Lettre ouverte à Antoine de Gaudemar, Editorialiste à « Libération »
Monsieur et Cher Confrère, En lisant, en Page 6 de l’Edition du mercredi 7 juin de « Libération », votre Editorial : « un lourd héritage », je me suis demandé, si je ne rêvais pas !
Plongé, dès ce jeudi 8 juin au matin, dans la lecture si passionnante de votre papier, j’ai pu apprendre que « ... la Compagnie des chemins de fer (la S.N.C.F.) n’a fait qu’obéir aux ordres de l’Etat (vichyssois) lui-même aux ordres de l’occupant nazi »...
Soudain, je me suis rappelé que je
devais impérativement faire renouveler mon passeport... « Seulement,
voila !... Il y a comme un hic : suis-je réellement Français ou bien
suis-je maintenant Vichyssois ? », me demandai-je de plus en
plus troublé et fermement décidé à dialoguer avec mon âme plongée dans mon
subconscient...
« Voyons, si Antoine de Gaudemar parle de l’Etat (vichyssois), c’est
que l’Etat (français) n’existe plus ! Donc, pendant ton sommeil, le
Gouvernement aura tout simplement pu pondre une ordonnance... Alors, que tu
sois natif de Paris, de Sedan, de Marseille, de Bastia..., tu n’es plus
Français : te voilà maintenant Vichyssois et il faudra faire
avec !... Donc, il va te falloir faire refaire tous tes papiers
d’identité », suggéra en toute logique mon esprit pendant que je
continuais à lire mon « Libération ».
« Mais, quelle est la capitale de ce nouvel Etat
(vichyssois) ? », interrogeai-je toujours plongé dans la lecture
attentive de votre papier
« On va continuer la lecture de ce dossier, si tu veux bien »,
décida pour moi mon esprit qui semblait deviner mon désarroi.
De plus en plus perturbé, je me suis
mis à lire avec beaucoup d’attention l’article de Jacqueline Coignard :
« Déportation : la S.N.C.F. plombée par la justice »,
installé sur cette même page aux côtés de votre Edito. Votre consœur m’informait
que :
« ... Dans ces deux arrêts,
la plus haute juridiction administrative reconnaissait la continuité de l’Etat
avec le Régime de Vichy... », et que : « ...
Jusqu’alors toute la jurisprudence se basait sur l’ordonnance du 9 août 1944
rétablissant la légalité républicaine, et qui considérait ‘’nuls et de nul
effet’’ les actes promulgués sous Vichy... ».
« Là, ça ne va plus du tout ! D’une part, on parle du ‘’Régime de
Vichy’’, d’autre part on parle de ‘’Vichy ’’ comme d’une personne : alors,
il faudrait savoir... Vichy, est-elle un pays, capitale d’un pays ou une
personne ? », questionnai-je à voix haute en prenant ma grande
tasse de café matinale...
Me doutant bien qu’aucune réponse ne
me serait fournie par vous-même, Antoine de Gaudemar, je me suis soudain
souvenu que je ne rêvais pas et que, n’étant point télépathe moi-même, je
devais continuer cet intéressant dialogue muet avec mon esprit...
« Donc, je suis toujours Français, mon Pays, c’est la France, et
l’Etat, c’est la République française ! Puis, je suis
Vichyssois ! », m’exclamai-je en mon for intérieur.
« D’autant qu’il ne faut pas oublier que pendant l’occupation, Vichy
était la Capitale officielle de l’Etat français », rappela fort
justement mon âme...
« Je le sais bien... Mais, alors... Cela continue »,
hurlai-je révolté...
« Eh oui... On continue, par facilité de langage, à parler des villes
qui furent capitales d’un pays ou qui le sont actuellement au lieu de parler
des gouvernements qui y furent installés ou qui le sont encore »,
déplora amèrement mon esprit...
