Les secrets des couples heureux
Il existe des personnes, sur cette terre, qui ont la faculté extraordinaire de vivre de belles histoires d’amour comme on en voit rarement. Découvrez, aujourd’hui, les secrets des couples heureux et comment faire pour les appliquer dans votre vie.
Il y en a incroyablement beaucoup.
Cependant, il existe des personnes, sur cette terre, qui ont la faculté extraordinaire de vivre de belles histoires d’amour comme on en voit rarement. 30, 40 voir 50 ans de vie commune !
Comment font-ils ?
Pour ce genre de personne, chaque jour qui passe est toujours le plus beau jour de leur vie.
Il est assez rare de rencontrer ce genre de couple de nos jours. N’est-ce pas ?
Si vous lisez ces lignes c’est parce que vous êtes convaincu qu’une relation de couple n’est pas faite pour souffrir mais pour être heureux. Vous voulez découvrir les "trucs" des couples qui durent.
Alors, comment expliquer que dans certains couples le sentiment amoureux grandi d’année en année, que les points s’ajoutent, voir même se multiplient avec le temps : de plus en plus d’Amour, de plus en plus de complicité et s’il vous plait POUR LES 2 MEMBRES DU COUPLE.
Il y a des secrets. Et ceux qui les connaissent ont un net avantage.
Quels sont les secrets des couples heureux ?
1. La chose première est que vous devez vous faire à l’idée qu’un couple -heureux- est composé de 2 personnes capables de vivre l’une sans l’autre mais qui ont décidé de vivre ensemble.
Retenez bien cette phrase :
"2 personnes capables de vivre l’une sans l’autre mais qui ont décidé de vivre ensemble."
Chacun des membres du couple doit donc s’aimer et se respecter inconditionnellement avant de le faire pour l’autre. Il ne s’agit donc pas de faire de son ou sa partenaire de vie une béquille pour pouvoir fonctionner normalement.
2. Monter en Amour
Le monde aujourd’hui c’est "tomber en Amour". Or, on ne tombe pas en Amour.
Vous me direz : « Oui mais et le coup de foudre alors ? »
Le coup de foudre existe, je vous l’accorde mais il ne constitue pas l’Amour. Vous pouvez bien vivre un coup de foudre aujourd’hui ou demain mais vous ne pouvez pas, vous ne devez pas en conclure que c’est de l’Amour !
L’Amour va se développer avec le temps. Aimer est un choix qui se fait librement. On ne tombe pas amoureux, on devient amoureux, avec le temps. Mieux encore, ON GRANDI EN AMOUR. Et une fois de plus, l’autre son amour c’est un cadeau pour vous. C’est un bonus. C’est un plus.
3. Ayez des critères de sélection
Que voulez-vous ? Que recherchez-vous ?
Trop de gens se lancent dans une relation de couple au galop et ils oublient de s’entendre au départ sur ce qu’ils veulent exactement. Or, il convient de vérifier si les choses importantes pour vous le sont aussi pour l’autre afin de ne pas s’embarquer aveuglement sans savoir où vous allez. Autrement dit : osez exprimer vos désirs, osez exprimer vos envies sans redouter d’être jugé et cela avant d’être trop attaché pour éviter la souffrance.
Certains vous diront : « Haaa oui oui oui... les contraires s’attirent »
Je confirme !
Au début d’une relation, les contrariétés attiseront l’intérêt pour l’autre mais avec le temps, vous obtiendrez l’effet contraire et cela deviendra irritant.
Le contraire de soi-même n’est pas toujours excitant. Remarquez, le mot le dit bien : contraire, contrariété, contre. Vous devez donc évaluer votre capacité à accepter ce qui vous irrite chez l’autre.
Si certaines différences sont trop importantes, cette personne n’est pas faite pour vous, tout simplement.
Vous même, vous pouvez pressentir que ça ne colle pas, que cette personne n’est pas faite pour vous. Au fond de vous, vous avez la réponse. Vous savez que cette relation ne peut pas fonctionner parce que vous êtes tous les 2 très différents : vos ambitions, vos espoirs sont souvent divergents, sans parler de vos comportements et de vos valeurs.
