La presse en parle et les écologistes hurlent :"HOOUUUUU NON, surtout patou ça !"

- l’éleveur a mis la clef sous la porte après plus de 70 chèvres tuées
Article écrit en solidarité envers Christian Hubaud, maire de Pelleautier, qui, à ce jour, a reçu plus de 800 lettres d'injures et des menaces physiques, suite à l’arrêté autorisant des tirs pour la protection des troupeaux sur sa commune.
"Ferus et l’Aspas dénoncent :
« un arrêté municipal anti-loup et illégal qui nous ramène, hélas, au plus fort des temps lointains de l’obscurantisme. ( parlent t'ils des 800 lettres d'injures et de menaces ? ndlr) Pauvre France, représentée par de tels personnages ! »"
Voyons un peu comment la France est représentée par ces 2 associations :
Pour FERUS, la négation des attaques de loups est un des principal cheval de bataille dans sa lutte contre la vie sociale dans nos montagne :
"... 5000 victimes dont la moitié est due aux chiens."
Un autre point du mépris envers les acteurs ruraux est la minimisation des pertes des animaux domestiques :
" la prédation reste quelque chose de minime sur le plan économique,..."
Autre grand argument pour faire passer les éleveurs et bergers Français pour des demeurés :
"La grande et sereine cohabitation chez nos voisins ...."

Idem pour l'ASPAS, mais qui, côté provocation et déni de démocratie, se distingue particulièrement :
"L’ASPAS demande le retrait des troupeaux dans les Parcs "
Extrait de la charte des parcs nationaux :"Le pastoralisme contribue à la structuration écologique et paysagère des territoires, à la constitution du patrimoine naturel et culturel des parcs nationaux et à sa gestion. Ainsi, les paysages d’alpages et d’estives offrent une biodiversité et un caractère remarquable, résultat des interactions complexes et dynamiques entre activités pastorales et milieux naturels, que les parcs visent à préserver."
"Le loup une opportunité éco touristique,"

Pas autant que le pastoralisme quoiqu'en disent ses défenseurs !
"Si la cohabitation entre les moutons et les loups n’est pas possible, ce sont les moutons qu’il faut retirer de nos espaces naturels, et non les animaux sauvages !"
Les espaces naturel que nous partageons avec tout le monde sur lesquels les éleveurs et bergers payent des taxes foncières, des loyers et des remboursements d'emprunts !
A ce stade, le lecteur aura compris que finalement, les éleveurs et bergers sont des gens patients. Trop patient, envers de telles calomnies !
Dans le milieu des protecteurs du loup, beaucoup s'accordent à dire que les positions extrémistes et mensongères de certains condamneront le loup.
De quoi méditer sur les déclarations de Franco Zunino, président de l'association pour le réensauvagement Italien AIW, membre du WWF, consultant UICN, naturaliste fervent défenseur du loup...qui déclare solennellement qu'est inacceptable :
"« l'idée qu'un animal comme le loup puisse vivre librement dans les zones hyper urbanisées et cultivées de l’Europe centro-méridionale sans créer de problèmes pour la vie humaine, tant par les prédations sur le bétail et autres animaux domestiques que par le risque d’agression sur l’homme (...) ».
« Il n’existe aucune nation au monde où l’on permette aux animaux prédateurs de grande taille de vivre à proximité des zones densément peuplées par l'homme ;/..../Si l’on ne veut pas que le loup soit à nouveau exterminé, il faut que les autorités prennent des mesures pour maintenir bas le niveau de sa présence, sinon les citoyens se sentiront obligés d'intervenir eux-mêmes pour protéger leurs intérêts et leur sécurité à cause d’une réaction de peur humaine et compréhensible".
Alors oui, la France est bien mal représentée par les associations en mal de reconnaissance et de justification budgétaire !
Quand l'état n'applique pas la loi, code Rural : article 113-1
En conformité avec les dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne, le Gouvernement, reconnaissant ces rôles fondamentaux de l'agriculture, du pastoralisme et de la forêt de montagne, s'attache à :
8° Assurer la pérennité des exploitations agricoles et le maintien du pastoralisme, en particulier en protégeant les troupeaux des attaques du loup et de l'ours dans les territoires exposés à ce risque
DES ELUS PRENNENT LA RELEVE
Par contre l'élevage industriel qui ne craint pas le loup, a de beaux jours devant lui, et remercie tous les écologistes d'accentuer la pression sur le petit élevage extensif à l'herbe !