« Mais, lorsqu’on parle des Français libres, des Gaullistes ou du
gaullisme, on ne parle pas des Londristes ou des Londoniens, du londrisme ou du
londonisme... », rappelai-je
« Malheureusement, j’ai la nette impression qu’on veut faire payer à
la Ville de Vichy et à sa population, les lourdes fautes commises par des
traîtres aux services de l’occupant nazi ! », raconta mon esprit
« C’est comme si on voulait taire à jamais certains noms au prétexte
qu’ils furent les glorieux artisans de la victoire de la France lors de la
Grande Guerre ! », suggérais-je
« Tiens, on pense comme moi », constata gaiement mon âme
« Puis, pourquoi ne pas parler tout simplement de ‘’l’Etat français’’,
du ‘’Régime de Pétain/Laval’’ ?... », suggérai-je
« Puis, au lieu de parler des ‘’Vichystes’’, qu’il ne faut pas
confondre avec les ‘’Vichyssois’’, ou du ‘’Vichysme’’, ne pourrait-on pas
disserter sur le ‘’Pétainisme’’, les ‘’Pétainistes’’, le ‘’Lavalisme’’ ou les
‘’Lavalistes’’ ? », continua d’un air très pratique mon esprit
toujours aussi révolté
« Puis, si on doit raisonner en sémantique pure, parler des villes
pour désigner des régimes, un état ou une personne, en l’occurrence pour Vichy,
du Maréchal Pétain ou de l’Etat français, me semble être une faute grave de
français », suggérai-je d’un ton passionné, tout en poursuivant la lecture
de cet intéressant dossier de « Libération »...
« Eh oui... C’est tout à fait exact ! Malheureusement, cette
faute de français, qui est tolérée par facilité de langage, est commise par de
trop nombreux journalistes, écrivains, politiciens, historiens... »,
déplora mon esprit avant de me laisser définitivement seul...
Refermant mon journal, Mon Cher
Confrère, je me suis demandé si je ne devais pas prendre mon téléphone pour
essayer de discuter avec vous sur les méfaits économiques, sociaux et
politiques de cet opprobre récurrent exercé contre ma Ville : Vichy, ainsi
que contre sa population : les Vichyssois, que vous confondez au passage
avec des Vichystes1...
Puisque, dans votre papier, vous parliez de « l’Etat (vichyssois) »
lui-même aux ordres de l’occupant nazi », je tenais également à vous
demander fort logiquement pourquoi les membres de la famille d’Alain Lipietz
n’avaient pas songé à assigner aussi en justice Vichy en tant qu’ « Etat
(Vichyssois) » ?
Mais, ne désirant pas vous importuner, j’ai préféré vous faire part par écrit
de cette petite conversation que j’ai eue avec mon esprit à ce sujet...
Enfin, pour terminer cette petite
réflexion, je me permets de vous affirmer qu’il n’y a jamais eu de Gouvernement
de Vichy, de Régime de Vichy, d’Etat (vichyssois), d’Etat (vichyste) !...
Pour plus de clarté due à l’Histoire, il est grand temps d’utiliser les mots
pour ce qu’ils signifient réellement et d’appeler un chat : « un
chat »...
En effet, les termes « Vichysme », « Vichystes », qui
n’auraient jamais du être ‘’officiellement’’ acceptés dans le vocabulaire
français par les ‘’Immortels’’ de l’Académie française, ne sont en rien des
néologismes !
Aussi, il convient de rappeler
que :
- Les néologismes se terminant par « isme » comme
« gaullisme » ou
« pétainisme »..., ne
peuvent être que des termes désignant une idéologie politique ou un concept
philosophique, artistique ou religieux crée et prôné par un homme ou par une
femme ;
- Les néologismes se terminant par « iste » comme
« Gaulliste » ou
« Pétainiste »..., désignent les partisans et les militants d’une idéologie politique ou les adeptes d’un concept philosophique artistique ou religieux...