Mais, il arrive parfois que vous demeuriez convaincu que quelque chose est possible.
Savez-vous ce que ferait une personne affectivement autonome ? Il passerait sont chemin car cette personne ne répondant pas à ses critères de sélection et le met dans l’inconfort.
Si vous êtes des extrêmes, vous êtes attiré uniquement pour nourrir vos névroses réciproques.
4. Faites la claire distinction entre Amour et dépendance affective !
Pour avoir une idée de la nature de la relation que vous entretenez avec quelqu’un, posez-vous les questions suivantes :
- Est-ce que je veux m’engager dans une relation avec cette personne parce que je l’AIME ou parce que je sens que j’ai BESOIN DE LUI ?
- Est-ce que je veux m’engager dans une relation avec cette personne parce que je l’AIME ou parce que je pense qu’IL A BESOIN DE MOI ?
parce que je l’aime tout simplement ou par attachement et par peur viscérale de me retrouver seul ?
- Pourquoi je me donne à fond pour satisfaire mon conjoint(e) ? Est-ce par amour envers cette personne ou pour recevoir de l’amour et de reconnaissance de sa part ?
Avec ces quelques questions vous pouvez, tel un radar, "trier" Amour et Dépendance Affective.
Car vie de couple et dépendance affective ne font pas bon ménage.
En ce qui me concerne, on me demande souvent :
« Tiens Henri, comment ce fait-il que tu sois toujours célibataire »
Oui, je souhaite être en couple mais avec la BONNE personne. Une personne qui réponde à mes critères personnelles de sélection, une personne avec qui je sais que je monterai en Amour, et bien sûr une personne affectivement autonome qui n’a pas besoin de ma présence pour pouvoir fonctionner normalement. Très important
Résumé :
1. Un couple -heureux- c’est 2 personnes capables de vivre l’une sans l’autre mais qui ont décidé de vivre ensemble.
2. Ne "tombez" pas en Amour, Montez en Amour
3. Ayez des critères de sélection et respectez-les.
4. Faites la clair distinction entre Amour et dépendance affective !
Bien Amicalement,
Henri-Joël NDOUR
Auteur En Développement De l’Estime De Soi Et De l’Autonomie Affective
Dépendance Affective
Grimper est toujours plus difficile que descendre, mais ce qu’on découvre en haut de la montagne est nettement plus beau que ce que l’on trouve au fond du gouffre.
38 réactions à cet article
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faut pas etre trop begueule Wald
ce sont des petits trucs de psycho souvent loin d’etre idiots
et dont la plupart de nos contemporains ne sont generalement pas conscients
alors comme cela, une piqure de rappel de temps en temps, ca fait pas de mal .. -
Waldgänger 25 août 2010 21:20Votre appel à l’indulgence m’aura convaincu Hieronymus.
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Un couple qui fonctionne , c’est en fait trois entités disctinctes , il y a ce que fait lui , il y a ce que fait elle , et il y a ce que les deux font ensemble ! si lui empêche elle et inversement de faire ce qu’ils ont à faire seuls , ça ne pourra pas marcher .
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Waaawww... belle réflexion !!! je suis d’accord avec vous.
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Peut-être qu’un des plus grands problèmes c’est la pratique de l’amour exclusif (possessif) alors qu’il devrait être inclusif. Mais cela est culturel, issu éventuellement d’un passif que l’on devrait spirituellement solder… Personne n’appartient à personne.
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Personne n’appartient à personne ou Personne n’appartient à quelqu’un ?
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@jps,
Cela pour se traduire aussi par :« Aucune personne n’appartient à une personne »... Simple tournure d’esprit. -
Un couple qui dure, c’est au départ avoir des buts similaires, donc avoir envie de construire ensemble. Ensuite, une relation durable est basée sur la confiance. C’est à dire, si une aventure extra conjuguale survenait, il faut avoir la franchise de le dire à son conjoint. L’idéal est bien sur la fidélité, car c’est ce qu’il y a de mieux pour vivre ensemble et longtemps.
