Les indignés ont raison, c'est incontestablement vrai !
Il serait dramatique que les élus aient tort.
Alors il faut convaincre ceux qui aspirent au pouvoir, c'est à dire ceux qui n'y sont pas aujourd'hui, de libérer les Etats de la dictature de l'économie.
J'explique les conséquences de cette dictature sur le travail dans mon livre "Libérez-vous ! De l'économie contre le travail"(éditions le manuscrit-2011)
Mais si le travail est attaqué, ce sont toutes les valeurs de la société qui s'effondrent. Sans travail c’est l’exclusion qui menace. L’exclusion, c’est la colère qui domine. La colère c’est la perte de la raison, c’est le début du chaos !
Que faire ?
D’abord il faut comprendre la crise actuelle. Elle est essentiellement due aux nouvelles règles économiques qui ont été mise en place en 1973 par l’ancien Président de la Banque Rothschild Monsieur Georges Pompidou et son premier Ministre d’alors Monsieur Valérie Giscard d’Estaing.
Ils ont purement et simplement interdit à la Banque de France de prêter à l’Etat Français l’obligeant par la même à le faire auprès des banques privées. Ce diktat s’est ensuite « imposé démocratiquement » à toute l‘Europe par l’article 104 du traité de Maastricht, transformé depuis par un « déni de démocratie » en article 123 du traité de Lisbonne. Les économistes hétérodoxes, ceux qui ne sont pas convertis aux sirènes du libéralisme débridé, affirment que si les règles de 1973 étaient encore en vigueur à ce jour, il n’y aurait pas de dettes en Europe aujourd’hui.
Ainsi en 1973 la dette Française était nulle. Aujourd’hui elle représente 1600 milliards d’euros dont 1400 milliards sont les seuls intérêts que la France doit payer à ces dictateurs de l’économie.
Comme leurs besoins sont tout à fait insatiables, ils peuvent abaisser les notes d’un pays, pour augmenter les taux d’intérêts, et donc leur rente, et donc la dette des Etats.
Ils essorent l’économie et nous devrions encore payer alors que nos emplois disparaissent, que nos salaires baissent et que la misère s’installe.
Cette voie et sans issue pour les populations. Il faut donc se libérer de la dictature de l’économie.
Comment le faire ?
Contrôlez cette information ! Relayez là partout autour de vous ! Contactez vos élus qui ne sont pas actuellement au pouvoir. (hors UMP et nouveau centre) Leur dire que cette impasse économique ne peut pas être la voie de la France et de l’Europe. Leur demander de s’engager pour l’abrogation, d’abord de l’article 123 du traité de Lisbonne et ensuite de l’article 25 de la Loi de 1973.
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Ne pas combattre cette dictature c’est s’en rendre complice !
Participez ainsi à la révolution citoyenne, sans haine, sans violence, pour que les Etats reprennent en main leur développement, leur histoire, leur liberté.
Libérons nous du libéralisme mondialisé !
Vive la République libérée.