Pour que la vérité historique ne soit
pas altérée par ces contres sens grammaticaux, il est temps de constater :
- Que seul un régime de l’Etat français, installé à Vichy, a existé et a
collaboré avec l’occupant nazi,
- Que seuls, trois hommes incarnèrent ce régime en gouvernant à sa tête depuis
Vichy déclarée « capitale » : Pétain, Laval, Darlan, qui furent,
avec leurs ministres, leurs partisans..., les artisans de la collaboration avec
le régime nazi
- Qu’un seul Etat, installé à Vichy, a existé, a porté le nom d’ « Etat
français » et a collaboré avec l’Allemagne nazie.
Pour vous faire comprendre que je ne tiens pas à assumer ce lourd héritage que vous tenez à nous léguer à nous, habitants de Vichy : les Vichyssois, je vous invite à lire très attentivement la proposition de loi de Gérard Charasse, Député de l’Allier, visant à « substituer, dans les communications publiques invoquant la période de l’État français, aux références à la ville de Vichy, l’appellation ‘’dictature de Pétain’’ »2
Dominique Dutilloy
1 - Ce terme, qui n’aurait jamais du être accepté par les « Immortels » de l’Académie française, existe malheureusement dans tous nos dictionnaires français, au grand dam de Claude Malhuret, actuel Maire de Vichy, qui s’était offusqué de cette appellation... En effet, selon l’Académie française, « les Vichyssois sont les habitants de Vichy et les Vichystes, les partisans du Maréchal Pétain ».
2 - Visible sur le lien :
http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion0729.asp
25 réactions à cet article
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J’ai profité de cet article pour interroger mon inconscient sur la ville de Vichy et, je l’avoue, il m’a fait part d’une certaine antipathie. Et alors, concernant Berlin me direz-vous ? - Eh bien, concernant Berlin : rien, pas une once de relent nauséabond !
Donc, je remercie l’auteur pour son article, je vais de ce pas remettre mes à priori dans le droit chemin
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Quel rapport y a-t-il avec le Prefet POUBELLE ?
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C’était dans le contexte local et global de l’actualité peu réjouissante un édito destiné à la guerre de l’information en renfort du camp de l’armée israelienne au Liban. Au début des hostilités il y a eu au de vrais problèmes de désinformation dans les titres du journal, par exemple annonçant à propos du Liban « L’horreur humanitaire » pour un article ne portant pas sur les dégâts ’colatéraux’ mais sur l’état du déploiement de la stratégie israélienne au Liban, ce qui en aucun des aspects présentés, même pas les dégâts subis par les israéliens eux-mêmes, ni par leur armée, ne relevait du titre... J’ai fait la remarque par email à l’auteur, disant que c’était une attitude professionnelle peu recommandable de procéder de cette façon ; et restant sans réponse le lendemain, j’ai néanmoins constaté que le titre de ce papier dont j’avais gardé le lien en mémoire, avait changé.
Il n’y a donc qu’une seule volonté éditoriale sans éthique derrière tout cela.
Le destin du nouveau Libération a de quoi inquiéter... si c’est au secours de l’Express par un autre propriétaire, on finirait par se dire que ce journal eut mieux fait de disparaître, dussions-nous en rester tristes, depuis que Serge July mauvais perdant se permit d’insulter ses lecteurs électeurs du « non » malgré ses consignes éditoriales antécédentes pour la constitution européenne
Bien entendre que je ne lui reproche pas d’avoir défendu la constitution, c’était tout à fait son droit professionnel et de liberté civique, même si l’excès exhaustif des domaines qu’elle prétendait régler n’en faisaient pas une constitution mais la charte rigide d’une sharya administrative inamovible du mode d’existence public comme privé des citoyens européens, fermant l’ouverture d’un avenir en changement, et ses annexes introduisant la souveraineté de la structure policière comme éxécutif commun de la sharya, structure organique immergée dans la vie citoyenne, l’oeil de Big Brother sous la délation instruisant des désignés coupables par présomption, ou présumés prêts à le devenir, inspirée par l’immortalité du Patriot act, sceau notoire du bien supranational.