Enfin, il faut savoir aussi respecter les opinions de son conjoint qui ne sont pas forcément les mêmes. C’est ça l’amour, c’est être bien avec quelqu’un, de savoir que l’on peut compter sur lui, et être honnête.-
Baiser, ça marche aussi très bien.
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c’est un des ingrédients essentiels de la bonne santé d’un couple , c’est sûr , mais loin de suffire à lui seul !
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@manusan
on peut reconnaitre à l’auteur le mérite d’avoir fait un article sans Sarko , sans roms , sans islamistes , que du bonheur !
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Votre réflexion est tirée d’un livre de Scott PECK, psychiatre américain, « Le chemin le moins fréquenté », dans lequel l’auteur explique exactement la même chose. Votre texte ressemble donc à s’y méprendre à du copié-collé.
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@ Elika : Je n’ai pas lu ce livre. Je suis donc tout content d’apprendre que Scott PECK partage le même point de vue que moi. C’EST GÉNIAL !!!!!!!!!!!
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Bravo pour cet article, j’aurais pu l’écrire et j’avais presque exactement la même démarche que vous avant de rencontrer ma compagne.
Je voudraisjuste vous encourager à continuer, perso j’avais des doutes à l’époque mais je ne pouvais nier mes valeurs (critères).
Je m’étais résigné à rencontré la femme idéale (selon mes critères objectifs) et donc à renoncer « au grand amour », car je croyais être trop exigent.
Je me suis donc intéressé à la drague sportive (pour l’hygiène et parce que je suis très attiré par la gente féminine : spike séduction, french touch séduction...) et j’ai rencontré pas mal de filles (j’aime vraiment la drague, passé la peur commune à tous, c’est vraiment chouette).
Et puis je suis tombé (sans plus la chercher car je n’y croyais plus) sur une fille qui correspondait à tous mes critères.
Ca fait 3,5 ans que l’amour grandit (chacun peut être indépendant de l’autre mais nous DECIDONS de vivre ensemble car c’est bien mieux).
Bravo à l’auteur, de faire partager ce qu’il a découvert, ça pourra aider pas mal de monde je pense.-
@ElikyaVotre réflexion est tirée d’un livre de Scott PECK, psychiatre américain, « Le chemin le moins fréquenté », dans lequel l’auteur explique exactement la même chose. Votre texte ressemble donc à s’y méprendre à du copié-collé.
J’avais pas fait le raprochement mais « Le chemin le moins fréquenté » de Scott Peck a été un de mes livres de chevet.
On est donc arrivé, avec l’auteur de l’article aux mêmes conclusions (pour ça marche du tonnerre).
Comme quoi « dis moi ce que tu lis, je te dirais qui tu es »-
NEPNI, le rapprochement avec cet ouvrage m’a sauté aux yeux. Ravie que pour toi ça marche du tonnerre comme tu dis.
A l’heure actuelle, en ce qui me concerne, ça reste surtout un idéal qu’il me paraït très difficile d’atteindre (pourtant c’est pas faute d’avoir essayé
). J’y travaille tant bien que mal, pourtant je sais très bien que mon tour n’est pas pour demain, ni même après-demain. -
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comme dit Lafesse , pourvu que ça dure !
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Je voudrais ajouter que, le critère temps (30,40,50 ensemble) me semble moins pertinent, il est convenu avec ma compagne que si l’un des deux ne trouve plus son compte dans la relation et qu’une amélioration n’est pas possible, ont se sépare simplement.
C’est vraiment un choix d’être ensemble, si nous évoluons trop différemment, la cohabiation n’aura plus de sens. Mêmesi l’on a des enfants, il vaut mieux deux parents heureux séparés qui malheureux ensemble, sinon quel exemple pour l’enfant.
