Lois de genre : le cauchemar espagnol
Francesco Serrano, juge à Séville, compare la situation espagnole à Gantanamo. La doyenne des juges de Barcelone, Maria Sanahuja, déclarait en 2006 : « Il y a une sorte de folie dans la loi, qui génère de l’abus, l’élimination de l’administration de preuves pendant la procédure et l’absence de présomption d’innocence ».

S’agit-il de procédure contre des terroristes ? Non : il s’agit des lois de genre telles que votées par le gouvernement socialiste de Zapatero en 2003 et telles qu’appliquées depuis lors. Le juge Serrano a été relevé de ses fonctions en 2012 pour une accusation qui n’est pas démontrée dans l’application du droit de visite d'un père. En présentant alors son livre : « La dictature du sexe. Une menace contre la justice et l’égalité. » Il déclarait que l’exercice de juge aux affaires familiales est devenue une profession à haut risque si vous ne vous soumettez pas au lobby de genre - entendez au lobby féministe.
Parmis les critiques venant de la juge Sanahuja, il y a le trop grand pouvoir mis entre les mains des femmes avec les lois de genre, l’atteinte l’égalité et à la justice. Selon son expérience, 90% des quelques 100’000 plaintes pour violence domestique et agression sexuelle sont fausses. 90%... qui ont fait 3 millions de victimes enfants, grands-parents et parents, tous ceux qui ont été touché par ce cauchemar.
En Espagne, le Ministère de l’Egalité est couplé à l’Institut de la femme. Les lois de genres considèrent que l’homme est forcément, automatiquement coupable en cas d’accusation, sans preuve, et qu’il l’est parce en raison de la supercherie nommée domination masculine.
Ces lois passent pour légitimes dans un contexte de lavage de cerveau féministe, de contamination générale de la société par des mensonges maintenant bien connus. On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. De telles lois discriminantes tuent la démocratie. On a connu les lois racistes, qui semblaient normales à une époque. Les lois contre les juifs ne choquaient personne. Aujourd’hui ce sont les lois contre les hommes. Simplement parce qu’ils sont des hommes. Ces lois, issues du lobby féministe et votées par des politiciens opportunistes et lâches, sont une honte. En l’état, tant qu’elles n’auront pas été purement et simplement abrogées, il faut considérer qu’il n’y a plus de démocratie et que le féminisme est une dictature.
En 2012 une jeune femme de 23 ans a avoué avoir menti quand elle avait 11 ans, accusant son père de viol. Il a passé 9 ans en prison et vient d’être libéré après les aveux de sa fille. Celle-ci ne sera pas poursuivie. Selon la femme procureur c’est pour ne pas décourager les victimes de viol à déposer des plaintes ! Que l’on ait détruit la vie d’un homme, 9 ans de prison pour rien, n’est visiblement pas important. C'est un cas parmi beaucoup d'autres.
Les hommes du Québec connaissent malheureusement aussi cela, et depuis longtemps : un coup de téléphone de la femme à la police, et l’homme est en prison, perd son domicile, sa voiture, l’usage de son compte en banque.
De plus en plus d’hommes et de pères sont touchés par cette violence pénale et légale, par cette société à deux vitesses. Faudra-t-il une révolution masculine pour faire cesser cette situation ? A sentir la révolte qui monte et le matraquage féministe continu, c’est probable. Il faudrait d’ailleurs faire une étude pour chercher le lien éventuel, hormis l'alcool, entre la répression contre les hommes et la violence que certains d'entre eux (1-2%) exercent contre des femmes.
La vidéo ci-dessous est un résumé d’un document plus long que l’on peut trouver ici. Il illustre l’état de guerre qui prévaut dans les sociétés malades du féminisme.
Photos : juges Maria Sanahuja et Francisco Serrano.
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