Tout le monde peut se tromper - même Jean Baudrillard :)- mais surtout, si des lecteurs manifestent leur autodétermination sans démentir leur fidélité à un support de Presse dont la ligne éditoriale peut leur être parfois radicalement contradictoire, alors ces lecteurs là mériteraient d’être traités comme des adultes d’autant plus responsables et respec tés, non comme des enfants délinquants à redresser ou des débiles à éduquer.
Personne ne demandait à Serge July de changer d’avis, ni de se priver de dire son désarroi personnel, du moins de reconnaître le vote largement majoritaire comme il convient en république ou en démocratie. Mais surtout de ne ne pas entrer dans le choeur des insultes des journalistes et éditorialistes au service des marchands d’armes, humiliant et accusant les lecteurs d’autres supports, par exemple ceux de Libération peut-être majoritairement, parmi ceux du vote émergent contre l’énorme manipulation. Que ce vote put ou ne put changer quelque chose, pour une fois il signifiait précisément quelque chose.
Vous peut-être qui avez voté « oui », mais peut-être encore vous étant dit le lendemain, comme moi, à lire l’édito pathétique et insultant de Serge July, dépité par le constat de son impuissance charismatique comme leader d’opinion, crachant son amertume sous la forme d’une haine au lecteur, qu’il avait pété les plombs, qu’il n’était plus que l’homme de sa nomenklature soumis au pouvoir qui le gratifiait.
Je vois que le nouvel éditorialiste du papier qui vous gène à juste titre, étant celui que l’ancien patron de Presse Serge July souhaita lui-même voir lui succéder durant « la période intermédiaire »... c’est imparable pour le journal et nous renvoie aux causes rétrospectives du décollement de l’objet médiatique avec ses sujets - je veux dire des lecteurs assujettis que nous étions présumés être à notre place. Ce lecteur en voie de raréfaction, de la Presse imprimée dont on l’accuse de causer la disparition.
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Il avait préparé son copié-collé et il s’est trompé de fil, tout simplement ...
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Merci pour cet intéressant commentaire ! Mais, là, je ne parlais pas de Serge JULY... Je parlais de la Ville de Vichy constamment attaquée puisqu’elle fut la Capitale de l’ETAT FRANCAIS...
Peut-être vous êtes vous trompé en postant votre commentaire en dessous de mon article ?
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Bof... Amerigho (IP:xxx.x96.151.208), si, dans ton message du 5 août 2006 à 11H07, tu as rarement lu quelque chose d’aussi con et sans intérêt, je me demande alors pourquoi tu prends la peine de rédiger un commentaire ! Que tu trouves cet article con et sans intérêt : c’est ton droit ! Mais, dans l’univers des lecteurs qui réagissent à un article, il y a deux usages sacrés :
- faire des critiques sans user de termes vulgaires !
- expliquer le pourquoi des critiques...Avant de trouver mon article sans intérêt, il aurait fallu que tu réflechisses sur deux points :
- comment lire ce papier en évitant de le juger au premier degré ?
- comment faire un commentaire qui soit constructif ?Par ailleurs, dans mon papier, je n’ai pas commenté la décision de justice prise à l’encontre de la S.N.C.F. : je n’ai fait qu’écrire à Antoine de Gaudemar, qui s’en prenait à ma Ville, Vichy...
D’autre part, que viennent faire l’Etat hébreu (que je soutiens à fond moi aussi) et les islamistes (que je combats de toutes mes forces) ? Dans mon article, j’en n’ai absolument pas fait mention... Aussi, qu’il me soit permis de formuler une critique courtoise et polie : ton intervention est hors sujet !
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D’autres villes de France (Versailles, Reims, Rouen, etc.) souffrent actuellement d’être associées à des symboles de la réaction ou du christianisme.
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Peut-être ! Mais, à côté de Vichy qui subit cet amalgame insultant depuis tant d’années, on en parle si peu...