C’est pour ça que chacun devrait cultiver une part d’indépendance, si « celui qui veut la paix prépare la guerre »
« ceux qui veulent rester ensemble, devraient être capable de pouvoir se séparer sans trop de problème »-
Très bon article, parfaitement rédigé ... Le contenu et le contenant sont parfaits.
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@Elikya
La rencontre n’est aisée, si vous êtes un homme, je vous conseille d’étudier et pratiquer la « séduction » comme un sport de développement personel (voir sites plus haut), si vous êtes une femme, d’étudier aussi l’art des rencontres (mais dans l’autre sens). Connaître le mieux possible « les femmes »ou « les hommes » en sachant et acceptant que la séduction est un peu un JEU, du moins au départ.
En tout cas, multiplier les occasions de rencontres dans le but d’y prendre du plaisir et un jour la rencontre se fera, je pense qu’il est bien de parler en matière statistique et faire un travail Stakanoviste.
Pour les hommes, je conseille Alain Soral « sociologie d’un dragueur » livre
il a fait un film aussi « Confessions d’un dragueur »
C’est bourré de vérité sur les relations hommes-femmes mais tout ne m’a pas plu, chacun doit adapter en fonction de son éthique, il n’y a pas de recette miracle mais plusieurs voies en fonction de chacun-
NEPNI, je ne suis pas un homme, dieu merci !
Rencontre et relation sont comme tu le sais déjà, deux choses bien distinctes, l’une ne débouchant pas nécessairement vers l’autre.
De plus, une relation qui a le plus de probabilité de fonctionner et de durer est celle qui se met en place naturellement, sans que ce soit laborieux. Si dès le départ, la relation pour qu’elle existe, exige un travail laborieux elle est, selon mon expérience personnelle bien mal engagée, et risque fort de demeurer dans l’état, laborieuse et compliquée.
Une question que l’on peut se poser aussi est de savoir pourquoi tient-on tant à être en couple ? Est-ce pour suivre le modèle présenté et imposé par la société ? Est-ce pour en finir avec les pressions de l’entourage (famille, amis) ? Est-ce par peur de la solitude ? Le souhaitons-nous réellement à titre personnel sans écouter les influences extérieures ?
Ne sommes-nous pas véritablement prêts à vivre ou revivre en couple lorsque nous avons appris à vivre, à nous assumer seul (gérer les hauts et les bas sans tout le temps chercher à nous appuyer sur l’autre) ? C’est une question que je me pose en tout cas, bien que je ne souhaite pas revivre en couple pour l’instant (j’ai déjà connu et ça ne me manque pas du tout pour le moment). -
@Elikya
« De plus, une relation qui a le plus de probabilité de fonctionner et de durer est celle qui se met en place naturellement, sans que ce soit laborieux. »
La séduction pour être réussie doit être « naturelle », pour moi ça ne l’était pas et j’ai du faire un travail (un peu pénible au début), maintenant c’est intégré à mon fonctionnement et c’est tout à fait naturel.
D’accord mais perso j’ai bousculé le destin (sans le vouloir), au départ je pensais rester célibataire et passer de fille en fille, puid la tuile, tu tombes sur une perle.
Avoir développer sa manière d’être avec les autres (au travers de la séduction) me sert tous les jours dans mes relations avec les gens et ma douce apprécie les petites attentions journalières que j’ai pour elle (galanterie, descendre les poubelles, lui faire un café, lui dire combien je la trouve belle et désirable).
Pour ce qui est de se mettre en couple, j’ai expérimenté les deux (célibat et couple) et j’ai expérimenté la solitude à deux (c’est tropdur). D’où la formule « mieux vaut être seulque mal accompagné » je confirme après expérience.
Le tout est d’être bien avec soi et prendre du plaisir à vivre.
bonne journée-
Si cet article paraît mièvre ou plat à certains (dont je doute qu’ils l’aient vraiment compris), je trouve au contraire qu’il est plein de bon sens. Nous sommes tous gavés d’images d’Epinal d’amour-passion... Or celui qui dure, c’est celui qui se construit. Le hasard peut parfois faire qu’il démarre par une grosse montée d’adrénaline, mais pas forcément. Arrêtons de courir après l’alter ego idéal et donnons la chance à des histoires qui ne commencent pas tout feu, tout flammes.
