner les corps des victimes décédées, d’autant plus qu’on a déjà trouvé un remède préventif, sous forme d’un vaccin novateur. Vu sous cet angle, le rapport bénéfice / risque est favorable.
Quoi qu’il en soit, il a fallu que deux médecins allemands à la retraite mènent l’investigation, pour que, peut-être, la confrérie des médecins actifs se réveille et constate que le roi est nu.
En début de cette année, Dr. Sucharit Bhakdi, ancien responsable, entre 1990 et 2012, de l’Institut de microbiologie médicale à l’Université Johannes Gutenberg à Mainz, avait émis l’hypothèse selon laquelle les vaccins à base de ARNm contre le virus SARS-CoV-2 seraient susceptibles de déclencher des maladies auto-immunes.
Le microbiologiste relève notamment la distinction, cruciale, entre deux catégories majeures d’anticorps, produits par le corps, afin de se protéger contre des microbes pathogènes.
La première catégorie, les immunoglobulines A, sont produits par des cellules immunisantes, les lymphocytes, situés sous les membranes, tapissant les voies respiratoires et intestinales. Les anticorps, produits par ces lymphocytes, sont sécrétés par et à la surface de ces membranes où ils préviennent contre l’infection des cellules par des virus, propagés par la voie aérienne.
La deuxième catégorie d’anticorps, circulant dans le système sanguin, sont les immunoglobulines G, qui protègent les organes internes du corps contre des agents pathogènes, tentant de s’introduire dans les cellules par voie sanguine.
Un vaccin, injecté dans le muscle, provoquera la production d’immunoglobulines G, circulant, malgré les assurances des fabricants, également dans le sang, et ne protégera donc pas les membranes muqueuses des voies respiratoires, attaquées par un virus, propagé par voie aérienne. De ce fait, le vaccin ARNm, propagé par voie sanguine, induira les cellules d’organes de produire la protéine spike ce qui induira à son tour le système immunitaire à produire des immunoglobulines G et des lymphocyte cytotoxiques. Ceci peut affecter tous les organes, mais particulièrement le cœur, provoquant des myocardites, une inflammation du muscle cardiaque.
Pour en avoir le cœur net, le pathologiste allemand, à la retraite lui aussi, Dr. Arne Burckhardt, vient d’effectuer une analyse histopathologique des organes de 15 personnes, âgées entre 28 et 95 ans, décédées après une période entre 7 jours et 6 mois postérieure à l’injection d’un des vaccins ARNm contre le virus SARS-Cov-2.
Seuls 4 de ces 15 personnes décédées furent traitées dans une unité de soins intensifs pendant plus de deux jours. La majorité, jamais hospitalisée, est morte, à la maison (5), dans la rue (1), au travail (1), dans la voiture (1), ou dans une institution médicale (1). Par conséquent, aucune intervention thérapeutique ne peut avoir modifié les résultats post-mortem. Aucun de ces décès fut associé, ni par un médecin légiste, ni par un procureur à des complications, dues à l’injection d’un vaccin,
En effet, une analyse post-mortem initiale classique n’avait révélée aucun signe anormal qui aurait pu laisser soupçonner un lien avec un vaccin. L’apparence macroscopique des organes conduit donc au diagnostic de la cause de décès, insuffisance cardiaque dans la majorité des cas.
Ce ne fut qu’après une analyse histopathologique subséquente, effectuée par le pathologiste allemand Dr. Arne Burkhardt, qu’un possible lien avec la vaccination fut établi.
Des anomalies similaires furent constatées dans 14 des 15 personnes décédées. Les organes affectés furent le cœur (14 des 15 cas) le poumon (13 des 15 cas). En outre, des altérations inhabituelles furent observées dans le foie (2 cas), la thyroïde (2 cas), glandes salivaires (2 cas), cerveau (2 cas).
Les aspects dominants, observés dans tous les tissus furent, inflammation dans de petits vaisseaux sanguins (endothélium), causée par une abondance de lymphocytes T et de cellules endothéliales mortes à l’intérieur de la lumière des vaisseaux sanguin.
Ces analyses histopathologiques démontrent des pathologies, semblables à des réactions auto-immunes dans de multiples organes, réactions susceptibles de s’aggraver davantage après chaque vaccination de rappel.
Les chiffres officiels d’effets secondaires indésirables suite à des vaccinations contre le virus SARS-Cov-2 sont, pour l’Europe : 2'970'644 cas annoncés officiellement et pour les Etats-Unis 4,421,178 cas. Le nombre de décès à déplorer sont, pour l’Union Européenne : 32, 652 cas et pour les Etats-Unis 19'532 cas.
Dr. Sucharit Bhakdi a publié plus de 300 articles scientifiques dans le domaine de l’immunologie, bactériologie, virologie et parasitologie.
En 1886, fut co-fondé, par le médecin allemand Robert Koch, à l’origine de l’Institut Robert Koch, sur les recommandations duquel se base actuellement le gouvernement allemand pour la gestion de la pandémie du virus SARS-Cov-2, le journal « Medical Microbiology and Immunology » dont fut responsable de la rédaction, entre 1990 et 2012, le professeur Dr. Sucharit Bhakdi.
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