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roumi (IP:xxx.x5.74.206), dans ton message du 5 août 2006 à 15H52, tu me demandes où je veux en venir ? Pour répondre à ta question, je t’invite à relire mon article beaucoup plus attentivement en évitant de le juger au premier degré tout simplement... Par ailleurs, je ne cherche pas à brûler un journaliste où à me brûler moi-même : je me demande où veux tu en venir par là (?)... D’autre part, lorsque tu me demandes un léger effort de synthèse, qu’entends tu par là ? Il faut que tu comprennes une chose : je ne fais que défendre ma ville ! Point barrre !
Puis, je t’invite à lire attentivement la proposition de loi de Gérard Charasse, Député de l’Allier, visant à « substituer, dans les communications publiques invoquant la période de l’État français, aux références à la ville de Vichy, l’appellation ‘’dictature de Pétain’’ » en te rendant sur le site : http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion0729.asp
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Là encore, je ne juge pas de la politique de cette époque, ENCORE QUE, BIEN SUR, IL FAUT DENONCER CONTINUELLEMENT CE REGIME DE L’ETAT FRANCAIS QUI A COLLABORE AVEC LE REGIME NAZI, puisque ce n’est pas le propos de mon article !
J’ai voulu, sous une forme -qui, certainement, te déplait au plus au point au point de te paraître louche-, « réveiller » Antoine de Gaudemar sur une double erreur :
- historique d’abord, puisqu’il n’y a jamais eu de personnage se nommant VICHY,
- grammaticale ensuite, puisque parler des gouvernements au lieu de parler des villes où ils furent installés par le passé ou bien où ils sont actuellement installés constitue une faute de français. -
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roumi (IP:xxx.x5.74.206), dans ton message du 6 août 2006 à 20H01, tu écris, et je te cite : « bien sur l’eau est une formidable milieu de dilution . et l’hotellerie tres saisonniere . mais bon en politique la reponse signe l’action . de Gaulle l’as bien compris . tu dois bien le savoir tu as un hotel , des pieces , des portes .et un concierge !!! »... J’aimerais savoir ce que tu entends par là, dans cette phrase ? Puis, tu continues en parlant de Mitterrand : « alors de gaudemar et miterrand qui est le journaliste le concierge ou toi ! les hommes evoluent » : C’est vrai qu’un homme évolue ! Encore faudrait-il que l’homme, qui évolue constate que personne ne s’appelle, comme tu l’écris si bien « Pastille de Vichy » ou « Brest »...
Puisque tu considères que si mon affaire est mal partie, je peux déménager, je pense que tu n’as absolument rien compris au problème soulevé par cet amalgame dont la Ville de Vichy et sa population sont continuellement victimes !
Non ! Contrairement à ce que tu écris, mon propos ne pose pas trop de questions brûlantes : il est destiné, au contraire, à rétablir la vérité historique qui se résume en deux affirmations :
1°). Le Régime de Vichy n’a jamais existé !
2°). Seul, le Régime de l’Etat français, incarné par Pétain et Laval, qui fut installé « à » Vichy, a bel et bien existé.
Ceci dit, Roumis, je n’ai pas à assumer : je ne me sens pas l’héritier d’un régime installé à Vichy ! En tant que Vichyssois, je ne fais que vouloir rétablir la vérité historique ! Et c’est cela qui te gêne considérablement.
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Toi aussi, tu es relou ! Alors, je vais te donner une bonne leçon de Français : VICHY est un lieu géographique et non le nom d’une personne...
Par ailleurs, IL N’Y A JAMAIS EU DE REGIME DE VICHY : c’est une erreurhistorique fondamentale que de prétendre le contraire !
Alors, ta morale à deux balles concernant la victimisation, je n’en n’ai rien à cirer : je défends ma ville ! Point barre...
Puis, pour le relou, je te prierais, à défaut d’être d’accord avec moi, d’être correct quand tu interviens...
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