La relation idéale, c’est celle que l’on construit, pas celle qui nous tombe sur le coin de la figure au détour d’une rue. Ça, c’est du rêve ou de l’auto-suggestion, et gare à la descente...Seul le temps passé ensemble permet de connaître le vrai potentiel d’un amour à deux.Et le temps passé seul est également un gage d’équilibre une fois en couple, car on ne dépend pas de l’autre, on s’enrichit à son contact et on l’enrichit.-
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d’où les dérives nocturnes de Clair Instant
et l’ avatar incongru de la CLEALa Blonde d’Aquitaine est mixte.
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Ah Ravaillac !
quelle ville de nouveau avec rue RG,
soit-disant au pluriel:LE celà donne quoi ?
Peuh bon Blond’ aquitaine : MIXTE
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Pour reussir sa vie de couple, il faut que chacun y mette du mien.-
Ma femme et moi-même Par Vladimir
dites donc
Vladimir vous ne m’aviez pas dis l’autre fois que vous étiez marié -
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article rafraichissant. moi je ferais encore plus simple..
pour réussir dans la durée, se demander si, sans sexe, on a des choses autres à partager (valeurs, visions du monde etc..)-
Votre article appartient à cet ouvrage, et il serait au minimum correct, d’y faire référence.L’auteurScott Peck,est un psychiatre américain mondialement reconnu et respecté : son orientation est analytique.Ecrit en 1978,« LE CHEMIN LE MOINS FRÉQUENTÉ (poche)Scott Peck
Éditions J’ai Lu New Age
1990 - 410 pages» La vie est difficile. « C’est par cette affirmation que Scott Peck, psychiatre mondialement connu et respecté, commence son livre. Si nous souffrons autant, le problème n’est pas lié à la difficulté de la vie mais au fait que nous croyons qu’elle devrait être facile. Cette attitude, en partie due à notre éducation et aux idées fausses que la société transmet, entraîne dépression, maladies, échecs et névroses. Scott Peck nous invite à ne plus fuir ce qui fait mal en utilisant des subterfuges ou des excuses. A travers les récits de ses patients et des exemples issus de sa propre vie, il nous enseigne ce que personne ne nous a jamais appris : des leçons fondamentales pour grandir, aimer, s’engager et être plus fort. Le chemin le moins fréquenté vous permettra de faire des pas de géants dans votre vie en vous offrant des clés d’évolution psychologique et spirituelle. »
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Eh oui, ce texte n’est bien qu’au final qu’un copié-collé de cet ouvrage.
L’auteur a quelque peu manqué d’honnêté intellectuelle en ne donnant pas la référence de ses sources d’inspiraition. Cela aurait été bien la moindre des choses.
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Je suis flatté. Tout compte fait, je vais acheter ce livre de Scott PECK pour voir. Vous m’avez convaincu ! Qu’un aussi grand psychiatre partage le même point de vue que moi est pour moi UNE BÉNÉDICTION !! J’ai atteint le summum de ma satisfaction intellectuelle lorsque j’ai appris que mon article a une ressemblance avec ce que pense le psychiatre Scott - que je méconnaissais -. Et j’ai la certitude que je trouverai dans son livre tonnes d’autres ressemblances de façon de penser, de réflexions, de point de vue entre moi, Henri-Joël NDOUR, et Scott PECK.
Maintenant @ FLORILEGE1975 et @ Elikya, dire que tout mon article est un parfait copié-collé de ce livre est une exagération. N’est-ce pas ?
P.S.
@ tout le monde : merci pour vos encouragements, vos contributions et vos critiques. Ça m’aide énormément. Je prépare depuis hier un article sur le sentiment de culpabilité. Donc rendez-vous dans 4 ou 5 jours.Amicalement,
Henri-Joël
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). J’y travaille tant bien que mal, pourtant je sais très bien que mon tour n’est pas pour demain, ni même après-demain.
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